1
cher et de faire du bruit. Il songea : — C’est la
fin
pour moi. Puis : — Quelle imprudence ! Avec la lumière et peut-être d
2
ints dans le protestantisme. Mais il n’est pas de
fin
aux œuvres de Dieu. La sainteté parfaite ne commence qu’aux limites l
3
s un progrès mal défini, et l’on court après sans
fin
. Même ceux qui ont perdu la croyance en un bonheur possible ou désira
4
absolue, « scientifique » me paraît aller contre
fin
. Une attention trop directe et soutenue modifie son objet vivant. Pou
5
À l’inverse de tant d’autres qui s’analysent sans
fin
, avant que d’être, Montherlant impose un tempérament lyrique d’une pu
6
upté de sentir l’esprit se défaire et couler sans
fin
vers un sommeil à l’odeur fade de fleuve, un sommeil de plante vaguem
7
mmes-qui-font-des-gestes. Les autos répètent sans
fin
les notes mêlées d’une symphonie qui va peut-être composer tous les b
8
ain, quitter le domaine enchanté où des amis très
fins
, précieux poètes, dissertent sur leurs fantaisies ? Ç’aurait été si d
9
user sa petite faiblesse originale : tant qu’à la
fin
la notion concrète de sincérité s’évanouit en mille définitions tenda
10
n incendie, deux visages tordus de passion. Cette
fin
est admirable, dont la brutalité si longtemps désirée délivre Jacques
11
ans issue, pesant comme l’envie d’un sommeil sans
fin
… J’avais soif, mais la seule vue d’un liquide me soulevait le cœur. L
12
s personnages des affiches, tout en marchant sans
fin
dans les couloirs implacablement brillants, je me pris à parler à hau
13
n Dieu, il n’y a plus qu’un glissement gris, sans
fin
… Il faudrait que je dorme : il n’y aurait plus rien. 4. Encore un q
14
fleur du fond de la mort. » Or, on découvre à la
fin
de la pièce que c’est une anagramme un peu ordurière. Ainsi les rêves
15
’époque s’ouvre où l’on attend un miracle pour la
fin
de la semaine. « Messieurs, disait Dardel, y a pas à tortiller, il fa
16
impossibles, des histoires dont on ne sait pas la
fin
ni le sens véritable, mais seulement qu’elles ont fait souffrir. Rend
17
ous le désigner, veut nous l’imposer pour quelles
fins
assez basses, nous le savons… Mais pour Aragon, ce n’est point façon
18
les de Charles, moins intensément réalistes, plus
fins
, mais tout aussi habiles dans l’utilisation du clair-obscur qui simpl
19
us découvrez dans ses fantoches une malicieuse et
fine
psychologie. Mais à ce mot, son visage s’assombrit un peu. « Tous nos
20
atérialiste ? Un seul doute effleure Ford vers la
fin
de son livre : Le problème de la production a été brillamment résolu
21
mon temps à faire aboutir la standardization à sa
fin
logique, ne pourrait-il pas être considéré un jour comme le grand tue
22
Philippe Godet (avril 1929)t Quand avec un air
fin
mais un ton convaincu l’on a répété dans une ballade fameuse « Que vo
23
e chambre, où pénètre la facilité atroce de cette
fin
d’après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle
25
thèse de la Trahison des Clercs 11, thèse dont la
Fin
de l’Éternel ne fait que reprendre la défense contre ses adversaires
26
moi ne manqueront pas de faire observer que la «
fin
de l’éternel », la chute de l’idée dans la matière, est un phénomène
27
M. Benda (janvier 1928). bc. « Julien Benda : La
Fin
de l’Éternel (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Ge
28
tre Ayant épanché un peu de ma rancune, à seule
fin
de montrer pour quelles raisons j’ai entrepris de combattre l’instruc
29
s moins devenus le but même de l’instruction ; la
fin
qui justifie les moyens et à quoi l’on subordonne tout, plaisir, goût
30
nné ce que cela représente. 10. Voir note A à la
fin
du cahier. 11. Est-il besoin de déclarer formellement qu’une telle a
31
e gens qui ne peuvent pas séparer une méthode des
fins
auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-là diront que je veux
32
mais sont-ils dans la même mesure conscients des
fins
qu’on assigne à leur activité ? Un peu de rigueur dans la pensée empê
33
tre Ayant épanché un peu de ma rancune, à seule
fin
de montrer pour quelles raisons j’ai entrepris de combattre l’instruc
34
s moins devenus le but même de l’instruction ; la
fin
qui justifie les moyens et à quoi l’on subordonne tout, plaisir, goût
35
nné ce que cela représente. 10. Voir note A à la
fin
du livre, p. 65. 11. Est-il besoin de déclarer formellement qu’une t
36
e gens qui ne peuvent pas séparer une méthode des
fins
auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-là diront que je veux
37
mais sont-ils dans la même mesure conscients des
fins
qu’on assigne à leur activité ? Un peu de rigueur dans la pensée empê
38
t plutôt ce qu’autrefois l’on nommait joliment un
fin
lettré. (Vraiment le jeu est trop facile. Allez donc vous mettre en c
39
juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans
fin
contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des
40
t inconnu que je chercherai sans doute jusqu’à la
fin
des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite
41
u que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des
fins
… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais
42
ie. Et ce n’est pas que je trouve ce raisonnement
fin
, encore que juste, mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’
43
porte est obstruée par un douanier, tant qu’à la
fin
on me refoule dans mon compartiment. Est-ce encore un rêve ? Je compr
44
’une technique spirituelle8 indépendante de toute
fin
religieuse particulière, antérieure à n’importe quel dogme. Je ne cro
45
rigines, ne se donnèrent cours par contre qu’à la
fin
du second. Le Moment et les Attaques contre le christianisme officiel
46
la jeunesse de notre héros ; mais ce récit prend
fin
au moment où Kagawa débouche dans la vie publique et politique. Espér
47
s chrétiens ; il pensait aussi que lui-même, à la
fin
du mois, devrait gagner sa pension et son écolage ; il pensait au sor
48
mêles de ces affaires, tu ne seras toi-même, à la
fin
, pas bien éloigné du vulgaire. » Mais au même moment une autre voix i
49
comparables et une sorte subtile de loyauté à des
fins
rien moins que grandes. Car l’excès même de ces scrupules les fait to
50
que nous joue la morale lorsque, se prenant pour
fin
, elle s’érige en dialectique indépendante. Si des sophismes de ce gen
51
he ; un tour qui ferait penser aux conteurs de la
fin
du xviiie ; des sujets dans le goût allemand, tels sont les éléments
52
nificatifs de ces récits (Dieu et le sommeil, Les
Fins
dernières) l’on assiste à un réveil, explosion de révolte ou de joie,
53
s. On peut donc poser que le protestantisme de la
fin
du xixe siècle, tel que nos contemporains se le représentent, ne pou
54
iènes de l’esprit » dont les ravages ne prendront
fin
qu’au jour où nous aurons compris que la santé est dans l’humilité de
55
ement dernier et qui régnait aux Origines, car la
Fin
et le Commencement « sont en ressemblance et voisinage ». Ce regard r
56
8 — sont expliqués à la lumière des Écritures. La
Fin
des Temps est proche, il faut en témoigner. À tous il tend la Parole
57
. Vers le soir, il éclate tragiquement. Est-ce la
fin
? Grande heure de terreur et de prière. Puis, « la page du ciel a été
58
erpétuels — sujets d’étonnement perpétuel — et la
Fin
du Monde est l’un d’eux. Un vrai mythe, c’est-à-dire un événement per
59
n droit d’affirmer rien de certain » touchant les
fins
dernières du progrès mécanique ? Il ne s’est même pas posé la questio
60
it ici taxer de vulgarité, puisqu’il concerne les
fins
les plus hautes de l’existence terrestre. « Un fait de notre vie ne v
61
il s’agit de faire état des causes premières, des
fins
dernières, en tant que telles. De là ce rationalisme agressif qu’il o
62
t dans l’instant : Aeternitas non est tempus sine
fine
, sed nunc stans). Elle veut cette vie-ci. Et tout le reste, qu’elle s
63
use — et quand bien même il fait intervenir, à la
fin
, « l’amour d’En-Haut » venant à sa rencontre — Goethe nous apparaît c
64
fronte les buts et les moyens inséparables de ces
fins
. Tout cela nous dépasse et se meut sur un plan où la vanité cherchera
65
l’esprit11. Laisse-les donc chercher, jusqu’à la
fin
de leurs loisirs fiévreux, s’il faut faire quelque chose, et comment
66
es figures servent en France indifféremment à des
fins
électorales, journalistiques ou philanthropiques. Il faut avouer que
67
risquer en faveur des hommes, un acte, un combat.
Fin
de l’esprit désintéressé, cela signifierait pour les clercs, selon M.
68
signifierait pour les clercs, selon M. Benda, la
fin
de l’esprit. Et pour nous, cela signifie : le renouveau, le sacrifice
69
ls primaires, rate. Lire à petites doses. Vers la
fin
, qui est émouvante, décider que ceux qui n’aimeront pas sont fermés à
70
des circonstances de notre vie concrète, à seule
fin
d’en démontrer l’absurdité latente et souvent manifeste ? Ce serait f
71
té entre les formes de la justice actuelle et les
fins
que lui assigne l’« ordre » bourgeois. Une manifestation comme celle
72
usant de ses pouvoirs dans un style adéquat à ses
fins
, jugerait de tels cas sommairement sans avocats ni simulacres d’aucun
73
apitalisme, symbole même de l’action dépourvue de
fins
transcendantes, de l’action optimiste. Ceux donc qui rendent le calvi
74
r dans l’espace des sentiments ou des désirs sans
fin
, et qui n’ont de réalité qu’en un cœur, lorsqu’il aime1 ? Tout devena
75
petit jour. J’en ai vu deux, chaussés d’escarpins
fins
courant comme des reflets sur le parquet, venir par une salle vide où
76
s amarres des pelouses, tout le jardin monte sans
fin
dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bord du péristyle
77
juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans
fin
contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des
78
t inconnu que je chercherai sans doute jusqu’à la
fin
des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite
79
u que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des
fins
… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais
80
ie. Et ce n’est pas que je trouve ce raisonnement
fin
, encore que juste, mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’
81
porte est obstruée par un douanier, tant qu’à la
fin
on me refoule dans mon compartiment. Est-ce encore un rêve ? Je compr
82
ette chambre, où pénètre la facilité atroce de la
fin
d’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… e
83
e nous. Plus tard, nous nous sommes regardés sans
fin
. (Ah ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent léger écar
84
nsciente redevient une conquête de la sagesse.
Fin
juillet 1929 Promenades sous la pluie, à la tombée du jour. L’espr
85
nt à notre âme et la retiennent, la captivent.
Fin
juillet 1929 Vraiment la rapidité ne saurait être le fait d’un esp
86
t, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur
fine
de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète au ra
87
on W. de Münchhausen, au bar des Vikings (Paris),
fin
septembre 1931. » w. « La pluie et le beau temps (Dialogue dans une
88
r dans l’espace des sentiments ou des désirs sans
fins
, et qui n’ont de réalité qu’en un cœur, lorsqu’il aime1 ? Tout devena
89
petit jour. J’en ai vu deux, chaussés d’escarpins
fins
courant comme des reflets sur le parquet, venir par une salle vide où
90
s amarres des pelouses, tout le jardin monte sans
fin
dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bord du péristyle
91
juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans
fin
contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des
92
t inconnu que je chercherai sans doute jusqu’à la
fin
des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite
93
u que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des
fins
… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais
94
ie. Et ce n’est pas que je trouve ce raisonnement
fin
, encore que juste, mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’
95
porte est obstruée par un douanier, tant qu’à la
fin
on me refoule dans mon compartiment. Est-ce encore un rêve ? Je compr
96
t, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur
fine
de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète au ra
97
ette chambre, où pénètre la facilité atroce de la
fin
d’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… e
98
e nous. Plus tard, nous nous sommes regardés sans
fin
. (Ah ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent léger écar
99
consciente redevient une conquête de la sagesse.
Fin
juillet. Promenades sous la pluie, à la tombée du jour. L’esprit pati
100
nt à notre âme et la retiennent, la captivent.
Fin
juillet 1929 Vraiment la rapidité ne saurait être le fait d’un esp
101
interrompit les conversations. Nous entendîmes la
fin
d’une phrase en italien, puis une fanfare joua l’hymne national. Le s
102
lement un tunnel et des forts ? Le petit nuage
Fin
mars 1940 — Au mois d’août de l’année dernière, le jour du pacte g
103
is Genève pour l’Amérique. Intermède New York,
fin
1942 … mais sachez-le : nous n’étions pas absents de vous plus que
104
pe et la guerre… Mémoire de l’Europe New York,
fin
1944 Je ne savais pas que tout était si près, là-bas. J’étais baig
105
oits bleus, médiéval. Et voici qu’une cloche très
fine
a sonné cinq coups délicats. Puis une autre plus loin, et plusieurs e
106
mment si bien le représentant qu’il lui faut à la
fin
se la représenter comme il n’eût jamais fait en y restant. Dans sa ci
107
l’on s’aperçut que ce beau mouvement d’horlogerie
fine
retardait sans espoir sur l’heure du siècle, avancée pour le reste de
108
et mon père, pasteur. Cela fait, au début et à la
fin
, pas mal de robes et de rabats, soit de justice, soit d’église ; et e
109
e boire des yeux, de comparer, de contempler sans
fin
, où l’on a reconnu l’amour, comme il aime à s’y retrouver. Je nage à
110
nage à Baveno dans l’eau tiède et dorée, c’est la
fin
de l’après-midi, devant la proue de l’Isola Bella, vaisseau de rêve a
111
s’enliser régulièrement avant d’avoir atteint la
fin
d’une phrase. Je sais bien que l’influence du suisse allemand y est p
112
s certains milieux, c’était le commencement de la
fin
, c’était se préparer à « mal finir ». Est-ce le cinéma qui a changé t
113
Je crois d’ailleurs avoir indiqué nettement, à la
fin
de l’enquête, pourquoi cette solidarité nous paraissait encore plus i
114
nt de donner un remarquable fascicule intitulé la
Fin
du bourgeois, au sommaire duquel figurent entre autres les noms de Eu
115
quelque chose de si lamentable, qu’il faille à la
fin
plaider pour le sauver. » Rompre avec le désordre établi, c’est faire
116
politesse sur nos intentions et nos buts, à seule
fin
de « causer un peu ». Qu’on les reconnaisse à ce signe : dès qu’ils c
117
re vie, ayant perdu la clef de l’Origine et de la
Fin
, qu’il s’agisse de notre existence personnelle ou du cours de l’histo
118
seul connaît l’homme dans son origine et dans sa
fin
. L’homme étant « séparé » de Dieu sa source, — et c’est en quoi consi
119
s les plus importantes du monde : l’origine et la
fin
de son existence terrestre. Dès lors, ceux qui croient détenir le pou
120
vre, empêche de respirer, et qu’alors, reniant sa
fin
, elle ne sert plus que d’aliment à un dogmatisme populaire farouche,
121
tiser chômage. Le chômage, telle est la véritable
fin
, tel est le véritable nom du Progrès, dans un monde dont le matériali
122
ur, non plus que sans volupté. Mais le sens et la
fin
seuls importent, et fondent l’œuvre en dignité. Dignité du temps de l
124
se suspend-il en dernière analyse ? Vers quelles
fins
dernières nous conduit le dépassement qu’il permet ? Et le rendement
125
fusait de poser la question de l’Origine et de la
Fin
, on supposerait par là même que la doctrine de l’acte rend un compte
126
encore une fois, ne concerne que l’origine et la
fin
, ou, pour employer une expression chère à Karl Barth, se rapporte aux
127
nologie propre à un auteur. d. « Dialectique des
fins
dernières », Hic et Nunc, Paris, n° 3-4, juillet 1933, p. 95-101.
128
elles. L’acte libre est à l’origine, non pas à la
fin
. VI. — On a dit que l’esprit est hors de pouvoir sur les choses. C’
129
nctionnait le travail du dehors, mais arrachée en
fin
de séance par un député obscur, ami du colonial, du fonctionnaire ou
130
scipline se trouvent ainsi élevés à la dignité de
fins
en soi, d’absolus, au lieu de n’être considérés que comme des moyens
131
lles étaient les questions que se posait, vers la
fin
de la guerre, dans le presbytère d’un village de la Suisse allemande,
132
ela signifie qu’elle est le lieu, l’origine et la
fin
de toute incarnation, de toute création, de tout risque. La personne
133
xplique entièrement par le fait qu’il était, à la
fin
de la guerre, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien
134
ettre en lumière le « scandale de Jésus » à seule
fin
de nous « enseigner à révérence ». On peut dire dans ce sens que l’ex
135
is une rudesse puissante sur le front ; des mains
fines
à la poignée ferme. On ne saurait trop insister sur la portée d’une o
136
lissement est hors du temps, bien plus, il est la
fin
du temps. Or, le temps suit son cours, et nous sommes dans l’histoire
137
quotidienne. Il y eut une école littéraire, à la
fin
du siècle dernier, pour soutenir que la réalité c’est le terne train-
138
s’en souvient46, l’amour chrétien n’est que « la
fine
fleur du ressentiment » que les natures faibles vouent aux valeurs ar
139
amais personne d’ailleurs n’a pu y parvenir. À la
fin
du cauchemar, on le tue dans des conditions trop déprimantes pour qu’
140
comparable aux nombreux groupements catholiques à
fins
politiques ou sociales15. Si les faits sont pauvres, profitons-en pou
141
tique s’occupe des moyens, et néglige bientôt les
fins
, ou prend les moyens pour des fins ; la foi ne veut connaître que les
142
ge bientôt les fins, ou prend les moyens pour des
fins
; la foi ne veut connaître que les fins, et en vient à dévaloriser le
143
pour des fins ; la foi ne veut connaître que les
fins
, et en vient à dévaloriser les moyens. Ou encore : pour le politique
144
, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la
fin
, en est cependant inséparable. Il est donc non seulement possible, ma
145
communauté doit toujours être subordonnée à cette
fin
la plus haute de l’homme qu’est sa foi, — sa situation personnelle de
146
i bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant aux
fins
terrestres, mais impliquant l’activité de l’homme considérée comme un
147
vant Dieu et devant les hommes. Ce ne fut qu’à la
fin
de sa vie qu’il s’offrit sans masques à la lutte contre l’Église étab
148
l’origine de sa réalité. Celui-là seul connaît sa
fin
et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là seul peut juger de ce monde, e
149
t nunc, quand la foule est ubiquité et fuite sans
fin
dans le passé ou l’avenir. Un seul utile à tous La phrase de Ca
150
s mener cette course épuisante, et s’abattre à la
fin
dans les colonnes des magazines de gauche, pâture des bourgeois snobs
151
otal, à l’homme renouvelé. Nous ne clamons pas la
fin
de la littérature des autres au nom d’une littérature à nous. Nous co
152
nom d’une littérature à nous. Nous constatons la
fin
d’un art au nom de ce qui juge l’art, — et le recrée. Nos griefs ne s
153
ttéraires ; ils sont, ils veulent être humains.
Fin
d’une littérature Je me propose de simplifier. Dans la littérature
154
lle les juge pour eux-mêmes, sans rapport à leurs
fins
. Elle dit : c’est bien écrit, mal composé, intéressant ; elle dose de
155
s vu déjà que le roman bourgeois servait à toutes
fins
capitalistes. Nous risquons de voir, avant peu, cette même littératur
156
naliste. Enseigner, c’est rappeler aux hommes les
fins
de leurs activités. C’est, pour un écrivain, ordonner les moyens de s
157
un écrivain, ordonner les moyens de son art à ces
fins
. Il y faut bien autant de talent qu’en exige notre littérature, et qu
158
istes étaient tenus à rendre un compte public des
fins
extrêmes qu’ils escomptent pour leurs spéculations les plus gratuites
159
donner l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le
fin
du fin, c’était de prendre au mot les pauvres hommes préalablement ab
160
l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le fin du
fin
, c’était de prendre au mot les pauvres hommes préalablement abêtis pa
161
c son rire insupportable, et fallait-il être bien
fin
pour le comprendre ? 15. Je n’ai pas suivi le conseil de cet homme,
162
reconnaître que la psychologie passe à côté de la
fin
qu’elle s’assigne, qui est l’étude du comportement humain. Il n’est d
163
éternité, de cela qui échappe au temps, marque sa
fin
, et le recrée. De ce mystère, je puis seul témoigner dans l’instant o
164
pas un droit humain élevé dans l’absolu, mais la
fin
de tout droit humain, et peut-être son contraire. La formule du rappo
165
r à quel niveau l’on situe le concret ; à quelles
fins
les pouvoirs entendent mener les hommes. Toute la question est de sav
166
ndications est toujours relatif, subordonné à une
fin
transcendante, jugé par elle, — désillusionné ! C’est dans cette situ
167
sionne pour des moyens, et c’est pour oublier les
fins
dernières. Pourtant la seule politique vraie serait celle dont tous l
168
qui ne porte en lui-même la loi et l’image de la
fin
poursuivie. On n’aboutit pas à l’humain en agissant au mépris des hum
169
xplique entièrement par le fait qu’il était, à la
fin
de la guerre, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien
170
e est la contradiction centrale du marxisme : les
fins
qu’il veut atteindre, qui sont la libération de l’individu et la supp
171
oyens du marxisme sont incapables d’engendrer les
fins
désirées, parce qu’ils ne portent pas en eux-mêmes l’image et la préf
172
s en eux-mêmes l’image et la préfiguration de ces
fins
. On ne fait pas de la liberté avec de la nécessité, on ne crée pas de
173
ant la préciser d’urgence, ne fût-ce que pour des
fins
démagogiques, ou, comme le disaient récemment certains socialistes fr
174
n’est pas à l’origine, il n’est pas non plus à la
fin
d’un système, d’une action, d’une croyance. S’il est vrai que l’homme
175
sant de la foi, comme il agit à l’Origine et à la
Fin
. Le marxisme apparaît ainsi comme une vision du monde essentiellement
176
aura le temps de s’en occuper, c’est-à-dire à la
fin
du dernier plan quinquennal. Ce raisonnement flatte le préjugé popula
177
tique s’occupe des moyens, et néglige bientôt les
fins
, ou prend les moyens pour des fins ; la foi ne veut connaître que les
178
ge bientôt les fins, ou prend les moyens pour des
fins
; la foi ne veut connaître que les fins, et risque ainsi de sous-esti
179
pour des fins ; la foi ne veut connaître que les
fins
, et risque ainsi de sous-estimer les moyens. Ou encore : pour le poli
180
, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la
fin
, est cependant inséparable de celles-ci. Il est donc non seulement po
181
communauté doit toujours être subordonnée à cette
fin
la plus haute de l’homme qu’est sa foi, — sa situation personnelle de
182
bête, ni droite ni gauche26. Pessimisme quant aux
fins
terrestres, mais impliquant l’activité de l’homme considérée comme un
183
apitalisme, symbole même de l’action dépourvue de
fins
transcendantes, de l’action optimiste. Corruptio optimi pessima. ⁂ Ma
184
quelque chose de si lamentable, qu’il faille à la
fin
plaider pour le sauver. » Rompre avec le désordre établi, c’est faire