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er, aujourd’hui Caldwell. On parlait autrefois de
gauloiserie
. Il faudra dire désormais : américanisme. Mais on risque bien de comm
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rreur que la critique française à l’endroit de la
gauloiserie
: on s’imagine que c’est du réalisme, que c’est enfin la « vraie » na
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n opposition avec la conception romantique. Or la
gauloiserie
, aussi bien que la courtoisie, est une fiction romantique. La pensée
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simplifiée et illusoire. Tout ce qui constitue la
gauloiserie
: la licence fantaisiste, le dédain de toutes les complications natur
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du Dr Maranon en faveur de la monogamie. 95. La
gauloiserie
n’étant pas moins que la passion une évasion hors du réel, une façon
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aux parties basses de la littérature française :
gauloiserie
, gaillardise, rationalisme polémique, misogynie curieusement exaspéré
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quel sera l’autre ! 5.Un idéal à rebours : la
gauloiserie
Imposer un style à la vie des passions — ce rêve de tout le Moyen
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al des épopées courtoises ? Il me paraît que la «
gauloiserie
» n’est qu’un pétrarquisme à rebours. « On aime à opposer — écrit J.
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n opposition avec la conception romantique. Or la
gauloiserie
, aussi bien que la courtoisie, est une fiction romantique. La pensée
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simplifiée et illusoire. Tout ce qui constitue la
gauloiserie
: la licence fantaisiste, le dédain de toutes les complications natur
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ême : celui de la luxure. » Ce lien profond de la
gauloiserie
et de l’amour alambiqué, on le surprend dans une satire du xiiie siè
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un trait brutal ces éloges. Autre complicité : la
gauloiserie
démolit le mariage par en bas, alors que la chevalerie le ridiculisai
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xemple. Le xviiie est trop poli pour admettre la
gauloiserie
: il la remplace par une affectation de facilité voluptueuse. Cette b
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du Dr Marañon en faveur de la monogamie. 198. La
gauloiserie
n’étant pas moins que la passion une évasion hors du réel, une façon
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aux parties basses de la littérature française :
gauloiserie
, gaillardise, rationalisme, polémique, misogynie curieusement exaspér
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quel sera l’autre ! 5.Un idéal à rebours : la
gauloiserie
Imposer un style à la vie des passions — ce rêve de tout le Moyen
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al des épopées courtoises ? Il me paraît que la «
gauloiserie
» n’est qu’un pétrarquisme à rebours. « On aime à opposer — écrit J.
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n opposition avec la conception romantique. Or la
gauloiserie
, aussi bien que la courtoisie, est une fiction romantique. La pensée
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simplifiée et illusoire. Tout ce qui constitue la
gauloiserie
: la licence fantaisiste, le dédain de toutes les complications natur
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ême : celui de la luxure. » Ce lien profond de la
gauloiserie
et de l’amour alambiqué, on le surprend dans une satire du xiiie siè
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un trait brutal ces éloges. Autre complicité : la
gauloiserie
démolit le mariage par en bas, alors que la chevalerie le ridiculisai
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xemple. Le xviiie est trop poli pour admettre la
gauloiserie
: il la remplace par une affectation de facilité voluptueuse. Cette b
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du Dr Maranon en faveur de la monogamie. 216. La
gauloiserie
n’étant pas moins que la passion une évasion hors du réel, une façon
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aux parties basses de la littérature française :
gauloiserie
, gaillardise, rationalisme, polémique, misogynie curieusement exaspér
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quel sera l’autre ! 5.Un idéal à rebours : la
gauloiserie
Imposer un style à la vie des passions — ce rêve de tout le Moyen
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al des épopées courtoises ? Il me paraît que la «
gauloiserie
» n’est qu’un pétrarquisme à rebours. « On aime à opposer — écrit J.
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n opposition avec la conception romantique. Or la
gauloiserie
, aussi bien que la courtoisie, est une fiction romantique. La pensée
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simplifiée et illusoire. Tout ce qui constitue la
gauloiserie
: la licence fantaisiste, le dédain de toutes les complications natur
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ême : celui de la luxure. » Ce lien profond de la
gauloiserie
et de l’amour alambiqué, on le surprend dans une satire du xiiie siè
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un trait brutal ces éloges. Autre complicité : la
gauloiserie
démolit le mariage par en bas, alors que la chevalerie le ridiculisai
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xemple. Le xviiie est trop poli pour admettre la
gauloiserie
: il la remplace par une affectation de facilité voluptueuse. Cette b
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as de contradiction profonde, nous l’avons vu, la
gauloiserie
n’étant pas moins que la passion une évasion hors du réel, une façon
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i de légèreté, de vraie tendresse mais de « saine
gauloiserie
» ? Et comment pourrait-on y voir ce « soulèvement de l’âme », ce ret
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i de légèreté, de vraie tendresse mais de « saine
gauloiserie
» ? Et comment pourrait-il y voir ce « soulèvement de l’âme », ce ret