1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 res compassées, des solennelles banalités dont il gratifie le pauvre Eckermann. Je ne puis voir dans ces façons que la distracti
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
2 , en vérité, je m’occupe de Nou’m. Quand Nou’m me gratifie d’un regard, cela m’est égal que Sou’da ne soit pas complaisante68.
3 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
3 siècle. On cite les répliques assez dures dont il gratifia plus d’un évêque ou supérieur de couvent venu le voir par curiosité.
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
4 , en vérité, je m’occupe de Nou’m. Quand Nou’m me gratifie d’un regard, cela m’est égal que Sou’da ne soit pas complaisante67. »
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
5 , en vérité, je m’occupe de Nou’m. Quand Nou’m me gratifie d’un regard, cela m’est égal que Sou’da ne soit pas complaisante.59
6 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
6 res compassées, des solennelles banalités dont il gratifie le pauvre Eckermann. Je ne puis voir dans ces façons que la distracti
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
7 rois les regards chargés de compréhension dont me gratifièrent quelques amis entraperçus. Qu’on en juge par ces notes en vrac. Paul-
8 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
8 ice Enrique Despaigne, accusé de 53 meurtres, fut gratifié d’un sursis de trois heures, à la demande des opérateurs de la TV qui