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ne sais quel relent de barbarie, un assez malsain
goût
du sang. Tout cela s’est purifié dans le Chant funèbre. Et une phrase
2
r glisser que de construire. Et l’on y prend vite
goût
. Cela tourne alors en passion de détruire, en haine de toute stabili
3
NRF, 1923. 3. « Il s’était développé en nous un
goût
furieux de l’expérience humaine. » (Aragon) 4. « Lorsque tout est fi
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us significatifs. 6. Aragon, loc. cit. 7. Le «
goût
du désastre » qui est au fond du romantisme moderne nous empêche secr
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de grand talent à qui la guerre a fait perdre le
goût
des théories d’écoles et de quelques autres plaisirs pour civils : me
6
e de ne laisser subsister en nous qu’un « étrange
goût
de la destruction et de l’anarchie, exempt de passion, divertissement
7
re ne vous ai-je pas vraiment aimée, mais bien ce
goût
profond de ma destruction, ce rongement, cette sournoise recherche de
8
e tout et pourtant mépris de tout, procédant d’un
goût
de l’absolu à la fois mystique et anarchique : ce sont bien les grand
9
es du désir, — quelques hommes y pénètrent, et le
goût
de s’amuser ne renaîtra plus en eux. Ni même celui de souffrir. Le de
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plicité savante et de la perfection du métier, un
goût
pour la construction rigoureuse qui sont des éléments peut-être insuf
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rité ne serait-elle à son tour que le masque d’un
goût
du malheur ? Le sujet profond de ce roman, où l’on voit comment Pierr
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, et pas toujours défavorable, croyez-le bien… Le
goût
de la propriété étant à mon sens l’un des plus vulgaires et des plus
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beaucoup. Cela explique, m’a-t-on dit, le peu de
goût
que j’ai pour la poésie imprimée. » J’allais oublier de vous dire qu’
14
n a reproché bien des choses aux romantiques : le
goût
du suicide, l’habitude de boire et de fumer excessivement, leurs amou
15
turellement chez des jeunes « et qui pensent » ce
goût
de l’évasion caractéristique de tous les « vices romantiques ». — Cit
16
e ce roman : c’est trop agréable. Vous dites d’un
goût
qu’on aurait pour Nietzsche : que c’est de la littérature. Alors, que
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ouche brûlée d’alcools, vous découvrez à l’eau un
goût
étrange. L’eau est incolore, inodore et sans saveur. Mais fraîche. Ai
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e mépris pour le pittoresque, vous témoignez d’un
goût
du bizarre qui révèle le littérateur. Nous ne pouvons pas faire que n
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es choses dures, amères comme un destin, comme le
goût
d’une pierre rêche sur ta langue et grinçante sous ta dent. Des soupl
20
ntiques allemands parce qu’il partage avec eux ce
goût
du rêve préféré à la vie, — à ce qu’on appelle la vie. Jaloux, qui a
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ux amants quand ils n’ont plus que des baisers au
goût
d’adieu, et l’avenir où se mêlent incertaines, une tendresse éperdue
22
s moyens et à quoi l’on subordonne tout, plaisir,
goût
au travail, qualité du travail, santé, liberté, sens de la justice et
23
exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le
goût
de la nature. Mais qu’on nous laisse le temps de la regarder. De fair
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s moyens et à quoi l’on subordonne tout, plaisir,
goût
du travail, qualité du travail, santé, liberté, sens de la justice et
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exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le
goût
de la nature. Mais qu’on nous laisse le temps de la regarder. De fair
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s 1930)bd Si vous avez la curiosité, mieux, le
goût
des esprits singuliers, si vous croyez que c’est par l’extrême pointe
27
pense à la boussole autant qu’au sens moral.) Le
goût
de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et
28
ars de sensibilité, bien que souvent européens de
goûts
et de curiosités, et dont Michel Babits est aujourd’hui le chef de fi
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niciens ou intellectuels. Les Français aiment par
goût
d’en bien parler. Les Suisses aiment avec une bonne ou une mauvaise c
30
, et la figure centrale de Garine, anarchiste par
goût
de l’expérience, conférait à tout le livre un caractère assez directe
31
ts : « hostilité à l’égard des valeurs établies…,
goût
des actions des hommes lié à la conscience de leur vanité…, refus sur
32
d’esprits aventureux et atteints jusque dans leur
goût
de l’action par un intellectualisme anarchique. Je tiens au contraire
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le propos de M. Nizan n’est pas de nous rendre le
goût
de ce qui, en Europe, « allongeait la solution », je ne puis m’empêch
34
Boulle, aux Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce
goût
de la belle matière mise en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens
35
il, ne dissocie jamais la recherche du beau et le
goût
intransigeant du vrai, c’est le trait le plus évidemment « protestant
36
entaux de la civilisation moderne. Décidément, le
goût
du colossal — transmis aux Américains — reste un trait marquant de l’
37
érée. Comment ne point partager, en le lisant, ce
goût
qu’avait le vieux Goethe pour les ouvrages documentaires, pleins d’an
38
leau franco-anglais, fournit un contraste de haut
goût
. Là, les montagnes se prêtaient successivement à des interprétations
39
rait encore en déceler l’équivalent. Peut-être le
goût
du sport trahit-il la nostalgie d’une vie qui comporterait des risque
40
Ces intéressantes remarques, où l’on retrouve le
goût
de l’analogie historico-littéraire qui caractérise la critique de M.
41
onteurs de la fin du xviiie ; des sujets dans le
goût
allemand, tels sont les éléments qui composent non sans paradoxe ce r
42
nt procèdent à la fois le refus de la magie et le
goût
passionné de l’effort immédiat. Qu’un fait de cet ordre puisse être t
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étalent en des écrits dépourvus de puissance, un
goût
du sang qui les marque à nos yeux de décadentisme bourgeois. Nous ne
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est de volupté ou de terreur. La peur du sang, le
goût
du sang : ce sont là deux aspects morbides d’une même maladie bourgeo
45
orts avec le peuple. Il discute M. Malraux et son
goût
désespéré de l’action pour elle-même. Il condamne le populisme de M.
46
de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par
goût
des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais caractère. Il y ava
47
ues. Ce projet, d’autre part, flattait un certain
goût
du graphique et de l’imagerie stylisée qu’à la réflexion je trouvai t
48
cédé à la tentation du pittoresque et défini, au
goût
du temps, les frontières de certains pays dont on venait à peine de r
49
ies. À force de se craindre dupe, elle a perdu le
goût
de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance qui déjà la frappe n’es
50
ars de sensibilité, bien que souvent européens de
goûts
et de curiosités, et dont Michel Babits est aujourd’hui le chef de fi
51
niciens ou intellectuels. Les Français aiment par
goût
du bavardage. Les Suisses aiment avec une bonne ou une mauvaise consc
52
à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du
goût
et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine puissance de l’esprit qu
53
us rafraîchissante, ni qui se marie mieux avec le
goût
du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est con
54
éfiances. Certains se sont faits communistes, par
goût
de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un parti national-marxi
55
l’Occident ? — Duquel ? Ou bien race liée au seul
goût
de sa puissance ? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces château
56
enfin qu’il est perdu, il découvre la liberté. Le
goût
de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et
57
s, et les framboises humides avaient un délicieux
goût
fade. Je rentrais toute fière de mes genoux griffés comme ceux des ga
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ues. Ce projet, d’autre part, flattait un certain
goût
du graphique et de l’imagerie stylisée qu’à la réflexion je trouvai t
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cédé à la tentation du pittoresque et défini, au
goût
du temps, les frontières de certains pays dont on venait à peine de r
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ies. À force de se craindre dupe, elle a perdu le
goût
de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance qui déjà la frappe n’es
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ars de sensibilité, bien que souvent européens de
goûts
et de curiosités, et dont Michel Babits est aujourd’hui le chef de fi
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niciens ou intellectuels. Les Français aiment par
goût
du bavardage. Les Suisses aiment avec une bonne ou une mauvaise consc
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us rafraîchissante, ni qui se marie mieux avec le
goût
du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est con
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éfiances. Certains se sont faits communistes, par
goût
de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un parti national-marxi
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l’Occident ? — Duquel ? Ou bien race liée au seul
goût
de sa puissance ? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces château
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à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du
goût
et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine puissance de l’esprit qu
67
un disait : Si Paris est détruit, j’en perdrai le
goût
d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est
68
nos raisons folles. Si nous changions un jour de
goûts
et d’ambition, ce paysage se transformerait. Si je me tourne vers le
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mit de toutes ses fourrures et se récrie : « Quel
goût
! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici tout
70
aime à trouver au fond de l’histoire n’est pas du
goût
de chacun », notait Chateaubriand dans ses Mémoires. Mais c’est par l
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des vertus de prudence, d’ordre et d’autorité, un
goût
marqué pour l’argumentation et la dialectique légaliste, qui l’eussen
72
cier, mais ses brusques indignations. Il avait le
goût
classique de la claire ordonnance, mais non moins de la justice socia
73
t, voilà qui satisfait comme nul autre paysage ce
goût
profond de composer, de contraster, de voiler puis de découvrir, de p
74
niers temps. Et c’est là que gît l’explication du
goût
pour l’idéologie que manifeste le grand public allemand. Il est bien
75
un moyen de « passer une heure agréablement ». Le
goût
des idées, même et surtout dans des cercles littéraires raffinés, éta
76
éraires raffinés, était une sorte d’atteinte au «
goût
» tout court, c’est-à-dire à la mode. Il fallut la petite équipe des
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rement intellectuelles la plupart du temps, et le
goût
des « romans qui posent des problèmes ». On appelait cela de la « lit
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dont il rejette le matérialisme méthodique et le
goût
pour la violence dictatoriale. ⁂ En France, ce mouvement mondial a re
79
doute, rajeuni et purifié. Cela n’est point leur
goût
, disent-ils, mais une nécessité. La matière, à les entendre, n’est pa
80
jouissance, mais la création. Nous n’avons pas le
goût
du vide. Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sen
81
3). Les philosophes, de tout temps, ont montré du
goût
pour une certaine continuité, une certaine permanence qui planerait a
82
campagnes se vident ; les jeunes gens n’ont plus
goût
à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une m
83
éalité, pas un critique, mais un commentateur des
goûts
de son public. Bien loin d’avoir à cœur de signaler les œuvres qui ri
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d’une classe bourgeoise très capricieuse dans ses
goûts
, parce qu’elle est incertaine de sa mission. Cette anarchie ne se dév
85
ue identiques. Chez l’un et l’autre, on trouve ce
goût
des situations extrêmes, où se dénude le fond secret d’un être, sa sa
86
pour qu’un jour des hommes comme moi qui n’ont le
goût
ni des habiletés ni des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce
87
irouettes. Il y a un sentiment très juste dans le
goût
du pratique, des « solutions pratiques » qu’affirme, depuis la guerre
88
au peuple. On est frappé cependant de voir que ce
goût
du pratique n’aboutit, pratiquement, qu’à une espèce de négation de l
89
campagnes se vident ; les jeunes gens n’ont plus
goût
à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une m
90
que leur philanthropie, leur humanitarisme, leurs
goûts
démocratiques, par-dessus tout leur religion, étaient autant de moyen
91
eloppements d’une intolérance « de gauche », d’un
goût
morbide de « l’autorité » confondue avec la tyrannie étatique, d’un a
92
de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par
goût
des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais caractère. Il y ava
93
vie personnaliste. Cette jeunesse est pauvre par
goût
de la force et du risque. Elle rit bien. Elle n’a pas ce sérieux engo
94
jouissance, mais la création. Nous n’avons pas le
goût
du vide. Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sen
95
pour qu’un jour des hommes comme moi qui n’ont le
goût
ni des habiletés ni des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce
96
irouettes. Il y a un sentiment très juste dans le
goût
du pratique, des « solutions pratiques » qu’affirme un autre groupe d
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au peuple. On est frappé cependant de voir que ce
goût
du pratique n’aboutit, pratiquement, qu’à une espèce de négation de l
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campagnes se vident ; les jeunes gens n’ont plus
goût
à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une m
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que leur philanthropie, leur humanitarisme, leurs
goûts
démocratiques, par-dessus tout leur religion, étaient autant de moyen
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eloppements d’une intolérance « de gauche », d’un
goût
morbide de « l’autorité » confondue avec la tyrannie étatique, d’un a
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de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par
goût
des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais caractère. Il y ava
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vie personnaliste. Cette jeunesse est pauvre par
goût
de la force et du risque. Elle rit bien. Elle n’a pas ce sérieux engo
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jouissance, mais la création. Nous n’avons pas le
goût
du vide. Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sen
104
aire. Le révolutionnaire est pauvre, non tant par
goût
que par nécessité interne. Mais la revendication d’une caste est plus
105
ique de l’univers ? On pourrait m’objecter que le
goût
de la forme, apanage évident du « latin », suppose des géométries plu
106
e bourgeois. Il incarne à la puissance infinie le
goût
du néant — le refus de la vocation — qui caractérisera le monde bourg
107
s peu de bourgeois aient eu conscience d’avoir ce
goût
. Mais son opposition si frénétique à la bêtise de sa classe, si elle
108
alraux. Même sens de la fraternité tragique, même
goût
des situations extrêmes (tortures en prison, folie des combats à la m
109
ystiques, où cependant il n’a que faire, avec son
goût
de l’expérience et de l’application concrète. Mais justement cette fr
110
’alarme stupéfiant. Soucieux de ne point céder au
goût
de la catastrophe que certains plumitifs se plaisent à entretenir au
111
role. Je ne me propose pas du tout de décevoir ce
goût
de positif que mes contemporains, à tort et à travers, opposent à tou
112
un fait sentimental et tellurique, un ensemble de
goûts
et d’habitudes qui ne comporte ni orgueil ni modestie, ni aucune espè
113
u bon sens en ces matières. Deux morceaux dans le
goût
classique le plus sévère sur la prudence et sur l’usage des vertus. E
114
oir modifier une forme de gouvernement… » Ce même
goût
du bonheur, chez l’un et l’autre, ces mêmes façons de ne se piquer de
115
us répète que ce n’est là, tout simplement, qu’un
goût
que nous avons, cela n’a rien à voir avec la guerre, la guerre contre
116
z à faire comprendre, hors d’Allemagne, que votre
goût
du décor guerrier est un goût pacifique, somme toute, sportif, artist
117
llemagne, que votre goût du décor guerrier est un
goût
pacifique, somme toute, sportif, artistique si j’ose dire ! Lui. — E
118
res qui aura gardé assez de fraîcheur d’Âme et de
goût
des choses de l’Esprit pour entreprendre une statistique complète des
119
e, un dernier reste de snobisme d’avant-garde, un
goût
de la nouveauté qui corrigeait le conformisme pour ainsi dire normal
120
n publicitaire par une spéculation adroite sur le
goût
de la rareté ou du scandale, et sur la mode qui était aux moins de tr
121
lons, au temps où le seul tribunal était celui du
goût
(c’est-à-dire des poncifs imposés par la cour de Louis XIV). ⁂ La mêm
122
u’un homme recherchera jamais l’effort ; mais par
goût
de l’effort. Si Ramuz tend à rejeter tous les intermédiaires culturel
123
dire que le néant, dont ils lui prêtent ainsi le
goût
, est justement celui que Kierkegaard dénonce au cœur des systèmes qu’
124
Hugo du modernisme : même invention verbale, même
goût
des grandes antithèses, même générosité humanitaire. Et quelle surabo
125
llule sociale »), de l’héritage, et du legs64, le
goût
du lucre, de la possession particulière, reprennent le pas sur le bes
126
appel élémentaire : il est dangereux de confondre
goût
du désordre avec révolution ; goût du suicide avec libération ; pénit
127
x de confondre goût du désordre avec révolution ;
goût
du suicide avec libération ; pénitence avec obéissance à une nouvelle
128
iècle aux ouvriers socialistes comme un manque de
goût
démagogique, n’est vraiment pas une invention socialiste. Ce n’est qu
129
qui est bon et ce qui est mauvais. Je n’ai pas le
goût
de me poser en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’écouter. Mais
130
formaliste, leur pudibonde impartialité, enfin ce
goût
presque maniaque pour les déterminismes inférieurs qu’invente une sci
131
l’abolition progressive des classes anciennes, un
goût
de la grandeur ou de l’énormité, des fêtes sublimes. Quand je dis que
132
rarchies intellectuelles. Quatrième vertu : le
goût
du risque Pédagogie du risque : tout ce qui n’est pas dangereux es
133
scélérates » ; pour d’autres, qu’il témoigne d’un
goût
romantique du scandale ; enfin qu’il évoque surtout la « mise au pas
134
appel élémentaire : il est dangereux de confondre
goût
du désordre avec révolution ; goût du suicide avec libération ; pénit
135
x de confondre goût du désordre avec révolution ;
goût
du suicide avec libération ; pénitence avec obéissance à une nouvelle
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iècle aux ouvriers socialistes comme un manque de
goût
démagogique, n’est vraiment pas une invention socialiste. Ce n’est qu
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qui est bon et ce qui est mauvais. Je n’ai pas le
goût
de me poser en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’écouter. Mais
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formaliste, leur pudibonde impartialité, enfin ce
goût
presque maniaque pour les déterminismes inférieurs qu’invente une sci
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l’abolition progressive des classes anciennes, un
goût
de la grandeur ou pour au moins de l’énormité, des fêtes vertigineuse
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rarchies intellectuelles. Quatrième vertu : le
goût
du risque Pédagogie du risque : tout ce qui n’est pas dangereux es
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scélérates » ; pour d’autres, qu’il témoigne d’un
goût
romantique du scandale ; enfin qu’il évoque surtout la « mise au pas
142
rd’hui, ils se voient obligés de se soumettre aux
goûts
(supposés) du public. Ils renoncent à former ces goûts. Ils se conten
143
(supposés) du public. Ils renoncent à former ces
goûts
. Ils se contentent de les flatter. Et aussitôt, comme on pouvait le p
144
compréhensive, rayonnante, toute de mesure et de
goût
. — Nous sommes attachés à cette sélection de grâce et de mesure qui s
145
moyenne. Il ne fait que traduire les humeurs, les
goûts
, les craintes et les vapeurs du bourgeois sensible, il ne cherche pas
146
romancier, tout simplement, le propagandiste des
goûts
de sa classe. Rien n’est plus dangereusement tendancieux qu’un écriva
147
i dit, l’on pourra déguster, car il s’agit ici de
goût
, au sens physique. Lanson fournit les dates de naissance, les titres