1 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
1 le, et qu’elle est quelque chose qui doit brûler, flamber , et non pas rapporter du trois pour cent. Sérieuse comme ce qui compt
2 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
2 i senti le premier soir, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur orangée aérienne qu’on
3 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
3 re se mit à luire sous la cendre, et le grand feu flamba soudain toute la pièce. Il dit à sa pierre : — Ô ma pierre, luis dans
4 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
4 premier soir d’octobre, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur orangée aérienne qu’on
5 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
5 le, et qu’elle est quelque chose qui doit brûler, flamber , et non pas rapporter du trois pour cent. Sérieuse comme ce qui compt
6 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 premier soir d’octobre, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur orangée, aérienne qu’o
7 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 des heures, jusqu’à ce que le soleil couchant ait flambé les plumets des roseaux. Je ne pouvais m’en éloigner. C’est un maréca
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
8 le, et qu’elle est quelque chose qui doit brûler, flamber , et non pas rapporter du trois pour cent. Sérieuse comme ce qui compt
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
9 premier soir d’octobre, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel de cette couleur orangée aérienne qu’on
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
10 e de Maïpo, jusqu’à ce que le soleil couchant ait flambé les plumets des roseaux. C’est un marécage infini, coupé de rivières
11 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
11 ions, que la conscience d’une profanation faisait flamber . Nous restent deux tabous sexuels, curieusement respectés par nos mœu
12 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
12 ions, que la conscience d’une profanation faisait flamber . Nous restent deux tabous sexuels, curieusement respectés par nos mœu
13 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
13 le, et qu’elle est quelque chose qui doit brûler, flamber , et non pas rapporter du trois pour cent. Sérieuse comme ce qui compt
14 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
14 ne passion qui ne serait pas fatale, qui pourrait flamber au grand jour et même au jour le jour ? Non, la passion implique la f
15 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
15 ins. Une allusion, un regard, un air, un rien, et flambe la passion. Conventions et signes suffisent. Les jeux de la cour ont
16 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
16 un feu qui couve en secret et qui soudain éclate, flambe et « se déclare ». C’est l’amour qui se prend pour son objet, qui aim