1 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
1 y eut aussi une assemblée délibérative en pleine forêt , où Henriod debout sur un tronc coupé n’eut pas trop de toute sa soup
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
2 ncus, les tours de carrousel, les chemins dans la forêt en automne, des jeux, des feuillages, des rêveries, des recoins, une
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
3 ncus, les tours de carrousel, les chemins dans la forêt en automne, des jeux, des feuillages, des rêveries, des recoins, une
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
4 ux explorateurs aux prises avec les fièvres de la forêt tropicale, puis avec les sauvages Moïs, donne au personnage un relief
5 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
5 ignes où des renards sortirent à la lisière de la forêt , des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma mère me
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 lée où le train longtemps côtoya une rivière, des forêts . Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample
7 ns, puis de nouveau m’enfonçant au hasard dans la forêt . Vers le soir, j’étais bien perdu. La lumière montait vers la cime de
8 ntait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de clarté devant
9 Mythes de l’ombre et des frontières, sortis de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de présences ob
10 r, au moment de me quitter après une promenade en forêt , elle a rapidement noué son collier à mon poignet : « pour que je rêv
11 , de Gérard de Nerval, de victoria égarée dans la forêt , de chasseur à la redingote verte, de jeunes filles qui jouent du vio
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
12 e odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt , et le moteur halète au ralenti, dans la fraîcheur sobre. L’on s’évei
13 rands cerfs de bronze. La piste se fait plane, la forêt s’ordonne. Échappée sur des étangs couverts de mousse jaune. (Tout à
14 nneuse — et parfois hors des pistes, à travers la forêt  —, nous gagnons la maison de l’inspecteur. On la distingue de loin, s
15 lus loin vers la Russie, dans un pays de lacs, de forêts maigres et de pâturages, à perte de vue. Nous sommes pour trois jours
16 en j’aimais ces randonnées interminables dans les forêts de chasse : on allait deux à deux, l’arme en ballant, durant des heur
17 ne et animale du silence. Le long de la crête des forêts , une rougissante lueur avance de l’Occident vers l’Orient. 19. Bra
8 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
18 tite fille, j’aimais me promener à la lisière des forêts , les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de sales limaces
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
19 nes » où des renards sortirent à la lisière de la forêt , des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma mère me
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
20 e odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt , et le moteur halète au ralenti, dans la fraîcheur sobre. L’on s’évei
21 rands cerfs de bronze. La piste se fait plane, la forêt s’ordonne. Échappée sur des étangs couverts de mousse jaune. (Tout à
22 nneuse — et parfois hors des pistes, à travers la forêt  —, nous gagnons la maison de l’inspecteur. On la distingue de loin, s
23 lus loin vers la Russie, dans un pays de lacs, de forêts maigres et de pâturages à perte de vue. Nous sommes pour trois jours
24 bien j’aime ces randonnées interminables dans les forêts de chasse, l’arme en ballant, durant des heures sans dire un mot, — c
25 ne et animale du silence. Le long de la crête des forêts , une rougissante lueur avance de l’Occident vers l’Orient. 1927c. En
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
26 lée où le train longtemps côtoya une rivière, des forêts . Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample
27 ns, puis de nouveau m’enfonçant au hasard dans la forêt . Vers le soir, j’étais bien perdu. La lumière montait vers la cime de
28 ntait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de clarté devant
29 Mythes de l’ombre et des frontières, sortis de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de présences ob
30 r, au moment de me quitter après une promenade en forêt , elle a rapidement noué son collier à mon poignet : « pour que je rêv
31 ois j’ai su qui m’attendait à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être réservé, ou quel
32 , de Gérard de Nerval, de victoria égarée dans la forêt , de chasseur à la redingote verte, de jeunes filles qui jouent du vio
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
33 un ouragan de neige horizontale sur le désert des forêts canadiennes aux lacs gelés. Nous dûmes passer toute la nuit dans les
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
34 cette famille éteinte ? Du fond des âges et de la forêt normande, il m’en revient un nom de Table ronde : Lucrèce d’Aubray, D
35 ui de se sentir chez soi dans leurs légendes. Les forêts enchantées où chevauchait Lancelot, sous les ciels méditants de l’Oue
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
36 ces agréments et ces vertus. Qui nous parlera des forêts  ? Pour ma part, j’ai trop peu vécu sous les sapins, dans les vallées
15 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
37 oté à une falaise de la Touraine, surmontée d’une forêt et percée de cavernes de troglodytes, dont plusieurs sont des caves,
16 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
38 re rôle que la nature, les ours et les trolls des forêts , dans les exploits des Cavaliers. Ce n’est pas du réalisme socialiste
17 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
39 j’y ferais des arbres qui se rencontrent dans vos forêts ou les animaux qui y paissent » (Lettre à Guez de Balzac, 13 mai 1631
18 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
40 ait sur les quais déserts du port, ou gagnait les forêts qui avoisinent la capitale. Puis il se remettait à écrire. Vers midi,
19 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
41 re souffrir. Lorsque Tristan emmène Iseut dans la forêt , où plus rien ne s’oppose à leur union, le génie de la passion dépose
20 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
42 in du retour, tandis que le jour baissait dans la forêt . — Quelle impression ? Ah ! si je pouvais garder celle de ce soir, et
21 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
43 orter au bout de trois ans de vie commune dans la forêt et qui, Tristan ayant épousé Iseut aux blanches mains, l’autre Iseut,
22 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
44 Il délivre Iseut, et avec elle s’enfonce dans la forêt de Morois. Trois ans durant, ils y mènent une vie « aspre et dure ».
45 ts se séparent, au terme des trois années dans la forêt , parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan épouse Iseut aux blanc
46 urquoi l’épée de chasteté entre les corps dans la forêt  ? Les amants ont déjà péché ; ils refusent de se repentir, à ce momen
47 ventures, alors qu’ils ont un rendez-vous dans la forêt  ? Pourquoi la reine coupable propose-t-elle un « jugement de Dieu » ?
48 u’une seule trace. C’est quand ils vivent dans la forêt de Morois, après l’évasion de Tristan. Aspre vie meinent et dure : T
49 rs, attentivement, le récit des trois ans dans la forêt . Ses deux scènes les plus belles, qui sont peut-être aussi les plus p
50 npli furent li troi an. Tristan chassait dans la forêt . Soudain, il se souvient du monde. Il revoit la cour du roi Marc. Il
51 — Ils se retrouvent et passent trois ans dans la forêt , puis se séparent. — Rendez-vous chez Orri le forestier ; Tristan s’é
23 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
52 norance de l’auteur. Lancelot errant par la haute forêt parvient à un carrefour. Il hésite entre le chemin de gauche et celui
53 id et Grainne, les deux amants se sauvent dans la forêt où le mari les poursuit. Dans Bailé et Aillinn, ils se donnent rendez
24 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
54 s par exemple le récit de l’« aspre vie » dans la forêt de Morois. « Nous avons perdu le monde, et le monde nous », gémit Ise
55 s’agit bien d’une endura. Cette retraite dans la forêt , c’est une de ces périodes de jeûne et de macération dont nous connai
25 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
56 ave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts , enchantements terribles et dont le sens dépasse le son. « Where mor
57 des amants au terme des trois ans passés dans la forêt . Tristan avait le recours de rendre Iseut à son mari. Alidor est cont
26 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
58 re souffrir. Lorsque Tristan emmène Iseut dans la forêt , où plus rien ne s’oppose à leur union, le génie de la passion dépose
27 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
59 te où se réfugient les amants (correspondant à la forêt de Morois chez Béroul) est décrite en détail, et chaque détail compor
28 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
60 s ! Nous avons encore ramassé des fraises dans la forêt , en rentrant. Ce sera pour le souper. Marguerite. —  Nous, on a fi
29 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
61 . Chanter nous donne du courage, la nuit, dans la forêt horrible et noire ! Nicolas. —  Pauvres gens ! Il y a donc la guer
30 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
62 u jeu, avec ses décors partout suspendus, pans de forêts , portants de rochers, grandiose toile de fond des Alpes ? Serait-ce p
31 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
63 Il délivre Iseut, et avec elle s’enfonce dans la forêt de Morois. Trois ans durant, ils y mènent une vie « aspre et dure ».
64 ts se séparent, au terme des trois années dans la forêt , parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan épouse Iseut aux blanc
65 urquoi l’épée de chasteté entre les corps dans la forêt  ? Les amants ont déjà péché ; ils refusent de se repentir, à ce momen
66 ventures, alors qu’ils ont un rendez-vous dans la forêt  ? Pourquoi la reine coupable propose-t-elle un « jugement de Dieu » ?
67 u’une seule trace. C’est quand ils vivent dans la forêt de Morois, après l’évasion de Tristan. Aspre vie meinent et dure : T
68 rs, attentivement, le récit des trois ans dans la forêt . Ses deux scènes les plus belles, qui sont peut-être aussi les plus p
69 npli furent li troi an. Tristan chassait dans la forêt . Soudain, il se souvient du monde. Il revoit la cour du roi Marc. Il
70 — Ils se retrouvent et passent trois ans dans la forêt , puis se séparent. — Rendez-vous chez Orri le forestier ; Tristan s’é
32 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
71 norance de l’auteur. Lancelot errant par la haute forêt parvient à un carrefour. Il hésite entre le chemin de gauche et celui
72 id et Grainne, les deux amants se sauvent dans la forêt où le mari les poursuit. Dans Bailé et Aillinn, ils se donnent rendez
73 du Jugement par le fer rouge ; b) il remplace la forêt du Morois par une « Grotte d’Amour », la Minnegrotte, qui lui permet
33 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
74 s par exemple le récit de l’« aspre vie » dans la forêt de Morois. « Nous avons perdu le monde, et le monde nous », gémit Ise
75 s’agit bien d’une endura. Cette retraite dans la forêt , c’est une de ces périodes de jeûne et de macération dont nous connai
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
76 ave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts , enchantements terribles et dont le sens dépasse le son. « Where mor
77 des amants au terme des trois ans passés dans la forêt . Tristan avait le recours de rendre Iseut à son mari. Alidor est cont
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
78 re souffrir. Lorsque Tristan emmène Iseut dans la forêt , où plus rien ne s’oppose à leur union, le génie de la passion dépose
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
79 Il délivre Iseut, et avec elle s’enfonce dans la forêt de Morois. Trois ans durant, ils y mènent une vie « aspre et dure ».
80 ts se séparent, au terme des trois années dans la forêt , parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan épouse Iseut aux blanc
81 urquoi l’épée de chasteté entre les corps dans la forêt  ? Les amants ont déjà péché ; ils refusent de se repentir, à ce momen
82 ventures, alors qu’ils ont un rendez-vous dans la forêt  ? Pourquoi la reine coupable propose-t-elle un « jugement de Dieu » ?
83 u’une seule trace. C’est quand ils vivent dans la forêt de Morois, après l’évasion de Tristan. Aspre vie meinent et dure : T
84 rs, attentivement, le récit des trois ans dans la forêt . Ses deux scènes les plus belles, qui sont peut-être aussi les plus p
85 npli furent li troi an. Tristan chassait dans la forêt . Soudain, il se souvient du monde. Il revoit la cour du roi Marc. Il
86 — Ils se retrouvent et passent trois ans dans la forêt , puis se séparent. — Rendez-vous chez Orri le forestier ; Tristan s’é
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
87 norance de l’auteur. Lancelot errant par la haute forêt parvient à un carrefour. Il hésite entre le chemin de gauche et celui
88 id et Grainne, les deux amants se sauvent dans la forêt où le mari les poursuit. Dans Bailé et Aillin, ils se donnent rendez-
89 du Jugement par le fer rouge ; b) il remplace la forêt du Morois par une « Grotte d’Amour », la Minnegrotte, qui lui permet
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
90 s par exemple le récit de l’« aspre vie » dans la forêt de Morois. « Nous avons perdu le monde, et le monde nous », gémit Ise
91 s’agit bien d’une endura. Cette retraite dans la forêt , c’est une de ces périodes de jeûne et de macération dont nous connai
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
92 ave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts , enchantements terribles et dont le sens dépasse le son. « Where mor
93 des amants au terme des trois ans passés dans la forêt . Tristan avait le recours de rendre Iseut à son mari. Alidor est cont
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
94 re souffrir. Lorsque Tristan emmène Iseut dans la forêt , où plus rien ne s’oppose à leur union, le génie de la passion dépose
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
95 te où se réfugient les amants (correspondant à la forêt de Morois chez Béroul) est décrite en détail, et chaque détail compor
42 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
96 armée qui guette et qui travaille encore dans les forêts , dans les ravins et dans les champs neigeux ; et derrière l’armée, un
43 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
97 armée qui guette et qui travaille encore dans les forêts , dans les ravins et dans les champs neigeux ; et derrière l’armée, un
44 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
98 évitant les villages et en passant à travers les forêts ou les pâturages. Mais les routes sont minées. Les fleuves, les vallé
45 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
99 oir, et de la pire, quand il « adore Dieu dans la forêt mieux qu’à l’église », quand il prétend se « confier dans sa raison »
46 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
100 oir, et de la pire, quand il « adore Dieu dans la forêt mieux qu’à l’Église », quand il prétend se « confier dans sa raison »
47 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
101 ait sur les quais déserts du port, ou gagnait les forêts qui avoisinent la capitale. Puis il se remettait à écrire. Vers midi,
48 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
102 on n’oublie pas l’esprit qui règne encore sur les forêts et sur les lacs innombrables du continent, l’esprit subtil et ombrage
49 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
103 Déjà les biches et les daims sont amenés dans la forêt de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs p
50 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
104 ine au-delà de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un vert sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se p
51 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
105 Déjà les biches et les daims sont amenés dans les forêts de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs p
52 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
106 passera rien, avant longtemps, dans ces champs et forêts où nous marchons sans suivre les chemins. (À ce petit signe nous sent
53 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
107 on, des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, des avions pa
108 ar deux détonations qui semblaient provenir de la forêt . Me suis levé pensant que c’était commencé. D’une fenêtre donnant au
54 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
109 ine au-delà de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un vert sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se p
55 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
110 ine campagne, et l’on cesse de sentir l’Amérique. Forêts et plaines ondulées, quelques villages en bordure de la route avec le
111 ontre une plante à trois feuilles qui infeste les forêts de l’Est et que l’on nomme poison ivy. Son contact, ou parfois sa seu
112 ts lacs secrets de New Hampshire, perdus dans les forêts de bouleaux ; à Concord où j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux
113 tral-Park. J’étais devant le Zoo. Au-dessus d’une forêt de tous les continents, vert électrique sur un ciel noir, se dressaie
56 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
114 gunes sinueuses qui s’avancent dans un paysage de forêts et d’îles tropicales. « Je voulais une cabane et c’est le Palais de V
57 1946, Journal des deux mondes. Virginie
115 -on. Mais ce ne sont d’abord que plaines neutres, forêts de chênes et de sapins. Puis lentement ce paysage intermédiaire se co
58 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
116 on n’oublie pas l’esprit qui règne encore sur les forêts et sur les lacs innombrables du continent, l’esprit subtil et ombrage
117 Déjà les biches et les daims sont amenés dans les forêts de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs p
59 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
118 n ouragan de neige horizontale, sur le désert des forêts canadiennes aux lacs gelés. Nous dûmes passer toute une nuit dans les
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
119 ignes où des renards sortirent à la lisière de la forêt , des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma mère me
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
120 e odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt , et le moteur halète au ralenti, dans la fraîcheur sobre. L’on s’évei
121 rands cerfs de bronze. La piste se fait plane, la forêt s’ordonne. Échappée sur des étangs couverts de mousse jaune. (Tout à
122 nneuse — et parfois hors des pistes, à travers la forêt  —, nous gagnons la maison de l’inspecteur. On la distingue de loin, s
123 lus loin vers la Russie, dans un pays de lacs, de forêts maigres et de pâturages, à perte de vue. Nous sommes, pour trois jour
124 bien j’aime ces randonnées interminables dans les forêts de chasse, l’arme en ballant, durant des heures sans dire un mot, — c
125 ne et animale du silence. Le long de la crête des forêts , une rougissante lueur se déplace de l’Occident vers l’Orient. 1926.
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
126 lée où le train longtemps côtoya une rivière, des forêts . Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample
127 ns, puis de nouveau m’enfonçant au hasard dans la forêt . Vers le soir, j’étais bien perdu. La lumière montait vers la cime de
128 ntait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de clarté devant
129 Mythes de l’ombre et des frontières, sortis de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de présences ob
130 r, au moment de me quitter après une promenade en forêt , elle a rapidement noué son collier à mon poignet : « pour que je rêv
131 ois j’ai su qui m’attendait à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être réservé, ou quel
132 , de Gérard de Nerval, de victoria égarée dans la forêt , de chasseurs à la redingote verte, de jeunes filles qui jouent du vi
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
133 , seul et séparé, mes promenades aux lisières des forêts souabes, — les voies que j’avais suivies sans savoir où j’allais ne m
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
134 j’y ferais des arbres qui se rencontrent dans vos forêts ou les animaux qui y paissent » (Lettre à Guez de Balzac, 13 mai 1631
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
135 in du retour, tandis que le jour baissait dans la forêt . — Quelle impression ? Ah ! si je pouvais garder celle de ce soir, et
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
136 passera rien, avant longtemps, dans ces champs et forêts où nous marchons sans suivre les chemins. (À ce petit signe nous sent
137 on, des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, des avions pa
138 ar deux détonations qui semblaient provenir de la forêt . Me suis levé pensant que c’était commencé. D’une fenêtre donnant au
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
139 ine au-delà de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un vert sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se p
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
140 tir l’Amérique telle qu’on l’imaginait, du moins. Forêts et plaines ondulées, quelques villages en bordure de la route avec le
141 ontre une plante à trois feuilles qui infeste les forêts de l’Est et que l’on nomme poison ivy. Son contact, ou parfois sa seu
142 ts lacs secrets du New Hampshire, perdus dans les forêts de bouleaux ; à Concord où j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux
143 tral Park. J’étais devant le Zoo. Au-dessus d’une forêt de tous les continents, vert électrique sur un ciel noir, se dressaie
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
144 mme des chênes d’Europe, dômes de parfums, et des forêts où quand je claque des mains des vols de perroquets s’enlèvent en cri
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
145 gunes sinueuses qui s’avancent dans un paysage de forêts et d’îles tropicales. — Je voulais une cabane et c’est le Palais de V
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
146 -on. Mais ce ne sont d’abord que plaines neutres, forêts de chênes et de sapins. Puis lentement ce paysage intermédiaire se co
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
147 on n’oublie pas l’esprit qui règne encore sur les forêts et sur les lacs innombrables du continent, l’esprit subtil et ombrage
148 pas grande de l’extérieur, quand on arrive par la forêt en pente, a dix-huit chambres et s’ouvre vers le lac par une galerie
149 Déjà les biches et les daims sont amenés dans les forêts de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs p
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
150 un ouragan de neige horizontale sur le désert des forêts canadiennes aux lacs gelés. Nous dûmes passer toute une nuit dans les
74 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
151 ts lacs secrets de New Hampshire, perdus dans les forêts de bouleaux ; à Concord où j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux
152 gunes sinueuses qui s’avancent dans un paysage de forêts et d’îles tropicales. « Je voulais une cabane et c’est le Palais de V
75 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
153 tite fille, j’aimais me promener à la lisière des forêts , les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de limaces et de
76 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
154 terre, le lendemain matin, je me sens propre ! La forêt , le fouillis, les feuilles, c’est comme les femmes… C’est ma faibless
77 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
155 iques. Le Feu n’était que l’invité qui détruisait forêts , gens et maisons, étant admis… » Nous regardions le feu dans la chemi
78 1948, Suite neuchâteloise. V
156 cette famille éteinte ? Du fond des âges et de la forêt normande, il m’en revient un nom de Table ronde : Lucrèce d’Aubray, D
157 ui de se sentir chez soi dans leurs légendes. Les forêts enchantées où chevauchait Lancelot, sous les ciels méditants de l’Oue
79 1948, Suite neuchâteloise. VIII
158 ces agréments et ces vertus. Qui nous parlera des forêts  ? Pour ma part, j’ai trop peu vécu sous les sapins, dans les vallées
80 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
159 ux nous cachent l’Histoire comme l’arbre cache la forêt . Un seul exemple : pendant que les Français s’intéressent ou non aux
81 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
160 à la répartition des revenus des biens communaux ( forêts , pâturages, vignes, caves, troupeaux). En cas d’indigence, ils sont s
82 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
161 s de juillet de cette année-là était torride. Les forêts brûlaient ; on sentait jusque dans les grandes villes l’odeur fade et
83 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
162 ctuels, la nation cache l’Europe comme l’arbre la forêt . Je dirai plus : l’Européen demeuré nationaliste au fond de son cœur,
163 tinerait à mettre en doute l’existence même de la forêt . (Sait-on bien où elle s’arrête ? Sait-on quand elle est née ? Et com
164 née ? Et combien d’arbres il faut pour former une forêt  ? J’ai mes racines, voilà qui est vrai, le reste est mythe…) N’est-i
84 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
165 dines sur les plages, dans les neiges et dans les forêts . Qu’il y ait là quelque excès, j’en conviens, mais c’est la Nature, e
85 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
166 i l’épisode des amants légendaires bannis dans la forêt du Morois : le philtre ayant cessé d’agir après trois ans, ils découv
167 symbolise le Pouvoir régnant, — la fuite dans la forêt , le second mariage, la dernière réunion des amants dans la mort… Il n
168 le d’un poète. « Depuis son enfance, il aimait la forêt lorsque le soir elle est transpercée par le feu du couchant », et les
169 leil rouge sortant au bas des nuages et rasant la forêt de ses derniers rayons. C’est cette image qui lui fait voir « dans la
86 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
170 spectateurs hurlent le verdict de mort devant une forêt de micros. Autour de la clairière où se tiennent les prisonniers, ave
87 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
171 fonte transforma le continent en marécage puis en forêt vierge. Ainsi fut anéantie, vers l’an 8000 av. J.-C., la civilisation
172 notre continent et pénétrer profondément dans sa forêt centrale, au-delà des régions côtières et des immenses oliveraies qui
173 a Seine et à la Loire. Ils avancent en brûlant la forêt , cultivant les terres enrichies par la cendre, les abandonnent bientô
174 les abandonnent bientôt, brûlent d’autres pans de forêts , avancent lentement. Un autre courant de colons venus par mer des riv
88 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
175 us deux allèrent sur le continent, et le haut des forêts s’agitait sous leurs pieds. Strabon, Grec du Pont, écrivant sous le
176 Cette région, que la nature n’avait ornée que de forêts immenses, s’est peuplée de nations puissantes, s’est couverte de cité
89 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
177 coutumes et les mêmes conceptions primitives des forêts de Germanie, ils furent aussi liés les uns aux autres, depuis leur ex
90 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
178 oir désiré l’amour de l’Ange que les amants de la forêt du Morois en viennent à découvrir que c’est leur passion même qui exi
91 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
179 carrefour fabuleux (I) (avril 1961)ax Dans la forêt de Gribskov, il est un lieu nommé « le Coin des Huit Chemins ». Seul
180 r celui qui chevauche à l’aventure au profond des forêts de l’âme occidentale. Arrêtons-nous ici pour méditer. Et nous suivron
92 1961, Arts, articles (1952-1965). Les quatre amours (9 mai 1961)
181 ien plus, qu’au détour d’un sentier suivi dans la forêt d’avril nous attende une révélation du bonheur pur : qu’il ait suffi
182 s ; mais aussi à ce coin de sentier perdu dans la forêt d’avril, petit monde complexe et fortuit, terre et pierres, herbe hum
93 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Pour une mythanalyse de la culture
183 nous sommes engagés, et de nous orienter dans la forêt obscure de nos phantasmes, vers l’issue de lumière et notre vrai Dési
94 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
184 i l’épisode des amants légendaires bannis dans la forêt du Morois : le philtre ayant cessé d’agir après trois ans, ils découv
185 symbolise le Pouvoir régnant, — la fuite dans la forêt , le second mariage, la dernière réunion des amants dans la mort… Il n
186 le d’un poète. « Depuis son enfance, il aimait la forêt lorsque le soir elle est transpercée par le feu du couchant », et les
187 leil rouge sortant au bas des nuages et rasant la forêt de ses derniers rayons. C’est cette image qui lui fait voir « dans la
95 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
188 hes I Méditation au carrefour fabuleux Dans la forêt de Gribskov, il est un lieu nommé « le Coin des Huit-Chemins ». Seul
189 r celui qui chevauche à l’aventure au profond des forêts de l’âme occidentale. Arrêtons-nous ici pour méditer. Et nous suivron
96 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
190 oir désiré l’amour de l’Ange que les amants de la forêt du Morois en viennent à découvrir que c’est leur passion même qui exi
97 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
191 ien plus, qu’au détour d’un sentier suivi dans la forêt d’avril nous attende une révélation du bonheur pur ; qu’il ait suffi
192 s ; mais aussi à ce coin de sentier perdu dans la forêt d’avril, petit monde complexe et fortuit, terre et pierres, herbe hum
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
193 fonte transforma le continent en marécage puis en forêt vierge. Ainsi fut anéantie, vers l’an 8000 av. J.-C., la civilisation
194 notre continent et pénétrer profondément dans sa forêt centrale, au-delà des régions côtières et des immenses oliveraies qui
195 a Seine et à la Loire. Ils avancent en brûlant la forêt , cultivent les terres enrichies par la cendre, les abandonnent bientô
196 les abandonnent bientôt, brûlent d’autres pans de forêts , avancent lentement. Un autre courant de colons venus par mer des riv
197 us deux allèrent sur le continent, et le haut des forêts s’agitait sous leurs pieds. Strabon, Grec du Pont, écrivant sous le
198 Cette région, que la nature n’avait ornée que de forêts immenses, s’est peuplée de nations puissantes, s’est couverte de cité
99 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
199 rtèrent eux-mêmes la lumière dans leurs anciennes forêts , et jusqu’aux extrémités du Nord. Elle seule a transmis dans nos main
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
200 coutumes et les mêmes conceptions primitives des forêts de Germanie, ils furent aussi liés les uns aux autres, depuis leur ex