1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 ne sais quel relent de barbarie, un assez malsain goût du sang. Tout cela s’est purifié dans le Chant funèbre. Et une phrase
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 r glisser que de construire. Et l’on y prend vite goût . Cela tourne alors en passion de détruire, en haine de toute stabili
3 NRF, 1923. 3. « Il s’était développé en nous un goût furieux de l’expérience humaine. » (Aragon) 4. « Lorsque tout est fi
4 us significatifs. 6. Aragon, loc. cit. 7. Le «  goût du désastre » qui est au fond du romantisme moderne nous empêche secr
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
5 de grand talent à qui la guerre a fait perdre le goût des théories d’écoles et de quelques autres plaisirs pour civils : me
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
6 e de ne laisser subsister en nous qu’un « étrange goût de la destruction et de l’anarchie, exempt de passion, divertissement
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
7 re ne vous ai-je pas vraiment aimée, mais bien ce goût profond de ma destruction, ce rongement, cette sournoise recherche de
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
8 e tout et pourtant mépris de tout, procédant d’un goût de l’absolu à la fois mystique et anarchique : ce sont bien les grand
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
9 es du désir, — quelques hommes y pénètrent, et le goût de s’amuser ne renaîtra plus en eux. Ni même celui de souffrir. Le de
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 plicité savante et de la perfection du métier, un goût pour la construction rigoureuse qui sont des éléments peut-être insuf
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
11 rité ne serait-elle à son tour que le masque d’un goût du malheur ? Le sujet profond de ce roman, où l’on voit comment Pierr
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
12 , et pas toujours défavorable, croyez-le bien… Le goût de la propriété étant à mon sens l’un des plus vulgaires et des plus
13 beaucoup. Cela explique, m’a-t-on dit, le peu de goût que j’ai pour la poésie imprimée. » J’allais oublier de vous dire qu’
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
14 n a reproché bien des choses aux romantiques : le goût du suicide, l’habitude de boire et de fumer excessivement, leurs amou
15 turellement chez des jeunes « et qui pensent » ce goût de l’évasion caractéristique de tous les « vices romantiques ». — Cit
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
16 e ce roman : c’est trop agréable. Vous dites d’un goût qu’on aurait pour Nietzsche : que c’est de la littérature. Alors, que
17 ouche brûlée d’alcools, vous découvrez à l’eau un goût étrange. L’eau est incolore, inodore et sans saveur. Mais fraîche. Ai
18 e mépris pour le pittoresque, vous témoignez d’un goût du bizarre qui révèle le littérateur. Nous ne pouvons pas faire que n
19 es choses dures, amères comme un destin, comme le goût d’une pierre rêche sur ta langue et grinçante sous ta dent. Des soupl
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
20 ntiques allemands parce qu’il partage avec eux ce goût du rêve préféré à la vie, — à ce qu’on appelle la vie. Jaloux, qui a
14 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
21 ux amants quand ils n’ont plus que des baisers au goût d’adieu, et l’avenir où se mêlent incertaines, une tendresse éperdue
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
22 s moyens et à quoi l’on subordonne tout, plaisir, goût au travail, qualité du travail, santé, liberté, sens de la justice et
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
23 exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse le temps de la regarder. De fair
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
24 s moyens et à quoi l’on subordonne tout, plaisir, goût du travail, qualité du travail, santé, liberté, sens de la justice et
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
25 exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse le temps de la regarder. De fair
19 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
26 s 1930)bd Si vous avez la curiosité, mieux, le goût des esprits singuliers, si vous croyez que c’est par l’extrême pointe
20 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
27 pense à la boussole autant qu’au sens moral.) Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
28 ars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités, et dont Michel Babits est aujourd’hui le chef de fi
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
29 niciens ou intellectuels. Les Français aiment par goût d’en bien parler. Les Suisses aiment avec une bonne ou une mauvaise c
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
30 , et la figure centrale de Garine, anarchiste par goût de l’expérience, conférait à tout le livre un caractère assez directe
31 ts : « hostilité à l’égard des valeurs établies…, goût des actions des hommes lié à la conscience de leur vanité…, refus sur
32 d’esprits aventureux et atteints jusque dans leur goût de l’action par un intellectualisme anarchique. Je tiens au contraire
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
33 le propos de M. Nizan n’est pas de nous rendre le goût de ce qui, en Europe, « allongeait la solution », je ne puis m’empêch
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
34 Boulle, aux Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce goût de la belle matière mise en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens
35 il, ne dissocie jamais la recherche du beau et le goût intransigeant du vrai, c’est le trait le plus évidemment « protestant
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
36 entaux de la civilisation moderne. Décidément, le goût du colossal — transmis aux Américains — reste un trait marquant de l’
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
37 érée. Comment ne point partager, en le lisant, ce goût qu’avait le vieux Goethe pour les ouvrages documentaires, pleins d’an
38 leau franco-anglais, fournit un contraste de haut goût . Là, les montagnes se prêtaient successivement à des interprétations
39 rait encore en déceler l’équivalent. Peut-être le goût du sport trahit-il la nostalgie d’une vie qui comporterait des risque
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
40 Ces intéressantes remarques, où l’on retrouve le goût de l’analogie historico-littéraire qui caractérise la critique de M.
29 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
41 onteurs de la fin du xviiie  ; des sujets dans le goût allemand, tels sont les éléments qui composent non sans paradoxe ce r
30 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
42 nt procèdent à la fois le refus de la magie et le goût passionné de l’effort immédiat. Qu’un fait de cet ordre puisse être t
31 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
43 étalent en des écrits dépourvus de puissance, un goût du sang qui les marque à nos yeux de décadentisme bourgeois. Nous ne
44 est de volupté ou de terreur. La peur du sang, le goût du sang : ce sont là deux aspects morbides d’une même maladie bourgeo
32 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
45 orts avec le peuple. Il discute M. Malraux et son goût désespéré de l’action pour elle-même. Il condamne le populisme de M.
33 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
46 de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais caractère. Il y ava
34 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
47 ues. Ce projet, d’autre part, flattait un certain goût du graphique et de l’imagerie stylisée qu’à la réflexion je trouvai t
48 cédé à la tentation du pittoresque et défini, au goût du temps, les frontières de certains pays dont on venait à peine de r
49 ies. À force de se craindre dupe, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance qui déjà la frappe n’es
35 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
50 ars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités, et dont Michel Babits est aujourd’hui le chef de fi
51 niciens ou intellectuels. Les Français aiment par goût du bavardage. Les Suisses aiment avec une bonne ou une mauvaise consc
36 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
52 à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine puissance de l’esprit qu
37 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
53 us rafraîchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est con
54 éfiances. Certains se sont faits communistes, par goût de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un parti national-marxi
55 l’Occident ? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa puissance ? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces château
38 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
56 enfin qu’il est perdu, il découvre la liberté. Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et
39 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
57 s, et les framboises humides avaient un délicieux goût fade. Je rentrais toute fière de mes genoux griffés comme ceux des ga
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
58 ues. Ce projet, d’autre part, flattait un certain goût du graphique et de l’imagerie stylisée qu’à la réflexion je trouvai t
59 cédé à la tentation du pittoresque et défini, au goût du temps, les frontières de certains pays dont on venait à peine de r
60 ies. À force de se craindre dupe, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance qui déjà la frappe n’es
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
61 ars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités, et dont Michel Babits est aujourd’hui le chef de fi
62 niciens ou intellectuels. Les Français aiment par goût du bavardage. Les Suisses aiment avec une bonne ou une mauvaise consc
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
63 us rafraîchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est con
64 éfiances. Certains se sont faits communistes, par goût de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un parti national-marxi
65 l’Occident ? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa puissance ? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces château
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
66 à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine puissance de l’esprit qu
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
67 un disait : Si Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est
68 nos raisons folles. Si nous changions un jour de goûts et d’ambition, ce paysage se transformerait. Si je me tourne vers le
69 mit de toutes ses fourrures et se récrie : « Quel goût  ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici tout
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
70 aime à trouver au fond de l’histoire n’est pas du goût de chacun », notait Chateaubriand dans ses Mémoires. Mais c’est par l
71 des vertus de prudence, d’ordre et d’autorité, un goût marqué pour l’argumentation et la dialectique légaliste, qui l’eussen
72 cier, mais ses brusques indignations. Il avait le goût classique de la claire ordonnance, mais non moins de la justice socia
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
73 t, voilà qui satisfait comme nul autre paysage ce goût profond de composer, de contraster, de voiler puis de découvrir, de p
47 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
74 niers temps. Et c’est là que gît l’explication du goût pour l’idéologie que manifeste le grand public allemand. Il est bien
75 un moyen de « passer une heure agréablement ». Le goût des idées, même et surtout dans des cercles littéraires raffinés, éta
76 éraires raffinés, était une sorte d’atteinte au «  goût  » tout court, c’est-à-dire à la mode. Il fallut la petite équipe des
77 rement intellectuelles la plupart du temps, et le goût des « romans qui posent des problèmes ». On appelait cela de la « lit
48 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
78 dont il rejette le matérialisme méthodique et le goût pour la violence dictatoriale. ⁂ En France, ce mouvement mondial a re
49 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
79 doute, rajeuni et purifié. Cela n’est point leur goût , disent-ils, mais une nécessité. La matière, à les entendre, n’est pa
50 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
80 jouissance, mais la création. Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sen
51 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
81 3). Les philosophes, de tout temps, ont montré du goût pour une certaine continuité, une certaine permanence qui planerait a
52 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
82 campagnes se vident ; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une m
53 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
83 éalité, pas un critique, mais un commentateur des goûts de son public. Bien loin d’avoir à cœur de signaler les œuvres qui ri
54 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
84 d’une classe bourgeoise très capricieuse dans ses goûts , parce qu’elle est incertaine de sa mission. Cette anarchie ne se dév
55 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
85 ue identiques. Chez l’un et l’autre, on trouve ce goût des situations extrêmes, où se dénude le fond secret d’un être, sa sa
56 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
86 pour qu’un jour des hommes comme moi qui n’ont le goût ni des habiletés ni des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce
57 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
87 irouettes. Il y a un sentiment très juste dans le goût du pratique, des « solutions pratiques » qu’affirme, depuis la guerre
88 au peuple. On est frappé cependant de voir que ce goût du pratique n’aboutit, pratiquement, qu’à une espèce de négation de l
58 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
89 campagnes se vident ; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une m
59 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
90 que leur philanthropie, leur humanitarisme, leurs goûts démocratiques, par-dessus tout leur religion, étaient autant de moyen
60 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
91 eloppements d’une intolérance « de gauche », d’un goût morbide de « l’autorité » confondue avec la tyrannie étatique, d’un a
61 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
92 de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais caractère. Il y ava
62 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
93 vie personnaliste. Cette jeunesse est pauvre par goût de la force et du risque. Elle rit bien. Elle n’a pas ce sérieux engo
63 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
94 jouissance, mais la création. Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sen
64 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
95 pour qu’un jour des hommes comme moi qui n’ont le goût ni des habiletés ni des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce
65 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
96 irouettes. Il y a un sentiment très juste dans le goût du pratique, des « solutions pratiques » qu’affirme un autre groupe d
97 au peuple. On est frappé cependant de voir que ce goût du pratique n’aboutit, pratiquement, qu’à une espèce de négation de l
66 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
98 campagnes se vident ; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une m
67 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
99 que leur philanthropie, leur humanitarisme, leurs goûts démocratiques, par-dessus tout leur religion, étaient autant de moyen
68 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
100 eloppements d’une intolérance « de gauche », d’un goût morbide de « l’autorité » confondue avec la tyrannie étatique, d’un a
69 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
101 de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais caractère. Il y ava
70 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
102 vie personnaliste. Cette jeunesse est pauvre par goût de la force et du risque. Elle rit bien. Elle n’a pas ce sérieux engo
71 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
103 jouissance, mais la création. Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sen
72 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
104 aire. Le révolutionnaire est pauvre, non tant par goût que par nécessité interne. Mais la revendication d’une caste est plus
73 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
105 ique de l’univers ? On pourrait m’objecter que le goût de la forme, apanage évident du « latin », suppose des géométries plu
74 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
106 e bourgeois. Il incarne à la puissance infinie le goût du néant — le refus de la vocation — qui caractérisera le monde bourg
107 s peu de bourgeois aient eu conscience d’avoir ce goût . Mais son opposition si frénétique à la bêtise de sa classe, si elle
75 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
108 alraux. Même sens de la fraternité tragique, même goût des situations extrêmes (tortures en prison, folie des combats à la m
76 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
109 ystiques, où cependant il n’a que faire, avec son goût de l’expérience et de l’application concrète. Mais justement cette fr
77 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
110 ’alarme stupéfiant. Soucieux de ne point céder au goût de la catastrophe que certains plumitifs se plaisent à entretenir au
111 role. Je ne me propose pas du tout de décevoir ce goût de positif que mes contemporains, à tort et à travers, opposent à tou
78 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
112 un fait sentimental et tellurique, un ensemble de goûts et d’habitudes qui ne comporte ni orgueil ni modestie, ni aucune espè
79 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
113 u bon sens en ces matières. Deux morceaux dans le goût classique le plus sévère sur la prudence et sur l’usage des vertus. E
114 oir modifier une forme de gouvernement… » Ce même goût du bonheur, chez l’un et l’autre, ces mêmes façons de ne se piquer de
80 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
115 us répète que ce n’est là, tout simplement, qu’un goût que nous avons, cela n’a rien à voir avec la guerre, la guerre contre
116 z à faire comprendre, hors d’Allemagne, que votre goût du décor guerrier est un goût pacifique, somme toute, sportif, artist
117 llemagne, que votre goût du décor guerrier est un goût pacifique, somme toute, sportif, artistique si j’ose dire ! Lui. — E
81 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
118 res qui aura gardé assez de fraîcheur d’Âme et de goût des choses de l’Esprit pour entreprendre une statistique complète des
82 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
119 e, un dernier reste de snobisme d’avant-garde, un goût de la nouveauté qui corrigeait le conformisme pour ainsi dire normal
120 n publicitaire par une spéculation adroite sur le goût de la rareté ou du scandale, et sur la mode qui était aux moins de tr
83 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
121 lons, au temps où le seul tribunal était celui du goût (c’est-à-dire des poncifs imposés par la cour de Louis XIV). ⁂ La mêm
122 u’un homme recherchera jamais l’effort ; mais par goût de l’effort. Si Ramuz tend à rejeter tous les intermédiaires culturel
84 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
123 dire que le néant, dont ils lui prêtent ainsi le goût , est justement celui que Kierkegaard dénonce au cœur des systèmes qu’
85 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
124 Hugo du modernisme : même invention verbale, même goût des grandes antithèses, même générosité humanitaire. Et quelle surabo
86 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
125 llule sociale »), de l’héritage, et du legs64, le goût du lucre, de la possession particulière, reprennent le pas sur le bes
87 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
126 appel élémentaire : il est dangereux de confondre goût du désordre avec révolution ; goût du suicide avec libération ; pénit
127 x de confondre goût du désordre avec révolution ; goût du suicide avec libération ; pénitence avec obéissance à une nouvelle
88 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
128 iècle aux ouvriers socialistes comme un manque de goût démagogique, n’est vraiment pas une invention socialiste. Ce n’est qu
89 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
129 qui est bon et ce qui est mauvais. Je n’ai pas le goût de me poser en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’écouter. Mais
90 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
130 formaliste, leur pudibonde impartialité, enfin ce goût presque maniaque pour les déterminismes inférieurs qu’invente une sci
131 l’abolition progressive des classes anciennes, un goût de la grandeur ou de l’énormité, des fêtes sublimes. Quand je dis que
91 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
132 rarchies intellectuelles. Quatrième vertu : le goût du risque Pédagogie du risque : tout ce qui n’est pas dangereux es
133 scélérates » ; pour d’autres, qu’il témoigne d’un goût romantique du scandale ; enfin qu’il évoque surtout la « mise au pas 
92 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
134 appel élémentaire : il est dangereux de confondre goût du désordre avec révolution ; goût du suicide avec libération ; pénit
135 x de confondre goût du désordre avec révolution ; goût du suicide avec libération ; pénitence avec obéissance à une nouvelle
93 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
136 iècle aux ouvriers socialistes comme un manque de goût démagogique, n’est vraiment pas une invention socialiste. Ce n’est qu
94 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
137 qui est bon et ce qui est mauvais. Je n’ai pas le goût de me poser en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’écouter. Mais
95 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
138 formaliste, leur pudibonde impartialité, enfin ce goût presque maniaque pour les déterminismes inférieurs qu’invente une sci
139 l’abolition progressive des classes anciennes, un goût de la grandeur ou pour au moins de l’énormité, des fêtes vertigineuse
96 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
140 rarchies intellectuelles. Quatrième vertu : le goût du risque Pédagogie du risque : tout ce qui n’est pas dangereux es
141 scélérates » ; pour d’autres, qu’il témoigne d’un goût romantique du scandale ; enfin qu’il évoque surtout la « mise au pas 
97 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
142 rd’hui, ils se voient obligés de se soumettre aux goûts (supposés) du public. Ils renoncent à former ces goûts. Ils se conten
143 (supposés) du public. Ils renoncent à former ces goûts . Ils se contentent de les flatter. Et aussitôt, comme on pouvait le p
98 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
144 compréhensive, rayonnante, toute de mesure et de goût . — Nous sommes attachés à cette sélection de grâce et de mesure qui s
99 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
145 moyenne. Il ne fait que traduire les humeurs, les goûts , les craintes et les vapeurs du bourgeois sensible, il ne cherche pas
146 romancier, tout simplement, le propagandiste des goûts de sa classe. Rien n’est plus dangereusement tendancieux qu’un écriva
100 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
147 i dit, l’on pourra déguster, car il s’agit ici de goût , au sens physique. Lanson fournit les dates de naissance, les titres