1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 cher et de faire du bruit. Il songea : — C’est la fin pour moi. Puis : — Quelle imprudence ! Avec la lumière et peut-être d
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
2 ints dans le protestantisme. Mais il n’est pas de fin aux œuvres de Dieu. La sainteté parfaite ne commence qu’aux limites l
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 s un progrès mal défini, et l’on court après sans fin . Même ceux qui ont perdu la croyance en un bonheur possible ou désira
4 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 absolue, « scientifique » me paraît aller contre fin . Une attention trop directe et soutenue modifie son objet vivant. Pou
5 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
5 À l’inverse de tant d’autres qui s’analysent sans fin , avant que d’être, Montherlant impose un tempérament lyrique d’une pu
6 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
6 upté de sentir l’esprit se défaire et couler sans fin vers un sommeil à l’odeur fade de fleuve, un sommeil de plante vaguem
7 mmes-qui-font-des-gestes. Les autos répètent sans fin les notes mêlées d’une symphonie qui va peut-être composer tous les b
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
8 ain, quitter le domaine enchanté où des amis très fins , précieux poètes, dissertent sur leurs fantaisies ? Ç’aurait été si d
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
9 user sa petite faiblesse originale : tant qu’à la fin la notion concrète de sincérité s’évanouit en mille définitions tenda
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
10 n incendie, deux visages tordus de passion. Cette fin est admirable, dont la brutalité si longtemps désirée délivre Jacques
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
11 ans issue, pesant comme l’envie d’un sommeil sans fin … J’avais soif, mais la seule vue d’un liquide me soulevait le cœur. L
12 s personnages des affiches, tout en marchant sans fin dans les couloirs implacablement brillants, je me pris à parler à hau
13 n Dieu, il n’y a plus qu’un glissement gris, sans fin … Il faudrait que je dorme : il n’y aurait plus rien. 4. Encore un q
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
14 fleur du fond de la mort. » Or, on découvre à la fin de la pièce que c’est une anagramme un peu ordurière. Ainsi les rêves
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
15 ’époque s’ouvre où l’on attend un miracle pour la fin de la semaine. « Messieurs, disait Dardel, y a pas à tortiller, il fa
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
16 impossibles, des histoires dont on ne sait pas la fin ni le sens véritable, mais seulement qu’elles ont fait souffrir. Rend
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
17 ous le désigner, veut nous l’imposer pour quelles fins assez basses, nous le savons… Mais pour Aragon, ce n’est point façon
15 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
18 les de Charles, moins intensément réalistes, plus fins , mais tout aussi habiles dans l’utilisation du clair-obscur qui simpl
16 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
19 us découvrez dans ses fantoches une malicieuse et fine psychologie. Mais à ce mot, son visage s’assombrit un peu. « Tous nos
17 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
20 atérialiste ? Un seul doute effleure Ford vers la fin de son livre : Le problème de la production a été brillamment résolu
18 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
21 mon temps à faire aboutir la standardization à sa fin logique, ne pourrait-il pas être considéré un jour comme le grand tue
19 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
22 Philippe Godet (avril 1929)t Quand avec un air fin mais un ton convaincu l’on a répété dans une ballade fameuse « Que vo
20 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
23 e chambre, où pénètre la facilité atroce de cette fin d’après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle
21 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
24 Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)bc Ce n’est plus l’heure de venir pren
25 thèse de la Trahison des Clercs 11, thèse dont la Fin de l’Éternel ne fait que reprendre la défense contre ses adversaires
26 moi ne manqueront pas de faire observer que la «  fin de l’éternel », la chute de l’idée dans la matière, est un phénomène
27 M. Benda (janvier 1928). bc. « Julien Benda : La Fin de l’Éternel (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Ge
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
28 tre Ayant épanché un peu de ma rancune, à seule fin de montrer pour quelles raisons j’ai entrepris de combattre l’instruc
29 s moins devenus le but même de l’instruction ; la fin qui justifie les moyens et à quoi l’on subordonne tout, plaisir, goût
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
30 nné ce que cela représente. 10. Voir note A à la fin du cahier. 11. Est-il besoin de déclarer formellement qu’une telle a
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
31 e gens qui ne peuvent pas séparer une méthode des fins auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-là diront que je veux
32 mais sont-ils dans la même mesure conscients des fins qu’on assigne à leur activité ? Un peu de rigueur dans la pensée empê
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
33 tre Ayant épanché un peu de ma rancune, à seule fin de montrer pour quelles raisons j’ai entrepris de combattre l’instruc
34 s moins devenus le but même de l’instruction ; la fin qui justifie les moyens et à quoi l’on subordonne tout, plaisir, goût
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
35 nné ce que cela représente. 10. Voir note A à la fin du livre, p. 65. 11. Est-il besoin de déclarer formellement qu’une t
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
36 e gens qui ne peuvent pas séparer une méthode des fins auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-là diront que je veux
37 mais sont-ils dans la même mesure conscients des fins qu’on assigne à leur activité ? Un peu de rigueur dans la pensée empê
28 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
38 t plutôt ce qu’autrefois l’on nommait joliment un fin lettré. (Vraiment le jeu est trop facile. Allez donc vous mettre en c
29 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
39 juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des
40 t inconnu que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite
41 u que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des fins … Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais
42 ie. Et ce n’est pas que je trouve ce raisonnement fin , encore que juste, mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’
30 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
43 porte est obstruée par un douanier, tant qu’à la fin on me refoule dans mon compartiment. Est-ce encore un rêve ? Je compr
31 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
44 ’une technique spirituelle8 indépendante de toute fin religieuse particulière, antérieure à n’importe quel dogme. Je ne cro
32 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
45 rigines, ne se donnèrent cours par contre qu’à la fin du second. Le Moment et les Attaques contre le christianisme officiel
33 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
46 la jeunesse de notre héros ; mais ce récit prend fin au moment où Kagawa débouche dans la vie publique et politique. Espér
47 s chrétiens ; il pensait aussi que lui-même, à la fin du mois, devrait gagner sa pension et son écolage ; il pensait au sor
48 mêles de ces affaires, tu ne seras toi-même, à la fin , pas bien éloigné du vulgaire. » Mais au même moment une autre voix i
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
49 comparables et une sorte subtile de loyauté à des fins rien moins que grandes. Car l’excès même de ces scrupules les fait to
50 que nous joue la morale lorsque, se prenant pour fin , elle s’érige en dialectique indépendante. Si des sophismes de ce gen
35 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
51 he ; un tour qui ferait penser aux conteurs de la fin du xviiie  ; des sujets dans le goût allemand, tels sont les éléments
52 nificatifs de ces récits (Dieu et le sommeil, Les Fins dernières) l’on assiste à un réveil, explosion de révolte ou de joie,
36 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
53 s. On peut donc poser que le protestantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos contemporains se le représentent, ne pou
54 iènes de l’esprit » dont les ravages ne prendront fin qu’au jour où nous aurons compris que la santé est dans l’humilité de
37 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
55 ement dernier et qui régnait aux Origines, car la Fin et le Commencement « sont en ressemblance et voisinage ». Ce regard r
56 8 — sont expliqués à la lumière des Écritures. La Fin des Temps est proche, il faut en témoigner. À tous il tend la Parole
57 . Vers le soir, il éclate tragiquement. Est-ce la fin  ? Grande heure de terreur et de prière. Puis, « la page du ciel a été
58 erpétuels — sujets d’étonnement perpétuel — et la Fin du Monde est l’un d’eux. Un vrai mythe, c’est-à-dire un événement per
38 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
59 n droit d’affirmer rien de certain » touchant les fins dernières du progrès mécanique ? Il ne s’est même pas posé la questio
39 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
60 it ici taxer de vulgarité, puisqu’il concerne les fins les plus hautes de l’existence terrestre. « Un fait de notre vie ne v
61 il s’agit de faire état des causes premières, des fins dernières, en tant que telles. De là ce rationalisme agressif qu’il o
62 t dans l’instant : Aeternitas non est tempus sine fine , sed nunc stans). Elle veut cette vie-ci. Et tout le reste, qu’elle s
40 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
63 use — et quand bien même il fait intervenir, à la fin , « l’amour d’En-Haut » venant à sa rencontre — Goethe nous apparaît c
41 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
64 fronte les buts et les moyens inséparables de ces fins . Tout cela nous dépasse et se meut sur un plan où la vanité cherchera
65 l’esprit11. Laisse-les donc chercher, jusqu’à la fin de leurs loisirs fiévreux, s’il faut faire quelque chose, et comment
42 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
66 es figures servent en France indifféremment à des fins électorales, journalistiques ou philanthropiques. Il faut avouer que
43 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
67 risquer en faveur des hommes, un acte, un combat. Fin de l’esprit désintéressé, cela signifierait pour les clercs, selon M.
68 signifierait pour les clercs, selon M. Benda, la fin de l’esprit. Et pour nous, cela signifie : le renouveau, le sacrifice
44 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
69 ls primaires, rate. Lire à petites doses. Vers la fin , qui est émouvante, décider que ceux qui n’aimeront pas sont fermés à
45 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
70 des circonstances de notre vie concrète, à seule fin d’en démontrer l’absurdité latente et souvent manifeste ? Ce serait f
71 té entre les formes de la justice actuelle et les fins que lui assigne l’« ordre » bourgeois. Une manifestation comme celle
72 usant de ses pouvoirs dans un style adéquat à ses fins , jugerait de tels cas sommairement sans avocats ni simulacres d’aucun
46 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
73 apitalisme, symbole même de l’action dépourvue de fins transcendantes, de l’action optimiste. Ceux donc qui rendent le calvi
47 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
74 r dans l’espace des sentiments ou des désirs sans fin , et qui n’ont de réalité qu’en un cœur, lorsqu’il aime1 ? Tout devena
48 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
75 petit jour. J’en ai vu deux, chaussés d’escarpins fins courant comme des reflets sur le parquet, venir par une salle vide où
76 s amarres des pelouses, tout le jardin monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bord du péristyle
49 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
77 juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des
78 t inconnu que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite
79 u que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des fins … Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais
80 ie. Et ce n’est pas que je trouve ce raisonnement fin , encore que juste, mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’
81 porte est obstruée par un douanier, tant qu’à la fin on me refoule dans mon compartiment. Est-ce encore un rêve ? Je compr
50 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
82 ette chambre, où pénètre la facilité atroce de la fin d’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… e
51 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
83 e nous. Plus tard, nous nous sommes regardés sans fin . (Ah ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent léger écar
84 nsciente redevient une conquête de la sagesse. Fin juillet 1929 Promenades sous la pluie, à la tombée du jour. L’espr
85 nt à notre âme et la retiennent, la captivent. Fin juillet 1929 Vraiment la rapidité ne saurait être le fait d’un esp
52 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
86 t, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète au ra
53 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
87 on W. de Münchhausen, au bar des Vikings (Paris), fin septembre 1931. » w. « La pluie et le beau temps (Dialogue dans une
54 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
88 r dans l’espace des sentiments ou des désirs sans fins , et qui n’ont de réalité qu’en un cœur, lorsqu’il aime1 ? Tout devena
55 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
89 petit jour. J’en ai vu deux, chaussés d’escarpins fins courant comme des reflets sur le parquet, venir par une salle vide où
90 s amarres des pelouses, tout le jardin monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bord du péristyle
56 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
91 juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des
92 t inconnu que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite
93 u que je chercherai sans doute jusqu’à la fin des fins … Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais
94 ie. Et ce n’est pas que je trouve ce raisonnement fin , encore que juste, mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’
95 porte est obstruée par un douanier, tant qu’à la fin on me refoule dans mon compartiment. Est-ce encore un rêve ? Je compr
57 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
96 t, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète au ra
58 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
97 ette chambre, où pénètre la facilité atroce de la fin d’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… e
59 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
98 e nous. Plus tard, nous nous sommes regardés sans fin . (Ah ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent léger écar
99 consciente redevient une conquête de la sagesse. Fin juillet. Promenades sous la pluie, à la tombée du jour. L’esprit pati
100 nt à notre âme et la retiennent, la captivent. Fin juillet 1929 Vraiment la rapidité ne saurait être le fait d’un esp
60 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
101 interrompit les conversations. Nous entendîmes la fin d’une phrase en italien, puis une fanfare joua l’hymne national. Le s
102 lement un tunnel et des forts ? Le petit nuage Fin mars 1940 — Au mois d’août de l’année dernière, le jour du pacte g
103 is Genève pour l’Amérique. Intermède New York, fin 1942 … mais sachez-le : nous n’étions pas absents de vous plus que
104 pe et la guerre… Mémoire de l’Europe New York, fin 1944 Je ne savais pas que tout était si près, là-bas. J’étais baig
105 oits bleus, médiéval. Et voici qu’une cloche très fine a sonné cinq coups délicats. Puis une autre plus loin, et plusieurs e
61 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
106 mment si bien le représentant qu’il lui faut à la fin se la représenter comme il n’eût jamais fait en y restant. Dans sa ci
62 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
107 l’on s’aperçut que ce beau mouvement d’horlogerie fine retardait sans espoir sur l’heure du siècle, avancée pour le reste de
63 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
108 et mon père, pasteur. Cela fait, au début et à la fin , pas mal de robes et de rabats, soit de justice, soit d’église ; et e
64 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
109 e boire des yeux, de comparer, de contempler sans fin , où l’on a reconnu l’amour, comme il aime à s’y retrouver. Je nage à
110 nage à Baveno dans l’eau tiède et dorée, c’est la fin de l’après-midi, devant la proue de l’Isola Bella, vaisseau de rêve a
65 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
111 s’enliser régulièrement avant d’avoir atteint la fin d’une phrase. Je sais bien que l’influence du suisse allemand y est p
66 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
112 s certains milieux, c’était le commencement de la fin , c’était se préparer à « mal finir ». Est-ce le cinéma qui a changé t
67 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
113 Je crois d’ailleurs avoir indiqué nettement, à la fin de l’enquête, pourquoi cette solidarité nous paraissait encore plus i
68 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
114 nt de donner un remarquable fascicule intitulé la Fin du bourgeois, au sommaire duquel figurent entre autres les noms de Eu
69 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
115 quelque chose de si lamentable, qu’il faille à la fin plaider pour le sauver. » Rompre avec le désordre établi, c’est faire
70 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
116 politesse sur nos intentions et nos buts, à seule fin de « causer un peu ». Qu’on les reconnaisse à ce signe : dès qu’ils c
117 re vie, ayant perdu la clef de l’Origine et de la Fin , qu’il s’agisse de notre existence personnelle ou du cours de l’histo
71 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
118 seul connaît l’homme dans son origine et dans sa fin . L’homme étant « séparé » de Dieu sa source, — et c’est en quoi consi
119 s les plus importantes du monde : l’origine et la fin de son existence terrestre. Dès lors, ceux qui croient détenir le pou
72 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
120 vre, empêche de respirer, et qu’alors, reniant sa fin , elle ne sert plus que d’aliment à un dogmatisme populaire farouche,
73 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
121 tiser chômage. Le chômage, telle est la véritable fin , tel est le véritable nom du Progrès, dans un monde dont le matériali
74 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
122 ur, non plus que sans volupté. Mais le sens et la fin seuls importent, et fondent l’œuvre en dignité. Dignité du temps de l
75 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
123 Dialectique des fins dernières (juillet 1933)d L’honnêteté la plus élémentaire oblige à
124 se suspend-il en dernière analyse ? Vers quelles fins dernières nous conduit le dépassement qu’il permet ? Et le rendement
125 fusait de poser la question de l’Origine et de la Fin , on supposerait par là même que la doctrine de l’acte rend un compte
126 encore une fois, ne concerne que l’origine et la fin , ou, pour employer une expression chère à Karl Barth, se rapporte aux
127 nologie propre à un auteur. d. « Dialectique des fins dernières », Hic et Nunc, Paris, n° 3-4, juillet 1933, p. 95-101.
76 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
128 elles. L’acte libre est à l’origine, non pas à la fin .   VI. — On a dit que l’esprit est hors de pouvoir sur les choses. C’
77 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
129 nctionnait le travail du dehors, mais arrachée en fin de séance par un député obscur, ami du colonial, du fonctionnaire ou
78 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
130 scipline se trouvent ainsi élevés à la dignité de fins en soi, d’absolus, au lieu de n’être considérés que comme des moyens 
79 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
131 lles étaient les questions que se posait, vers la fin de la guerre, dans le presbytère d’un village de la Suisse allemande,
80 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
132 ela signifie qu’elle est le lieu, l’origine et la fin de toute incarnation, de toute création, de tout risque. La personne
81 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
133 xplique entièrement par le fait qu’il était, à la fin de la guerre, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien
82 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
134 ettre en lumière le « scandale de Jésus » à seule fin de nous « enseigner à révérence ». On peut dire dans ce sens que l’ex
83 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
135 is une rudesse puissante sur le front ; des mains fines à la poignée ferme. On ne saurait trop insister sur la portée d’une o
84 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
136 lissement est hors du temps, bien plus, il est la fin du temps. Or, le temps suit son cours, et nous sommes dans l’histoire
85 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
137 quotidienne. Il y eut une école littéraire, à la fin du siècle dernier, pour soutenir que la réalité c’est le terne train-
86 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
138 s’en souvient46, l’amour chrétien n’est que « la fine fleur du ressentiment » que les natures faibles vouent aux valeurs ar
87 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
139 amais personne d’ailleurs n’a pu y parvenir. À la fin du cauchemar, on le tue dans des conditions trop déprimantes pour qu’
88 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
140 comparable aux nombreux groupements catholiques à fins politiques ou sociales15. Si les faits sont pauvres, profitons-en pou
141 tique s’occupe des moyens, et néglige bientôt les fins , ou prend les moyens pour des fins ; la foi ne veut connaître que les
142 ge bientôt les fins, ou prend les moyens pour des fins  ; la foi ne veut connaître que les fins, et en vient à dévaloriser le
143 pour des fins ; la foi ne veut connaître que les fins , et en vient à dévaloriser les moyens. Ou encore : pour le politique
144 , s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin , en est cependant inséparable. Il est donc non seulement possible, ma
145 communauté doit toujours être subordonnée à cette fin la plus haute de l’homme qu’est sa foi, — sa situation personnelle de
146 i bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant aux fins terrestres, mais impliquant l’activité de l’homme considérée comme un
89 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
147 vant Dieu et devant les hommes. Ce ne fut qu’à la fin de sa vie qu’il s’offrit sans masques à la lutte contre l’Église étab
90 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
148 l’origine de sa réalité. Celui-là seul connaît sa fin et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là seul peut juger de ce monde, e
149 t nunc, quand la foule est ubiquité et fuite sans fin dans le passé ou l’avenir. Un seul utile à tous La phrase de Ca
91 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
150 s mener cette course épuisante, et s’abattre à la fin dans les colonnes des magazines de gauche, pâture des bourgeois snobs
151 otal, à l’homme renouvelé. Nous ne clamons pas la fin de la littérature des autres au nom d’une littérature à nous. Nous co
152 nom d’une littérature à nous. Nous constatons la fin d’un art au nom de ce qui juge l’art, — et le recrée. Nos griefs ne s
153 ttéraires ; ils sont, ils veulent être humains. Fin d’une littérature Je me propose de simplifier. Dans la littérature
154 lle les juge pour eux-mêmes, sans rapport à leurs fins . Elle dit : c’est bien écrit, mal composé, intéressant ; elle dose de
155 s vu déjà que le roman bourgeois servait à toutes fins capitalistes. Nous risquons de voir, avant peu, cette même littératur
156 naliste. Enseigner, c’est rappeler aux hommes les fins de leurs activités. C’est, pour un écrivain, ordonner les moyens de s
157 un écrivain, ordonner les moyens de son art à ces fins . Il y faut bien autant de talent qu’en exige notre littérature, et qu
158 istes étaient tenus à rendre un compte public des fins extrêmes qu’ils escomptent pour leurs spéculations les plus gratuites
92 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
159 donner l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le fin du fin, c’était de prendre au mot les pauvres hommes préalablement ab
160 l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le fin du fin , c’était de prendre au mot les pauvres hommes préalablement abêtis pa
161 c son rire insupportable, et fallait-il être bien fin pour le comprendre ? 15. Je n’ai pas suivi le conseil de cet homme,
93 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
162 reconnaître que la psychologie passe à côté de la fin qu’elle s’assigne, qui est l’étude du comportement humain. Il n’est d
163 éternité, de cela qui échappe au temps, marque sa fin , et le recrée. De ce mystère, je puis seul témoigner dans l’instant o
164 pas un droit humain élevé dans l’absolu, mais la fin de tout droit humain, et peut-être son contraire. La formule du rappo
94 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
165 r à quel niveau l’on situe le concret ; à quelles fins les pouvoirs entendent mener les hommes. Toute la question est de sav
95 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
166 ndications est toujours relatif, subordonné à une fin transcendante, jugé par elle, — désillusionné ! C’est dans cette situ
167 sionne pour des moyens, et c’est pour oublier les fins dernières. Pourtant la seule politique vraie serait celle dont tous l
168 qui ne porte en lui-même la loi et l’image de la fin poursuivie. On n’aboutit pas à l’humain en agissant au mépris des hum
96 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
169 xplique entièrement par le fait qu’il était, à la fin de la guerre, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien
97 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
170 e est la contradiction centrale du marxisme : les fins qu’il veut atteindre, qui sont la libération de l’individu et la supp
171 oyens du marxisme sont incapables d’engendrer les fins désirées, parce qu’ils ne portent pas en eux-mêmes l’image et la préf
172 s en eux-mêmes l’image et la préfiguration de ces fins . On ne fait pas de la liberté avec de la nécessité, on ne crée pas de
173 ant la préciser d’urgence, ne fût-ce que pour des fins démagogiques, ou, comme le disaient récemment certains socialistes fr
174 n’est pas à l’origine, il n’est pas non plus à la fin d’un système, d’une action, d’une croyance. S’il est vrai que l’homme
175 sant de la foi, comme il agit à l’Origine et à la Fin . Le marxisme apparaît ainsi comme une vision du monde essentiellement
176 aura le temps de s’en occuper, c’est-à-dire à la fin du dernier plan quinquennal. Ce raisonnement flatte le préjugé popula
98 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
177 tique s’occupe des moyens, et néglige bientôt les fins , ou prend les moyens pour des fins ; la foi ne veut connaître que les
178 ge bientôt les fins, ou prend les moyens pour des fins  ; la foi ne veut connaître que les fins, et risque ainsi de sous-esti
179 pour des fins ; la foi ne veut connaître que les fins , et risque ainsi de sous-estimer les moyens. Ou encore : pour le poli
180 , s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin , est cependant inséparable de celles-ci. Il est donc non seulement po
181 communauté doit toujours être subordonnée à cette fin la plus haute de l’homme qu’est sa foi, — sa situation personnelle de
182 bête, ni droite ni gauche26. Pessimisme quant aux fins terrestres, mais impliquant l’activité de l’homme considérée comme un
99 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
183 apitalisme, symbole même de l’action dépourvue de fins transcendantes, de l’action optimiste. Corruptio optimi pessima. ⁂ Ma
100 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
184 quelque chose de si lamentable, qu’il faille à la fin plaider pour le sauver. » Rompre avec le désordre établi, c’est faire