1
u’on veut de ce paganisme exalté, tout ivre de la
fumée
des sacrifices sanglants. Pour ma part, je le trouve assez peu humain
2
e, un arbre coupé découvrant le manoir perdu, des
fumées
sur un paysage d’hiver et soudain sous la lueur d’un incendie, deux v
3
t de m’aimer… (Froid aux genoux, odeur de vieille
fumée
, et ce refus au sommeil qui meurtrit jusqu’à l’âme.) Convulsions d’or
4
es visions. Les lustres doraient un brouillard de
fumée
, et la musique noyait mes pensées. Je vis qu’une femme était assise à
5
e de ne plus la reconnaître, une fois dissipée la
fumée
des civets, des cigares et des idéologies enivrées. D’ailleurs, cette
6
e de ne plus la reconnaître, une fois dissipée la
fumée
des civets, des cigares et des idéologies enivrées. D’ailleurs, cette
7
ien que j’ai quitté cette table écroulée, dans la
fumée
et les évocations, sous les bouteilles, — et les lampes meurent en je
8
placées au hasard dans l’espace vide où tourne la
fumée
des cigares. Assis sur la banquette, quelques bougres isolés produise
9
elques bougres isolés produisent en silence cette
fumée
, les yeux à terre, dans l’attente. Nous sommes assis autour d’une tab
10
! — Je ne sais plus. — Le train s’attarde dans sa
fumée
, on respire une lourde obscurité qui sent l’enfer. Je ne pense plus q
11
ions, des étendues de toits de tuiles, avec de la
fumée
noire qui s’en échappait. Osaka, la nuit, avait un air étrange, quelq
12
i emmène son chargement de somnambules énervés de
fumée
et qui se cachent dans les journaux du soir, soit lentement doublé pa
13
placées au hasard dans l’espace vide où tourne la
fumée
des cigares. Assis sur la banquette, quelques bougres isolés produise
14
elques bougres isolés produisent en silence cette
fumée
, les yeux à terre, dans l’attente. Nous sommes assis autour d’une tab
15
! — Je ne sais plus. — Le train s’attarde dans sa
fumée
, on respire une lourde obscurité qui sent l’enfer. Je ne pense plus q
16
aiment libre, je lui parlerais très doucement… La
fumée
des cigares lui fait peut-être mal au cœur, et aussi la curiosité sou
17
es. Le « Bummelzug », interminablement, crache sa
fumée
dans des gares de banlieue qui ne sont plus fleuries. Il règne dans c
18
ce wagon un malaise âcre et oppressant ; et cette
fumée
et cette fatigue mal lavée — et cette robe verte seule pure —, et oh
19
ien que j’ai quitté cette table écroulée, dans la
fumée
et les évocations, sous les bouteilles, — et les lampes meurent en je
20
i emmène son chargement de somnambules énervés de
fumée
et qui se cachent dans les journaux du soir, soit lentement doublé pa
21
sont placées au hasard dans l’espace où tourne la
fumée
des cigares. Assis sur la banquette, quelques bougres isolés produise
22
elques bougres isolés produisent en silence cette
fumée
, les yeux à terre, dans l’attente. Nous sommes assis autour d’une tab
23
! — Je ne sais plus. — Le train s’attarde dans sa
fumée
, on respire une lourde obscurité qui sent l’enfer. Je ne pense plus q
24
aiment libre, je lui parlerais très doucement… La
fumée
des cigares lui fait peut-être mal au cœur, et aussi la curiosité sou
25
es. Le « Bummelzug », interminablement, crache sa
fumée
dans des gares de banlieue qui ne sont plus fleuries. Il règne dans c
26
ce wagon un malaise âcre et oppressant ; et cette
fumée
et cette fatigue mal lavée — et cette robe verte seule pure —, et oh
27
et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des
fumées
traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à l
28
défauts blancs. Un petit fuseau clair y traîne sa
fumée
, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que no
29
n d’atlas). C’est la même civilisation, les mêmes
fumées
sur les tourbières, les mêmes chants tristes, la même vie intérieure…
30
ntale. Mais tout cela, semble-t-il, s’évanouit en
fumée
, comme les fusées d’une fête intempestive. On demande des lumières qu
31
imples questions de mots », et les écarte avec la
fumée
de son cigare. Et c’est cela qui n’est pas dans l’ordre. Cette toléra
32
imples questions de mots », et les écarte avec la
fumée
de son cigare. Et c’est cela qui n’est pas dans l’ordre. Cette toléra
33
it. Vers 2 heures, nous nous réveillons. Une âcre
fumée
remplit la chambre, des lueurs d’incendie passent devant la fenêtre.
34
hambre est imprégnée d’une odeur de laurier et de
fumée
. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de glace sur l’eau du pui
35
it. Vers 2 heures, nous nous réveillons. Une âcre
fumée
remplit la chambre, des lueurs d’incendie passent devant la fenêtre.
36
courent derrière la palissade. Bouffées d’odeurs,
fumées
grasses. La zone, terme des pires déchéances, on le dit… Des familles
37
nait d’allumer un cigare de trente cents, dont la
fumée
montait comme un encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel, ca
38
les fait parfois s’évanouir avec un dégagement de
fumée
noire qui obscurcit le ciel pour un temps, et peut-être nous fait ple
39
nait d’allumer un cigare de trente cents, dont la
fumée
montait comme un encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel, ca
40
les fait parfois s’évanouir avec un dégagement de
fumée
noire qui obscurcit le ciel pour un temps, et peut-être nous fait ple
41
venait d’allumer un cigare de grand prix, dont la
fumée
montait comme un encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel, ca
42
les fait parfois s’évanouir avec un dégagement de
fumée
noire qui obscurcit le ciel pour un temps, et peut-être nous fait ple
43
aginer. Il venait d’allumer un bon cigare dont la
fumée
montait comme un encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel, ca
44
défauts blancs. Un petit fuseau clair y traîne sa
fumée
, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que no
45
t, le bien — ou la paix — n’est à nos yeux qu’une
fumée
, une abstraction, c’est-à-dire, soyons francs, le comble de l’ennui,
46
et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des
fumées
traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à l
47
et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des
fumées
traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à l
48
s sales, pour s’ouvrir enfin toute béante sur les
fumées
de l’East River, au terme d’un parcours rectiligne d’un kilomètre et
49
vague, des roseaux, des marais, des débris et les
fumées
des feux qui les détruisent, lieu de désolation voluptueuse où T. S.
50
et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des
fumées
traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à l
51
s sales, pour s’ouvrir enfin toute béante sur les
fumées
de l’East River, au terme d’un parcours rectiligne d’un kilomètre et
52
défauts blancs. Un petit fuseau clair y traîne sa
fumée
, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que no
53
t, le bien — ou la paix — n’est à nos yeux qu’une
fumée
, une abstraction, c’est-à-dire, soyons francs, le comble de l’ennui,
54
t, le bien — ou la paix — n’est à nos yeux qu’une
fumée
, une abstraction, c’est-à-dire, soyons francs, le comble de l’ennui,
55
i emmène son chargement de somnambules énervés de
fumée
et qui se cachent dans les journaux du soir, soit lentement doublé pa
56
placées au hasard dans l’espace vide où tourne la
fumée
des cigares. Assis sur la banquette, quelques bougres isolés produise
57
elques bougres isolés produisent en silence cette
fumée
, les yeux à terre, dans l’attente. Nous sommes assis autour d’une tab
58
! — Je ne sais plus. — Le train s’attarde dans sa
fumée
, on respire une lourde obscurité qui sent l’enfer. Je ne pense plus q
59
aiment libre, je lui parlerais très doucement… La
fumée
des cigares lui fait peut-être mal au cœur, et aussi la curiosité sou
60
es. Le « Bummelzug », interminablement, crache sa
fumée
dans des gares de banlieue qui ne sont plus fleuries. Il règne dans c
61
ce wagon un malaise âcre et oppressant ; et cette
fumée
et cette fatigue mal lavée — et cette robe verte seule pure —, et oh
62
hambre est imprégnée d’une odeur de laurier et de
fumée
. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de glace sur l’eau du pui
63
Vers deux heures, nous nous réveillons. Une âcre
fumée
remplit la chambre, des lueurs d’incendie passent devant la fenêtre.
64
courent derrière la palissade. Bouffées d’odeurs,
fumées
grasses. La zone, terme des pires déchéances, on le dit… Des familles
65
vague, des roseaux, des marais, des débris et les
fumées
des feux qui les détruisent, lieu de désolation voluptueuse où T. S.
66
et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des
fumées
traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à l
67
arlez dans le numéro spécial de View ? « Quand la
fumée
du tabac sent aussi de la bouche qui l’exhale, les deux odeurs s’épou
68
s sales, pour s’ouvrir enfin toute béante sur les
fumées
de l’East River, au terme d’un parcours rectiligne d’un kilomètre et
69
défauts blancs. Un petit fuseau clair y traîne sa
fumée
, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que no
70
s sales, pour s’ouvrir enfin toute béante sur les
fumées
de l’East River, au terme d’un parcours rectiligne d’un kilomètre et
71
vague, des roseaux, des marais, des débris et les
fumées
des feux qui les détruisent, lieu de désolation voluptueuse où T. S.
72
c comme une cellule de moine, tout embrumé par la
fumée
des pipes, que je rencontre, conversant avec Brice Parain et le Père
73
n d’atlas). C’est la même civilisation, les mêmes
fumées
sur les tourbières, les mêmes chants tristes, la même vie intérieure…
74
nte, à moitié démolie, et d’où montent, comme les
fumées
d’un sol volcanique, la haine, la douleur et l’espérance. Europe, vas
75
électrification : cuisines astiquées, trains sans
fumée
, peu de cheminées d’usines, luxueuse illumination des villes. Les cam
76
s les grandes villes l’odeur fade et sucrée de la
fumée
, qui provoque à la fois la somnolence et l’insomnie. On n’arrivait pl
77
mment ou non, certaines fins. Derrière l’écran de
fumée
que constituent les prétextes généralement invoqués pour ne pas repos
78
y ramène. La technique au xixe siècle signifiait
fumée
noire, murs noircis, travail à la chaîne et ouvriers esclaves de la m
79
st un accent, et d’où sortent pêle-mêle comme une
fumée
deux-mille ans de souvenirs… J’étais seul, je rêvais — qui n’eût rêvé
80
électrification : cuisines astiquées, trains sans
fumée
, peu de cheminées d’usines, luxueuse illumination des villes. Les cam
81
arlez dans le numéro spécial de View ? « Quand la
fumée
du tabac sent aussi de la bouche qui l’exhale, les deux odeurs s’épou
82
re un arbre coupé découvrant le manoir perdu, des
fumées
sur un paysage d’hiver, et soudain, sous la lueur d’un incendie, deux
83
ait la vallée à la misère. Elle préfère encore la
fumée
. — Le 20 janvier, pour la quatrième fois en six ans, une vague d’eau
84
es d’anti-pollution — telles que l’absorption des
fumées
et gaz délétères dans les villes, l’auto sans essence, l’avion à réac
85
par agressions directes dans les villes : bruits,
fumées
, odeurs, bousculades ou encombrements de toute nature dont la cause e
86
mie de très coûteuses mesures de lutte contre les
fumées
, le bruit, les radiations, les névroses collectives, la criminalité e
87
aire l’ouvre indûment. Pas seulement ces épaisses
fumées
noires ou sulfureuses auxquelles le mot de pollution fait penser d’ab
88
ature ou sans détour, l’homme qui vous souffle sa
fumée
en plein visage, qui refuse d’abaisser sa « tonalité » dans la pièce
89
es nucléaires. C’est propre, nous dit-on, pas une
fumée
n’en sort, ni même de gaz ou de vapeurs incolores ; c’est le dernier
90
3. « Le nucléaire : énergie propre. » — Pas de
fumées
sulfureuses, en effet. Et le rayonnement, qui malgré tout traverse le
91
les, l’obscurcissement du tiers des cieux par les
fumées
sortant du « puits de l’abîme », les monstres cuirassés qui tuent le
92
ais la voilà détruite « en une seule heure… et sa
fumée
monte au siècle des siècles » (chap. 19) en un énorme champignon. Pui
93
ensibles qui pouvaient avertir : fracas, laideur,
fumées
toxiques, danger permanent d’écraser le corps humain par le poids et
94
es nucléaires. C’est propre, nous dit-on, pas une
fumée
n’en sort, c’est le dernier cri de la technique. Ce sera rentable dan
95
sur la nature et le temps ? Laisse ton âme, cette
fumée
si elle existe, libère-toi du souci d’être en soi et d’être toi, poss
96
n y détruit les arbres, le sol, les champs, et la
fumée
détruit tout ce que le ciment a épargné, ou la pierre — et n’a pas no
97
, alors tant pis pour la pollution, le bruit, les
fumées
, les radiations, les névroses collectives… Cela coûte très cher. En f
98
strie. Les mesures anti-pollution (absorption des
fumées
et gaz dans les villes, autos sans essence, avions à réaction silenci