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le fédéralisme fut aussi un « projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale ». Rien d’étonnant si beaucoup de Françai
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riand. Pendant la révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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pensée politique et du vocabulaire français. Les
girondins
qui se disaient partisans du fédéralisme — et leur ennemi Robespierre
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ement. Pendant la révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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ement. Pendant la révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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déralisme, et on souleva mille fureurs contre les
girondins
. » Thiers, Histoire de la révolution, chap. I. Pour un Français, la
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ement. Pendant la révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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e : Fédéralisme. En 1792 et 1793, on accusa les
girondins
de vouloir substituer à l’unité nationale le fédéralisme, c’est-à-dir
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montagnards excita le peuple de Paris contre les
girondins
… Les dictionnaires anglais renvoient, eux, à l’exemple de l’Union am
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ement. Pendant la révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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déralisme, et on souleva mille fureurs contre les
girondins
», Thiers, Histoire de la révolution, chap. I. Pour un Français, la
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. 2) « Pendant la Révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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» 2) « Pendant la Révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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nt. 2) Pendant la révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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déralisme, et on souleva mille fureurs contre les
girondins
. Thiers, Histoire de la Révolution. La cause est entendue : le fédér
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ment). Pendant la Révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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édéralisme et on souleva mille fureurs contre les
girondins
» (A. Thiers, Hist. rév. franç.). Pour le Français cultivé que j’ai
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. 2) « Pendant la Révolution, projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédéra
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ance, le fédéralisme fut le « projet attribué aux
girondins
de rompre l’unité nationale ». D’où le Français lettré conclut que Lo
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ème de sauvages, ou bien une utopie attribuée aux
girondins
— c’est-à-dire un instrument de trahison. Vous écrivez, dans la Suite
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État-nation : c’est le 20 avril 1792, lorsque les
girondins
— et non les jacobins — déclarèrent la guerre « aux rois de l’Europe
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l et même mouvement le 20 avril 1792, lorsque les
girondins
, sur le conseil intéressé du roi lui-même, et contre l’opinion de Rob
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les ressources et la vie de la nation. Ce que les
girondins
commencent lorsqu’ils déclarent la guerre à l’Europe des rois pour re
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les ressources et la vie de la nation. Ce que les
girondins
commencent lorsqu’ils déclarent la guerre à l’Europe des rois pour re
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-à-dire que ce sont les jacobins qui accusent les
girondins
, défenseurs des libertés provinciales, d’être des fédéralistes dans l
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e sont les jacobins unitaires qui triomphent. Les
girondins
sont décapités à cause de leur fédéralisme, et dès lors, le terme ser
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ratisme (l’accusation de “fédéralisme” contre les
girondins
en 1792). Plus qu’une notion juridique ou un mode d’organisation poli
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guerre déclarée à presque toute l’Europe par les
girondins
, faite par les jacobins ensuite, a naturellement durci les positions,