1
ysans gardent une méfiance frondeuse vis-à-vis du
gouvernement
, le libérateur va se lever. C’est un descendant de Roland le Camisard
2
ois tyranniques. Le succès grandit rapidement, le
gouvernement
cède. Mais la même inertie du peuple qui donnait tant de mal lorsqu’i
3
. Ces distributeurs automatiques (brevetés par le
gouvernement
) de la manne égalitaire — ne se prennent pas pour de la petite bière.
4
t pour l’art. On ne peut pas en demander tant aux
gouvernements
. La réforme scolaire, politiquement, n’est pas rentable. Il est clair
5
’éduquer le peuple d’une façon désintéressée, les
gouvernements
seraient un peu plus fous qu’on n’ose les imaginer de ne pas entrepre
6
oins pour que l’école rattrape l’époque… Mais les
gouvernements
savent ce qu’ils font. Tout se tient, comme vous dites, sans doute po
7
. Ces distributeurs automatiques (brevetés par le
gouvernement
) de la manne égalitaire — ne se prennent pas pour de la petite bière.
8
t pour l’art. On ne peut pas en demander tant aux
gouvernements
. La réforme scolaire, politiquement, n’est pas rentable. Il est clair
9
’éduquer le peuple d’une façon désintéressée, les
gouvernements
seraient un peu plus fous qu’on n’ose les imaginer de ne pas entrepre
10
oins pour que l’école rattrape l’époque… Mais les
gouvernements
savent ce qu’ils font. Tout se tient, comme vous dites, sans doute po
11
rinces des Prêtres, à MM. les Députés, au chef du
gouvernement
. L’on s’étonne que M. Duhamel n’ait joint à son recueil une épître au
12
persister après le réquisitoire du Commissaire du
gouvernement
. Non pas que ses arguments fussent bien neufs, ni même honnêtement ch
13
de l’avoir accepté. » Sur quoi le commissaire du
gouvernement
croit pouvoir remarquer « que l’on n’est pas ici pour parler de théol
14
amisme neuf, et un accent qui défie la pudeur… Le
gouvernement
et la structure sociale de la Principauté de Neuchâtel, du xve siècl
15
eil d’État saisi de l’administration ordinaire du
gouvernement
, a l’exercice de la Puissance exécutrice. Ses membres sont à la nomin
16
s de deux siècles de participation continuelle au
gouvernement
du pays. Au xixe siècle, Neuchâtel ayant cessé d’être ce qu’il conv
17
des von Papen, délégués par l’industrie lourde au
gouvernement
d’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défens
18
endant leur traversée, un coup d’État renverse le
gouvernement
qui les avait appelés officieusement. Ils hésitent à poursuivre. L’un
19
rait fixé, après des tâtonnements inévitables, un
gouvernement
épris d’économie dirigée mais tenu de respecter les indications de la
20
mmunautaire de la nation. Qu’est-ce qu’un plan de
gouvernement
qui paraît ignorer ce principe ? Qui ne le nomme pas, qui n’essaie mê
21
des von Papen, délégués par l’industrie lourde au
gouvernement
d’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défens
22
saut reste l’expression adéquate d’une méthode de
gouvernement
antipersonnaliste, démocratique au mauvais sens du terme. (Notre pers
23
des von Papen, délégués par l’industrie lourde au
gouvernement
d’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défens
24
saut reste l’expression adéquate d’une méthode de
gouvernement
antipersonnaliste, démocratique au mauvais sens du terme. (Notre pers
25
éfinir la politique comme une simple technique de
gouvernement
. Il serait souhaitable en effet que le ministère des Colonies soit gé
26
. (paru dans L’Ordre nouveau , 1936.) 79. Le
gouvernement
soviétique lutte contre le divorce, alors que toute notre presse bour
27
la prise de pouvoir et les buts collectivistes du
gouvernement
conquis, qui est à l’origine de la crise étatiste de l’URSS. C’est ce
28
u fait (du droit de la philosophie au fait de son
gouvernement
) s’opérera sans qu’il y mette les mains. Par malheur, le droit dont i
29
s l’enfantillage de vouloir modifier une forme de
gouvernement
… » Ce même goût du bonheur, chez l’un et l’autre, ces mêmes façons de
30
ancher les questions importantes. Entre lui et le
gouvernement
, il y a toute une caste de politiciens de métier qui, une fois élus p
31
le sophisme qui assimile « vraie démocratie » et
gouvernement
d’un seul appuyé sur une opinion qu’il s’est créée favorable par les
32
es parlementaires qui appellent « démocratie » le
gouvernement
du peuple par des députés livrés à toutes les intrigues des puissance
33
iées de la véritable démocratie, définie comme le
gouvernement
du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la démocratie pure, n’a jama
34
où le référendum ne peut être provoqué que par le
gouvernement
, comme en Allemagne, en ne saurait parler sans sophisme d’un contrôle
35
nt, et qui pourtant n’ont pas d’autorité. Certain
gouvernement
d’une certaine République nous en donne un exemple typique. L’autorit
36
e. »)40 4. Comment se fait-il qu’une élite ou un
gouvernement
, ou une personne, en viennent à perdre leur autorité ? Autrement dit,
37
de l’Histoire. On n’a jamais pu renverser que des
gouvernements
qui doutaient de leur mission.) Ce problème serait insoluble si l’on
38
éfinir la politique comme une simple technique de
gouvernement
. Il serait souhaitable en effet que le ministère des colonies soit gé
39
strument même du parti qui est meurtrier. 42. Le
gouvernement
soviétique lutte contre le divorce, alors que toute notre presse bour
40
lution est au fond l’œuvre d’une minorité, que le
gouvernement
du prolétariat est au fond un gouvernement pour le prolétariat… Dans
41
que le gouvernement du prolétariat est au fond un
gouvernement
pour le prolétariat… Dans la théorie de la culture, l’idée d’avant-ga
42
lation civile plus nombreuse que la militaire, un
gouvernement
faible et des vieillards puissants. Leur opinion publique est incerta
43
lisables, ni chômeurs de profession, ni crises de
gouvernement
, ni vieillards cramponnés aux commandes, mais une jeunesse discipliné
44
listes du moins. Remarquons tout d’abord qu’aucun
gouvernement
socialiste n’a réussi à instaurer un régime tant soit peu conforme à
45
é de sincérité des chefs. Notons ensuite que ces
gouvernements
, qu’ils soient parlementaires ou dictatoriaux, ont tous montré en fai
46
. L’évolution fatale des choses est substituée au
gouvernement
de l’homme par lui-même. Triomphe du légalisme sur l’autorité de l’es
47
lution est au fond l’œuvre d’une minorité, que le
gouvernement
du prolétariat est au fond un gouvernement pour le prolétariat… Dans
48
que le gouvernement du prolétariat est au fond un
gouvernement
pour le prolétariat… Dans la théorie de la culture, l’idée d’« avant-
49
lation civile plus nombreuse que la militaire, un
gouvernement
faible et des vieillards puissants. Leur opinion publique est incerta
50
lisables, ni chômeurs de profession, ni crises de
gouvernement
, ni vieillards cramponnés aux commandes ; mais une jeunesse disciplin
51
echnique a ses exigences. — Nous ne sommes pas le
gouvernement
. — Sauvegardons l’impartialité de l’intelligence. — Nous sommes des p
52
as des partis, ce ne sont pas des classes, ni des
gouvernements
et autres mythes collectifs. Ce sont des hommes, un à un. Ramassons-l
53
. L’évolution fatale des choses est substituée au
gouvernement
de l’homme par lui-même. Triomphe du légalisme sur l’autorité de l’es
54
lution est au fond l’œuvre d’une minorité, que le
gouvernement
du prolétariat est au fond un gouvernement pour le prolétariat… Dans
55
que le gouvernement du prolétariat est au fond un
gouvernement
pour le prolétariat… Dans la théorie de la culture, l’idée d’« avant-
56
lation civile plus nombreuse que la militaire, un
gouvernement
faible et des vieillards puissants. Leur opinion publique est incerta
57
lisables, ni chômeurs de profession, ni crises de
gouvernement
, ni vieillards cramponnés aux commandes ; mais une jeunesse disciplin
58
echnique a ses exigences. — Nous ne sommes pas le
gouvernement
. — Sauvegardons l’impartialité de l’intelligence. — Nous sommes des p
59
as des partis, ce ne sont pas des classes, ni des
gouvernements
et autres mythes collectifs. Ce sont des hommes, un à un. Ramassons-l
60
marchands de gros, patrons capitalistes, chefs de
gouvernement
, ou classe dirigeante ; en corporations artisanales de production, ou
61
ouloir influencer, ils ressemblent beaucoup à ces
gouvernements
libéraux qui, par crainte de s’imposer ou par ignorance de ce qu’il f
62
hommes sont sur la place et protestent contre le
gouvernement
. Ce sont les radicaux et les socialistes. Les commerçants sont souven
63
ent à Madrid, en Catalogne, à Saint-Sébastien. Le
gouvernement
espagnol annonce qu’il est maître de la situation. Une semaine plus t
64
se sont formés en Europe : la Russie est pour le
gouvernement
, l’Allemagne et l’Italie pour les rebelles. C’est net. Quant à la Fra
65
tout de même une place dans le fameux comité. Le
gouvernement
français, inventeur de la non-intervention, qui sauvegarde la paix, p
66
enfin compris, se décident à s’enrôler. Enfin le
gouvernement
français constate que le chiffre des volontaires engagés par les bure
67
t l’arbre au pied et cueillent le fruit. Voilà le
gouvernement
despotique. » Le refus de la violence appelle la brutalité Conf
68
. Mais qui s’avise d’une telle contradiction ? Le
gouvernement
de la Troisième République, ce défenseur légal de la raison contre le
69
hommes sont sur la place et protestent contre le
gouvernement
. Ce sont les radicaux et les socialistes. Les commerçants sont souven
70
. Mais qui s’avise d’une telle contradiction ? Le
gouvernement
de la Troisième République, ce défenseur légal de la raison contre le
71
narque de l’univers est l’auteur… Quelle forme de
gouvernement
peut donc être plus parfaite que la nôtre, et quels plus grands honne
72
ois partis réunis dans le Front populaire ? Leurs
gouvernements
successifs qualifient l’un après l’autre d’illégales les occupations
73
toute autorité politique, celle-ci appartenant au
gouvernement
proprement dit, émanation des communes fédérées et des patries locale
74
cation de ses pouvoirs strictement définis par le
gouvernement
, et de nature technique ; répartissant ses bénéfices sous forme de mi
75
ous discuterons la possibilité humaine — entre un
gouvernement
issu des groupes humains et une économie étatiste extra-gouvernementa
76
d’accepter la réunion à Munich d’une « Diète » de
gouvernements
égaux, qui régla le problème à l’avantage matériel de l’Allemagne, ma
77
ancher les questions importantes. Entre lui et le
gouvernement
, il y a toute une caste de politiciens de métier qui, une fois élus p
78
le sophisme qui assimile « vraie démocratie » et
gouvernement
d’un seul appuyé sur une opinion qu’il s’est créée favorable par les
79
es parlementaires qui appellent « démocratie » le
gouvernement
du pays par des députés livrés à toutes les intrigues des puissances
80
démocratie si celle-ci doit être définie comme le
gouvernement
du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la démocratie pure n’a jamai
81
où le référendum ne peut être provoqué que par le
gouvernement
, comme en Allemagne, on ne saurait parler sans sophisme d’un contrôle
82
aucun pouvoir précis, aucun portefeuille dans le
gouvernement
. (Son rôle y est d’inspiration, d’arbitrage entre les factions, et de
83
cette guerre, pourquoi ces morts ? Parce que les
gouvernements
de l’Europe n’ont pas su résoudre autrement le problème des minorités
84
ugres dans les pays du Nord) s’étaient emparés du
gouvernement
de plusieurs municipalités. Le podestat d’Assise était un hérétique,
85
savez, ne s’est jamais préoccupé de la forme des
gouvernements
. Il insiste à maintes reprises sur le fait que monarchies, oligarchie
86
al. C’est lorsqu’il écrit : « Le meilleur état de
gouvernement
est celui-là où il y a une liberté bien tempérée et pour durer longue
87
ise et la personne. Nous y trouvons des formes de
gouvernement
aussi disparates que possible : d’abord les cinq monarchies protestan
88
gres dans les pays du Nord), s’étaient emparés du
gouvernement
de plusieurs municipalités. Le podestat d’Assise était un hérétique,
89
ice dont se réclamaient nos égoïsmes et celui des
gouvernements
: tout cela ne sera que ruines et détritus à déblayer, même si les gr
90
ice dont se réclamaient nos égoïsmes et celui des
gouvernements
: tout cela ne sera que ruines et détritus à déblayer, même si les gr
91
e à l’absence de vues politiques. On demande à un
gouvernement
de « gouverner14 », de piloter l’État et d’orienter sa marche ; le re
92
une partie magnifique. Mais il faudrait que notre
gouvernement
comprenne ceci : La prudence est le vice des timides et la vertu des
93
savez, ne s’est jamais préoccupé de la forme des
gouvernements
. Il insiste à maintes reprises sur le fait que monarchies, oligarchie
94
al. C’est lorsqu’il écrit : « Le meilleur état de
gouvernement
est celui-là où il y a une liberté bien tempérée et pour durer longue
95
ise et la personne. Nous y trouvons des formes de
gouvernement
aussi disparates que possible : d’abord les cinq monarchies protestan
96
e à l’absence de vues politiques. On demande à un
gouvernement
de « gouverner44 », de piloter l’État et d’orienter sa marche ; le re
97
une partie magnifique. Mais il faudrait que notre
gouvernement
comprenne ceci : La prudence est le vice des timides et la vertu des
98
savez, ne s’est jamais préoccupé de la forme des
gouvernements
. Il insiste à maintes reprises sur le fait que monarchies, oligarchie
99
al. C’est lorsqu’il écrit : « Le meilleur état de
gouvernement
est celui-là où il y a une liberté bien tempérée et pour durer longue
100
ise et la personne. Nous y trouvons des formes de
gouvernement
aussi disparates que possible : d’abord les cinq monarchies protestan
101
tis, l’oubli des polémiques, la confiance dans le
gouvernement
et la nécessité d’augmenter l’aide à l’Angleterre. Willkie faisait un
102
d’hommes qui s’est établie dans ce pays entre le
gouvernement
et la population. L’opinion questionne, le gouvernement répond, il s’
103
nement et la population. L’opinion questionne, le
gouvernement
répond, il s’explique, il écoute à son tour. N’importe quel citoyen p
104
financiers, les avocats ou les économistes que le
gouvernement
Roosevelt a mis de la sorte au service de la nation, pour une période
105
exerce une influence excellente à la fois sur le
gouvernement
et sur l’opinion. Il incite les dirigeants à s’expliquer franchement
106
e 1914, l’empereur Guillaume II fit une visite au
gouvernement
suisse. Au cours des manœuvres militaires, il dit à un soldat : « Vou
107
roches amers contre l’égoïsme et l’immoralité des
gouvernements
, qui les empêchent de se réunir pour conjurer le danger commun. Mais
108
roches amers contre l’égoïsme et l’immoralité des
gouvernements
, qui les empêchent de se réunir pour conjurer le danger commun. Mais
109
roches amers contre l’égoïsme et l’immoralité des
gouvernements
, qui les empêchent de se réunir pour conjurer le danger commun. Mais
110
actement la « grâce » au sens des théologiens, le
gouvernement
de Dieu qui dirige les destinées humaines (le « village »), la vertu
111
t ici de M. Jacques Chevalier, devenu ministre du
gouvernement
de Vichy. Note de 1944.)
112
occupée par les Américains, un officier chargé du
gouvernement
civil réunit cent personnes, au hasard de la rue, et se met à les int
113
hommes, et que le seul moyen de l’empêcher est un
gouvernement
mondial. Ils partagent mon avis sur l’inutilité des armées et des flo
114
enace de toute l’Histoire. Les enfants, comme les
gouvernements
, demandent pour leur Noël des petites bombes atomiques. Trois d’entre
115
ité des peuples de la planète, c’est le rêve d’un
gouvernement
planétaire, c’est la « pensée globale », comme disent les Anglo-Saxon
116
et se renforcent mutuellement. Voici comment. Un
gouvernement
mondial court deux risques principaux : celui d’être trop faible pour
117
les libertés nationales ou régionales. Mais si ce
gouvernement
devient seul détenteur de la bombe atomique, il se voit doté du même
118
ée, la nécessité, et la possibilité pratique d’un
gouvernement
fédéral de la planète nous sont apparues simultanément. Elles se prop
119
de leurs bonnes intentions. 2. Donner la Bombe au
gouvernement
mondial, pour faire la police des nations. Deux chambres universelles
120
ueur de journée qu’elle « n’est pas prête pour un
gouvernement
mondial ». Est-ce qu’on lui demande si elle est prête pour la mort ?
121
es et que la guerre militaire est morte, et qu’un
gouvernement
mondial est devenu possible, mais doit émaner des peuples et non des
122
ille sur son « dépôt sacré ». Le monde n’a pas de
gouvernement
. Je ne suis pas sûr que les nations en aient. Et nous restons, les br
123
pourtant facile à concevoir : donner la Bombe au
gouvernement
mondial, supprimer les armées et ouvrir les frontières. Qui ne partag
124
urances du Connecticut affirme qu’elle jouit d’un
gouvernement
pratiquement idéal, le Contrôleur général des États-Unis écrit de son
125
énéral des États-Unis écrit de son côté : « Notre
gouvernement
est une vaste pétaudière. » Ce fonctionnaire sait à peu près de quoi
126
ble d’embrasser dans une seule vue les rouages du
gouvernement
des États-Unis d’Amérique. Dans la jungle administrative… Le pr
127
are aujourd’hui que « des projets financés par le
gouvernement
fédéral ont été néanmoins mis en œuvre par au moins quinze agences di
128
nd qu’un cinquième du territoire est propriété du
gouvernement
, c’est-à-dire de trente-quatre agences et d’une douzaine de départeme
129
e (23 mai 1946)d Pendant l’hiver 1945-1946, le
gouvernement
américain fit annoncer une expérience sensationnelle : au mois de mai
130
s de ses villes, pour découvrir qu’il n’a plus de
gouvernement
, qu’il est entièrement occupé par quatre armées étrangères, qu’il a p
131
Deux lettres sur le
gouvernement
mondial (4 juin 1946)x I. Problème curieux que pose le gouvernem
132
juin 1946)x I. Problème curieux que pose le
gouvernement
mondial Vous me dites que ce n’est point par mauvaise volonté, mai
133
uerre, il nous paraît dépourvu de sérieux. Or, le
gouvernement
mondial devrait se passer de ces deux ministères, en vertu de sa défi
134
quoi cela ressemblerait-il ? Les nations et leurs
gouvernements
ne se posent qu’en s’opposant. C’est la menace extérieure qui « cimen
135
a langue « right or wrong, my country ! » Mais le
gouvernement
mondial, où trouvera-t-il cet Autre indispensable à son prestige ? Je
136
nables. Si vous me dites maintenant que c’est mon
gouvernement
mondial que vous ne voyez pas — car il supposerait une sorte de natio
137
ires étrangères ? Et ne pensez-vous pas que si le
gouvernement
français n’a plus rien d’autre à faire qu’administrer le pays, il ser
138
faire qu’administrer le pays, il sera un meilleur
gouvernement
? (Je vous pose ces questions simplistes pour répondre à vos craintes
139
tions c’est l’État ; et leur sauvegarde serait le
gouvernement
mondial. Ceux qui pensent que c’est tout le contraire prennent le mot
140
n cela dans la tête.) x. « Deux lettres sur le
gouvernement
mondial », Mondes, Paris, n° 49, 4 juin 1946, p. 1 et 3.
141
fait pas de secret, bien au contraire. Voilà. Le
gouvernement
américain ayant fait annoncer, ces jours derniers, que des essais de
142
comparaison, n’aurait été qu’un bain de pieds. Le
gouvernement
américain ayant également annoncé son intention de jeter une bombe su
143
de leurs bonnes intentions. 2° Donner la Bombe au
gouvernement
mondial, pour faire la police des nations. Deux chambres universelles
144
ueur de journée qu’elle « n’est pas prête pour un
gouvernement
mondial ». Est-ce qu’on lui demande si elle est prête pour la mort ?
145
ien de New York a cru de son devoir d’avertir son
gouvernement
que l’évaporation instantanée de dizaines de millions de litres d’eau
146
danger. La seule défense contre la bombe reste le
gouvernement
mondial, seul armé de la bombe pour assurer la police parmi les États
147
le seul moyen d’accélérer l’instauration d’un tel
gouvernement
— qui pourrait être l’ONU si elle existait autrement que sous forme d
148
s’est toujours refusé à établir une uniformité de
gouvernement
pour les diverses Églises qui se réclamaient de sa réforme. L’Una San
149
à l’État, qui est en l’espèce un nouveau chef de
gouvernement
. Ce dernier pris au dépourvu change subitement de direction — crise m
150
enace de toute l’Histoire. Les enfants, comme les
gouvernements
, demandent pour leur Noël de petites bombes atomiques. Trois d’entre
151
e page, à côté d’un appel à se taire lancé par le
gouvernement
vaudois ! Je le relis rapidement dans l’escalier : il me paraît un pe
152
conférences sur l’hitlérisme, on a craint que le
gouvernement
ne m’empêche de parler à la dernière minute. La propagande allemande
153
upée par les Américains, un officier en charge du
gouvernement
civil réunit cent personnes, au hasard de la rue, et se met à les int
154
enace de toute l’Histoire. Les enfants, comme les
gouvernements
, demandent pour leur Noël de petites bombes atomiques. Trois d’entre
155
Un avion pourrait donc en porter une dizaine. Le
gouvernement
américain nous annonce comme « certaine » la fabrication d’appareils
156
ille sur son « dépôt sacré ». Le monde n’a pas de
gouvernement
. Je ne suis pas sûr que les nations en aient. Et nous restons les bra
157
hommes, et que le seul moyen de l’empêcher est un
gouvernement
mondial. Ils partagent mon avis sur l’inutilité des armées et des flo
158
ité des peuples de la planète, c’est le rêve d’un
gouvernement
planétaire, c’est la « pensée globale » comme disent les Anglo-Saxons
159
et se renforcent mutuellement. Voici comment. Un
gouvernement
mondial court deux risques principaux : celui d’être trop faible pour
160
les libertés nationales ou régionales. Mais si ce
gouvernement
devient seul détenteur de la bombe atomique, il se voit doté du même
161
dée, la nécessité et la possibilité pratique d’un
gouvernement
fédéral de la planète nous sont apparues simultanément. Elles se prop
162
Bombe, la Guerre et la Paix, la Démocratie et le
gouvernement
du Monde, vous ne m’en voudrez pas de revenir aujourd’hui sur le thèm
163
XIVProblème curieux que pose le
gouvernement
mondial Princeton (N. J.), le 6 décembre 1945. Vous me dites que ce
164
guerre, il nous paraît dépourvu de sérieux. Or le
gouvernement
mondial devrait se passer de ces deux ministères, en vertu de sa défi
165
quoi cela ressemblerait-il ? Les nations et leurs
gouvernements
ne se posent qu’en s’opposant. C’est la menace extérieure qui « cimen
166
a langue « right or wrong, my country ! » Mais le
gouvernement
mondial, où trouvera-t-il cet Autre indispensable à son prestige ? Je
167
nables. Si vous me dites maintenant que c’est mon
gouvernement
mondial que vous ne voyez pas — car il supposerait une sorte de natio
168
ires étrangères ? Et ne pensez-vous pas que si le
gouvernement
français n’a plus rien d’autre à faire qu’administrer le pays, il ser
169
faire qu’administrer le pays, il sera un meilleur
gouvernement
? (Je vous pose ces questions simplistes pour répondre à vos craintes
170
ions, c’est l’État ; et leur sauvegarde serait le
gouvernement
mondial. Ceux qui pensent que c’est tout le contraire prennent le mot
171
ncore que c’est « au moins prématuré ». Voilà. Le
gouvernement
américain, ayant fait annoncer par la presse que des essais de bombe
172
comparaison, n’aurait été qu’un bain de pied. Le
gouvernement
américain ayant également annoncé son intention de jeter une bombe su
173
de leurs bonnes intentions. 2. Donner la Bombe au
gouvernement
mondial, pour faire la police des nations. Deux chambres universelles
174
ueur de journée qu’elle « n’est pas prête pour un
gouvernement
mondial ». Est-ce qu’on lui demande si elle est prête pour la mort ?
175
déluge Mars 1946. Pendant l’hiver 1945-1946, le
gouvernement
américain fit annoncer une expérience sensationnelle : au mois de mai
176
Un avion pourrait donc en porter une dizaine. Le
gouvernement
américain nous annonce comme « certaine » la fabrication d’appareils
177
ille sur son « dépôt sacré ». Le monde n’a pas de
gouvernement
. Je ne suis pas sûr que les nations en aient. Et nous restons les bra
178
hommes, et que le seul moyen de l’empêcher est un
gouvernement
mondial. Ils partagent mon avis sur l’inutilité des armées et des flo
179
ité des peuples de la planète, c’est le rêve d’un
gouvernement
planétaire, c’est la « pensée globale » comme disent les Anglo-Saxons
180
et se renforcent mutuellement. Voici comment. Un
gouvernement
mondial court deux risques principaux : celui d’être trop faible pour
181
les libertés nationales ou régionales. Mais si ce
gouvernement
devient seul détenteur de la bombe atomique, il se voit doté du même
182
dée, la nécessité et la possibilité pratique d’un
gouvernement
fédéral de la planète nous sont apparues simultanément. Elles se prop
183
Bombe, la Guerre et la Paix, la Démocratie et le
gouvernement
du Monde, vous ne m’en voudrez pas de revenir aujourd’hui sur le thèm
184
XIV Problème curieux que pose le
gouvernement
mondial 10 décembre 1945. Vous me dites que ce n’est point par mauv
185
Guerre, il nous paraît dépourvu de sérieux. Or le
gouvernement
mondial devrait se passer de ces deux ministères, en vertu de sa défi
186
quoi cela ressemblerait-il ? Les nations et leurs
gouvernements
ne se posent qu’en s’opposant. C’est la menace extérieure qui « cimen
187
a langue « right or wrong, my country ! » Mais le
gouvernement
mondial, où trouvera-t-il cet Autre indispensable à son prestige ? Je
188
nables. Si vous me dites maintenant que c’est mon
gouvernement
mondial que vous ne voyez pas — car il supposerait une sorte de natio