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à moins. — « Je ne puis pas parler de lui, ici à
Francfort
, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les
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a souvent rappelé l’amitié du jeune bourgeois de
Francfort
et de la sage et très fervente Mlle de Klettenberg. Mais bien plus qu
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nt d’utilité. En ce jour de février 1932, dans ce
Francfort
en proie au Carnaval et à l’angoisse, ce n’est pas moi qui pose la qu
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à moins. — « Je ne puis pas parler de lui, ici à
Francfort
, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les
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à moins. — « Je ne puis pas parler de lui, ici à
Francfort
, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les
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de féliciter la Chambre des communes. (Gazette de
Francfort
, du 31 juillet). On dirait une « histoire idiote ». Tout y est faux.
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ra que la foi. La vraie lutte commence là. q. «
Francfort
, 16 mars 1936 », Esprit, Paris, n° 43, avril 1936, p. 17-19.
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prime tout, à leur estime… Février 1936 À
Francfort
pour le Carnaval. — En 1932, à cette époque, j’écrivais à la fin d’un
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nt d’utilité. En ce jour de février 1932, dans ce
Francfort
en proie au Carnaval et à l’angoisse, ce n’est pas moi qui pose la qu
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qu’après 5 ans de travail sur les troubadours, à
Francfort
, il avait tenu à faire deux semestres à Toulouse. Il y arrive tout ex
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a souvent rappelé l’amitié du jeune bourgeois de
Francfort
et de la sage et très fervente Mlle de Klettenberg. Mais bien plus qu
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nt d’utilité. En ce jour de février 1932, dans ce
Francfort
en proie au Carnaval et à l’angoisse, ce n’est pas moi qui pose la qu
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il souffrit à 18 ans fut guérie par un médecin de
Francfort
qui se vantait de connaître les remèdes des alchimistes. Tel est peut
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vie, ce qui est le même symbole ; 4. Le tarot de
Francfort
, qui est entièrement défiguré, mais qui peut également servir en tena
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house ne se trouve qu’en Suisse, de même celui de
Francfort
en Allemagne ; ils n’ont pas droit d’entrée en France. Quant à celui
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es les Deniers = les Piques Selon les tarots de
Francfort
: Bâtons = Carreaux Coupes = Cœurs Épées = Piques Deniers = Trèfles S
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à moins. — « Je ne puis pas parler de lui, ici à
Francfort
, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les
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nt potentielle, la seconde actuelle. Je rentre de
Francfort
où nous avons tenu un congrès des jeunesses européennes. J’y suis all
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filet à bagages d’un wagon de troisième classe. À
Francfort
, nous étions logés dans une auberge de jeunesse. Philippe Lamour prés
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nt d’utilité. En ce jour de février 1932, dans ce
Francfort
en proie au Carnaval et à l’angoisse, ce n’est pas moi qui pose la qu
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commune de la jeunesse européenne. Le congrès de
Francfort
, organisé par Plans, a révélé cette unité fondamentale que créent en
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ir : un ou deux ans de lectorat à l’Université de
Francfort
. Le professeur de littérature française a sûrement d’autres candidats
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ng article sur l’hitlérisme, d’après mes notes de
Francfort
: ce sera le texte central de mon Journal d’Allemagne . De fin mai a
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mps, je fus lecteur de français à l’Université de
Francfort
. En 1931, je vins en France ; j’ai vécu en province et à Paris, colla
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chemise brune ». Étant lecteur à l’Université de
Francfort
de 1935 à 1936, j’avais eu l’insolence de professer un cours sur le p
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ne première ébauche de l’Europe. Mais il excluait
Francfort
, Copenhague, Amsterdam. Spengler tient que l’Europe débute avec le Sa
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Aguado (Madrid), Plon (Paris), Ullstein (Berlin,
Francfort
et Vienne), Weidenfeld & Nicolson (Londres). Elle discuta les ter
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ïncidait avec la Foire internationale du Livre, à
Francfort
: « … choisir d’un commun accord et publier simultanément des ouvrage
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iation : Librairie Plon, Paris ; Ullstein-Verlag,
Francfort
, Berlin, Vienne ; Weidenfeld & Nicolson, Londres ; Afrodisio Agua
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etz, Luxembourg, Nancy, Cologne, Mayence, Trêves,
Francfort
, Würzbourg, Heidelberg, Spire, Worms, Strasbourg, Bâle et Besançon. O
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ms de Charlemagne, lorsqu’il tenait le concile de
Francfort
; et de renoncer à tous conciles tenus depuis, qui ne sauroient passe
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(Il la dirigeait de Paris, mais elle paraissait à
Francfort
.) Il y développa les mêmes idées générales qui font de sa Philosophie
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qu’un Parlement fédéral allemand se réunissait à
Francfort
, et que Milan, Budapest et Varsovie se soulevaient, l’on put croire p
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e Prix de la paix, décerné à la Foire du livre de
Francfort
. L’Allemagne enfin le redécouvre. Qui va le traduire en français ?)
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. En 1935, il est nommé lecteur à l’Université de
Francfort
et séjournera un an en Allemagne hitlérienne. Je me trouvais sans act
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iteur à Paris dès 1931. Lecteur à l’Université de
Francfort
1935-1936. Cours à l’École libre des hautes études de New York de 194
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ne première ébauche de l’Europe. Mais il excluait
Francfort
, Copenhague, Amsterdam. Spengler tient que l’Europe débute avec le Sa
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chômage , et j’y ai ajouté une première partie, à
Francfort
, sous l’œil des nazis, comme le raconte mon Journal d’Allemagne. J’
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duit à la revue Plans, puis invité au colloque de
Francfort
pendant le Carnaval de 1932 où il tentait, avec Philippe Lamour, de f
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quelques semaines de là, Mounier me rend visite à
Francfort
, et ne me souffle mot de cette grande affaire. Mieux encore : dans le
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directe, exagérément « dialectique »a. L’École de
Francfort
, freudo-marxiste (Adorno, Horkheimer, Habermas, Marcuse), n’est certe
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un poste de lecteur de français à l’Université de
Francfort
… C’est vrai. C’est grâce à Abetz que j’ai pu voir de près l’horreur h
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commencements. Bien sûr, en m’offrant ce poste à
Francfort
, il s’imaginait que je ne tarderais pas à me convertir à l’idéologie
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grès de la jeunesse européenne qui s’était tenu à
Francfort
, et auquel participèrent des gens aussi différents que Philippe Lamou
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e Rougemont était alors lecteur à l’Université de
Francfort
. Quatre ans plus tard, il partait pour les États-Unis. « Hitler fut l
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ançaises et allemandes, qui s’était tenue dans un
Francfort
« en proie au carnaval et à l’angoisse », je parlais du « dernier car
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: religio, lien renoué. Au sortir du discours de
Francfort
que j’entends et subis en 1936, j’écris ceci : « Je me croyais à un m
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is voir un peu plus tard défiler dans les rues de
Francfort
étaient portés par des hommes aux chemises brunes qui chantaient le «
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e totalitaire, je vivais dans son environnement à
Francfort
où j’avais accepté un poste de lecteur à l’Université. Le 11 mars 193
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les victimes de demain… C’est à mon expérience de
Francfort
que je ne cesse de ramener ma réflexion sur le concret de l’appel com
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. Auparavant, il avait enseigné à l’Université de
Francfort
, puis à l’École des hautes études de New York [Ndlr]. m. « 20 questi
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nationalismes. Lecteur français à l’Université de
Francfort
, je devais en 1938 consigner dans un livre, Journal d’Allemagne , me
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à Paris mais tout autant lecteur universitaire à
Francfort
, il n’a pris position qu’au moment du nazisme et officier de l’armée
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e et Gide puis Jean Paulhan ; Die Neue Rundschau (
Francfort
) de Thomas Mann ; La Revue de Genève de Robert de Traz, qui publie
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les de s’unir : “Pourquoi irions-nous mourir pour
Francfort
ou Düsseldorf, alors que les Européens ne feraient pas grand-chose po
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. En mars, j’ai rédigé d’après les notes prises à
Francfort
, mon Journal d’Allemagne qui a paru à l’automne chez Gallimard. En
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s, aux philosophes freudo-marxistes de l’École de
Francfort
— Marcuse, Ernst Bloch, Adorno, W. Reich, Horkheimer, et aux pièces d
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ongrès des jeunesses révolutionnaires d’Europe, à
Francfort
, en 1932. Nos liens d’amitié et d’action étaient étroits. Lors d’une
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çaises et allemandes, qui s’était tenue « dans un
Francfort
en proie au carnaval et à l’angoisse », je parlais du « dernier carna
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o », lien noué, renoué. Au sortir du discours de
Francfort
que j’entends et subis en 1936, j’écris ceci : Je me croyais à un me
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je veux dire. C’est l’expérience que j’ai subie à
Francfort
en 1936, à l’occasion d’un discours d’Hitler, qui m’a révélé d’un seu