1
chante cette « violence ordonnée et calme » des «
grands
corps athlétiques ». Sur le stade au soleil se déploient les équipes,
2
qui gouverna le monde ancien : La moitié est plus
grande
que le tout ». Le sport comme un apprentissage de la vie : tout servi
3
vre libéré de souvenirs héroïques, peut-être trop
grands
pour la paix, c’est vers de plus sereines exaltations qu’il va porter
4
les romans « intéressants » ou « curieux » ; le «
grand
lyrisme » à la Chateaubriand, voire à la Barrès, dont il est capable
5
tique » qui, avoue Rimbaud, entre encore pour une
grande
part dans l’« alchimie du verbe » ; et je ne puis m’empêcher d’accuse
6
mage qui ne fera plus longtemps impression. C’est
grand
dommage pour les lettres françaises qui risquent d’y perdre au moins
7
françaises qui risquent d’y perdre au moins deux
grands
artistes : Aragon, Éluard. Sans oublier Breton, enchanteur des images
8
mant la paix. M. Fabre avait là les éléments d’un
grand
roman : autour d’un sujet de vaste envergure, et brûlant, une intrigu
9
livre on a presque l’impression qu’il a réussi ce
grand
roman… Qu’y manque-t-il ? Un style ? L’absence de style, n’est-ce pas
10
découverte du monde par l’Europe intellectuelle.
Grand
siècle de critique pour lequel nos contemporains accumulent les docum
11
M. Massis, par exemple, qui cependant produit un
grand
nombre de citations à l’appui de ses sophismes, ne se livre pas moins
12
uve au tableau des auteurs édités depuis lors les
grands
noms de la littérature européenne d’avant-guerre mêlés à ceux des maî
13
ique. Ce n’est que dans sa discrétion à louer une
grande
œuvre qu’on trouvera la mesure de son admiration et le gage de sa lég
14
veulent être, subissent, une fois qu’ils sont, le
grand
malentendu de la personnalité. Tandis que chez Unamuno une volonté d’
15
de ce nouveau chapitre qu’il vient d’ajouter à sa
grande
étude sur les rapports du christianisme et du romantisme. M. Seillièr
16
lante les richesses intellectuelles et morales du
grand
vaudois. Vraiment, tout ce qui semble viable et humain dans la critiq
17
ois noms qui permettent, je crois, de parler d’un
grand
siècle littéraire irlandais ; ce que d’ailleurs Mlle Simone Téry ne f
18
ns le détail de la vie d’une ville. Il sait qu’un
grand
mouvement est la résultante de millions de petits. Voici naître la ré
19
ns un cœur, puis dans une famille. Et une fois le
grand
bouleversement accompli dans la « Cité secrète » de la vie privée, qu
20
d’ailleurs assez peu choquants, que le revers de
grandes
qualités de réalisation d’idées en faits ou en situations dramatiques
21
du réduit, et se blottit là, sur le sol, les yeux
grands
ouverts dans le vide, sans rien voir. Ainsi le moujik devant le bolc
22
es morales, si singulières soient-elles — dont le
grand
public reste le témoin souvent sceptique ou railleur. Au cœur de la c
23
nervée lui permet de brutaliser quelque peu les «
grands
problèmes », et le voilà reparti dans un égoïsme triomphant, pur du d
24
mieux, dit encore Vinet, ne voir d’abord que les
grands
traits de sa nature, ne connaître que les grands mots de la langue mo
25
grands traits de sa nature, ne connaître que les
grands
mots de la langue morale, suivre à l’égard de soi-même la méthode de
26
es petites misères, en compose d’un seul coup une
grande
misère, et par ce moyen nous met tout d’abord en présence, non de nou
27
Folie de l’espace (avril 1926)q Un artiste de
grand
talent à qui la guerre a fait perdre le goût des théories d’écoles et
28
patricien que dans la création d’un caractère de
grand
peintre. Pourtant, malgré des longueurs, on ne lira pas sans plaisir
29
notre vie moderne un décor utile et beau. Or « la
grande
ville, phénomène de force en mouvement, est aujourd’hui une catastrop
30
stallisation d’un rêve de joie et de raison où de
grandes
ordonnances élèvent leur chant. Utopie ! Oui, si notre civilisation s
31
e qui la dompte, tout ce qui sourd en moi de trop
grand
pour ma vie — toute ma joie ! » Ce n’était plus une douleur rare que
32
enciel, et comme on déroule une litanie. Sous les
grands
cils brillants, lustrés par la lumière descendante, les prunelles lai
33
ons antiques, de rapprochements superstitieux, de
grands
symboles païens, et l’on se perd dans un syncrétisme effarant, où Mit
34
utôt stoïcien, celui-là. Et c’est un moraliste de
grande
race, qui peut nous mener à des hauteurs où devient naturel ce cri de
35
lui. Certes, il ne soulève directement aucun des
grands
problèmes de l’heure. La violence même qui sourd dans son être intime
36
dans les prairies célestes, pour avoir donné une
grande
gloire aux jeunes hommes ! » Mais ce jeune homme qui écrivit naguère
37
le ciel fut le signe d’un équilibre retrouvé. Un
grand
pont de fer, près de nous, érigeait l’image de la lutte et des forces
38
ure française. Il le proclame « J’appartiens à la
grande
race des torrents ». Génie inégal s’il en fut, voici parmi trop de ta
39
poches, ôta ses gants qu’il jeta, puis, après un
grand
coup de pied dans le vide symbolique des systèmes, sortit, c’est-à-di
40
é des lettres de Grenoble, traita mardi soir à la
Grande
salle des Conférences, devant un très bel auditoire, est un des plus
41
date de la révocation, la France passa de la plus
grande
liberté à la plus grande tyrannie. En proclamant la liberté religieus
42
France passa de la plus grande liberté à la plus
grande
tyrannie. En proclamant la liberté religieuse, Henry IV mettait le ro
43
ammes sur l’orchestre pensif. Ton regard est plus
grand
que le chant des violons. Aube dure ! En ma tête rôde ton souvenir, c
44
du Printemps. J’ai rôdé dans la joie féminine des
grands
magasins, n’osant pas repasser trop souvent devant les ascenseurs. «
45
ertes, les qualités scéniques de cette pièce sont
grandes
. Je ne saurais même indiquer aucun endroit par où elle pèche contre l
46
la scène. Titre : Socrate et Narcisse, un acte à
grande
figuration. » Enfin l’on joua aux petits dés le sort de notre parade
47
amis affligés mangent les couronnes et suivent à
grands
sauts lents, solennels. Ils revoient la danseuse, font une ronde auto
48
la fois mystique et anarchique : ce sont bien les
grands
traits de notre inquiétude. (Mais peut-être M. Rops a-t-il trop négli
49
rodigué et des phrases d’un fascinant éclat : « Ô
grand
Rêve, au matin pâle des édifices, ne quitte plus, attiré par les prem
50
t vif, insolent et ombrageux. « J’appartiens à la
grande
race des torrents. » Une belle phrase, n’est-ce pas ? Je ne sais qu’u
51
st trouvé des Maurras et autres « héritiers de la
grande
tradition gréco-latine » pour assigner à Minerve le bassin de la Médi
52
Il nous faut des entrepreneurs de tempêtes. Un
grand
principe de violence commandait à nos mœurs. … et nous portant dans n
53
de nos forces, notre joie parmi vous fut une très
grande
joie. Saint-John Perse. Nous appelions une Révolution perpétuelle un
54
nyme de magnifique perdition dans des choses plus
grandes
que nous. Nous nous connaissions dans les coins et nous mourions d’en
55
on. Balayez ces douanes de l’esprit, proclamez le
grand
Libre-Échange, voici déjà s’avancer des prodiges à cette invite la pl
56
rd, je songe qu’il est des visites à de certaines
grandes
dames où je préférais — et lui aussi — me rendre seul et sans argent.
57
pression, à voir ses dernières toiles, d’une plus
grande
certitude intérieure. Les visages sont plus calmes, les couleurs s’av
58
ostume est drapé avec un soin minutieux, mais une
grande
mèche insolente retombe devant le visage. Aurèle tient un livre ouver
59
is, Léon Perrin semble avoir évolué vers une plus
grande
harmonie de lignes. Je pense surtout à ses bas-reliefs du BIT où se m
60
par l’argent qu’on domine notre âge : il devient
grand
industriel, assure sa fortune au prix du peu cynique reniement de ses
61
e avenue et ses autos rouges, tout un couchant de
grand
port de la Méditerranée. Nous nous aimâmes en sifflotant encore par i
62
eure où dans les bibliothèques désertes glisse un
grand
souffle oblique plein de fraîcheur et de pardon. » am. « Pierre Gir
63
ensée tendre pour un ami poète. « L’autre jour au
Grand
Écart… », dit quelqu’un. À ce coup, l’évocation de Cocteau fait fleur
64
ns qu’elle exige me coûteront des sacrifices plus
grands
que les bienfaits que j’en escompte, il sera temps de songer sérieuse
65
de Fermé la nuit, titres également scandaleux. Le
Grand
Écart, roman de M. Cocteau, a donné son nom à un établissement de nui
66
miracle. Et puis, ils ont des vieux un peu là, du
grand
Arthur-Alfred-Albert au non moins grand Tanner. (On a fait ses preuve
67
eu là, du grand Arthur-Alfred-Albert au non moins
grand
Tanner. (On a fait ses preuves, quoi !) Et puis, qui sait, peut-être
68
s la mienne et s’assit sans paraître me voir. Une
grande
figure aux joues mates, aux yeux clairs. Il déplia le journal et se m
69
cette machine de route, jusqu’au jour présent, ma
grande
et constante ambition a été de construire une bonne machine routière.
70
ts, et le charme un peu facile mais fort goûté du
grand
public, de l’humour américain, l’on comprendra sans peine la populari
71
à l’heure quel fut le but de la vie de Ford, sa «
grande
et constante ambition ». Il semble que toute sa carrière — pensée, mé
72
a fort bien montré, dans un article intitulé « Le
grand
paradoxe du monde moderne »3, ce qu’il y a de profondément antihumain
73
et cent autres pareilles, composent, au total, la
grande
Liberté idéale et mettent de l’huile dans les rouages de la vie quoti
74
ui que M. Cambon, dans sa préface, égale aux plus
grands
esprits de tous les temps. On me dira que Ford a mieux à faire que de
75
les peuples. Ainsi, détournant de l’essentiel une
grande
part des forces humaines, il travaille contre l’Esprit. Rien n’est gr
76
rrogant avec lequel, de nos jours, on tranche les
grandes
questions humaines est une des manifestations les plus frappantes de
77
ueur de la nécessité — puisqu’elle est inutile au
grand
dessein matérialiste de l’Occident. La logique, parlant par la bouche
78
à Genève a révélé que les livres les plus lus du
grand
public sont Ma vie et mon œuvre, de Ford et Mon curé chez les riches,
79
s de langue allemande, son succès est encore plus
grand
, et de meilleure qualité. Je ne parle pas de l’Amérique. 2. Victor C
80
uge, souterrain où nous nous engouffrâmes dans un
grand
bruit de saxophones et de cors anglais jouant la Marche de Tannhäuser
81
lluminées. Des autos attendaient devant le porche
grand
ouvert. Les chauffeurs faisaient les cent pas dans la neige fraîche o
82
». Soudain les autos se mirent à ronfler. Par le
grand
escalier, au fond de la cour du palais, descendaient les invités du b
83
es poètes savent se perdre. Et c’est bien sa plus
grande
ruse que d’avoir emprunté le véhicule à la mode pour conduire des mil
84
e jolis livres d’étrennes dans les œuvres du plus
grand
créateur de mythes modernes, du seul écrivain dont l’influence soit c
85
térature si pédante qu’elle exclut un de nos plus
grands
conteurs sous prétexte qu’il n’est styliste ni psychologue ? Laissero
86
nsi l’image d’un romantisme assez morose ; mais à
grande
échelle. M. de Pourtalès a su rehausser le tableau avec beaucoup d’ad
87
ince russe et entretient autour de sa vie le plus
grand
mystère. Cependant il aime à raconter certaines scènes terrifiantes d
88
je suis ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de
grand
soleil sur toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres battaien
89
e pourrait-il pas être considéré un jour comme le
grand
tueur de son époque ? Rendre impuissant c’est à coup sûr tuer. Or on
90
énouée de ta vie comme de cette nuit le jour d’un
grand
été qui consent… Ailleurs Colombes lumineuses des mains de m
91
ne, puis une banque en style hongrois, façade aux
grandes
lignes verticales, peinturlurée de bleu, d’or et de violet. Puis une
92
nheur et vous voyez bien que Mme Varshany est une
grande
artiste. Vous vous êtes levé, comme tout le monde, à l’entrée d’un de
93
sur des divans couverts de coussins Rothermere et
Grande
Hongrie… Ivresse dans le malheur, passion et pauvreté, espoirs presqu
94
e folie m’apparaît comme une chose si douce et si
grande
… »11 Et Bettina terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont
95
que, confondant leurs flammes. Dix années dans le
Grand
Jeu. Dix années où le génie tourmente cet être faible, humilié par le
96
eau et cette complainte de malade épuisé après un
grand
accès de fièvre… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies d
97
Il y avait encore plus de paix que maintenant. La
grande
allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons. Il voyait de
98
montent au Séminaire protestant : il leur fait de
grandes
révérences… La rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café
99
ndes révérences… La rumeur et le cliquetis d’une
grande
terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre he
100
même monde ? (Il est bon de poser parfois de ces
grandes
questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout semblable
101
ine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de
grandes
choses généreuses autour d’eux… Cela s’oublie. Et l’amour, tout juste
102
début, puis plus tard encore, dans les songes des
grandes
personnes, — puis tous se perdent, comme des souvenirs, et l’on retro
103
ommage qu’il s’égare parfois dans les maisons des
grands
bourgeois, où tout, soudain, devient plus terne. Mais bien vite un in
104
les autres. Soudain il lui pousse des ailes, une
grande
paire d’ailes. Allait-on s’émerveiller ? Mais déjà Freud expliquait l
105
fort simple qui d’ailleurs était la bonne, car le
grand
Remède, c’est un Simple. Des hurlements de rage ne tardèrent point à
106
’est-ce qui ressemble plus au souci quotidien des
grandes
personnes ? Mais l’enfance est ailleurs. Je revois ce fond de jardin
107
dire est sans doute injuste et faux dans un très
grand
nombre de cas, mais pourquoi ai-je envie de le dire ? L’instituteur s
108
votre vie, citoyens ! Et vous pensez que c’est un
grand
progrès sur la Nature. Quelle peut bien être la vertu éducatrice d’un
109
es » comparables à ceux que l’on établit lors des
grandes
épreuves cyclistes. Les participants du Tour de Science doivent s’ins
110
avoir enivré l’espoir et enflammé l’ambition d’un
grand
nombre de régents, ne laissent pas que d’être assez spéciales. Il arr
111
t pas beaucoup ma superstition, par ailleurs fort
grande
. Tous ceux qui ont eu l’occasion de comparer les bons élèves de diver
112
de ces principes, et ce peut être le signal de la
grande
débâcle printanière. Il n’y a de révolution véritable que de la sensi
113
elle enseigne à connaître, elle constitue la plus
grande
force antireligieuse de ce temps. L’instruction religieuse qui prend
114
ébordent ce cercle étroit et distingué. Il y a de
grands
balayages à faire, un grand courant d’air à créer qui emportera toute
115
distingué. Il y a de grands balayages à faire, un
grand
courant d’air à créer qui emportera toutes ces statistiques et ces jo
116
c’est notre sécheresse sentimentale. Et c’est le
grand
empêchement intérieur dont souffre notre imagination créatrice ; c’es
117
itude de l’âme. Ceci revient à dire que seule une
grande
vague de l’imagination collective peut désensabler le vieux bateau oc
118
ga à lui : toutes les fois qu’il veut obtenir une
grande
intensité avec un minimum de moyens. J’en citerai deux exemples : la
119
dire que tout homme gagnerait à posséder une plus
grande
puissance intellectuelle, une meilleure mémoire, une sensibilité plus
120
res et rester pacifiste. NOTE C Vous parlez de la
grande
vulgarité de mes attaques. Ce qui est vulgaire, au plein sens du mot,
121
itut Rousseau. 2. Guguss, journal comique d’une
grande
vulgarité qui jouait alors le rôle de nos bandes dessinées.
122
’est-ce qui ressemble plus au souci quotidien des
grandes
personnes ? Mais l’enfance est ailleurs. Je revois ce fond de jardin
123
dire est sans doute injuste et faux dans un très
grand
nombre de cas, mais pourquoi ai-je envie de le dire ? L’instituteur s
124
votre vie, citoyens ! Et vous pensez que c’est un
grand
progrès sur la Nature. Quelle peut bien être la vertu éducatrice d’un
125
es » comparables à ceux que l’on établit lors des
grandes
épreuves cyclistes. Les participants du Tour de Science doivent s’ins
126
avoir enivré l’espoir et enflammé l’ambition d’un
grand
nombre de régents, ne laissent pas que d’être assez spéciales. Il arr
127
éciales. Il arrive en effet que nos petits futurs
grands
citoyens ayant accompli de « fortes études primaires et secondaires »
128
t pas beaucoup ma superstition, par ailleurs fort
grande
. Tous ceux qui ont eu l’occasion de comparer les bons élèves de diver
129
de ces principes, et ce peut être le signal de la
grande
débâcle printanière. Il n’y a pas de révolution véritable que de la s
130
elle enseigne à connaître, elle constitue la plus
grande
force antireligieuse de ce temps. L’instruction religieuse qui prend
131
ébordent ce cercle étroit et distingué. Il y a de
grands
balayages à faire, un grand courant d’air à créer qui emportera toute
132
distingué. Il y a de grands balayages à faire, un
grand
courant d’air à créer qui emportera toutes ces statistiques et ces jo
133
c’est notre sécheresse sentimentale. Et c’est le
grand
empêchement intérieur dont souffre notre imagination créatrice ; c’es
134
itude de l’âme. Ceci revient à dire que seule une
grande
vague de l’imagination collective peut désensabler le vieux bateau oc
135
ga à lui : toutes les fois qu’il veut obtenir une
grande
intensité avec un minimum de moyens. J’en citerai deux exemples : la
136
dire que tout homme gagnerait à posséder une plus
grande
puissance intellectuelle, une meilleure mémoire, une sensibilité plus
137
res et rester pacifiste. NOTE C Vous parlez de la
grande
vulgarité de mes attaques. Ce qui est vulgaire, au plein sens du mot,
138
minceur décrit la passion d’une jeune fille de la
grande
bourgeoisie pour une gamine qui lui sert de modèle dans son atelier.
139
énouée de ta vie comme de cette nuit le jour d’un
grand
été qui consent… o. « Le prisonnier de la nuit », Latitude longitu
140
seule l’activité de la critique. Trois ou quatre
grands
écrivains — Claudel, Gide, Valéry… — suffisent à nous rassurer sur la
141
avant d’écrire —, que voyons-nous en effet ? Une
grande
nuée de romanciers à peine plus réels que leurs personnages ; des êtr
142
pas désespérer, cinq ou six poètes. 4. « Quelque
grande
que soit » mon envie — comme disent Beausire et la Grammaire — mon en
143
n de mes certitudes » — comme disent Simond et ce
grand
potache de Maldoror. « Qu’on nous montre un homme… » Un ou deux. Il s
144
me conduiraient là où je ne sais pas que j’ai si
grand
désir d’aller… Est-ce ici ? Je regarde autour de moi : des murs sans
145
e, ce qui revient au même. Une femme fatale et un
grand
incompris sont là. Enfin, Jean Cassou, représentant Mgr le marquis de
146
dans sa chambre où il s’enferma, écrivit dans une
grande
fièvre tout le Stabat Mater, sa plus belle œuvre, sur le thème des pl
147
er, je chantonnais la Barcarolle en descendant le
Grand
Canal, — c’est une romance assez déchirante, à mi-voix… .............
148
’éloigne. La nuit est chaude sur les collines. Un
grand
verre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qui bougonne
149
somme, que reprendre, quitte à les parodier, les
grands
thèmes du romantisme. Mais il les a poussés à un paroxysme verbal qui
150
crois bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une
grande
maison calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. 2. La
151
notre raison de vivre. Mais combien votre sort, ô
grands
empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui caus
152
omme le soleil se couchait, nous avons repassé un
grand
pont vibrant et nous sommes rentrés en Europe. Mais dès le lendemain,
153
ins dont les arbustes sèchent, vers une espèce de
grande
villa baroque assez décrépite, décor en pierre brune peu solide, rong
154
tte banque à la façade violette, or et bleue, aux
grandes
lignes verticales peinturlurées — elle n’a rien d’étrange, si l’on so
155
lles d’un ancien couvent. Nous pénétrons dans une
grande
salle vivement éclairée. Murs chaulés, et de nouveau de hautes voûtes
156
et intéressé, ce geste s’appelle coquetterie ; en
grand
et gratuit, sacrifice.) … feuilletons un peu ma Hongrie. 7. Les ma
157
ple, ce qu’il faudrait essayer d’obtenir : que la
grande
majorité des gens ne deviennent pas enragés dès qu’ils perçoivent de
158
ant du Nyugât (l’Occident), revue fondée par deux
grands
poètes : André Ady et Michel Babits. Ady, le sombre et pathétique, es
159
encore la connaissance au sein d’une flamme plus
grande
, l’autre seulement d’une plus faible… Le grand poète n’est jamais aba
160
s grande, l’autre seulement d’une plus faible… Le
grand
poète n’est jamais abandonné par lui-même ; il peut au-dessus de lui-
161
l un souffle tempétueux arrache cette flamme trop
grande
pour son support. Reste une cendre où longtemps encore palpiteront de
162
t ; saisir la danseuse, tourbillonner, pousser de
grands
cris ; tourbillonner en sens inverse ; frapper des talons toujours pl
163
rs et des cris modulés, et toute la frénésie d’un
grand
souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. 14. L’amour e
164
me compose pas de morceaux choisis16. Il y a une
grande
ville, un grand lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay
165
e morceaux choisis16. Il y a une grande ville, un
grand
lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et point de ce
166
ssés, des juifs, des paysans, des communistes, de
grands
nobles, et des Tziganes. D’ailleurs, le bourgeois supporterait diffic
167
modernes, de statues, de pylônes plantés dans un
grand
désordre de piétons et de chars à bœufs parmi les trams. Les habitant
168
ce : or le rêve de l’enfant, c’est de devenir une
grande
personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette ville historique est auss
169
prolongée. Peut-être ce soir-là, ai-je compris la
Grande
Plaine, et que par sa musique j’étais aux marches de l’Asie. En sorta
170
ciété18 de ceux qui ne désespèrent pas encore du
Grand
Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des signes. Peut-être fa
171
dernières de la ville de Debrecen, au bord de la
Grande
Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard,
172
noires aux palais vides mais hantés, et dans les
grands
cafés du centre… Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?) 1
173
a installer ses machines : elles avaient l’air de
grands
joujoux ; et l’on continua d’apprendre rosa : la rose, d’admirer le P
174
é » et le « conforme » au vrai. Mais n’est-il pas
grand
temps de dépasser une réaction de vulgarité non moins artificielle qu
175
ure d’Aden est assez faite pour y contribuer : si
grande
est en effet l’horreur que M. Nizan éprouve à contempler « ce résidu
176
e divergence entre eux et nous — si le mal est si
grand
qu’ils le montrent — et il l’est — aucun bouleversement matériel n’y
177
tes de venir dans notre cercle. Héritiers du plus
grand
affranchissement et de la plus héroïque résistance, nous voulons alle
178
ndissaient autour des livres dont nous savions de
grands
morceaux avec notre cœur. On remuait un climat de poèmes, une spiritu
179
», « architecture ». Et Dieu avait une place plus
grande
dans la joyeuse lumière de notre ciel simplifié. Et voilà, n’est-ce
180
art protestant. Il eût fallu peut-être qu’un plus
grand
nombre d’artistes exposassent pour qu’une réponse valable pût être es
181
de la peinture à sujet religieux qu’annonce cette
grande
composition : trois longues croix dans une lumière dramatique, le cor
182
guré en symbole mystique sur le ciel vert du plus
grand
jour de l’Histoire. On a beaucoup remarqué la part importante ménagée
183
Au sujet d’un
grand
roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)g M. Mau
184
l’antagonisme fait le fond de presque toutes les
grandes
œuvres romanesques : une individualité et un milieu social bien défin
185
utrement. 20. Pages 495-499. g. « Au sujet d’un
grand
roman : La Princesse Blanche de Maurice Baring », Foi et Vie, Paris,
186
prochaine des œuvres principales de l’un des plus
grands
esprits du xixe siècle, du plus méconnu peut-être, en France tout au
187
ractérise cette existence (Commerce, n° XII). Le
grand
événement de sa vie fut la mort de l’Évêque Mynster qui avait été trè
188
tombe de l’évêque, le loua d’avoir été l’un des «
grands
détenteurs de la vérité, dont la longue chaîne part des apôtres ». Ma
189
Panthéon spirituel : Kierkegaard fut le dernier
grand
protestant. On ne peut le comparer qu’aux grands fondateurs du christ
190
r grand protestant. On ne peut le comparer qu’aux
grands
fondateurs du christianisme, à Luther, à Calvin. Tous les autres para
191
t-être d’autant plus intéressant qu’il émane d’un
grand
théologien. Il s’agit maintenant de nous révéler ce « héros de la foi
192
ait vivre d’imaginaires bons sauvages. Et pour la
grande
majorité de ceux qui, après lui, feront intervenir la montagne dans l
193
’ordre social. Mlle Engel constate que « les plus
grands
poètes français du xixe siècle ont échoué dans leur interprétation d
194
glorifie l’Évangile, elle accuse formellement la
grande
majorité des chrétiens. Tant mieux si ce livre nous passionne. Il fau
195
chef du Jeune Japon, l’initiateur de réformes de
grande
envergure, commencées dans les bas-fonds de la ville de Kobé et peu à
196
nger dans la vie active et mettre à l’épreuve son
grand
idéal. Que pouvait-il y avoir de plus noble que de partager la vie qu
197
journalières. Par là, il fait souvent penser aux
grands
Russes, à Tolstoï surtout. Et par tous les revirements intérieurs de
198
doyer pour André Gide. J’avoue qu’il sait dans un
grand
nombre de cas me convaincre ; et que, dans la plupart des autres, il
199
orte subtile de loyauté à des fins rien moins que
grandes
. Car l’excès même de ces scrupules les fait tourner soudain, les fait
200
otre époque est prodigue, ne s’étalaient point au
grand
jour, il y avait pour elles une autre issue : la prière en portait l’
201
Barth, génial disciple du Danois, et dont il est
grand
temps qu’on nous traduise quelques essais théologiques. L’œuvre de Ru
202
t que personne, croyons-nous, n’a relevé, que les
grands
« succès » littéraires de l’année 1931 soient allés à trois romans d’
203
ue ici le moralisme survivant, c’est au nom d’une
grande
espérance. Que devons-nous attendre ? Tout, d’un réveil dogmatique qu
204
drait pour en douter que l’on ait oublié les plus
grands
noms : Milton, Bach, Rembrandt, les sœurs Brontë, Henrik Ibsen et ces
205
vres modernes inspirées, comme le furent les plus
grandes
, par le sentiment tragique du péché et de la grâce souveraine. C’est
206
œuvres nées sous le signe fatal du moralisme. La
grande
poésie naît du tragique et de la joie surabondante : verrons-nous que
207
ondition la plus nue. « Alors on voit paraître le
grand
, c’est-à-dire on voit paraître l’homme dans sa grandeur, c’est-à-dire
208
nt ensemble fortement, comme dans le tableau d’un
grand
peintre ». Ah ! la grandeur de ce peuple ramuzien, qui se meut dans j
209
le soir, il éclate tragiquement. Est-ce la fin ?
Grande
heure de terreur et de prière. Puis, « la page du ciel a été tournée
210
nteur qu’elle impose, nous replace dans la vision
grande
et efficace des choses les plus simples. Mais il faut dire maintenant
211
. Aussi, par le passage à la limite : car la plus
grande
crise imaginable, c’est l’arrêt absolu, suprême : le Jugement dernier
212
le poète, Ramuz, l’homme qui vit concrètement les
grands
mythes et les réalise dans sa vision, cet homme sera toujours en puis
213
que l’époque 1900-1910 fut « inactuelle » pour la
grande
masse de ceux qui la vécurent. c. « Les Signes parmi nous, par C. F.
214
ne. Que Goethe ait pratiqué « le devis des choses
grandes
et secrètes » comme parle Jérôme Cardan, l’on en trouve dans toutes s
215
st béant sur le vide : « Moi qui me suis cru plus
grand
que le Chérubin… qui pensais en créant pouvoir jouir de la vie des di
216
ccupe un temps, c’est l’action, la Tätigkeit — le
grand
mot goethéen — qui triomphera désormais. Mais une action qui par avan
217
bend sich bemüht, — Den können wir erlösen ». Les
grandes
entités symboliques l’accueillent dans leur harmonie : c’est la « gra
218
ues l’accueillent dans leur harmonie : c’est la «
grande
Magie » que Faust enfin rejoint dans la pleine possession de ses forc
219
et de l’immédiat éthique. Et quels sont les plus
grands
Occidentaux ? Ceux qui ont incarné le choix le plus audacieux. Pascal
220
’on citait plus haut : « Moi qui me suis cru plus
grand
que le Chérubin. » « Point de cantiques : tenir le pas gagné… la réal
221
tempérament démoniaque l’on enlève la force plus
grande
encore du caractère, et voici la confession éruptive : les Illuminati
222
es du monde nouent leur effroi je t’appelle à
grande
voix sans un son sans un écho le silence autour de toi déroule
223
vent sous le règne du christianisme. Mais le plus
grand
Occidental fut-il chrétien ? Nous ne saurions, surtout dans Foi et V
224
depuis un siècle, le revendiquent comme leur plus
grand
païen. Les fragments des Conversations avec Eckermann que nous donnon
225
circonstances dans lesquelles Goethe évoluait. Un
grand
critique allemand, Ernst Robert Curtius, rappelait récemment dans un
226
es) ; nous n’avons pas besoin d’avoir beaucoup de
grands
hommes — ni même d’avoir quoi que ce soit —, mais seulement d’être, e
227
simplicité : tout un programme. Et définissons à
grands
traits les réactions du bon sens vis-à-vis de ce programme du sens co
228
ct proprement brutal, à moins que ce ne soit à de
grandes
distances, et bien au-delà du cercle qui intéresse concrètement le bo
229
de fleurs les lombes des « victimes du devoir ».
Grand
troupeau pitoyable et maintenant des « ennemis de la violence » ! On
230
xcréments, la terre même reste stérilisée pour un
grand
nombre de saisons. ⁂ Mais revenons à notre interviewé. Nous allions o
231
nchement, tirent à hue et à dia et engendrent une
grande
confusion. En ce sens, le dernier livre de M. Duhamel, consacré à la
232
n de plus légitime que le désir d’être entendu du
grand
public, et c’est pourquoi l’on ne voudrait pas reprocher à M. Duhamel
233
turs. Mais lorsqu’il stigmatise les méfaits des «
grandes
brutes mécaniques », sa verve — qu’il me pardonne l’image technique —
234
e qu’il veut dégonfler, c’est la philosophie avec
grand
P, la doctrine officielle de la Sorbonne, cette pensée fabriquée par
235
eoise de la vie, et payée — en la personne de ses
grands
maîtres — par l’État bourgeois. Les Chiens de garde 39, tel est le ti
236
rite de poser simplement, brutalement, une de ces
grandes
questions que la pensée moderne a convenu d’appeler « naïves », parce
237
t touchante, ni petit nègre, ni bêtifiante, d’une
grande
force d’expression concrète. Le petit chien Botte raconte ses journée
238
ertu est choix. L’absolu d’un Nietzsche, c’est le
Grand
Midi ; et sa vertu : dépassement. Jouhandeau à son tour se place dans
239
des « laquais de forges ». On nous entendra. Six
grandes
pages de dessins inspirés à M. Hermann-Paul par l’actualité (peut-êtr
240
acres d’aucune sorte. Qui trompe-t-on ici ? Les «
grands
principes » de 89 ou les commanditaires de la prochaine dernière ? Il
241
’accommoder les relations dans le sens de la plus
grande
facilité de réalisation. La politique est un art de synthèses pratiqu
242
a sécurité, et qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus
grande
liberté d’action et de révolution est promise à celui que n’empêtre a
243
ible qui seule rend la vie possible, c’est-à-dire
grande
. Devant les solutions qu’on nous propose d’urgence, il est clair que
244
igne dans une inguérissable nostalgie, celle d’un
grand
accord complexe qui chercherait en vain sa résolution. ⁂ M’attardant
245
. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du
Grand
Jour, où nous irons avec ce qu’il restera de bonté dans notre cœur, p
246
uge, souterrain où nous nous engouffrâmes dans un
grand
bruit de saxophones et de cors anglais jouant la Marche de Tannhäuser
247
lluminées. Des autos attendaient devant le porche
grand
ouvert. Les chauffeurs battaient la semelle dans la neige fraîche ou
248
». Soudain les autos se mirent à ronfler. Par le
grand
escalier, au fond de la cour du palais, descendaient les invités du b
249
ontent et descendent de toutes parts, du haut des
grands
escaliers que décorent trois opulents Tiepolo, du fond d’un hall péri
250
t, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du
grand
monde qui accorde, s’égarent parfois dans un silence qui s’approfondi
251
faudrait un miracle d’amour qui fasse pousser un
grand
cri à un homme qu’on verrait alors s’agenouiller dans un silence impr
252
es ficelles ! Quelle figuration pour une satire à
grand
spectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mou
253
establement vaine. Il y a peu de mensonge dans le
grand
monde : plutôt des règles de jeu, et personne n’a l’idée d’y croire.
254
ci de lui-même l’image la plus flattée : son plus
grand
musicien, des écrivains célèbres, des cantatrices et des acteurs, des
255
a dansent autour d’une vasque, dans un théâtre de
grands
buis taillés à l’italienne. Un projecteur balaie les gazons, les terr
256
mmobile présente de profil son visage un peu plus
grand
que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma, l’ai-je aimée ? — Je lui s
257
quelle approche me saisit ? Parfois, au cœur des
grandes
fêtes, une sphère de silence descend, s’arrête quelques secondes, et
258
par degrés. Un peu de nuage flotte sur le bassin,
grand
œil vide où paraît le vertige. Voici que cèdent les amarres des pelou
259
archer au long des trottoirs que le soleil lave à
grande
eau, et me laisser aller un peu à mes idées. Le commerce du monde mèn
260
crois bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une
grande
maison calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. ii L
261
notre raison de vivre. Mais combien votre sort, ô
grands
empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui caus
262
omme le soleil se couchait, nous avons repassé un
grand
pont vibrant et nous sommes rentrés en Europe. Mais le lendemain, m’é
263
ins dont les arbustes sèchent, vers une espèce de
grande
villa ou palais baroque assez décrépit, un décor en pierre brune peu
264
tte banque à la façade violette, or et bleue, aux
grandes
lignes verticales peinturlurées — elle n’a rien d’étrange, si l’on so
265
lles d’un ancien couvent. Nous pénétrons dans une
grande
salle vivement éclairée. Murs chaulés, et de nouveau de hautes voûtes
266
et intéressé, ce geste s’appelle coquetterie ; en
grand
et gratuit sacrifice.) … feuilletons un peu ma Hongrie. vii Les m
267
ple, ce qu’il faudrait essayer d’obtenir : que la
grande
majorité des gens ne deviennent pas enragés dès qu’ils perçoivent de
268
du Nyugât (l’Occident), revue fondée par ces deux
grands
poètes : André Ady et Michel Babits. Ady, le sombre et pathétique, es
269
t ; saisir la danseuse, tourbillonner, pousser de
grands
cris ; tourbillonner en sens inverse ; frapper des talons toujours pl
270
rs et des cris modulés, et toute la frénésie d’un
grand
souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. xiv L’amour
271
me compose pas de morceaux choisis11. Il y a une
grande
ville, un grand lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay
272
e morceaux choisis11. Il y a une grande ville, un
grand
lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et point de ce
273
ssés, des juifs, des paysans, des communistes, de
grands
nobles, et des Tziganes. D’ailleurs, le bourgeois supporterait diffic
274
terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de
grande
ville indescriptible, à demi mêlée aux sables de la plaine du Hortobá
275
modernes, de statues, de pylônes plantés dans un
grand
désordre de piétons et de chars à bœufs parmi les trams. Les habitant
276
ce : or le rêve de l’enfant, c’est de devenir une
grande
personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette ville historique est auss
277
prolongée. Peut-être ce soir-là, ai-je compris la
Grande
Plaine, et que par sa musique j’étais aux marches de l’Asie. En sorta
278
ociété13 de ceux qui ne désespèrent pas encore du
Grand
Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des signes. Peut-être fa
279
dernières de la ville de Debrecen, au bord de la
Grande
Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard,
280
noires aux palais vides mais hantés, et dans les
grands
cafés du centre. Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?) x
281
e folie m’apparaît comme une chose si douce et si
grande
…14 » Et Bettina terminant sa lettre sur Hölderlin : « Ce piano dont i
282
que, confondant leurs flammes. Dix années dans le
Grand
Jeu. Dix années où le génie tourmente cet être faible, humilié par le
283
eau et cette complainte de malade épuisé après un
grand
accès de fièvre… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies
284
Il y avait encore plus de paix que maintenant. La
grande
allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons. Il voyait de
285
des révérences… La rumeur et le cliquetis d’une
grande
terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre he
286
même monde ? (Il est bon de poser parfois de ces
grandes
questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout semblable
287
ine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de
grandes
choses généreuses autour d’eux… Cela s’oublie. Et l’amour, tout juste
288
disparaît. Il aime sentir autour de lui vivre la
grande
maisonnée, cet espace cloisonné de murailles respectables, plein de p
289
s, secrète sous un voile de brume bleue, dans une
grande
paix. Vue de la hauteur, sous un ciel pâle avec des nuages blancs qui
290
réelles, aux collines thuringiennes sous un très
grand
ciel doux. Une atmosphère de réflexion confiante et substantielle… Qu
291
s de voix fausses mais aériennes, des chansons du
Grand
Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indiciblement nostal
292
’éloigne. La nuit est chaude sur les collines. Un
grand
verre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qui bougonne
293
iller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la
grande
maison fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la se
294
souveraine, — elle seule domine l’amour. Les plus
grands
spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité da
295
it ceci d’étrange que la matière à certaines très
grandes
vitesses commence de se spiritualiser. À la vitesse suprême, elle s’é
296
rêt. Mais cette fois c’est une fée qui monte, une
grande
jeune fille nette aux yeux bleu-vert, au teint de princesse d’Anderse
297
enait au bûcher. Alors vinrent d’un seul vol onze
grands
cygnes blancs. Ils se posèrent autour d’elle et battirent de leurs gr
298
s se posèrent autour d’elle et battirent de leurs
grandes
ailes. Et le peuple effrayé recula. » Mais la princesse jette sur eux
299
parmi les blés violents ; le ciel paraissait plus
grand
que la terre. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaient, livrant
300
ssage à la chaussée impériale dont brillaient les
grandes
portées blanches sur les ondulations sablonneuses de la plaine. Des p
301
bientôt un vaste portail, aux piles couronnées de
grands
cerfs de bronze. La piste se fait plane, la forêt s’ordonne. Échappée
302
eures, tout le monde se réunit en silence dans la
grande
salle du château. Une douzaine de domestiques, homme et femmes, pénèt
303
e à deux battants et le comte entre le premier, à
grands
pas, suivi par toute la famille et par les hôtes qui se précipitent p
304
peu de bière, mais surtout du lait froid dans de
grands
verres : il n’est pas de boisson plus rafraîchissante, ni qui se mari
305
au labeur des journées. Nous voici délivrés de la
grande
bourgeoisie, de ces gens qui croient devoir, ou se devoir. De ces gen
306
res Tharaud dénonçaient récemment encore, dans un
grand
quotidien de Paris, ces junkers qui, d’après eux, constituent la frac
307
lez donc voir un peu dans les cryptes secrètes du
grand
capitalisme. Satan lui-même y donne ses directives. Et regardez les t
308
e sont très irrégulièrement fertiles ; seules les
grandes
entreprises « tiennent le coup » lors d’une inondation ou d’une séche
309
rxiste dont le rêve est de restaurer la Prusse du
grand
Frédéric par les méthodes de Lénine… Race de colonisateurs, dominant