1
les fait oublier, d’où cette fatigue générale qui
fausse
tout, et qui s’oppose au perfectionnement de l’esprit, puisqu’elle ne
2
ai à l’analyser plus longuement. Mais alors je le
fausse
, puisque je le prive de la puissance de se délivrer en gestes, en con
3
aintenir dans cet état. Ce « mensonge », ce choix
faux
mais bon, nécessaire à la vie, n’est-ce pas être sincère aussi que de
4
urs, Lors je baise votre main Comme on signe d’un
faux
nom. c. « Billets aigres-doux », Revue de Belles-Lettres, Lausann
5
est l’éclat de sa joie brusque d’être seul sur un
faux
sommet vers quoi des faibles s’efforcent — mais déjà c’est de plus lo
6
réalité les exprime par ses défauts mêmes ou ses
fausses
négligences ; mais il faut pour comprendre cet art emprunter de singu
7
ondamentale. L’infaillible progrès aurait-il fait
fausse
route ? Est-il temps encore de le détourner du désastre spirituel ver
8
irs achetés au détail dans une foire éclatante de
faux
luxe. La misère est de voir ici des femmes aussi ravissantes que cell
9
ssion qui doit expliquer sa mort et qui est aussi
fausse
que le reste. Ce mensonge qui va jusqu’à la mort, inclusivement, n’ét
10
dées en catégories « rationnelles », c’est-à-dire
fausses
mais claires, qui lui permettent de triompher syllogistiquement de l’
11
le les règles, qui a sommeil, qui a peur de faire
faux
, parce que les autres auront fait juste, et qui voudrait bien pleurer
12
ue. Ce que je vais dire est sans doute injuste et
faux
dans un très grand nombre de cas, mais pourquoi ai-je envie de le dir
13
pas, de quoi vous plaignez-vous, vous ? — Mais on
fausse
l’esprit de ces enfants… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas
14
le les règles, qui a sommeil, qui a peur de faire
faux
, parce que les autres auront fait juste, et qui voudrait bien pleurer
15
ue. Ce que je vais dire est sans doute injuste et
faux
dans un très grand nombre de cas, mais pourquoi ai-je envie de le dir
16
pas, de quoi vous plaignez-vous, vous ? — Mais on
fausse
l’esprit de ces enfants… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas
17
s et l’accompagnement dans les feuillages de voix
fausses
mais aériennes, des chansons populaires qui sont ce que je connais de
18
p souvent tenté de confondre le bizarre. C’est le
faux
merveilleux qui a discrédité le vrai, lequel est quotidien, circonspe
19
itants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce
faux
confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens
20
our garder vierge parmi nous — voici déjà tant de
faux
dieux — le fascinant éclat de ce vide ? 5. Je songe à la « psycholo
21
es facilités de certaine foi apparaissent aussi «
fausses
» que l’effort désespéré de ces conquérants de désert. 9. Chez Gras
22
urelle de traiter les questions religieuses, sans
fausse
honte ». (Seuls, parmi les catholiques, son mari et sa tyrannique bel
23
taché de soi-même, n’est-ce pas nécessairement un
faux
témoin ? Étendons la signification de ce terme. On sait que protestan
24
de reniements et d’ignorance de nos richesses, de
fausses
hontes et de sourires complices. La question toutefois doit être port
25
ns qu’il peut renoncer violemment à tout un monde
faux
pour en créer un autre. Sa vie en Afrique est un second renoncement.
26
omplices de cette violence jamais avouée. Il est
faux
et contraire aux faits les plus patents, de prétendre que le choix es
27
Martin, lui répondra non sans violence : « C’est
faux
! Vous faites de la théologie, et vous ne faites même que cela ; c’es
28
gique de la décomposition nécessaire de principes
faux
en faits absurdes, le geste de Martin, détaché de ses considérants in
29
ion — entre une bourgeoisie déchue et un marxisme
faux
? Il reste à faire la révolution. Ni à gauche, ni à droite, il n’y a
30
nsonge chronique. Et de fait, la brutalité paraît
fausse
, parce qu’elle impose un ordre arbitraire au prix d’un désordre. Mais
31
puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît
fausse
, parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. La bruta
32
nge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne
fausse
rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas un système phi
33
tement engagée dans le tragique essentiel. Calcul
faux
, comme tous les calculs de l’âme : le péché n’est réel que pour celui
34
mocratie des plaisirs dans une foire éclatante de
faux
luxe. La misère, c’est de voir ici des femmes aussi ravissantes que c
35
Une « tasse de thé » au Palais C… Il fait
fausse
route, celui qui considère la chose mondaine autrement que comme symb
36
enté de confondre l’excès de bizarrerie. C’est le
faux
merveilleux qui a discrédité le vrai, lequel est quotidien, circonspe
37
itants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce
faux
confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens
38
s et l’accompagnement dans les feuillages de voix
fausses
mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que j
39
, sans méfiance, — ou bien à la jeune fille, sans
fausse
honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très doucement… La
40
nsonge chronique. Et de fait, la brutalité paraît
fausse
, parce qu’elle impose un ordre arbitraire au prix d’un désordre. Mais
41
puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît
fausse
, parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. La bruta
42
nge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne
fausse
rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas un système phil
43
tement engagée dans le tragique essentiel. Calcul
faux
, comme tous les calculs de l’âme : le péché n’est réel que pour celui
44
Une « tasse de thé » au palais C…5 Il fait
fausse
route, celui qui considère la chose mondaine autrement que comme symb
45
enté de confondre l’excès de bizarrerie. C’est le
faux
merveilleux qui a discrédité le vrai, lequel est quotidien, circonspe
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itants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce
faux
confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens
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s et l’accompagnement dans les feuillages de voix
fausses
mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que j
48
, sans méfiance, — ou bien à la jeune fille, sans
fausse
honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très doucement… La
49
ferry-boats poussaient leur solo de désastre, de
faux
désastre et d’appel commercial, dans le matin strident de l’East Rive
50
Comment rompre ? (mars 1933)c Le
faux
rapport entre le christianisme et le christianisme de la chrétienté r
51
1932. 4. Figaro , 4 février 1933. 5. Une idée
fausse
, par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un événemen
52
se et une) était homogène et souple, vivant, sans
faux
arrêt, sans cet arrêt d’illusoire devenu réel que font les actuels na
53
iformes, qu’avons-nous à aligner ? Un attirail de
faux
cols durs, de rosettes, de gros ventres et de chapeaux melons. La Fra
54
ssée (matérialisme). Antithèse en elle-même aussi
fausse
que la thèse, la seule vérité résidant dans leur conflit nécessaire,
55
otre race. On peut dire que nous en remettons.
Fausse
dignité du travail Les nécessités anonymes naissent et grandissent
56
ilieu du désordre. Il n’est pas d’expression plus
fausse
, et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position et pénétrer
57
tait du même coup pour notre auteur, échapper aux
faux
problèmes du modernisme et revenir à l’orthodoxie réformée. Non point
58
cet amour de l’humanité que nous revendiquons les
fausses
valeurs décrites par Nietzsche. Nous ne voulons plus l’acte d’amour p
59
r un ange. Le christianisme intervient dans cette
fausse
symétrie avec une sorte d’humour transcendant, fort bien exprimé par
60
t, si peu réaliste, si vainement irritant, et qui
fausse
dès l’origine toute discussion honnête sur les réformes nécessaires.
61
lle a quelque peu immunisé les fidèles contre les
fausses
doctrines modernistes. Malgré ce que certains leur ont prêché16, il s
62
poque, et la terreur que commencent d’y semer nos
faux
dieux, ont réveillé quelques esprits, dont témoigne la renaissance, o
63
masse » pour affirmer que tous ces dieux sont des
faux
dieux ? Mais sont-ils des faux dieux pour nous ? Appelons-nous vraime
64
ces dieux sont des faux dieux ? Mais sont-ils des
faux
dieux pour nous ? Appelons-nous vraiment l’esprit ? Mais non, nous ap
65
on ou orgueil fantastique. Le solitaire et les
faux
dieux Nous croyons à la foule, aux races, à l’histoire (ou plutôt
66
l’existence qu’on leur prête : hélas ! il serait
faux
de dire qu’ils n’en ont pas… Mais encore une fois, ce n’est pas échap
67
en prévaloir pour rendre un culte sanguinaire aux
faux
dieux qu’elle a suscités. « Le philosophe dit à bon droit que la vie
68
étatiste — personnaliste ! Ce qu’ils disent sonne
faux
; c’est poli, c’est raisonnable, c’est habile. Mais il faudrait dire
69
cher le Vivant (Luc 24 : 5). Faire l’économie des
fausses
preuves, telle paraît être, en fin de compte, la justification de la
70
chés d’eux pour ne plus sentir le tragique que ce
faux
désespoir maquillait. Il y a dans tout ce qu’ils écrivent, une espèce
71
vue sa définition même. Leur point de départ est
faux
, et leurs efforts les plus sincères aboutissent au malheur de l’homme
72
e des hommes qui agissent, et non pas du tout ces
faux
dieux qu’on invoque pour couvrir des impuissances trop humaines8. La
73
ilieu du désordre. Il n’est pas d’expression plus
fausse
, et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position et pénétrer
74
le bonheur, — si par malheur cette maxime n’était
fausse
. Ceci dit, la difficulté du personnalisme subsiste. Il y a très peu d
75
omme qui ne connaît pas son Dieu, pour devenir un
faux
croyant, c’est-à-dire un homme qui connaît un faux dieu (conscience m
76
aux croyant, c’est-à-dire un homme qui connaît un
faux
dieu (conscience morale, justice humaine, nation, peuple, etc.), cet
77
r un ange. Le christianisme intervient dans cette
fausse
symétrie avec une sorte d’humour transcendant, fort bien exprimé par
78
cer par la maison de Dieu. I. Pierre, 4, 17. Le
faux
rapport entre le christianisme et le christianisme de la chrétienté r
79
32. 34. Figaro , 4 février 1933. 35. Une idée
fausse
, par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un événemen
80
ion — entre une bourgeoisie déchue et un marxisme
faux
? Il reste à faire la révolution, — la vraie. Ni à gauche, ni à droit
81
otre race. On peut dire que nous en remettons.
Fausse
dignité du travail Les nécessités anonymes naissent et grandissent
82
t, si peu réaliste, si vainement irritant, et qui
fausse
dès l’origine toute discussion honnête sur les réformes nécessaires.
83
vue sa définition même. Leur point de départ est
faux
, et leurs efforts les plus sincères aboutissent au malheur de l’homme
84
e des hommes qui agissent, et non pas du tout ces
faux
dieux qu’on invoque pour couvrir des impuissances trop humaines. La p
85
ilieu du désordre. Il n’est pas d’expression plus
fausse
, et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position et pénétrer
86
le bonheur, — si par malheur cette maxime n’était
fausse
. Ceci dit, la difficulté du personnalisme subsiste. Il y a très peu d
87
omme qui ne connaît pas son Dieu, pour devenir un
faux
croyant, c’est-à-dire un homme qui connaît un faux dieu (conscience m
88
aux croyant, c’est-à-dire un homme qui connaît un
faux
dieu (conscience morale, justice humaine, nation, peuple, etc.), cet
89
r un ange. Le christianisme intervient dans cette
fausse
symétrie avec une sorte d’humour transcendant, fort bien exprimé par
90
er par la maison de Dieu. I. Pierre, 4, 17. Le
faux
rapport entre le christianisme et le christianisme de la chrétienté r
91
32. 27. Figaro , 4 février 1933. 28. Une idée
fausse
, par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un événemen
92
ion — entre une bourgeoisie déchue et un marxisme
faux
? Il reste à faire la révolution — la vraie. Ni à gauche, ni à droite
93
otre race. On peut dire que nous en remettons.
Fausse
dignité du travail Les nécessités anonymes naissent et grandissent
94
t, si peu réaliste, si vainement irritant, et qui
fausse
dès l’origine toute discussion honnête sur les réformes nécessaires.
95
emple : les Pages de journal d’André Gide.) Cette
fausse
honte ou cette mauvaise conscience, cette crainte de « trahir » en se
96
ès que l’on sait, voir la crise présente, ont été
fausses
, malfaisantes, dégradantes, pour continuer de gaieté de cœur à les pr
97
t sur cette lutte. Cette opinion est radicalement
fausse
. » — Il ne faut pas « aller aux ouvriers ». Il faut aller « dans tout
98
re du monde capitaliste est l’argent, qui est une
fausse
mesure ; que la mesure du monde socialiste serait la production quant
99
ion quantitative ou statistique, mesure non moins
fausse
que l’argent ; que la mesure enfin d’une civilisation nouvelle ne peu
100
ôt que la « mesure » du monde de l’argent est une
fausse
mesure culturelle. Car c’est ici d’un chiffre que dépendent la puissa
101
sme n’est pas dans son matérialisme, mais dans sa
fausse
spiritualité ; dans ce qu’il a de meilleur, non dans ce qu’il a de pi
102
r l’inspectorat de la Sûreté nationale. Il serait
faux
de dire qu’on paie l’esprit. C’est bien plutôt l’absence d’esprit qu’
103
’aide d’un répertoire de lieux communs et d’idées
fausses
mais courantes39. Or il se trouve, par un curieux hasard, que l’Espri
104
pensée universitaire aboutit nécessairement à un
faux
(« se boucher les yeux »). Elle postule que le philosophe est dégagé
105
t). On dirait une « histoire idiote ». Tout y est
faux
. C’est incroyable à quel point cela ressemble à la plupart des entret
106
pose ? Si mes reproches leur paraissent porter à
faux
et révéler une simple méconnaissance des possibilités infinies d’inte
107
et que nous croyons de toute notre foi31, devient
faux
et ne traduit qu’un subjectivisme absolu dès qu’on le sépare de l’Écr
108
out contact avec l’objet. » Ainsi parle Ramuz des
faux
poètes, des nominalistes. On croit voir transparaître dans ce passage
109
omme on chante dans les écoles suisses. Et il est
faux
de « chanter » la montagne : les montagnards l’appellent « le mauvais
110
emple : les Pages de journal d’André Gide.) Cette
fausse
honte ou cette mauvaise conscience, cette crainte de « trahir » en se
111
ès que l’on sait, voir la crise présente, ont été
fausses
, malfaisantes, dégradantes, pour continuer de gaieté de cœur à les pr
112
écrit-il, au lieu de montrer en quoi elle serait
fausse
, à son point de vue, ce qui eût été le vrai sujet d’un livre qui port
113
te pudeur nouvelle — elle date de 1935 — ou cette
fausse
honte à l’endroit du matérialisme « grossier » ne sont là que pour ra
114
ment d’une nouvelle culture européenne… b) Il est
faux
que nous soyons obligés de commencer par l’extérieur, si nous voulons
115
turelle. Mais une mesure n’est en soi ni vraie ni
fausse
; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et rep
116
: « Il prononce des paroles vaines, des serments
faux
! » s’écrie le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome ces
117
isent rien qui compte. « Paroles vaines, serments
faux
! » Or, quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’u
118
clichés bourgeois. Mais si les mots d’ordre sont
faux
? Si l’ordre qu’ils imposent est arbitraire, ou s’il ne mise que sur
119
ête pas une décadence en essayant de résoudre les
faux
problèmes ou les problèmes sans issue qu’elle a fait naître. C’est ce
120
notre culture se défait. Immortalité académique2,
faux
sublime officiel, envolées à la gloire d’un Descartes symbolique, on
121
mes cruellement utilisés par tous les prêtres des
faux
dieux. Cette même raison sceptique et purificatrice soutient la bourg
122
quoi ils se rebellent contre lui, pour suivre les
faux
dieux « faits de main d’homme », les « idoles de leur invention ». M
123
: « Il prononce des paroles vaines, des serments
faux
! » s’écrie le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome ces
124
isent rien qui compte. « Paroles vaines, serments
faux
! » Or, quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’u
125
clichés bourgeois. Mais si les mots d’ordre sont
faux
? Si l’ordre qu’ils imposent est arbitraire, ou s’il ne mise que sur
126
e des individus. On peut estimer qu’il y a là une
fausse
communauté, une fausse réponse, une duperie spirituelle ; je le crois
127
t estimer qu’il y a là une fausse communauté, une
fausse
réponse, une duperie spirituelle ; je le crois, au nom d’une vérité p
128
ent d’une nouvelle culture européenne… b) Il est
faux
que nous soyons obligés de commencer par l’extérieur, si nous voulons
129
érer la fin ; ensuite la qualifier de vraie ou de
fausse
; et finalement choisir « en connaissance de fin », c’est-à-dire s’en
130
ponse en soi. Une mesure n’est en soi ni vraie ni
fausse
; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et rep
131
dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de
faux
problèmes, qui admettent une infinité de solutions, tantôt purement f
132
n’y croient pas, mais je sais qu’on ne croit aux
faux
dieux, en tous temps, que pour fuir l’Éternel. Et je ne leur souhaite
133
e revenir en arrière, de revenir par exemple à la
fausse
tempérance du bourgeois égoïste, mais au contraire d’aller jusqu’à la
134
omme imperceptible à l’échelle d’aussi monstrueux
faux
pas, l’activité des quelques hommes qui cherchent à définir le vrai b
135
don de l’Esprit, révélation. Elle tue en nous le
faux
dieu du moi pur, pour ressusciter le vrai Dieu. C’est pourquoi dans l
136
pensée universitaire aboutissent normalement à un
faux
: « se boucher les yeux. » Elle postule que le philosophe est dégagé
137
ête pas une décadence en essayant de résoudre les
faux
problèmes ou les problèmes sans issue qu’elle a fait naître. C’est ce
138
mes cruellement utilisés par tous les prêtres des
faux
dieux et même du Vrai. Cette raison sceptique et purificatrice soutie
139
quoi ils se rebellent contre lui, pour suivre les
faux
dieux « faits de main d’homme », les « idoles de leur invention ». M
140
: « Il prononce des paroles vaines, des serments
faux
! » s’écrie le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome ces
141
isent rien qui compte. « Paroles vaines, serments
faux
! » Or, quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’u
142
clichés bourgeois. Mais si les mots d’ordre sont
faux
? Si l’ordre qu’ils imposent est arbitraire, ou s’il ne mise que sur
143
e des individus. On peut estimer qu’il y a là une
fausse
communauté, une fausse réponse, une duperie spirituelle ; je le crois
144
t estimer qu’il y a là une fausse communauté, une
fausse
réponse, une duperie spirituelle ; je le crois, au nom d’une vérité p
145
ent d’une nouvelle culture européenne… b) Il est
faux
que nous soyons obligés de commencer par l’extérieur, si nous voulons
146
érer la fin ; ensuite la qualifier de vraie ou de
fausse
; et finalement choisir « en connaissance de fin », c’est-à-dire s’en
147
ponse en soi. Une mesure n’est en soi ni vraie ni
fausse
; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et rep
148
dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de
faux
problèmes, qui admettent une infinité de solutions, tantôt purement f
149
n’y croient pas, mais je sais qu’on ne croit aux
faux
dieux, en tous temps, que pour fuir l’Éternel. Et je ne leur souhaite
150
e revenir en arrière, de revenir par exemple à la
fausse
tempérance du bourgeois égoïste, mais au contraire d’aller jusqu’à la
151
omme imperceptible à l’échelle d’aussi monstrueux
faux
pas, l’activité des quelques hommes qui cherchent à définir le vrai b
152
don de l’Esprit, révélation. Elle tue en nous le
faux
dieu du moi pur, pour ressusciter le vrai Dieu. C’est pourquoi dans l
153
pensée universitaire aboutissent normalement à un
faux
: « se boucher les yeux. » Elle postule que le philosophe est dégagé
154
lemand est très supérieur au français. Ce qui est
faux
. Alors ? Alors on voit que les rapports de la politique, de l’économi
155
îtres, et prolétaires ou serviteurs, je la trouve
fausse
dans tous les cas concrets, dès que je sors des très grandes villes e
156
ligé d’utiliser pour débrouiller et supprimer les
faux
problèmes où la Diatribe voulait l’embarrasser69. Ensuite, ce refus t
157
rait-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’idée
fausse
qu’elle s’en formait… Tu affirmes que si Dieu prévoit tout, tu es alo