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sorte de violence aussi dans ces bains de silence
forestier
. Qui peut en calculer le bienfait d’énergie ? Les journées, même de v
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sorte de violence aussi dans ces bains de silence
forestier
. Qui peut en calculer le bienfait d’énergie ? Les journées, même de v
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au, qui s’efface : la vieille Allemagne pieuse et
forestière
ressuscite à tous les foyers, et c’est encore la vie de ces foyers qu
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tions encore avec les étudiants, dans une auberge
forestière
. Des tyroliennes, et des chansons de la vieille France, dont ils étai
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ni tour, ni mur, ni fort chastel ». Chez Orri le
forestier
, ils ont plusieurs rendez-vous clandestins. Mais les barons félons ve
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rêt, puis se séparent. — Rendez-vous chez Orri le
forestier
; Tristan s’éloigne. — Tristan revient déguisé en fou ; s’éloigne. —
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s villes. Altinghausen, représentant des cantons
forestiers
. Haimo, curé de Stans. le messager de Fribourg et Soleure. l
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naval de cette année. Les jeunes gens des cantons
forestiers
, ivres de bière mais surtout d’aventures, se forment en cortège burle
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ni tour, ni mur, ni fort chastel. » Chez Orri le
forestier
, ils ont plusieurs rendez-vous clandestins. Mais les barons félons ve
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rêt, puis se séparent. — Rendez-vous chez Orri le
forestier
; Tristan s’éloigne. — Tristan revient déguisé en fou ; s’éloigne. —
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ni tour, ni mur, ni fort chastel ». Chez Orri le
forestier
, ils ont plusieurs rendez-vous clandestins. Mais les barons félons ve
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rêt, puis se séparent. — Rendez-vous chez Orri le
forestier
; Tristan s’éloigne. — Tristan revient déguisé en fou ; s’éloigne. —
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couvrir exactement. Le noyau primitif des cantons
forestiers
s’allie aux villes de Lucerne et Zurich ; puis conquiert avec l’aide
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sorte de violence aussi dans ces bains de silence
forestier
. Qui peut en calculer le bienfait d’énergie ? Les journées, même de v
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au, qui s’efface : la vieille Allemagne pieuse et
forestière
ressuscite à tous les foyers, et c’est encore la vie de ces foyers qu
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tions encore avec les étudiants, dans une auberge
forestière
. Des tyroliennes, et des chansons de la vieille France, dont ils étai
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étaient en somme des corporations ou coopératives
forestières
. Le pacte avait pour but de maintenir les libertés impériales acquise
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étuité » les trois petits peuples ou « communes »
forestières
(Waldstätten) d’Uri, de Schwyz et d’Unterwald. Ce Pacte n’est à aucun
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Gothard. Uri, Schwyz et Unterwald, les « communes
forestières
» qui occupaient les approches de ce col, avaient tout à redouter d’u
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d, le fait social de l’existence des coopératives
forestières
, le fait économique des échanges nécessaires entre le Nord et le Sud,
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des bailliages. À la première ligue des « Cantons
forestiers
» renforcée par les villes, s’adjoignirent au cours des xive et xve
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uisse avec les Markgenossenschaften (corporations
forestières
; traduit-on « à droite », coopératives dit-on « à gauche ») puis ave
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gner. Jivago s’adresse à Lara, dans leur retraite
forestière
: … Disons adieu à nos espoirs, disons-nous adieu l’un à l’autre. No
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s des Waldstätten, déjà organisés en coopératives
forestières
, l’immédiateté impériale ; et cela dès 1231, c’est-à-dire peu d’année
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ir avec plus d’efficace », les trois coopératives
forestières
prirent l’engagement de « s’assister mutuellement de toutes leurs for
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gner. Jivago s’adresse à Lara, dans leur retraite
forestière
: … Disons adieu à nos espoirs, disons-nous adieu l’un à l’autre. No
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bien concerté : la Suisse est née de coopératives
forestières
exploitant le passage du Gothard, « Un pour tous, tous pour un », c’e
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au surplus resserrer son emprise sur les communes
forestières
qui commandent les cols des Alpes, il serait enfin le maître et l’uni
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en signifie à peu près : coopératives ou communes
forestières
, associations des gens d’une vallée possédant la terre en indivision.
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On sait aujourd’hui que les chefs des communautés
forestières
recouraient aux services de greffiers et notaires qui venaient d’Ital
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: ils sont nés de la lente agrégation de communes
forestières
et urbaines, et leurs frontières très compliquées traduisent une croi
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tre le pacte en latin conclu par trois « communes
forestières
» commandant les approches du Gothard. La Suisse n’est nullement née
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t depuis 1947 et qui fut autrefois celle du garde
forestier
de l’auteur de Candide. Mêlé au mouvement personnaliste dès sa fondat
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isse est née de la fédération de trois « communes
forestières
» ou Waldstätten, vallées d’Uri, de Schwyz et de Nidwald, commandant
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it les deux moitiés du Saint-Empire. Les communes
forestières
furent déclarées « immédiates à l’Empire », c’est-à-dire libérées du
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u pacte secret de 1273, unissant trois « communes
forestières
» ou Waldstätten, sises autour du col du Gothard, à seule fin de sauv
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t née de la fédération tout empirique de communes
forestières
, de villes d’empire et de cités-États (comme Berne, Bâle, Zurich, Gen
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fait la Suisse à partir des communes médiévales,
forestières
, agricoles ou urbaines. Le fédéralisme n’est rien d’autre, en effet,
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, entourées de prairies humanisées, puis de zones
forestières
plus ou moins sauvages, se verrait simplement inversée : les points s
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ure d’Unterwald ». C’étaient les trois « communes
forestières
» qui occupaient les approches par le nord du col du Gothard. Celui-c
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urs voisins. C’est ainsi que les trois « communes
forestières
» (Waldstätten en allemand) d’Uri, Schwyz et Nidwald, qui commandent
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en dix ans les deux tiers des emplois d’ouvriers
forestiers
; — en France seule, dans les Postes, 150 000 emplois sont mis en cau
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te conclu au xiiie siècle entre trois « communes
forestières
» (ou coopératives), chacune voulant rester libre de s’autogérer malg