1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 les fait oublier, d’où cette fatigue générale qui fausse tout, et qui s’oppose au perfectionnement de l’esprit, puisqu’elle ne
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
2 ai à l’analyser plus longuement. Mais alors je le fausse , puisque je le prive de la puissance de se délivrer en gestes, en con
3 aintenir dans cet état. Ce « mensonge », ce choix faux mais bon, nécessaire à la vie, n’est-ce pas être sincère aussi que de
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Billets aigres-doux (janvier 1927)
4 urs, Lors je baise votre main Comme on signe d’un faux nom. c. « Billets aigres-doux », Revue de Belles-Lettres, Lausann
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
5 est l’éclat de sa joie brusque d’être seul sur un faux sommet vers quoi des faibles s’efforcent — mais déjà c’est de plus lo
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 réalité les exprime par ses défauts mêmes ou ses fausses négligences ; mais il faut pour comprendre cet art emprunter de singu
6 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
7 ondamentale. L’infaillible progrès aurait-il fait fausse route ? Est-il temps encore de le détourner du désastre spirituel ver
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 irs achetés au détail dans une foire éclatante de faux luxe. La misère est de voir ici des femmes aussi ravissantes que cell
8 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
9 ssion qui doit expliquer sa mort et qui est aussi fausse que le reste. Ce mensonge qui va jusqu’à la mort, inclusivement, n’ét
9 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
10 dées en catégories « rationnelles », c’est-à-dire fausses mais claires, qui lui permettent de triompher syllogistiquement de l’
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
11 le les règles, qui a sommeil, qui a peur de faire faux , parce que les autres auront fait juste, et qui voudrait bien pleurer
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
12 ue. Ce que je vais dire est sans doute injuste et faux dans un très grand nombre de cas, mais pourquoi ai-je envie de le dir
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
13 pas, de quoi vous plaignez-vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de ces enfants… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
14 le les règles, qui a sommeil, qui a peur de faire faux , parce que les autres auront fait juste, et qui voudrait bien pleurer
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
15 ue. Ce que je vais dire est sans doute injuste et faux dans un très grand nombre de cas, mais pourquoi ai-je envie de le dir
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
16 pas, de quoi vous plaignez-vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de ces enfants… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas
16 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
17 s et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons populaires qui sont ce que je connais de
17 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
18 p souvent tenté de confondre le bizarre. C’est le faux merveilleux qui a discrédité le vrai, lequel est quotidien, circonspe
18 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
19 itants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens
19 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
20 our garder vierge parmi nous — voici déjà tant de faux dieux — le fascinant éclat de ce vide ? 5. Je songe à la « psycholo
20 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
21 es facilités de certaine foi apparaissent aussi «  fausses  » que l’effort désespéré de ces conquérants de désert. 9. Chez Gras
21 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
22 urelle de traiter les questions religieuses, sans fausse honte ». (Seuls, parmi les catholiques, son mari et sa tyrannique bel
22 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
23 taché de soi-même, n’est-ce pas nécessairement un faux témoin ? Étendons la signification de ce terme. On sait que protestan
23 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
24 de reniements et d’ignorance de nos richesses, de fausses hontes et de sourires complices. La question toutefois doit être port
24 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
25 ns qu’il peut renoncer violemment à tout un monde faux pour en créer un autre. Sa vie en Afrique est un second renoncement.
25 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
26 omplices de cette violence jamais avouée. Il est faux et contraire aux faits les plus patents, de prétendre que le choix es
26 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
27 Martin, lui répondra non sans violence : « C’est faux  ! Vous faites de la théologie, et vous ne faites même que cela ; c’es
28 gique de la décomposition nécessaire de principes faux en faits absurdes, le geste de Martin, détaché de ses considérants in
27 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
29 ion — entre une bourgeoisie déchue et un marxisme faux  ? Il reste à faire la révolution. Ni à gauche, ni à droite, il n’y a
28 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
30 nsonge chronique. Et de fait, la brutalité paraît fausse , parce qu’elle impose un ordre arbitraire au prix d’un désordre. Mais
31 puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît fausse , parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. La bruta
32 nge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne fausse rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas un système phi
33 tement engagée dans le tragique essentiel. Calcul faux , comme tous les calculs de l’âme : le péché n’est réel que pour celui
29 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
34 mocratie des plaisirs dans une foire éclatante de faux luxe. La misère, c’est de voir ici des femmes aussi ravissantes que c
30 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
35 Une « tasse de thé » au Palais C… Il fait fausse route, celui qui considère la chose mondaine autrement que comme symb
31 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
36 enté de confondre l’excès de bizarrerie. C’est le faux merveilleux qui a discrédité le vrai, lequel est quotidien, circonspe
37 itants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens
32 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
38 s et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que j
39 , sans méfiance, — ou bien à la jeune fille, sans fausse honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très doucement… La
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
40 nsonge chronique. Et de fait, la brutalité paraît fausse , parce qu’elle impose un ordre arbitraire au prix d’un désordre. Mais
41 puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît fausse , parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. La bruta
42 nge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne fausse rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas un système phil
43 tement engagée dans le tragique essentiel. Calcul faux , comme tous les calculs de l’âme : le péché n’est réel que pour celui
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
44 Une « tasse de thé » au palais C…5 Il fait fausse route, celui qui considère la chose mondaine autrement que comme symb
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
45 enté de confondre l’excès de bizarrerie. C’est le faux merveilleux qui a discrédité le vrai, lequel est quotidien, circonspe
46 itants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
47 s et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que j
48 , sans méfiance, — ou bien à la jeune fille, sans fausse honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très doucement… La
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
49 ferry-boats poussaient leur solo de désastre, de faux désastre et d’appel commercial, dans le matin strident de l’East Rive
38 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
50 Comment rompre ? (mars 1933)c Le faux rapport entre le christianisme et le christianisme de la chrétienté r
51 1932. 4. Figaro , 4 février 1933. 5. Une idée fausse , par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un événemen
39 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
52 se et une) était homogène et souple, vivant, sans faux arrêt, sans cet arrêt d’illusoire devenu réel que font les actuels na
40 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
53 iformes, qu’avons-nous à aligner ? Un attirail de faux cols durs, de rosettes, de gros ventres et de chapeaux melons. La Fra
41 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
54 ssée (matérialisme). Antithèse en elle-même aussi fausse que la thèse, la seule vérité résidant dans leur conflit nécessaire,
42 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
55 otre race. On peut dire que nous en remettons. Fausse dignité du travail Les nécessités anonymes naissent et grandissent
43 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
56 ilieu du désordre. Il n’est pas d’expression plus fausse , et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position et pénétrer
44 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
57 tait du même coup pour notre auteur, échapper aux faux problèmes du modernisme et revenir à l’orthodoxie réformée. Non point
45 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
58 cet amour de l’humanité que nous revendiquons les fausses valeurs décrites par Nietzsche. Nous ne voulons plus l’acte d’amour p
46 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
59 r un ange. Le christianisme intervient dans cette fausse symétrie avec une sorte d’humour transcendant, fort bien exprimé par
60 t, si peu réaliste, si vainement irritant, et qui fausse dès l’origine toute discussion honnête sur les réformes nécessaires.
47 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
61 lle a quelque peu immunisé les fidèles contre les fausses doctrines modernistes. Malgré ce que certains leur ont prêché16, il s
48 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
62 poque, et la terreur que commencent d’y semer nos faux dieux, ont réveillé quelques esprits, dont témoigne la renaissance, o
63 masse » pour affirmer que tous ces dieux sont des faux dieux ? Mais sont-ils des faux dieux pour nous ? Appelons-nous vraime
64 ces dieux sont des faux dieux ? Mais sont-ils des faux dieux pour nous ? Appelons-nous vraiment l’esprit ? Mais non, nous ap
65 on ou orgueil fantastique. Le solitaire et les faux dieux Nous croyons à la foule, aux races, à l’histoire (ou plutôt
66 l’existence qu’on leur prête : hélas ! il serait faux de dire qu’ils n’en ont pas… Mais encore une fois, ce n’est pas échap
67 en prévaloir pour rendre un culte sanguinaire aux faux dieux qu’elle a suscités. « Le philosophe dit à bon droit que la vie
49 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
68 étatiste — personnaliste ! Ce qu’ils disent sonne faux  ; c’est poli, c’est raisonnable, c’est habile. Mais il faudrait dire
50 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
69 cher le Vivant (Luc 24 : 5). Faire l’économie des fausses preuves, telle paraît être, en fin de compte, la justification de la
51 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
70 chés d’eux pour ne plus sentir le tragique que ce faux désespoir maquillait. Il y a dans tout ce qu’ils écrivent, une espèce
52 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
71 vue sa définition même. Leur point de départ est faux , et leurs efforts les plus sincères aboutissent au malheur de l’homme
72 e des hommes qui agissent, et non pas du tout ces faux dieux qu’on invoque pour couvrir des impuissances trop humaines8. La
53 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
73 ilieu du désordre. Il n’est pas d’expression plus fausse , et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position et pénétrer
54 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
74 le bonheur, — si par malheur cette maxime n’était fausse . Ceci dit, la difficulté du personnalisme subsiste. Il y a très peu d
75 omme qui ne connaît pas son Dieu, pour devenir un faux croyant, c’est-à-dire un homme qui connaît un faux dieu (conscience m
76 aux croyant, c’est-à-dire un homme qui connaît un faux dieu (conscience morale, justice humaine, nation, peuple, etc.), cet
55 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
77 r un ange. Le christianisme intervient dans cette fausse symétrie avec une sorte d’humour transcendant, fort bien exprimé par
56 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
78 cer par la maison de Dieu. I. Pierre, 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme et le christianisme de la chrétienté r
79 32. 34. Figaro , 4 février 1933. 35. Une idée fausse , par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un événemen
57 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
80 ion — entre une bourgeoisie déchue et un marxisme faux  ? Il reste à faire la révolution, — la vraie. Ni à gauche, ni à droit
58 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
81 otre race. On peut dire que nous en remettons. Fausse dignité du travail Les nécessités anonymes naissent et grandissent
59 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
82 t, si peu réaliste, si vainement irritant, et qui fausse dès l’origine toute discussion honnête sur les réformes nécessaires.
60 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
83 vue sa définition même. Leur point de départ est faux , et leurs efforts les plus sincères aboutissent au malheur de l’homme
84 e des hommes qui agissent, et non pas du tout ces faux dieux qu’on invoque pour couvrir des impuissances trop humaines. La p
61 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
85 ilieu du désordre. Il n’est pas d’expression plus fausse , et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position et pénétrer
62 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
86 le bonheur, — si par malheur cette maxime n’était fausse . Ceci dit, la difficulté du personnalisme subsiste. Il y a très peu d
87 omme qui ne connaît pas son Dieu, pour devenir un faux croyant, c’est-à-dire un homme qui connaît un faux dieu (conscience m
88 aux croyant, c’est-à-dire un homme qui connaît un faux dieu (conscience morale, justice humaine, nation, peuple, etc.), cet
63 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
89 r un ange. Le christianisme intervient dans cette fausse symétrie avec une sorte d’humour transcendant, fort bien exprimé par
64 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
90 er par la maison de Dieu. I. Pierre, 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme et le christianisme de la chrétienté r
91 32. 27. Figaro , 4 février 1933. 28. Une idée fausse , par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un événemen
65 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
92 ion — entre une bourgeoisie déchue et un marxisme faux  ? Il reste à faire la révolution — la vraie. Ni à gauche, ni à droite
66 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
93 otre race. On peut dire que nous en remettons. Fausse dignité du travail Les nécessités anonymes naissent et grandissent
67 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
94 t, si peu réaliste, si vainement irritant, et qui fausse dès l’origine toute discussion honnête sur les réformes nécessaires.
68 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
95 emple : les Pages de journal d’André Gide.) Cette fausse honte ou cette mauvaise conscience, cette crainte de « trahir » en se
96 ès que l’on sait, voir la crise présente, ont été fausses , malfaisantes, dégradantes, pour continuer de gaieté de cœur à les pr
69 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
97 t sur cette lutte. Cette opinion est radicalement fausse . » — Il ne faut pas « aller aux ouvriers ». Il faut aller « dans tout
70 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
98 re du monde capitaliste est l’argent, qui est une fausse mesure ; que la mesure du monde socialiste serait la production quant
99 ion quantitative ou statistique, mesure non moins fausse que l’argent ; que la mesure enfin d’une civilisation nouvelle ne peu
100 ôt que la « mesure » du monde de l’argent est une fausse mesure culturelle. Car c’est ici d’un chiffre que dépendent la puissa
71 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
101 sme n’est pas dans son matérialisme, mais dans sa fausse spiritualité ; dans ce qu’il a de meilleur, non dans ce qu’il a de pi
72 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
102 r l’inspectorat de la Sûreté nationale. Il serait faux de dire qu’on paie l’esprit. C’est bien plutôt l’absence d’esprit qu’
103 ’aide d’un répertoire de lieux communs et d’idées fausses mais courantes39. Or il se trouve, par un curieux hasard, que l’Espri
104 pensée universitaire aboutit nécessairement à un faux (« se boucher les yeux »). Elle postule que le philosophe est dégagé
73 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
105 t). On dirait une « histoire idiote ». Tout y est faux . C’est incroyable à quel point cela ressemble à la plupart des entret
74 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
106 pose ? Si mes reproches leur paraissent porter à faux et révéler une simple méconnaissance des possibilités infinies d’inte
107 et que nous croyons de toute notre foi31, devient faux et ne traduit qu’un subjectivisme absolu dès qu’on le sépare de l’Écr
75 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
108 out contact avec l’objet. » Ainsi parle Ramuz des faux poètes, des nominalistes. On croit voir transparaître dans ce passage
109 omme on chante dans les écoles suisses. Et il est faux de « chanter » la montagne : les montagnards l’appellent « le mauvais
76 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
110 emple : les Pages de journal d’André Gide.) Cette fausse honte ou cette mauvaise conscience, cette crainte de « trahir » en se
111 ès que l’on sait, voir la crise présente, ont été fausses , malfaisantes, dégradantes, pour continuer de gaieté de cœur à les pr
77 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
112 écrit-il, au lieu de montrer en quoi elle serait fausse , à son point de vue, ce qui eût été le vrai sujet d’un livre qui port
113 te pudeur nouvelle — elle date de 1935 — ou cette fausse honte à l’endroit du matérialisme « grossier » ne sont là que pour ra
78 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
114 ment d’une nouvelle culture européenne… b) Il est faux que nous soyons obligés de commencer par l’extérieur, si nous voulons
115 turelle. Mais une mesure n’est en soi ni vraie ni fausse  ; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et rep
79 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
116  : « Il prononce des paroles vaines, des serments faux  ! » s’écrie le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome ces
117 isent rien qui compte. « Paroles vaines, serments faux  ! » Or, quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’u
118 clichés bourgeois. Mais si les mots d’ordre sont faux  ? Si l’ordre qu’ils imposent est arbitraire, ou s’il ne mise que sur
80 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
119 ête pas une décadence en essayant de résoudre les faux problèmes ou les problèmes sans issue qu’elle a fait naître. C’est ce
120 notre culture se défait. Immortalité académique2, faux sublime officiel, envolées à la gloire d’un Descartes symbolique, on
81 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
121 mes cruellement utilisés par tous les prêtres des faux dieux. Cette même raison sceptique et purificatrice soutient la bourg
82 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
122 quoi ils se rebellent contre lui, pour suivre les faux dieux « faits de main d’homme », les « idoles de leur invention ». M
83 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
123  : « Il prononce des paroles vaines, des serments faux  ! » s’écrie le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome ces
124 isent rien qui compte. « Paroles vaines, serments faux  ! » Or, quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’u
125 clichés bourgeois. Mais si les mots d’ordre sont faux  ? Si l’ordre qu’ils imposent est arbitraire, ou s’il ne mise que sur
84 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
126 e des individus. On peut estimer qu’il y a là une fausse communauté, une fausse réponse, une duperie spirituelle ; je le crois
127 t estimer qu’il y a là une fausse communauté, une fausse réponse, une duperie spirituelle ; je le crois, au nom d’une vérité p
85 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
128 ent d’une nouvelle culture européenne… b) Il est faux que nous soyons obligés de commencer par l’extérieur, si nous voulons
86 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
129 érer la fin ; ensuite la qualifier de vraie ou de fausse  ; et finalement choisir « en connaissance de fin », c’est-à-dire s’en
87 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
130 ponse en soi. Une mesure n’est en soi ni vraie ni fausse  ; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et rep
88 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
131 dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de faux problèmes, qui admettent une infinité de solutions, tantôt purement f
132 n’y croient pas, mais je sais qu’on ne croit aux faux dieux, en tous temps, que pour fuir l’Éternel. Et je ne leur souhaite
133 e revenir en arrière, de revenir par exemple à la fausse tempérance du bourgeois égoïste, mais au contraire d’aller jusqu’à la
134 omme imperceptible à l’échelle d’aussi monstrueux faux pas, l’activité des quelques hommes qui cherchent à définir le vrai b
135 don de l’Esprit, révélation. Elle tue en nous le faux dieu du moi pur, pour ressusciter le vrai Dieu. C’est pourquoi dans l
136 pensée universitaire aboutissent normalement à un faux  : « se boucher les yeux. » Elle postule que le philosophe est dégagé
89 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
137 ête pas une décadence en essayant de résoudre les faux problèmes ou les problèmes sans issue qu’elle a fait naître. C’est ce
90 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
138 mes cruellement utilisés par tous les prêtres des faux dieux et même du Vrai. Cette raison sceptique et purificatrice soutie
91 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
139 quoi ils se rebellent contre lui, pour suivre les faux dieux « faits de main d’homme », les « idoles de leur invention ». M
92 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
140  : « Il prononce des paroles vaines, des serments faux  ! » s’écrie le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome ces
141 isent rien qui compte. « Paroles vaines, serments faux  ! » Or, quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’u
142 clichés bourgeois. Mais si les mots d’ordre sont faux  ? Si l’ordre qu’ils imposent est arbitraire, ou s’il ne mise que sur
93 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
143 e des individus. On peut estimer qu’il y a là une fausse communauté, une fausse réponse, une duperie spirituelle ; je le crois
144 t estimer qu’il y a là une fausse communauté, une fausse réponse, une duperie spirituelle ; je le crois, au nom d’une vérité p
94 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
145 ent d’une nouvelle culture européenne… b) Il est faux que nous soyons obligés de commencer par l’extérieur, si nous voulons
95 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
146 érer la fin ; ensuite la qualifier de vraie ou de fausse  ; et finalement choisir « en connaissance de fin », c’est-à-dire s’en
96 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
147 ponse en soi. Une mesure n’est en soi ni vraie ni fausse  ; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et rep
97 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
148 dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de faux problèmes, qui admettent une infinité de solutions, tantôt purement f
149 n’y croient pas, mais je sais qu’on ne croit aux faux dieux, en tous temps, que pour fuir l’Éternel. Et je ne leur souhaite
150 e revenir en arrière, de revenir par exemple à la fausse tempérance du bourgeois égoïste, mais au contraire d’aller jusqu’à la
151 omme imperceptible à l’échelle d’aussi monstrueux faux pas, l’activité des quelques hommes qui cherchent à définir le vrai b
152 don de l’Esprit, révélation. Elle tue en nous le faux dieu du moi pur, pour ressusciter le vrai Dieu. C’est pourquoi dans l
153 pensée universitaire aboutissent normalement à un faux  : « se boucher les yeux. » Elle postule que le philosophe est dégagé
98 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
154 lemand est très supérieur au français. Ce qui est faux . Alors ? Alors on voit que les rapports de la politique, de l’économi
99 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
155 îtres, et prolétaires ou serviteurs, je la trouve fausse dans tous les cas concrets, dès que je sors des très grandes villes e
100 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
156 ligé d’utiliser pour débrouiller et supprimer les faux problèmes où la Diatribe voulait l’embarrasser69. Ensuite, ce refus t
157 rait-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’idée fausse qu’elle s’en formait… Tu affirmes que si Dieu prévoit tout, tu es alo