1
Et puis voici François Barraud, le plus jeune des
frères
. Il vient apporter des dessins qui ressemblent beaucoup aux petites h
2
ie et renforce l’expression. Décidément ces trois
frères
sont une école. Délaissant un moment ce trésor du meilleur réalisme,
3
s étions marqués par Numa Droz et les manuels des
Frères
∴, par l’esprit petit-bourgeois, qui est une généralisation de l’avar
4
famille indignée, une mère qui souffre, un jeune
frère
qui rêve. Le livre se résout dans une amertume vague. Ceux qui ont lu
5
ous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes
frères
! Nous traînons tous notre sabot, qui, loin de s’user, ne tarde pas à
6
ous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes
frères
! Nous traînons tous notre sabot, qui, loin de s’user, ne tarde pas à
7
me devant une sainte. « Et pendant que l’aîné des
frères
racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se
8
ous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes
frères
! Nous traînons tous notre sabot, qui, loin de s’user, ne tarde pas à
9
! » Ebo a un autre secret : il sait que l’un des
frères
de sa mère complote avec l’ex-kronprinz pour une restauration de l’Em
10
me devant une sainte. « Et pendant que l’aîné des
frères
racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se
11
ère épouse une Française, puis une Anglaise ; son
frère
, une Française, puis une Allemande. Et des trois autres branches de l
12
que nul homme n’est en mesure de la donner à son
frère
: c’est la foi. Tout au plus pouvons-nous, par des affirmations qui t
13
vez fait cela à un seul des plus petits parmi mes
frères
que voici, c’est à moi que vous l’avez fait. » Et si ce tu, non seule
14
rité, — qui refuse donc d’être le prochain de son
frère
. 10. ou tout autre « isme » qu’on voudra. f. « Grammaire de la pers
15
on œuvre ; sa fortune, il la confia à l’un de ses
frères
, ne voulant pas avoir affaire aux banques. Lorsqu’il mourut, à 42 ans
16
éricorde par lequel je deviens le prochain de mon
frère
. C’est l’acte personnel qui fonde la seule communauté vivante.
17
e a provoqué l’inévitable et juste révolte de nos
frères
athées. Il n’est de charité bien ordonnée que celle qui commence par
18
éricorde par lequel je deviens le prochain de mon
frère
. C’est l’acte personnel qui fonde la seule communauté vivante.
19
t ici simplement de répondre à l’objection de nos
frères
romanisés. Si les formules par lesquelles je résume leurs croyances n
20
là l’opposition réelle, du noir au blanc, que nos
frères
catholiques ont tant de peine à distinguer. Et comment la distinguera
21
i nous fournit son critère objectif. Pourquoi nos
frères
catholiques nous reprochent-ils notre subjectivisme, à nous qui recon
22
a croie, que je lui obéisse et qu’elle me sauve ?
Frères
catholiques, à la question que vous adressez à la Réforme, du haut d’
23
Il nous faut revenir encore au méchant couple des
frères
ennemis, spiritualistes et matérialistes. Car ils ont en commun cette
24
rticularité, qui refuse d’être le prochain de son
frère
. 100. « Et l’ange me dit : Prends le livre et avale-le. » Ainsi Jean
25
Il nous faut revenir encore au méchant couple des
frères
ennemis, spiritualistes et matérialistes. Car ils ont en commun cette
26
rticularité, qui refuse d’être le prochain de son
frère
. 103. « Et l’ange me dit : Prends le livre et avale-le. » Ainsi Jean
27
ci où je suis sans prochain, à cette heure ou mes
frères
(?) les hommes sont plus éloignés que jamais ? « La nuit est faite po
28
des hommes parmi les hommes, voici qu’ils ont des
frères
. » Et voici qu’Éluard paraît délivré de l’esthétisme aristocratique d
29
, au comble de son éloquence, s’écrie : « Et, mes
frères
! si l’on vient encore vous dire que je suis un empoisonneur des cons
30
C’est aussi la croisade des fascismes contre leur
frère
, le stalinisme : une guerre de religions qui ne sont pas les nôtres.
31
, au comble de son éloquence, s’écrie : « Et, mes
frères
! si l’on vient encore vous dire que je suis un empoisonneur des cons
32
qu’il se met sur ses deux pattes au milieu de ses
frères
verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’homme couché ; tout au plus
33
Ici où je suis sans prochain à cette heure où mes
frères
(?) les hommes sont plus éloignés que jamais ? « La nuit est faite po
34
nauté. Car s’il est vrai que tous les hommes sont
frères
de par leur commune origine, cela nous conduit tout au plus à élargir
35
ble, sa mythologie. Goliath, Joseph vendu par ses
frères
, Jonas dans sa baleine, l’ânesse de Balaam, David et Jonathan, Absalo
36
lèvement ! » (v. 12). « En effet, je ne veux pas,
frères
, que vous ignoriez ce mystère, de peur que vous ne présumiez trop de
37
ut tirer nul intérêt : il la confia à l’un de ses
frères
, pour éviter d’avoir affaire aux banques, et lorsqu’il mourut, l’on s
38
, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun,
frères
, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (
39
ombreux. Rien n’empêchera que nous soyons ici des
frères
en communion avec l’Église universelle. Rien n’empêchera que dans ce
40
ul, « il n’y a plus ni Juif ni Grec, et tu es mon
frère
en la cité nouvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon frère
41
uvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon
frère
encore si tu la refuses, parce que j’espère pour toi, mon ennemi… » M
42
ui peut le sauver. Mais le géant Morholt était le
frère
de cette reine, aussi Tristan se garde-t-il d’avouer son nom et l’ori
43
x ou consolamentum que donne le prêtre au nouveau
frère
pendant la cérémonie d’initiation. Encore est-ce moins un sacrement a
44
ur est dans l’angoisse : c’est que tout ce que le
frère
me refuse, j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « d
45
recherches, dans les procédures dressées par nos
frères
, je n’ai pas trouvé que les hérétiques « consolés » se livrassent en
46
faire aucune attention. » De même, à l’un de ses
frères
qui ne pouvait communier sans éprouver d’émoi sexuel, et à qui l’on a
47
ment chaque semaine, quoi qu’il advienne, — et le
frère
se trouve guéri, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut p
48
Bas, chez les lollards anglais, chez les premiers
frères
moraves (sinon chez les hussites), mais aussi chez les hérétiques des
49
, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun,
frères
, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (
50
tachements humains. Quelle vocation ? Celle des «
frères
mendiants » qui s’en vont sur les routes, au hasard, abandonnés au so
51
ment de l’auteur à voir le nom et les conseils du
Frère
sans cesse revendiqués par les protestants au cours des disputes conc
52
y trouvent aussi des possibilités de servir leurs
frères
. Ils se voient donc libérés, et du même coup engagés dans un corps so
53
la place. Belle nuit de mai ! Approchez-vous, les
frères
. Le pèlerin. — Merci. (Ils s’approchent.) Un autre pèlerin. —
54
d, tout à l’heure, quand tu te tiendras devant le
frère
, avec ses yeux tout doux qui vous transpercent comme un petit vent du
55
che). — Bénis soyez-vous de Dieu, chers pères et
frères
. Pourquoi êtes-vous venus dans cette solitude ? L’abbé. — Notre c
56
ur. — Si tous les pauvres étaient comme toi, bon
frère
, ils ne songeraient pas à la révolte. Nicolas. — Tu dis vrai. Mai
57
pour vous avertir ? Pardonnez-moi, chers pères et
frères
. C’est un plus grand que nous qui peut nous éclairer. L’abbé. — T
58
aux pèlerins). — Bénis soyez-vous de Dieu, chers
frères
et sœurs. D’où venez-vous ? Le 1er pèlerin. — Nous sommes venus d
59
ux.) Haimo. — Au nom du ciel, efforce-toi, mon
frère
! Le temps fuit ! (Nicolas se relève, fait quelques pas. Sur le plan
60
lui-même ne les signe dans leurs cœurs ! Va, bon
frère
, et hâte-toi ! Haimo. — Adieu ! (Il fait deux pas.) Nicolas. —
61
ui peut le sauver. Mais le géant Morholt était le
frère
de cette reine, aussi Tristan se garde-t-il d’avouer son nom et l’ori
62
se donnait, lors des cérémonies d’initiation, aux
frères
qui acceptaient de renoncer le monde, et s’engageaient solennellement
63
« purs », puis le baiser de paix échangé par les
frères
. Après quoi, l’initié devenait objet de vénération pour les simples c
64
ur est dans l’angoisse : c’est que tout ce que le
frère
me refuse, j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « d
65
recherches, dans les procédures dressées par nos
frères
, je n’ai pas trouvé que les hérétiques « consolés » se livrassent en
66
Pierre de Bruys jusqu’à un Amaury de Bène et aux
frères
ortliebiens de Strasbourg, tous condamnent le mariage, — que par aill
67
faire aucune attention. » De même, à l’un de ses
frères
qui ne pouvait communier sans éprouver l’émoi sexuel, et à qui l’on a
68
ement chaque semaine, quoi qu’il advienne — et le
frère
se trouve guéri, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut p
69
136, chez les lollards anglais, chez les premiers
frères
moraves (sinon chez les hussites), mais aussi chez les hérétiques des
70
, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun,
frères
, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (
71
ui peut le sauver. Mais le géant Morholt était le
frère
de cette reine, aussi Tristan se garde-t-il d’avouer son nom et l’ori
72
se donnait, lors des cérémonies d’initiation, aux
frères
qui acceptaient de renoncer le monde, et s’engageaient solennellement
73
« purs », puis le baiser de paix échangé par les
frères
. Après quoi, l’initié devenait objet de vénération pour les simples c
74
ur est dans l’angoisse : c’est que tout ce que le
frère
me refuse, j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « d
75
recherches, dans les procédures dressées par nos
frères
, je n’ai pas trouvé que les hérétiques « consolés » se livrassent en
76
Pierre de Bruys jusqu’à un Amaury de Bène et aux
frères
ortliebiens de Strasbourg, tous condamnent le mariage — que par aille
77
faire aucune attention. » De même, à l’un de ses
frères
qui ne pouvait communier sans éprouver l’émoi sexuel, et à qui l’on a
78
ement chaque semaine, quoi qu’il advienne — et le
frère
se trouve guéri, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut p
79
125, chez les lollards anglais, chez les premiers
frères
moraves (sinon chez les hussites), mais aussi chez les hérétiques des
80
, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun,
frères
, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (
81
cette vocation unique le met en relation avec des
frères
et l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l’homme que j’appe
82
en avoir une. » C’est parce que Niemöller et ses
frères
savaient cela qu’ils ont résisté, qu’ils résistent. d. « “Dieu prem
83
t aussi, probablement, sa vie et celle de tant de
frères
. Mais au-delà de l’optimisme humain toujours bafoué, au-delà du pessi
84
t aussi, probablement, sa vie et celle de tant de
frères
. Mais au-delà de l’optimisme humain toujours bafoué, au-delà du pessi
85
et les tristes événements ? Sont-ils vraiment des
frères
— et des frères dans l’Église ? Oh ! je ne demande pas que nos parois
86
vénements ? Sont-ils vraiment des frères — et des
frères
dans l’Église ? Oh ! je ne demande pas que nos paroisses décrètent du
87
e témoignage collectif, dans la communauté de mes
frères
, connus ou inconnus. Après cela, même si le sermon n’est pas des meil
88
y trouvent aussi des possibilités de servir leurs
frères
. Ils se voient donc libérés, et du même coup engagés dans un corps so
89
cette vocation unique le met en relation avec des
frères
, et l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l’homme que j’app
90
y trouvent aussi des possibilités de servir leurs
frères
. Ils se voient donc libérés, et du même coup engagés dans un corps so
91
Apocalypse le désigne comme « l’Accusateur de nos
frères
, celui qui les accuse devant Dieu jour et nuit »3. C’est lui qui dema
92
Apocalypse le désigne comme « l’Accusateur de nos
frères
, celui qui les accuse devant Dieu jour et nuit ». C’est lui qui deman
93
Apocalypse le désigne comme « l’Accusateur de nos
frères
, celui qui les accuse devant Dieu jour et nuit ». C’est lui qui deman
94
Apocalypse le désigne comme « l’Accusateur de nos
frères
, celui qui les accuse devant Dieu jour et nuit ». C’est lui qui deman
95
son œuvre. Sa fortune, il la confia à l’un de ses
frères
, ne voulant pas avoir affaire aux banques. Lorsqu’il mourut à 42 ans
96
igeux. Sur l’autre rive, la cloche du couvent des
frères
paulistes — joyeux nageurs, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpre
97
a voudrais fondée sur la situation d’un groupe de
frères
prenant la communion. 2. Que l’Église offre un type de relations cult
98
ne part une activité sociale qui le relie à ses «
frères
» et le sauve de la solitude ; d’autre part, il revêt une dignité hum
99
laboration pluraliste et organique ; au couple de
frères
ennemis que forment l’individu déraciné et la masse totalitaire, le c
100
du déraciné et la masse totalitaire, le couple de
frères
amis que forment la personne et la communauté fédérale. Vouloir le fé
101
angers du jeu ont été opérer ailleurs, et que les
frères
ennemis se retrouvent entre eux, avec leurs ruines, dans ces villes à
102
igeux. Sur l’autre rive, la cloche du couvent des
Frères
paulistes — joyeux nageurs, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpre
103
! » Ebo a un autre secret : il sait que l’un des
frères
de sa mère complote avec l’ex-kronprinz pour une restauration de l’Em
104
ous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes
frères
! Nous traînons tous notre sabot, qui, loin de s’user, ne tarde pas à
105
me devant une sainte. « Et pendant que l’aîné des
frères
racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se
106
parfois raison. À Hic et Nunc j’étais avec des
frères
, mais seul préoccupé de tirer de nos recherches et de nos certitudes
107
, au comble de son éloquence, s’écrie : « Et, mes
frères
! si l’on vient encore vous dire que je suis un empoisonneur des cons
108
qu’il se met sur ses deux pattes au milieu de ses
frères
verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’homme couché ; tout au plus
109
Ici où je suis sans prochain à cette heure où mes
frères
(?) les hommes sont plus éloignés que jamais ? « La nuit est faite po
110
nauté. Car s’il est vrai que tous les hommes sont
frères
de par leur commune origine, cela nous conduit tout au plus à élargir
111
ombreux. Rien n’empêchera que nous soyons ici des
frères
en communion avec l’Église universelle. Rien n’empêchera que dans ce
112
Paul, il n’y a plus ni Juif ni Grec, et tu es mon
frère
en la cité nouvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon frère
113
uvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon
frère
encore si tu la refuses, parce que j’espère pour toi, mon ennemi… Mai
114
angers du jeu ont été opérer ailleurs, et que les
frères
ennemis se retrouvent entre eux, avec leurs ruines, dans ces villes à
115
igeux. Sur l’autre rive, la cloche du couvent des
Frères
paulistes — joyeux nageurs, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpre
116
, il semble bien que sa famille (ses parents, ses
frères
et sa sœur) joue un rôle important dans la vie de Marcel. — Depuis qu
117
ère épouse une Française, puis une Anglaise ; son
frère
, une Française, puis une Allemande. Et des trois autres branches de l
118
, la méfiance ou l’indifférence de ses voisins et
frères
en civilisation. Ceux-ci seraient donc bien mal venus à se plaindre a
119
es allemands et gaullistes français se découvrent
frères
et complices des insulaires de gauche et de droite, des communistes,
120
a race humaine et d’enseigner la modération à ces
frères
trop sûrs d’eux-mêmes. L’union nous en rendra capables. La désunion p
121
a race humaine et d’enseigner la modération à ces
frères
trop sûrs d’eux-mêmes. L’Union nous en rendra capables. La désunion p
122
vingt ans de silence, vingt ans de dictature : «
Frères
, marchons ensemble vers la liberté ! » Mais rien de tout cela ne sera
123
vingt ans de silence, vingt ans de dictature : «
Frères
, marchons ensemble vers la liberté. » Mais rien de tout cela ne sera
124
peuvent être résolus qu’au-delà du tête-à-tête de
frères
ennemis. Accusé de cléricalisme par la gauche, de « progressisme » pa
125
ns de l’Histoire, p. 79.) 13. Tout homme est mon
frère
, quoi qu’il fasse ou pense, si je suis chrétien. Tout camarade peut à
126
Pierre de Bruys jusqu’à un Amaury de Bène et aux
frères
ortliebiens de Strasbourg, tous condamnent le mariage, — que par aill
127
ères, nous le devons avant tout, désormais, à nos
frères
asservis de l’Est, à tous ceux qui sont morts pour « l’Europe notre m
128
recs, et dans ces armées se trouveront les quatre
frères
et le père du coupé en deux. Ce qui manque ici, c’est l’idée grecque
129
recs, et dans ces armées se trouveront les quatre
frères
et le père du coupé en deux. Ce qui manque ici, c’est l’idée grecque
130
ns de l’Histoire, p. 79.) 38. Tout homme est mon
frère
, quoi qu’il fasse ou pense, si je suis chrétien. Tout camarade peut à
131
e, le désir d’une gloire inouïe qui vengerait ses
frères
humiliés51, la soif d’un Inconnu dont les merveilles absurdes ne sero
132
avec le Monde, tous les Européens se découvriront
frères
, et verront mieux leur vocation commune. ⁂ Solutions dispersées, be
133
l, dit à plusieurs reprises d’elle-même et de son
frère
: « Nous aurons été les derniers romantiques de l’amour… Au fond, c’e
134
central, Ulrich von X., qui me ressemble comme un
frère
, reporte sa passion, déçue par la réalité, sur sa propre sœur, c’est-
135
interdit qui unira ses héros : Ulrich et Agathe,
frère
et sœur. Admirable coïncidence, qu’il faut bien attribuer à la logiqu
136
être 12 ans, en compagnie d’un père très jeune ou
frère
aîné. Sa façon d’entrer, de s’asseoir, de tendre négligemment au cont
137
umour impitoyable des réflexions échangées par le
frère
et la sœur, la qualité de leurs exigences morales et de leurs nostalg
138
nt poussés, inconciliables. Première version : le
frère
et la sœur cèdent à leur amour, réfugiés sans passeports dans une île
139
’y passe rien qu’une longue conversation entre le
frère
et la sœur qui s’aiment, dans leur jardin où choit sans fin du haut d
140
nore qui ébranle la terre guidait en personne son
frère
sur la route marine ; autour de lui s’assemblaient les tritons, bruya
141
de Thasos. Enfin Cadmus, le plus célèbre des cinq
frères
va d’abord à Rhodes, puis en Thrace et de là, à Delphes. Il interroge
142
de son image mythique qui fait découvrir aux cinq
frères
sa réalité géographique. Voilà qui est plein d’enseignements. Recherc
143
quoi entendre une parenté directe, comme celle du
frère
et de la sœur. Cependant, il y a un lien indirect, et c’est encore la
144
tion ouverte, qui appelle chez elle quiconque est
frère
ou veut l’être. De leur côté, invasion ; du côté de la France, expans
145
destinée d’échouer devant l’infini ? Ou bien, mes
frères
, ou bien ? — Dans Ecce Homo, Nietzsche commente : Ce livre se termi
146
es » Polonais établissent des contacts avec leurs
frères
des pays voisins. Seul, un certain patriotisme sentimental, à la fois
147
tous ses papiers, à sa sortie de France.) Par son
frère
, professeur de chimie à Chicago, il s’était fait envoyer de l’argent