1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Prévost, Tentative de solitude (septembre 1925)
1 ante de sûreté et d’évidence, elle a cette beauté froide et massive d’un théorème de Spinoza. Une ironie dure, la densité du s
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
2 eut-être du monde dans l’appartement. Il avait si froid que ses dents claquaient. Il quitta sa fenêtre, se traîna jusqu’à l’a
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 ence. Joie, dégoût, lueurs éteintes dans une nuit froide . Les notes d’un chant qui voudrait s’élever. Puis enfin la marée de m
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Billets aigres-doux (janvier 1927)
4 Des bouquets de vagues brumes. Insulter ta beauté froide  ? Oui, mais à qui s’adresser. Automne au sourire absent, Or luisant,
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
5 t… Il faut aussi que je vous dise qu’il fait très froid dans ma chambre : le feu n’a pas pris, et d’ailleurs cela n’en vaut p
6 autre femme dont le seul défaut fut de m’aimer… ( Froid aux genoux, odeur de vieille fumée, et ce refus au sommeil qui meurtr
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
7 M. Paul Morand, mais elle a dû le trouver un peu froid , n’aura pas été tentée de lui faire ces confidences qu’elle livre si
7 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
8 natures mortes qui décidément l’étaient, à faire froid dans le dos ; ou bien des scènes d’une bizarre fantaisie, un mélange
8 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
9 sion de l’auto routière : naissance de sa passion froide et tenace. Il s’efforce d’en réaliser l’objet par ses propres moyens,
9 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
10 les des trompes d’autos s’appelaient dans la nuit froide . Gérard ne disait presque plus rien ; à peine, de temps en temps, s’i
10 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
11 rt. Elle tombe en hautes falaises dans le Danube, froide et nue, mais dans son flanc une grotte s’illumine, et la Vierge y sou
11 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
12 e derrière nous claque la portière. Il fait assez froid . ⁂ Lorsque l’homme, cédant à l’évidence des choses ou de l’esprit, co
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid paralyse la mâchoire. 6. Doutes sur la nature du Sujet Je crois
14 ue élève une coupole d’ocre éclatante, immense et froide , dominant cette plaine onduleuse dont les vagues se perdent dans une
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
15 atmosphère, sinon l’on risque beaucoup de prendre froid . La glace est proche, la solitude énorme, mais voyez avec quelle tran
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
16 nces sarcastiques (celles du serpent qui charme à froid ) — art qui tout ensemble se définit et se limite par l’épithète valér
15 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
17 re dans l’élémentaire : un être qui est nu, qui a froid , qui a faim, qui a été jeté au sein d’une nature hostile, de sorte qu
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
18 les des trompes d’autos s’appelaient dans la nuit froide . Gérard ne disait presque plus rien ; à peine, de temps en temps, s’i
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
19 nédiction de sa musique. Les petites baronnes ont froid , veulent rentrer, car elles sont sages. Dans les salons désertés du r
20 rtant dans la soie et le velours, dans la lumière froide et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, — guérir de l’écœuremen
18 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
21 pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid paralyse la mâchoire. vi Doutes sur la nature du sujet Je croi
22 ue élève une coupole d’ocre éclatante, immense et froide , dominant cette plaine onduleuse dont les vagues se perdent dans une
19 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
23 Petit journal de Souabe À la tombée d’une nuit froide , en avril, le voyageur descend dans un vieux bourg de Souabe, — quelq
24 âtons des armoires monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il distingue le
25 âle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froid , mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons isolées
26 ore humide dans cette grotte d’ombre. Sur le banc froid j’étale ma couverture, et mes papiers sur la table où s’aventurent de
20 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
27 ne. On boit un peu de bière, mais surtout du lait froid dans de grands verres : il n’est pas de boisson plus rafraîchissante,
21 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
28 e derrière nous claque la portière. Il fait assez froid . ⁂ Lorsque l’homme, cédant à l’évidence des choses ou de l’esprit, co
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
29 nédiction de sa musique. Les petites baronnes ont froid , veulent rentrer, car elles sont sages. Dans les salons désertés du r
30 rtant dans la soie et le velours, dans la lumière froide et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, — guérir de l’écœuremen
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
31 pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid paralyse la mâchoire. Les magnats en taxis La place Saint-Georg
32 que élève une coupole d’ocre éclatant, immense et froide , dominant cette plaine onduleuse dont les vagues se perdent dans une
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
33 ne. On boit un peu de bière, mais surtout du lait froid dans de grands verres : il n’est pas de boisson plus rafraîchissante,
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
34 Petit journal de Souabe À la tombée d’une nuit froide , en avril, le voyageur descend dans un vieux bourg de Souabe, — quelq
35 âtons des armoires monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il distingue le
36 âle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froid , mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons isolées
37 ore humide dans cette grotte d’ombre. Sur le banc froid j’étale ma couverture, et mes papiers sur la table où s’aventurent de
26 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
38 plus fréquente : « La lutte contre la faim et le froid est notre guerre. » Je sais bien ce que vous entendez par là : « Les
27 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
39 l doit remplacer la guerre. (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on lire sur les panneaux de prop
28 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
40 ononcer un discours, sortir sans pardessus par un froid extraordinaire, cueillir une fleur, voler un pain, faire l’amour, cho
29 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
41 l doit remplacer la guerre. (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on lire sur les panneaux de prop
30 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
42 ononcer un discours, sortir sans pardessus par un froid extraordinaire, cueillir une fleur, voler un pain, faire l’amour, cho
31 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
43 bâillée. Une dernière bûche fume, il fait presque froid . Dans ce silence vide de la nuit campagnarde, me voici seul encore év
44 ne la fille et une voisine. Elles se plaignent du froid . Le fourneau est rouge, mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient
32 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
45 dersen raconte comment un philosophe « Venant des froides régions du Nord » et voyageant aux pays chauds, perd son ombre à forc
33 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
46 le socialisme, et déclaré que l’État est le plus froid des monstres froids. À part cela, il reste son exaltation de la volon
47 déclaré que l’État est le plus froid des monstres froids . À part cela, il reste son exaltation de la volonté humaine, de l’ath
34 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
48 n abstraite, on n’atteint presque rien. Le soleil froid à travers une brume lointaine agrandit les regards sans nourrir la vi
49 ue par un effort de réflexion qui me laisse assez froid . La culture m’a repris. Je suis dans le faux et tout y est correct :
50 nc.   Mai La mer est d’un vert bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que se tremper quelques instants, et se couc
51 usqu’aux genoux, les jambes caressées de courants froids , de courants tièdes, de poissons, de crabiots et de laines. À quelque
35 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
52 ule invisible. 6 décembre 1933 Il fait très froid depuis quelques jours. Nous n’avons pour chauffer la grande chambre d
53 très mal — comme partout — et nous sentons l’air froid qui souffle jusqu’au milieu de la chambre. Chaque matin, au saut du l
54 lage. Il faisait nuit noire, et un de ces mauvais froids humides. Rien de plus lugubre que l’île avant l’aube. On n’a pas l’im
55 l était trop tard pour aller en acheter. Silence, froid , solitude, et ce vent qui ne cesse pas de siffler autour de la maison
56 n abstraite, on n’atteint presque rien. Le soleil froid à travers une brume lointaine agrandit les regards sans nourrir la vi
57 ue par un effort de réflexion qui me laisse assez froid . La culture m’a repris. Je suis dans le faux et tout y est correct :
58 i 1934 La mer est d’un vert-bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que se tremper quelques secondes, et se couc
59 usqu’aux genoux, les jambes caressées de courants froids , de courants tièdes, de poissons, de crabiots et de « laines ». À que
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
60 bâillée. Une dernière bûche fume, il fait presque froid . Dans ce silence vide de la nuit campagnarde, me voici seul encore év
61 ne sa fille et une voisine. Elles se plaignent du froid . Le fourneau est rouge, mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient
62 de pluie, plusieurs lettres à peine lisibles. Un froid terrible ; la salamandre à vider et à rallumer. Le gaz butane épuisé
37 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
63 hefs d’une souveraine dignité, d’une intelligence froide et d’un jugement droit. » Où trouve-t-on cela ? Dans les livres de Ni
38 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
64 que élève une coupole d’ocre éclatant, immense et froide , dominant cette plaine onduleuse dont les vagues se perdent dans une
39 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
65 ou « Schlagwort » : La lutte contre la faim et le froid est notre guerre. Est-ce une déclaration pacifiste ? Ou bien ne peut-
66 lui parlant de « guerre », fût-ce même contre le froid  ? Dimanche dernier, c’était le jour de l’Eintopfgericht. Ce jour-là,
67 is et des ouvriers : plus dur, sportif, le regard froid et « objectif », teint pâle, lunettes, une lourdeur dans le bas du vi
68 pas le mot Krieg. « La lutte contre la faim et le froid est notre guerre. » Je sais bien ce que vous entendez par là : « Les
69 étudier de très près, sur place, avec une passion froide . Car il y va de toute notre culture. Comment sauver au plus secret d’
40 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
70 sont assez obscures et ambiguës pour échapper au froid contrôle de la raison. Toute la poésie romantique, de même que la sur
41 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
71 sans caractères ni couleurs, mannequins dont les froides aventures s’enchaînent à l’infini », nous dit de ces légendes l’un de
42 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
72 femme réelle, ce n’était plus que galanterie mais froide et stéréotypée. Dante et Cavalcanti, d’autres encore, demandent plus
73 secret paradoxal de l’amour courtois : guindé et froid quand il ne vante que la femme, mais tout ardent de sincérité quand i
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
74 sans caractères ni couleurs, mannequins dont les froides aventures s’enchaînent à l’infini », nous dit de ces légendes l’un de
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
75 femme réelle, ce n’était plus que galanterie mais froide et stéréotypée. Dante et Cavalcanti, d’autres encore, demandaient plu
76 secret paradoxal de l’amour courtois : guindé et froid quand il ne vante que la femme, mais tout ardent de sincérité quand i
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
77 rûle dans notre cœur sitôt que le serpent au sang froid — le cynique pur — insinue sa promesse éternellement trahie : eritis
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
78 sans caractères ni couleurs, mannequins dont les froides aventures s’enchaînent à l’infini », nous dit de ces légendes l’un de
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
79 femme réelle, ce n’était plus que galanterie mais froide et stéréotypée. Dante et Cavalcanti, d’autres encore, demandaient plu
80 secret paradoxal de l’amour courtois : guindé et froid quand il ne vante que la femme, mais tout ardent de sincérité quand i
48 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
81 de centraliser en écrivant : « L’État est le plus froid parmi les monstres froids. » Mais à part ces deux solitaires, personn
82 t : « L’État est le plus froid parmi les monstres froids . » Mais à part ces deux solitaires, personne ne sut ou n’osa voir à q
49 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). Neutralité (3 mai 1940)
83 ts qui viennent nous dire : « Ceux qui ne sont ni froids ni bouillants seront vomis ». Qu’est-ce que cela signifie, pratiqueme
84 cela signifie, pratiquement ? Que ceux qui sont froids ou bouillants seront mangés ! Je demande à voir ce qui vaut le mieux.
50 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
85 ts qui viennent nous dire : « Ceux qui ne sont ni froids ni bouillants seront vomis. » Qu’est-ce que cela signifie, pratiqueme
86 e cela signifie, pratiquement ? Que ceux qui sont froids ou bouillants seront mangés. Je demande à voir ce qui vaut le mieux.
51 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
87 de centraliser en écrivant : « L’État est le plus froid parmi les monstres froids. » Mais à part ces deux solitaires, personn
88 t : « L’État est le plus froid parmi les monstres froids . » Mais à part ces deux solitaires, personne ne sut ou n’osa voir à q
52 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
89 ts qui viennent nous dire : « Ceux qui ne sont ni froids ni bouillants seront vomis ». Qu’est-ce que cela signifie, pratiquem
90 e cela signifie, pratiquement ? Que ceux qui dont froids ou bouillants seront mangés. Je demande à voir ce qui vaut le mieux.
53 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
91 ocheuses alors que la vallée s’emplit d’une ombre froide , et j’étais si bien au fond d’une gorge, dans cette rue de briques no
54 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
92 vois : quand il était heureux, elle luisait d’une froide splendeur, et quand il était triste, elle était consolante. Mais c’ét
55 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
93 tice mais par amour de notre châtiment, par haine froide . Pour le stérile plaisir d’avoir raison. Aussi, partout où l’on conda
56 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
94 ce qu’il fait, maître de sa technique, lucide et froid comme le serpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924, des descript
57 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
95 ler davantage ? « Ôter ses vêtements dans un jour froid , c’est dire des chansons à un cœur attristé…13 » ⁂ Mais j’entendais u
58 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
96 la ruse, la subtilité, l’ironie et l’intelligence froide , vous risquez de devenir méchants, c’est-à-dire que plus vous cherche
97 e et la subtilité, par l’ironie et l’intelligence froide , et en même temps, par toutes les armes de la foi, de l’espérance et
59 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
98 ice, mais par amour de notre châtiment, par haine froide . Pour le stérile plaisir d’avoir raison. C’est qu’il s’en tient à la
60 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
99 ce qu’il fait, maître de sa technique, lucide et froid comme le serpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924 des descripti
61 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
100 ler davantage ? « Ôter ses vêtements dans un jour froid , c’est dire des chansons à un cœur attristé »…24 ⁂ Mais j’entendais
62 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
101 la ruse, la subtilité, l’ironie et l’intelligence froide , vous risquez de devenir méchants, c’est-à-dire que plus vous cherche
102 e et la subtilité, par l’ironie et l’intelligence froide , et en même temps, par toutes les armes de la foi, de l’espérance et
63 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
103 ice, mais par amour de notre châtiment, par haine froide . Pour le stérile plaisir d’avoir raison. C’est qu’il s’en tient à la
64 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
104 ce qu’il fait, maître de sa technique, lucide et froid comme le serpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924 des descripti
65 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
105 ler davantage ? « Ôter ses vêtements dans un jour froid , c’est dire des chansons à un cœur attristé »26… ⁂ Mais j’entendais u
66 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
106 la ruse, la subtilité, l’ironie et l’intelligence froide , vous risquez de devenir méchants, c’est-à-dire que plus vous cherche
107 e et la subtilité, par l’ironie et l’intelligence froide , et en même temps, par toutes les armes de la foi, de l’espérance et
67 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IV : L’accusateur (5 novembre 1943)
108 ice, mais par amour de notre châtiment, par haine froide . Pour le stérile plaisir d’avoir raison. Aussi, partout où l’on conda
68 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
109 blessé. Flamme aveuglante, vague de sang, terreur froide , ou goût du suicide. Ne me parlez pas de droits, vous n’y avez pas pe
69 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
110 re dans l’élémentaire : un être qui est nu, qui a froid , qui a faim, qui a été jeté au sein d’une nature hostile, de sorte qu
70 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
111 ue jour, vers onze heures du matin. Quand il fait froid il porte un manteau noir. Sa chevelure m’indique la direction du vent
71 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
112 Walt Disney n’aime pas la musique classique. » Un froid , et chacun pense : Que ne l’a-t-elle empêché de s’en occuper ! Son ma
72 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
113 me l’autre fois… » Chat échaudé craint même l’eau froide . Supposons dans ce cas qu’il ait raison. Supposons une Allemagne réar
73 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
114 y, l’église des riches, avec son chœur immense et froid , en mosaïque. Christ Church est méthodiste. Colonne de marbre noir, m
74 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
115 cheuses, alors que la vallée s’emplit d’une ombre froide . Et j’étais bien au fond d’une gorge, dans cette rue de briques noirc
116 qui peut-être n’en sont point. Ce n’était pas le froid , la pluie, la poisse aux pieds mêlée d’essence sur l’asphalte des ave
75 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
117 horismes L’Évangile dit que ceux qui ne sont ni froids ni bouillants seront vomis. Mais Hitler, loin de vomir les neutres, l
76 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
118 ocheuses alors que la vallée s’emplit d’une ombre froide . Et j’étais bien au fond d’une gorge, dans cette rue de briques noirc
119 qui peut-être n’en sont point. Ce n’était pas le froid , la pluie, la poisse aux pieds mêlée d’essence sur l’asphalte des ave
77 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
120 ricorne. Ici, Noël tombe en été, le Midi est plus froid que le Nord, les voitures circulent à gauche, et au lieu de dire au t
78 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
121 rois premiers chapitres terminés. J’ai faim, j’ai froid , je suis heureux, je cours dîner pour 50 cents à la cafétéria du coin
122 à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’aube froide , quelques bonnes femmes et un jeune homme devant le vieux prêtre angl
79 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
123 aque jour, vers 11 heures du matin. Quand il fait froid il porte un manteau noir. Sa chevelure m’indique la direction du vent
80 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
124 ue jour, vers onze heures du matin. Quand il fait froid il porte un manteau noir. Sa chevelure m’indique la direction du vent
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
125 ne. On boit un peu de bière, mais surtout du lait froid dans de grands verres : il n’est pas de boisson plus rafraîchissante,
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
126 nédiction de sa musique. Les petites baronnes ont froid , veulent rentrer, car elles sont sages. Dans les salons désertés du r
127 rtant dans la soie et le velours, dans la lumière froide et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, — guérir de l’écœuremen
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
128 pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid paralyse la mâchoire. Les magnats en taxis La place Saint-Georg
129 ue élève une coupole d’ocre éclatante, immense et froide , dominant cette plaine onduleuse dont les vagues se perdent dans une
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
130 ent. Sénancour, Obermann. À la tombée d’une nuit froide , en avril, le voyageur descend dans un vieux bourg de Souabe, — quelq
131 âtons des armoires monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il distingue le
132 âle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froid , mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons isolées
133 ore humide dans cette grotte d’ombre. Sur le banc froid j’étale ma couverture, et mes papiers sur la table où s’aventurent de
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
134 ule invisible. 6 décembre 1933 Il fait très froid depuis quelques jours. Nous n’avons pour chauffer la grande chambre d
135 très mal — comme partout — et nous sentons l’air froid qui souffle jusqu’au milieu de la chambre. Chaque matin, au saut du l
136 lage. Il faisait nuit noire, et un de ces mauvais froids humides. Rien de plus lugubre que l’île avant l’aube. On n’a pas l’im
137 l était trop tard pour aller en acheter. Silence, froid , solitude, et ce vent qui ne cesse pas de siffler autour de la maison
138 n abstraite, on n’atteint presque rien. Le soleil froid à travers une brume lointaine agrandit les regards sans nourrir la vi
139 ue par un effort de réflexion qui me laisse assez froid . La culture m’a repris. Je suis dans le faux et tout y est correct :
140 i 1934 La mer est d’un vert bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que se tremper quelques secondes, et se couc
141 usqu’aux genoux, les jambes caressées de courants froids , de courants tièdes, de poissons, de crabiots et de « laines ». À que
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
142 bâillée. Une dernière bûche fume, il fait presque froid . Dans ce silence vide de la nuit campagnarde, me voici seul encore év
143 ne sa fille et une voisine. Elles se plaignent du froid . Le fourneau est rouge, mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient
144 de pluie, plusieurs lettres à peine lisibles. Un froid terrible ; la salamandre à vider et à rallumer. Le gaz butane épuisé
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
145 ou « Schlagwort » : La lutte contre la faim et le froid est notre guerre. Est-ce une déclaration pacifiste ? Ou bien ne peut-
146 lui parlant de « guerre », fût-ce même contre le froid  ? Dimanche dernier, c’était le jour de l’Eintopfgericht. Ce jour-là,
147 is et des ouvriers : plus dur, sportif, le regard froid et « objectif », teint pâle, lunettes, une lourdeur dans le bas du vi
148 pas le mot Krieg. « La lutte contre la faim et le froid est notre guerre. » Je sais bien ce que vous entendez par là : « Les
149 étudier de très près, sur place, avec une passion froide . Car il y va de toute notre culture. Comment sauver au plus secret d’
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
150 orismes L’Évangile dit que ceux qui ne sont ni froids ni bouillants seront vomis. Mais Hitler, loin de vomir les neutres, l
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
151 ocheuses alors que la vallée s’emplit d’une ombre froide . Et j’étais bien au fond d’une gorge, dans cette rue de briques noirc
152 qui peut-être n’en sont point. Ce n’était pas le froid , la pluie, la poisse aux pieds mêlée d’essence sur l’asphalte des ave
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
153 ricorne. Ici, Noël tombe en été, le Midi est plus froid que le Nord, les voitures circulent à gauche, et au lieu de dire au t
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
154 rois premiers chapitres terminés. J’ai faim, j’ai froid , je suis heureux et cours dîner pour 50 cents à la cafétéria du coin.
155 à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’aube froide , quelques bonnes femmes et un jeune homme devant le vieux prêtre angl
92 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
156 rois premiers chapitres terminés. J’ai faim, j’ai froid , je suis heureux, je cours dîner pour 50 cents à la cafétéria du coin
157 à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’aube froide , quelques bonnes femmes et un jeune homme devant le vieux prêtre angl
93 1947, Articles divers (1946-1948). Drôle de paix (7 juin 1947)
158 rapide, dont les ministres annoncent que c’est le froid qui les oblige à rationner le charbon et l’électricité. L’Europe qui,
94 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
159 ime de terreur, de parole asservie, d’épuration à froid , de discipline d’acier (c’est le nom de Staline) et de diplomatie à c
95 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
160 dersen raconte comment un philosophe « venant des froides régions du nord » et voyageant aux pays chauds, perd son ombre, à for
96 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
161 Walt Disney n’aime pas la musique classique. » Un froid , et chacun pense : Que ne l’a-t-elle empêché de s’en occuper ! Son ma
162 y, l’église des riches, avec son chœur immense et froid , en mosaïque. Christ Church est méthodiste : colonnes de marbre noir,
97 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
163 trop et vous manquez de cette espèce de brutalité froide et contenue qui vous ferait prendre au sérieux. De plus, les hommes s
98 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
164 ime de terreur, de parole asservie, d’épuration à froid , de discipline d’acier (c’est le nom de Staline) et de diplomatie à c
99 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
165 ci pour faire une révolution fédéraliste ! » — un froid silence fut seul à lui répondre. Après cela, l’on fut moins surpris d
100 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
166 ideau de fer est tombé, brutalement. Et la guerre froide a commencé. La situation s’est donc précisée, si je puis dire… Deux c
167 bbes, et que Nietzsche appelait un jour « le plus froid de tous les monstres froids » — l’État-nation, cause et produit de to
168 lait un jour « le plus froid de tous les monstres froids  » — l’État-nation, cause et produit de toutes nos guerres. Sur ce poi