1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
1 tre commission. La première, de T. S. Eliot : « I feel that at the present time one ought to do what one can to support a mo
2 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
2 perturbables : je pense, je trouve, à mon avis, I feel … Le professeur intervient peu, se borne à orienter la discussion, à p
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
3 onquered both look in vain for a new Utopia. Some feel frustrated by the collapse of rationalist passions, which have become
4 1966, Articles divers (1963-1969). Un libéral engagé (1966)
4 t pas. Écoutez donc notre ami Lindsay : il dit “I feel  » et non “I think”. Si les Anglais pensent, c’est autrement que nous,
5 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
5 ciens ou imminents). T. S. Eliot m’écrivait : « I feel that at the present time one ought to do what one can to support a mo
6 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
6 nt à Robert Schuman, rappelé au gouvernement : I feel certain that your suggestion that both Mr. de Rougemont and you shoul
7 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
7 e, jeunes et vieux. T. S. Eliot m’a répondu : « I feel that at the present time one ought to do what one can to support a mo
8 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
8 e, jeunes et vieux. T. S. Eliot m’a répondu : « I feel that at the present time one ought to do what one can to support a mo