1 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
1 Et puis voici François Barraud, le plus jeune des frères . Il vient apporter des dessins qui ressemblent beaucoup aux petites h
2 ie et renforce l’expression. Décidément ces trois frères sont une école. Délaissant un moment ce trésor du meilleur réalisme,
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
3 s étions marqués par Numa Droz et les manuels des Frères ∴, par l’esprit petit-bourgeois, qui est une généralisation de l’avar
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
4 famille indignée, une mère qui souffre, un jeune frère qui rêve. Le livre se résout dans une amertume vague. Ceux qui ont lu
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 ous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères  ! Nous traînons tous notre sabot, qui, loin de s’user, ne tarde pas à
5 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 ous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères  ! Nous traînons tous notre sabot, qui, loin de s’user, ne tarde pas à
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 me devant une sainte. « Et pendant que l’aîné des frères racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 ous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères  ! Nous traînons tous notre sabot, qui, loin de s’user, ne tarde pas à
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
9  ! » Ebo a un autre secret : il sait que l’un des frères de sa mère complote avec l’ex-kronprinz pour une restauration de l’Em
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 me devant une sainte. « Et pendant que l’aîné des frères racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
11 ère épouse une Française, puis une Anglaise ; son frère , une Française, puis une Allemande. Et des trois autres branches de l
11 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
12 que nul homme n’est en mesure de la donner à son frère  : c’est la foi. Tout au plus pouvons-nous, par des affirmations qui t
12 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
13 vez fait cela à un seul des plus petits parmi mes frères que voici, c’est à moi que vous l’avez fait. » Et si ce tu, non seule
14 rité, — qui refuse donc d’être le prochain de son frère . 10. ou tout autre « isme » qu’on voudra. f. « Grammaire de la pers
13 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
15 on œuvre ; sa fortune, il la confia à l’un de ses frères , ne voulant pas avoir affaire aux banques. Lorsqu’il mourut, à 42 ans
14 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
16 éricorde par lequel je deviens le prochain de mon frère . C’est l’acte personnel qui fonde la seule communauté vivante.
15 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
17 e a provoqué l’inévitable et juste révolte de nos frères athées. Il n’est de charité bien ordonnée que celle qui commence par
16 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
18 éricorde par lequel je deviens le prochain de mon frère . C’est l’acte personnel qui fonde la seule communauté vivante.
17 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
19 t ici simplement de répondre à l’objection de nos frères romanisés. Si les formules par lesquelles je résume leurs croyances n
20 là l’opposition réelle, du noir au blanc, que nos frères catholiques ont tant de peine à distinguer. Et comment la distinguera
21 i nous fournit son critère objectif. Pourquoi nos frères catholiques nous reprochent-ils notre subjectivisme, à nous qui recon
22 a croie, que je lui obéisse et qu’elle me sauve ? Frères catholiques, à la question que vous adressez à la Réforme, du haut d’
18 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
23 Il nous faut revenir encore au méchant couple des frères ennemis, spiritualistes et matérialistes. Car ils ont en commun cette
24 rticularité, qui refuse d’être le prochain de son frère . 100. « Et l’ange me dit : Prends le livre et avale-le. » Ainsi Jean
19 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
25 Il nous faut revenir encore au méchant couple des frères ennemis, spiritualistes et matérialistes. Car ils ont en commun cette
26 rticularité, qui refuse d’être le prochain de son frère . 103. « Et l’ange me dit : Prends le livre et avale-le. » Ainsi Jean
20 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
27 ci où je suis sans prochain, à cette heure ou mes frères (?) les hommes sont plus éloignés que jamais ? « La nuit est faite po
21 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
28 des hommes parmi les hommes, voici qu’ils ont des frères . » Et voici qu’Éluard paraît délivré de l’esthétisme aristocratique d
22 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
29 , au comble de son éloquence, s’écrie : « Et, mes frères  ! si l’on vient encore vous dire que je suis un empoisonneur des cons
23 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
30 C’est aussi la croisade des fascismes contre leur frère , le stalinisme : une guerre de religions qui ne sont pas les nôtres.
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
31 , au comble de son éloquence, s’écrie : « Et, mes frères  ! si l’on vient encore vous dire que je suis un empoisonneur des cons
25 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
32 qu’il se met sur ses deux pattes au milieu de ses frères verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’homme couché ; tout au plus
33 Ici où je suis sans prochain à cette heure où mes frères (?) les hommes sont plus éloignés que jamais ? « La nuit est faite po
34 nauté. Car s’il est vrai que tous les hommes sont frères de par leur commune origine, cela nous conduit tout au plus à élargir
26 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
35 ble, sa mythologie. Goliath, Joseph vendu par ses frères , Jonas dans sa baleine, l’ânesse de Balaam, David et Jonathan, Absalo
36 lèvement ! » (v. 12). « En effet, je ne veux pas, frères , que vous ignoriez ce mystère, de peur que vous ne présumiez trop de
27 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
37 ut tirer nul intérêt : il la confia à l’un de ses frères , pour éviter d’avoir affaire aux banques, et lorsqu’il mourut, l’on s
28 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
38 , selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères , demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (
29 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
39 ombreux. Rien n’empêchera que nous soyons ici des frères en communion avec l’Église universelle. Rien n’empêchera que dans ce
30 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
40 ul, « il n’y a plus ni Juif ni Grec, et tu es mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon frère
41 uvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon frère encore si tu la refuses, parce que j’espère pour toi, mon ennemi… » M
31 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
42 ui peut le sauver. Mais le géant Morholt était le frère de cette reine, aussi Tristan se garde-t-il d’avouer son nom et l’ori
32 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
43 x ou consolamentum que donne le prêtre au nouveau frère pendant la cérémonie d’initiation. Encore est-ce moins un sacrement a
44 ur est dans l’angoisse : c’est que tout ce que le frère me refuse, j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « d
45 recherches, dans les procédures dressées par nos frères , je n’ai pas trouvé que les hérétiques « consolés » se livrassent en
33 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
46 faire aucune attention. » De même, à l’un de ses frères qui ne pouvait communier sans éprouver d’émoi sexuel, et à qui l’on a
47 ment chaque semaine, quoi qu’il advienne, — et le frère se trouve guéri, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut p
34 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
48 Bas, chez les lollards anglais, chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites), mais aussi chez les hérétiques des
35 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
49 , selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères , demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (
36 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
50 tachements humains. Quelle vocation ? Celle des «  frères mendiants » qui s’en vont sur les routes, au hasard, abandonnés au so
51 ment de l’auteur à voir le nom et les conseils du Frère sans cesse revendiqués par les protestants au cours des disputes conc
37 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
52 y trouvent aussi des possibilités de servir leurs frères . Ils se voient donc libérés, et du même coup engagés dans un corps so
38 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
53 la place. Belle nuit de mai ! Approchez-vous, les frères . Le pèlerin. —  Merci. (Ils s’approchent.) Un autre pèlerin. — 
54 d, tout à l’heure, quand tu te tiendras devant le frère , avec ses yeux tout doux qui vous transpercent comme un petit vent du
55 che). —  Bénis soyez-vous de Dieu, chers pères et frères . Pourquoi êtes-vous venus dans cette solitude ? L’abbé. —  Notre c
56 ur. —  Si tous les pauvres étaient comme toi, bon frère , ils ne songeraient pas à la révolte. Nicolas. —  Tu dis vrai. Mai
57 pour vous avertir ? Pardonnez-moi, chers pères et frères . C’est un plus grand que nous qui peut nous éclairer. L’abbé. —  T
58 aux pèlerins). —  Bénis soyez-vous de Dieu, chers frères et sœurs. D’où venez-vous ? Le 1er pèlerin. —  Nous sommes venus d
39 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
59 ux.) Haimo. —  Au nom du ciel, efforce-toi, mon frère  ! Le temps fuit ! (Nicolas se relève, fait quelques pas. Sur le plan
60 lui-même ne les signe dans leurs cœurs ! Va, bon frère , et hâte-toi ! Haimo. —  Adieu ! (Il fait deux pas.) Nicolas. —
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
61 ui peut le sauver. Mais le géant Morholt était le frère de cette reine, aussi Tristan se garde-t-il d’avouer son nom et l’ori
41 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
62 se donnait, lors des cérémonies d’initiation, aux frères qui acceptaient de renoncer le monde, et s’engageaient solennellement
63 « purs », puis le baiser de paix échangé par les frères . Après quoi, l’initié devenait objet de vénération pour les simples c
64 ur est dans l’angoisse : c’est que tout ce que le frère me refuse, j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « d
65 recherches, dans les procédures dressées par nos frères , je n’ai pas trouvé que les hérétiques « consolés » se livrassent en
66 Pierre de Bruys jusqu’à un Amaury de Bène et aux frères ortliebiens de Strasbourg, tous condamnent le mariage, — que par aill
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
67 faire aucune attention. » De même, à l’un de ses frères qui ne pouvait communier sans éprouver l’émoi sexuel, et à qui l’on a
68 ement chaque semaine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve guéri, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut p
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
69 136, chez les lollards anglais, chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites), mais aussi chez les hérétiques des
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
70 , selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères , demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
71 ui peut le sauver. Mais le géant Morholt était le frère de cette reine, aussi Tristan se garde-t-il d’avouer son nom et l’ori
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
72 se donnait, lors des cérémonies d’initiation, aux frères qui acceptaient de renoncer le monde, et s’engageaient solennellement
73 « purs », puis le baiser de paix échangé par les frères . Après quoi, l’initié devenait objet de vénération pour les simples c
74 ur est dans l’angoisse : c’est que tout ce que le frère me refuse, j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « d
75 recherches, dans les procédures dressées par nos frères , je n’ai pas trouvé que les hérétiques « consolés » se livrassent en
76 Pierre de Bruys jusqu’à un Amaury de Bène et aux frères ortliebiens de Strasbourg, tous condamnent le mariage — que par aille
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
77 faire aucune attention. » De même, à l’un de ses frères qui ne pouvait communier sans éprouver l’émoi sexuel, et à qui l’on a
78 ement chaque semaine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve guéri, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut p
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
79 125, chez les lollards anglais, chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites), mais aussi chez les hérétiques des
49 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
80 , selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères , demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (
50 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
81 cette vocation unique le met en relation avec des frères et l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l’homme que j’appe
51 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
82 en avoir une. » C’est parce que Niemöller et ses frères savaient cela qu’ils ont résisté, qu’ils résistent. d. « “Dieu prem
52 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
83 t aussi, probablement, sa vie et celle de tant de frères . Mais au-delà de l’optimisme humain toujours bafoué, au-delà du pessi
53 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
84 t aussi, probablement, sa vie et celle de tant de frères . Mais au-delà de l’optimisme humain toujours bafoué, au-delà du pessi
54 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
85 et les tristes événements ? Sont-ils vraiment des frères — et des frères dans l’Église ? Oh ! je ne demande pas que nos parois
86 vénements ? Sont-ils vraiment des frères — et des frères dans l’Église ? Oh ! je ne demande pas que nos paroisses décrètent du
87 e témoignage collectif, dans la communauté de mes frères , connus ou inconnus. Après cela, même si le sermon n’est pas des meil
55 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
88 y trouvent aussi des possibilités de servir leurs frères . Ils se voient donc libérés, et du même coup engagés dans un corps so
56 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
89 cette vocation unique le met en relation avec des frères , et l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l’homme que j’app
57 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
90 y trouvent aussi des possibilités de servir leurs frères . Ils se voient donc libérés, et du même coup engagés dans un corps so
58 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
91 Apocalypse le désigne comme « l’Accusateur de nos frères , celui qui les accuse devant Dieu jour et nuit »3. C’est lui qui dema
59 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
92 Apocalypse le désigne comme « l’Accusateur de nos frères , celui qui les accuse devant Dieu jour et nuit ». C’est lui qui deman
60 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
93 Apocalypse le désigne comme « l’Accusateur de nos frères , celui qui les accuse devant Dieu jour et nuit ». C’est lui qui deman
61 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IV : L’accusateur (5 novembre 1943)
94 Apocalypse le désigne comme « l’Accusateur de nos frères , celui qui les accuse devant Dieu jour et nuit ». C’est lui qui deman
62 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
95 son œuvre. Sa fortune, il la confia à l’un de ses frères , ne voulant pas avoir affaire aux banques. Lorsqu’il mourut à 42 ans
63 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
96 igeux. Sur l’autre rive, la cloche du couvent des frères paulistes — joyeux nageurs, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpre
64 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
97 a voudrais fondée sur la situation d’un groupe de frères prenant la communion. 2. Que l’Église offre un type de relations cult
65 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
98 ne part une activité sociale qui le relie à ses «  frères  » et le sauve de la solitude ; d’autre part, il revêt une dignité hum
99 laboration pluraliste et organique ; au couple de frères ennemis que forment l’individu déraciné et la masse totalitaire, le c
100 du déraciné et la masse totalitaire, le couple de frères amis que forment la personne et la communauté fédérale. Vouloir le fé
66 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
101 angers du jeu ont été opérer ailleurs, et que les frères ennemis se retrouvent entre eux, avec leurs ruines, dans ces villes à
67 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
102 igeux. Sur l’autre rive, la cloche du couvent des Frères paulistes — joyeux nageurs, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpre
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
103  ! » Ebo a un autre secret : il sait que l’un des frères de sa mère complote avec l’ex-kronprinz pour une restauration de l’Em
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
104 ous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères  ! Nous traînons tous notre sabot, qui, loin de s’user, ne tarde pas à
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
105 me devant une sainte. « Et pendant que l’aîné des frères racontait tout ce qui était arrivé, un parfum de millions de roses se
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
106 parfois raison. À Hic et Nunc j’étais avec des frères , mais seul préoccupé de tirer de nos recherches et de nos certitudes
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
107 , au comble de son éloquence, s’écrie : « Et, mes frères  ! si l’on vient encore vous dire que je suis un empoisonneur des cons
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
108 qu’il se met sur ses deux pattes au milieu de ses frères verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’homme couché ; tout au plus
109 Ici où je suis sans prochain à cette heure où mes frères (?) les hommes sont plus éloignés que jamais ? « La nuit est faite po
110 nauté. Car s’il est vrai que tous les hommes sont frères de par leur commune origine, cela nous conduit tout au plus à élargir
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
111 ombreux. Rien n’empêchera que nous soyons ici des frères en communion avec l’Église universelle. Rien n’empêchera que dans ce
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
112 Paul, il n’y a plus ni Juif ni Grec, et tu es mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon frère
113 uvelle si tu partages mon espérance. Et tu es mon frère encore si tu la refuses, parce que j’espère pour toi, mon ennemi… Mai
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
114 angers du jeu ont été opérer ailleurs, et que les frères ennemis se retrouvent entre eux, avec leurs ruines, dans ces villes à
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
115 igeux. Sur l’autre rive, la cloche du couvent des Frères paulistes — joyeux nageurs, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpre
116 , il semble bien que sa famille (ses parents, ses frères et sa sœur) joue un rôle important dans la vie de Marcel. — Depuis qu
78 1948, Suite neuchâteloise. IV
117 ère épouse une Française, puis une Anglaise ; son frère , une Française, puis une Allemande. Et des trois autres branches de l
79 1952, Articles divers (1951-1956). Grandeur de la Petite Europe (5 décembre 1952)
118 , la méfiance ou l’indifférence de ses voisins et frères en civilisation. Ceux-ci seraient donc bien mal venus à se plaindre a
80 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
119 es allemands et gaullistes français se découvrent frères et complices des insulaires de gauche et de droite, des communistes,
81 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aller et retour (avril 1953)
120 a race humaine et d’enseigner la modération à ces frères trop sûrs d’eux-mêmes. L’union nous en rendra capables. La désunion p
82 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
121 a race humaine et d’enseigner la modération à ces frères trop sûrs d’eux-mêmes. L’Union nous en rendra capables. La désunion p
83 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
122 vingt ans de silence, vingt ans de dictature : «  Frères , marchons ensemble vers la liberté ! » Mais rien de tout cela ne sera
84 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
123 vingt ans de silence, vingt ans de dictature : «  Frères , marchons ensemble vers la liberté. » Mais rien de tout cela ne sera
85 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
124 peuvent être résolus qu’au-delà du tête-à-tête de frères ennemis. Accusé de cléricalisme par la gauche, de « progressisme » pa
86 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
125 ns de l’Histoire, p. 79.) 13. Tout homme est mon frère , quoi qu’il fasse ou pense, si je suis chrétien. Tout camarade peut à
87 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
126 Pierre de Bruys jusqu’à un Amaury de Bène et aux frères ortliebiens de Strasbourg, tous condamnent le mariage, — que par aill
88 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe s’inscrit dans les faits [Introduction] (novembre 1956)
127 ères, nous le devons avant tout, désormais, à nos frères asservis de l’Est, à tous ceux qui sont morts pour « l’Europe notre m
89 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
128 recs, et dans ces armées se trouveront les quatre frères et le père du coupé en deux. Ce qui manque ici, c’est l’idée grecque
90 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
129 recs, et dans ces armées se trouveront les quatre frères et le père du coupé en deux. Ce qui manque ici, c’est l’idée grecque
91 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
130 ns de l’Histoire, p. 79.) 38. Tout homme est mon frère , quoi qu’il fasse ou pense, si je suis chrétien. Tout camarade peut à
92 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
131 e, le désir d’une gloire inouïe qui vengerait ses frères humiliés51, la soif d’un Inconnu dont les merveilles absurdes ne sero
93 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
132 avec le Monde, tous les Européens se découvriront frères , et verront mieux leur vocation commune. ⁂ Solutions dispersées, be
94 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
133 l, dit à plusieurs reprises d’elle-même et de son frère  : « Nous aurons été les derniers romantiques de l’amour… Au fond, c’e
134 central, Ulrich von X., qui me ressemble comme un frère , reporte sa passion, déçue par la réalité, sur sa propre sœur, c’est-
135 interdit qui unira ses héros : Ulrich et Agathe, frère et sœur. Admirable coïncidence, qu’il faut bien attribuer à la logiqu
136 être 12 ans, en compagnie d’un père très jeune ou frère aîné. Sa façon d’entrer, de s’asseoir, de tendre négligemment au cont
137 umour impitoyable des réflexions échangées par le frère et la sœur, la qualité de leurs exigences morales et de leurs nostalg
138 nt poussés, inconciliables. Première version : le frère et la sœur cèdent à leur amour, réfugiés sans passeports dans une île
139 ’y passe rien qu’une longue conversation entre le frère et la sœur qui s’aiment, dans leur jardin où choit sans fin du haut d
95 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
140 nore qui ébranle la terre guidait en personne son frère sur la route marine ; autour de lui s’assemblaient les tritons, bruya
96 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. IV. Cadmus ou la quête d’Europe
141 de Thasos. Enfin Cadmus, le plus célèbre des cinq frères va d’abord à Rhodes, puis en Thrace et de là, à Delphes. Il interroge
142 de son image mythique qui fait découvrir aux cinq frères sa réalité géographique. Voilà qui est plein d’enseignements. Recherc
97 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
143 quoi entendre une parenté directe, comme celle du frère et de la sœur. Cependant, il y a un lien indirect, et c’est encore la
98 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
144 tion ouverte, qui appelle chez elle quiconque est frère ou veut l’être. De leur côté, invasion ; du côté de la France, expans
99 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
145 destinée d’échouer devant l’infini ? Ou bien, mes frères , ou bien ? — Dans Ecce Homo, Nietzsche commente : Ce livre se termi
100 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
146 es » Polonais établissent des contacts avec leurs frères des pays voisins. Seul, un certain patriotisme sentimental, à la fois
147 tous ses papiers, à sa sortie de France.) Par son frère , professeur de chimie à Chicago, il s’était fait envoyer de l’argent