1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 uis de l’Europe, c’est-à-dire avec une mission de grand-garde au cœur de notre continent, à la fois autonome à l’égard de toute pui
2 l’origine de la Confédération. Celle-ci reste une grand-garde montée perpétuellement autour du cœur physique du continent, mais aus
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
3 querelles entre les voisins, tout de même qu’une grand-garde , en toute armée, a l’ordre de ne se laisser détourner sous aucun prét
4 ue sur le point qu’elle protège. Cette mission de grand-garde au cœur même de l’Europe — d’abord physique, puis symbolique — est an
5 conditions qui définissent la neutralité suisse : grand-garde montée autour d’un principe universel, et sauvegarde d’une alliance e
3 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
6 ayant reçu ses premières libertés pour assurer la grand-garde du Gothard, elle a seule conservé jusqu’à nos jours le principe de l’
4 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
7 s, c’est à cause de leur position particulière de grand-garde du col du Gothard ; et c’est l’empereur qui leur accorde ces franchis
5 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « La Suisse est née de la révolte de pâtres libertaires contre le despote autrichien »
8 concret de leur mission commune : ils en sont la grand-garde pour l’Empire, contre les entreprises des féodaux. Et, d’autre part,
6 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
9 ayant reçu ses premières libertés pour assurer la grand-garde du Gothard, elle a seule conservé jusqu’à nos jours le principe de l’
7 1972, Articles divers (1970-1973). Forteresse au centre de l’Europe : la Suisse (1972)
10 lle est née des communes rurales qui formaient la grand-garde du col. Et ce sont les greffiers des villes lombardes, traversant le