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cidental, tout ce qui peut servir d’antidote à sa
fièvre
et à sa logique. » On confond Japon et Arabie, Indes et Chine sous un
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e maudire l’Orient ou chercher la guérison de nos
fièvres
. Mais nous aurons entrevu peut-être pour la première fois le rôle de
3
» On sait que Beyle appelait cristallisation une
fièvre
d’imagination qui orne de beautés illusoires l’objet de l’amour. Mais
4
jeunes gens de ce temps ne cultivent point cette
fièvre
. Et comme la morale ne sait plus leur imposer de feindre encore ce qu
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irez. Au contraire, il s’agit de l’envisager sans
fièvre
, pour en circonscrire les effets. J’avoue prendre à cette étude un in
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nous permet donc de considérer la situation sans
fièvre
, sans lamentations d’adieu. On nous a parfois traités de fous (avec
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raison effarée. L’étranger s’animait aussi : une
fièvre
faisait s’épanouir sur son visage je ne sais quel plaisir cruel. C’ét
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jeune Français par ces évocations et l’espèce de
fièvre
qu’il y apporte. Mais plusieurs incidents éveillent les soupçons du «
9
. Un jour, à propos de rien, Stéphane pense avec
fièvre
: « Il faudrait briser tous les miroirs. Alors tu te verrais en vérit
10
mplainte de malade épuisé après un grand accès de
fièvre
… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse, v
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e, seulement, quand l’amour leur donne une petite
fièvre
, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de grande
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chambre où il s’enferma, écrivit dans une grande
fièvre
tout le Stabat Mater, sa plus belle œuvre, sur le thème des pleurs de
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entures des deux explorateurs aux prises avec les
fièvres
de la forêt tropicale, puis avec les sauvages Moïs, donne au personna
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ême ardeur épuisante à vivre contre la mort, même
fièvre
de lucidité qui ne laisse subsister de tous les sentiments qu’une « f
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ite des heures et de la vie : l’existence perd sa
fièvre
au cours des longues heures silencieuses qui s’égrènent une à une dan
16
unesse, commence d’écrire vers ce temps, mais, la
fièvre
tombée, poursuivra durant toute sa vie une « activité littéraire ». C
17
n pas de cette jubilation nostalgique, mais d’une
fièvre
brève qui révélait la trouble densité de l’atmosphère. La rumeur de l
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e ceinturent d’usines, et prennent aussitôt cette
fièvre
caractéristique des organismes humains isolés de la vie végétale. C’e
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mplainte de malade épuisé après un grand accès de
fièvre
… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse,
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e, seulement, quand l’amour leur donne une petite
fièvre
, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de grande
21
i j’écris, je me sens tout baigné encore de cette
fièvre
amoureuse ; et tout est mythe de nouveau. Mythes de l’ombre et des fr
22
enir violemment une espèce de joie qui attrape la
fièvre
dans mon corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il
23
Souabe grise insensiblement, c’est plutôt qu’une
fièvre
une jubilation bonhomique qui commence par le cœur et se contente de
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chambre où il s’enferma, écrivit dans une grande
fièvre
tout le Stabat Mater, sa plus belle œuvre, sur le thème des pleurs de
25
n pas de cette jubilation nostalgique, mais d’une
fièvre
brève qui révélait la trouble densité de l’atmosphère. La rumeur de l
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e ceinturent d’usines, et prennent aussitôt cette
fièvre
caractéristique des organismes humains isolés de la vie végétale. C’e
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mplainte de malade épuisé après un grand accès de
fièvre
… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse, vo
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e, seulement, quand l’amour leur donne une petite
fièvre
, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de grande
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i j’écris, je me sens tout baigné encore de cette
fièvre
amoureuse ; et tout est mythe de nouveau. Mythes de l’ombre et des fr
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enir violemment une espèce de joie qui attrape la
fièvre
dans mon corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il
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Souabe grise insensiblement, c’est plutôt qu’une
fièvre
une jubilation bonhomme qui commence par le cœur et se contente de ra
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rières entre deux pluies, ni d’une femme ni d’une
fièvre
pour agrandir et soudain noyer de suie le regard ni d’une lueur muett
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rme aventure qui « règne » sur le monde comme une
fièvre
, le romanesque éclate, remplit nos vies, ou s’il n’y pénètre pas enco
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e de rénover radicalement. Mal préparées, dans la
fièvre
et le désespoir de situations économiques qui ne permettaient pas d’é
35
L’État fasciste a réussi à faire prendre pour une
fièvre
d’héroïsme le conformisme tremblant des militants. Mais qui ne voit l
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L’État fasciste a réussi à faire prendre pour une
fièvre
d’héroïsme le conformisme tremblant des militants. Mais qui ne voit l
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C’était sortir du drame, pour se perdre dans une
fièvre
nostalgique. Schleiermacher est l’expression géniale de cette hérésie
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a vie morale de la nation. Il devient un foyer de
fièvre
et un facteur d’énervement. Les deux forces antagonistes artificielle
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a bouche ! » J’avais parlé longtemps, et non sans
fièvre
. Je m’arrêtai soudain, plutôt confus de ma véhémence. Les jeunes bart
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ration, et surtout ses erreurs, ses plaisirs, ses
fièvres
, ce qu’elle voudrait réellement si elle pouvait disposer d’elle-même.
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que la jeunesse d’aujourd’hui ne voie plus qu’une
fièvre
morbide. Mais la forme excessivement libre de cet ouvrage le sauve de
42
t passagère, elles se réduisent à des poussées de
fièvre
politique ou idéologique. Mais si ces religions nouvelles ne constitu
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t passagère, elles se réduisent à des poussées de
fièvre
politique ou idéologique. Mais si ces religions nouvelles ne constitu
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t passagère, elles se réduisent à des poussées de
fièvre
politique ou idéologique. Pourtant, à supposer qu’elles ne constituen
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La
fièvre
romanesque (janvier 1937)y Marcel Arland note à propos du roman d’
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nages n’y semblent naître et se nourrir que de la
fièvre
de l’auteur. » N’est-ce pas, en somme, toujours ainsi que les personn
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’en rien laisser paraître. Oui, c’est toujours sa
fièvre
que le romancier moderne nous propose, mais très diversement vêtue, e
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ents. Il entend bien nous la faire attraper cette
fièvre
mais secrètement, à la faveur de mille « observations » dites objecti
49
gnorer qu’on a chauffé le thermomètre…) y. « La
fièvre
romanesque », Esprit, Paris, n° 52, janvier 1937, p. 656.
50
sa main du lit, cela fumait. « Vous avez eu de la
fièvre
! » Elle ne sait pas. Elle ne veut pas de médecin. Sa fille dit : « E
51
entre les derniers jours passés à Paris non sans
fièvre
, et cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue, pauvre et
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ici un an que je dors bien, que je travaille sans
fièvre
et que je flâne sans vague à l’âme. C’est quelque chose. Je ne dis pa
53
et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la
fièvre
. Plus lucide souvent que les jours. Ici, tout repose complètement. Un
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entre les derniers jours passés à Paris non sans
fièvre
et cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue, pauvre et j
55
moderne n’a rien en eux. Ils sont indemnes de nos
fièvres
. Ils ne connaîtront pas nos douloureuses confusions, nos inadaptation
56
ici un an que je dors bien, que je travaille sans
fièvre
et que je flâne sans vague à l’âme. C’est quelque chose. Je ne dis pa
57
main du lit, cela fumait. — « Vous avez eu de la
fièvre
! » — Elle ne sait pas. Elle ne veut pas de médecin. Sa fille dit : «
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pression architecturale et mécanique de l’état de
fièvre
. C’est une divagation souterraine de lueurs et de visages superposés
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et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la
fièvre
. Plus lucide souvent que les jours. Ici, tout repose complètement. Un
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amour, c’est le désir, c’est l’amour sensuel, sa
fièvre
et son bonheur, un « aspect éternel du cœur humain » — si vous voulez
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iblement, impitoyablement. Dans l’obscurité et la
fièvre
, je perçois mille correspondances. Cette Diète de Stans où le message
62
êvée comme un idéal, non point redoutée comme une
fièvre
maligne ; partout où sa fatalité est appelée, invoquée, imaginée comm
63
êvée comme un idéal, non point redoutée comme une
fièvre
maligne ; partout où sa fatalité est appelée, invoquée, imaginée comm
64
nt synonymes. Ainsi, guérissant son ennui par une
fièvre
passagère, « lui pour la deuxième fois, elle pour la quatrième », l’A
65
dent. Tenter de la couper, comme on le fait d’une
fièvre
, serait bien moins la guérir que nous priver de nos chances d’en comp
66
cultive, et veut d’autres fondements qu’une belle
fièvre
. Les voies de cette révolution nous sont encore imprévisibles ; je m’
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êvée comme un idéal, non point redoutée comme une
fièvre
maligne ; partout où sa fatalité est appelée, invoquée, imaginée comm
68
nt synonymes. Ainsi, guérissant son ennui par une
fièvre
passagère, « lui pour la deuxième fois, elle pour la quatrième », l’A
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dent. Tenter de la couper, comme on le fait d’une
fièvre
, serait bien moins la guérir que nous priver de nos chances d’en comp
70
leine cure morale, me dit-il, après quatre ans de
fièvre
. Mais je découvre qu’aujourd’hui, dans la vie politique ou intellectu
71
ses de sa vie : toujours vêtue aux couleurs de sa
fièvre
et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les hommes les plus vivants de c
72
(Je tenais sa main. Je sentis qu’elle avait de la
fièvre
.) Je suis là parce que tu es venu, tout simplement. Nous étions couch
73
une passion naissante, on espère, on provoque sa
fièvre
: ce serait vivre ! (Faut-il qu’on vive peu.) Plus tard on dit : « C’
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(Je tenais sa main. Je sentis qu’elle avait de la
fièvre
.) Je suis là parce que tu es venu, tout simplement. Nous étions couch
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une passion naissante, on espère, on provoque sa
fièvre
: ce serait vivre ! (Faut-il qu’on vive peu.) Plus tard on dit : « C’
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(Je tenais sa main. Je sentis qu’elle avait de la
fièvre
). Je suis là parce que tu es venu, tout simplement. Nous étions couch
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une passion naissante, on espère, on provoque sa
fièvre
: ce serait vivre ! (Faut-il qu’on vive peu.) Plus tard on dit : « C’
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e. (Je tenais sa main. Je sentis qu’elle avait la
fièvre
.) Je suis là parce que tu es venu, tout simplement. Nous étions couch
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eunesse, commence à écrire vers ce temps, mais la
fièvre
tombée, il n’en poursuit pas moins son « activité littéraire ». Ces d
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de paix jamais fait à l’humanité ? ou bien cette
fièvre
de rivaliser dans la dépense en fin d’année, est-elle comme chez les
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en plein essor, contrecoup fatal de la guerre, et
fièvre
spécifique des démocraties physiquement ou moralement déprimées. J’y
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fois que ceux-ci se seront remis de leur crise de
fièvre
électorale. Comment sauver les partis Car il ne s’agit pas de d
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de paix jamais fait à l’humanité ? Ou bien cette
fièvre
de rivaliser dans la dépense, en fin d’année, est-elle comme chez les
84
leine cure morale, me dit-il, après quatre ans de
fièvre
. Mais je découvre qu’aujourd’hui, dans la vie politique ou intellectu
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ses de sa vie : toujours vêtue aux couleurs de sa
fièvre
et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les hommes les plus vivants de
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de Paix jamais fait à l’humanité ? Ou bien cette
fièvre
de rivaliser dans la dépense, en fin d’année, est-elle comme chez les
87
en plein essor, contrecoup fatal de la guerre, et
fièvre
spécifique des grandes démocraties physiquement ou moralement déprimé
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en plein essor, contrecoup fatal de la guerre, et
fièvre
spécifique des grandes démocraties physiquement ou moralement déprimé
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n pas de cette jubilation nostalgique, mais d’une
fièvre
brève qui révélait la trouble densité de l’atmosphère. La rumeur de l
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e ceinturent d’usines, et prennent aussitôt cette
fièvre
caractéristique des organismes humains isolés de la vie végétale. C’e
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mplainte de malade épuisé après un grand accès de
fièvre
… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse, voi
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e, seulement, quand l’amour leur donne une petite
fièvre
, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de grande
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i j’écris, je me sens tout baigné encore de cette
fièvre
amoureuse ; et tout est mythe de nouveau. Mythes de l’ombre et des fr
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enir violemment une espèce de joie qui attrape la
fièvre
dans mon corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il
95
Souabe grise insensiblement, c’est plutôt qu’une
fièvre
une jubilation bonhomique qui commence par le cœur et se contente de
96
entre les derniers jours passés à Paris non sans
fièvre
et cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue, pauvre et j
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moderne n’a rien en eux. Ils sont indemnes de nos
fièvres
. Ils ne connaîtront pas nos douloureuses confusions, nos inadaptation
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et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la
fièvre
. Plus lucide souvent que les jours. Ici, tout repose complètement. Un
99
ici un an que je dors bien, que je travaille sans
fièvre
et que je flâne sans vague à l’âme. C’est quelque chose. Je ne dis pa
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main du lit, cela fumait. — « Vous avez eu de la
fièvre
! » — Elle ne sait pas. Elle ne veut pas de médecin. Sa fille dit : «
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pression architecturale et mécanique de l’état de
fièvre
. C’est une divagation souterraine de lueurs et de visages superposés
102
nq heures du matin et je me couchais tremblant de
fièvre
. Quelques jours plus tard, à peu près guéri d’une angine prise en ple
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leine cure morale, me dit-il, après quatre ans de
fièvre
. Mais je découvre qu’aujourd’hui, dans la vie politique ou intellectu
104
ses de sa vie : toujours vêtue aux couleurs de sa
fièvre
et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les hommes les plus vivants de c
105
de paix jamais fait à l’humanité ? Ou bien cette
fièvre
de rivaliser dans la dépense, en fin d’année, est-elle comme chez les
106
appartiennent au vaste monde dont je rêvais avec
fièvre
, à 12 ans, quand je lisais sur les longs wagons bruns qui s’engouffra
107
celle du moi séparé. Un jour, Stéphane pense avec
fièvre
: « Il faudrait briser tous les miroirs. Alors on se verrait en vérit
108
sa vue nette, il s’éprouve cependant chargé d’une
fièvre
. Ce n’est pas l’impatience de combattre, mais au contraire un besoin
109
’avouer leur maladie, et qu’ils puisent dans leur
fièvre
seule une énergie surexcitée. Santé de la démocratie américaine
110
sociales, les crises, les grèves, les poussées de
fièvre
politique… Mais non, la Suisse s’obstine et, presque seule dans le mo
111
te période de guerres, de corruption générale, de
fièvres
ambitieuses. Il en avait vu de près les effets, comme aumônier dans l
112
Allons plus loin : cette absence d’excitation, de
fièvre
politique, peut très bien signifier que le peuple suisse est satisfai
113
sie tout entière est menacée de « prendre » notre
fièvre
nationaliste. Certains pays en font une crise, encore bénigne, contre
114
oudaine d’un coup de baguette magique. Couper ces
fièvres
aurait un effet dévastant : ne serait-ce pas nous vider d’une affecti
115
appartiennent au vaste monde dont je rêvais avec
fièvre
, à 12 ans, quand je lisais sur les longs wagons bruns qui s’engouffra
116
sie tout entière est menacée de « prendre » notre
fièvre
nationaliste. Certains pays en font une crise, encore bénigne, contre
117
oudaine d’un coup de baguette magique. Couper ces
fièvres
aurait un effet dévastant : ne serait-ce pas nous vider d’une affecti
118
ur, sur une côte aussi sauvage, avec une si forte
fièvre
, dans cet état ; tout espoir d’en réchapper étant mort ; […] d’une vo
119
cher un pacifisme désarmant. Pourtant, un soir de
fièvre
, il a signé la lettre proposant à Roosevelt de fabriquer la bombe. To
120
que dans une trêve de vingt ans pour apaiser les
fièvres
guerrières des souverains d’Europe. Un grand seigneur livonien, J. H.
121
exes personnels. Devant la crise économique et la
fièvre
nationaliste du tiers-monde, devant la crise morale de l’URSS, l’heur
122
r ces lignes : « Devant la crise économique et la
fièvre
nationaliste du tiers-monde, l’heure n’est pas de cracher sur nos val
123
ieurs continents naguère colonisés, qui cause les
fièvres
et les poussées de haine contre l’Europe que subissent depuis quelque
124
exes personnels. Devant la crise économique et la
fièvre
nationaliste du tiers-monde, devant la crise morale de l’URSS, l’heur
125
orité des mariages modernes, en Occident, est une
fièvre
généralement légère, considérée comme infiniment intéressante à subir
126
nd trop souvent pour l’amour même. La romance, la
fièvre
amoureuse, le sentiment que décrivent et qu’exaltent la grande majori
127
. Épouser quelqu’un « pour la vie » à cause d’une
fièvre
de deux mois n’est pas un acte de courage mais de stupidité. Nous fer
128
t-il. À la Lenk, cette nuit-là, j’eus un accès de
fièvre
qui me tint éveillé jusqu’au matin. Les énergies alertées dans mon co
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Allons plus loin : cette absence d’excitation, de
fièvre
politique, de « débats idéologiques », peut très bien signifier que l
130
appartiennent au vaste monde dont je rêvais avec
fièvre
, à 12 ans, quand je lisais sur les longs wagons bruns qui s’engouffra
131
ses de sa vie : toujours vêtue aux couleurs de sa
fièvre
et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les hommes les plus vivants de c
132
affective. La passion retranche du monde comme la
fièvre
; quand la fièvre est retombée, la réalité est là : les problèmes iné
133
ion retranche du monde comme la fièvre ; quand la
fièvre
est retombée, la réalité est là : les problèmes inéluctables que pose
134
marie en état de passion, c’est-à-dire en état de
fièvre
, c’est exactement comme si l’on voulait prendre une décision grave le
135
ée d’éclatement. La Grande-Bretagne envisage sans
fièvre
sa mutation en une fédération d’autonomies administratives, parlement