1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 tre une Amérique affolée de vitesse, édifiant ses gratte-ciel comme des tours de Babel, et une Asie immobile dans sa méditation éte
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
2 t blanc, flamboyantes au soleil. Les vingt-quatre gratte-ciel de la cité, au centre, s’espacent autour d’un aérodrome-gare circulai
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
3 s un jeu d’échec serré, mais sur la corniche d’un gratte-ciel , d’où se met à descendre un petit bateau de papier, sur fond de boule
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
4 es traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grand
5 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
5 aissance flamande, un hôtel du xviiie siècle, un gratte-ciel et des entrepôts de marchandises venues des Indes. Cette même rue se
6 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
6 ers multicolores descendait lentement du haut des gratte-ciel , dansant à travers les faisceaux des projecteurs de cinéma. De quelqu
7 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
7 ’avait dit que New York est une île en forme d’un gratte-ciel couché. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallè
8 uand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel , de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crêtes des parois r
9 nt capables de supporter le formidable poids d’un gratte-ciel de cent étages. Et les blocs erratiques, débités en tranches, polis e
8 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
10 e. On ne pouvait plus rien ajouter aux plus hauts gratte-ciel de New York, à ces grandiloquents témoins de la crise de 1929, où les
9 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
11 répliques modernes. (Je ne fais pas allusion aux gratte-ciel , ces beaux joujoux inoffensifs, souvent grandioses et toujours un peu
12 us entendus lors de la construction de ce premier gratte-ciel , c’est que l’entreprise était trop vaste, simplement. En effet, pour
10 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
13 xorable joie entre les verticalités argentées des gratte-ciel . Le bleu du ciel des Alpes moiré d’éclatante noirceur, à midi, sur la
11 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
14 répliques modernes. (Je ne fais pas allusion aux gratte-ciel , ces beaux joujoux inoffensifs, souvent grandioses et toujours un peu
15 us entendus lors de la construction de ce premier gratte-ciel , c’est que l’entreprise était trop vaste, simplement. En effet, pour
12 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
16 xorable joie entre les verticalités argentées des gratte-ciel . Le bleu du ciel des Alpes moiré d’éclatante noirceur, à midi, sur la
13 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
17 répliques modernes. (Je ne fais pas allusion aux gratte-ciel , ces beaux joujoux inoffensifs, souvent grandioses et toujours un peu
18 us entendus lors de la construction de ce premier gratte-ciel , c’est que l’entreprise était trop vaste, simplement. En effet, pour
14 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
19 xorable joie entre les verticalités argentées des gratte-ciel . Le bleu du ciel des Alpes moiré d’éclatante noirceur, à midi, sur la
15 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
20 rien ne sera suffisant. New York a les plus hauts gratte-ciel du monde, c’est vrai. Mais Le Corbusier, promené pendant une heure da
21 m’en avaient appris à l’avance. C’était cela, les gratte-ciel et Broadway, les grandes plaines couvertes d’usines, les villages aux
16 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
22 et des cités, et des usines colossales, puis des gratte-ciel à cent étages. « Le ciel est la limite », disait alors leur dicton fa
17 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
23 que les maisons bourgeoises en France. Quant aux gratte-ciel , l’ère en est bien passée. Sauf à New York, ils ne sont pas rentables
18 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
24 e, à la voir la première et de si près, avant les gratte-ciel , la statue… Je n’ai jamais eu la sensation d’un paysage plus étranger
19 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
25 e pauvres petites églises tout écrasées entre des gratte-ciel triomphants. On ne m’avait pas dit que ces églises, d’ailleurs immens
26 et fréquentées par la moitié des habitants de ces gratte-ciel , qui ne voient d’ailleurs aucun inconvénient à ce qu’un lieu de culte
20 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
27 es traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grand
21 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
28 m’avait dit que New York est une île en forme de gratte-ciel couché. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallè
29 uand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel , de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crêtes des parois r
30 nt capables de supporter le formidable poids d’un gratte-ciel de cent étages. Et les blocs erratiques, débités en tranches, polis e
31 es plaines d’alluvions ou dans les marécages, les gratte-ciel déjà, me dit-on, menacent de suivre l’inquiétant exemple de la célèbr
32 es traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grand
33 es frénétiques. New York possède aussi deux-cents gratte-ciel pour les bureaux et quelques belles avenues de résidences pour les di
34 e. On ne pouvait plus rien ajouter aux plus hauts gratte-ciel de New York, à ces grandiloquents témoins de la crise de 1929, où les
22 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
35 aissance flamande, un hôtel du xviiie siècle, un gratte-ciel et des entrepôts de marchandises venues des Indes. Cette même rue se
23 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
36 e, à la voir la première et de si près, avant les gratte-ciel , la statue… Je n’ai jamais eu la sensation d’un paysage plus étranger
24 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
37 m’avait dit que New York est une île en forme de gratte-ciel couché. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallè
38 uand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel , de cette couleur orangée, aérienne qu’on voit aux crêtes des parois
39 nt capables de supporter le formidable poids d’un gratte-ciel de cent étages. Et les blocs erratiques, débités en tranches, polis e
40 es plaines d’alluvions ou dans les marécages, les gratte-ciel , déjà, me dit-on, menacent de suivre l’inquiétant exemple de la célèb
41 terai : ce n’est pas le temps de bâtir. Déjà, vos gratte-ciel se vident au-dessus du cinquantième étage, comme un cerveau que le sa
42 rt électrique sur un ciel noir, se dressaient les gratte-ciel livides. À ma gauche, les caïmans se sont mis à produire un bruit que
25 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
43 Buenos Aires, début de septembre 1941 Un seul gratte-ciel , de vingt étages, mais il fait le profil de la cité, toute blanche, m
44 violet… Minuit. Les machines ronronnent. Le petit gratte-ciel du Retiro va disparaître. Nous montons vers l’hiver américain. 7 n
26 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
45 es traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grand
27 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
46 es frénétiques. New York possède aussi deux-cents gratte-ciel pour les bureaux, et quelques belles avenues de résidences pour les d
28 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
47 tre eux imagine de creuser un grand puits sous le gratte-ciel nommé Empire State qui a 400 mètres d’altitude et cent étages. On le
29 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
48 tre eux imagine de creuser un grand puits sous le gratte-ciel nommé Empire State, qui a quatre-cents mètres d’altitude et cent étag
30 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
49 aissance flamande, un hôtel du xviiie siècle, un gratte-ciel et des entrepôts de marchandises venues des Indes. Cette même rue se
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
50 e, à la voir la première et de si près, avant les gratte-ciel , la statue… Je n’ai jamais eu la sensation d’un paysage plus étranger
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
51 m’avait dit que New York est une île en forme de gratte-ciel couché. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallè
52 uand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crêtes des parois ro
53 nt capables de supporter le formidable poids d’un gratte-ciel de cent étages. Et les blocs erratiques, débités en tranches, polis e
54 es plaines d’alluvions ou dans les marécages, les gratte-ciel , déjà, me dit-on, menacent de suivre l’inquiétant exemple de la tour
55 terai : ce n’est pas le temps de bâtir. Déjà, vos gratte-ciel se vident au-dessus du cinquantième étage, comme un cerveau que le sa
56 rt électrique sur un ciel noir, se dressaient les gratte-ciel livides. À ma gauche, les caïmans se sont mis à produire un bruit que
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
57 Buenos Aires, début de septembre 1941 Un seul gratte-ciel , de vingt étages, mais il fait le profil de la cité, toute blanche, m
58 tueuse… Minuit. Les machines ronronnent. Le petit gratte-ciel du Retiro va disparaître. Un dernier orage rougeoie dans la direction
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
59 es traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grand
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
60 es frénétiques. New York possède aussi deux-cents gratte-ciel pour les bureaux, et quelques belles avenues de résidences pour les d
36 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
61 es frénétiques. New York possède aussi deux-cents gratte-ciel pour les bureaux, et quelques belles avenues de résidences pour les d
37 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
62 rien ne sera suffisant. New York a les plus hauts gratte-ciel du monde, c’est vrai. Mais Le Corbusier, promené pendant une heure da
63 m’en avaient appris à l’avance. C’était cela, les gratte-ciel et Broadway, les grandes plaines couvertes d’usines, les villages, au
38 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
64 et des cités, et des usines colossales, puis des gratte-ciel à cent étages. « Le ciel est la limite », disait alors leur dicton fa
65 ers multicolores descendait lentement du haut des gratte-ciel , dansant à travers les faisceaux des projecteurs de cinéma. De quelqu
39 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
66 e pauvres petites églises tout écrasées entre des gratte-ciel triomphants. On ne m’avait pas dit que ces églises, d’ailleurs immens
67 et fréquentées par la moitié des habitants de ces gratte-ciel , qui ne voient d’ailleurs aucun inconvénient à ce qu’un lieu de culte
40 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
68 que les maisons bourgeoises en France. Quant aux gratte-ciel , l’ère en est bien passée. Sauf à New York, ils ne sont pas rentables
41 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
69 e. On ne pouvait plus rien ajouter aux plus hauts gratte-ciel de New York, à ces grandiloquents témoins de la Crise de 1929, où les
42 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
70 nt. Calvin et le puritanisme, d’un côté, plus les gratte-ciel , le système de Taylor-Bedault à tous les degrés, la cellophane et la
43 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
71 nt. Calvin et le puritanisme, d’un côté, plus les gratte-ciel , le système Taylor-Bedaux à tous les degrés, la cellophane et le zipp
44 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
72 meilleur de l’autre, et Pascal aux digests ou les gratte-ciel à nos pittoresques taudis ; parlons en égaux différents. Alors, entre
45 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
73 meilleur de l’autre, et Pascal aux digests ou les gratte-ciel à nos pittoresques taudis ; parlons en égaux différents. Alors, entre
46 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
74 x gothique luxueux, dominées de très haut par les gratte-ciel  ; pas un seul pèlerinage et pas un vrai château. Plaines et villes im
47 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
75 x gothique luxueux, dominées de très haut par les gratte-ciel  ; pas un seul pèlerinage et pas un vrai château. Plaines et villes im
48 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
76 a-t-on, mais qui me paraît révélateur au pays des gratte-ciel , on persiste à construire des églises en faux gothique et même d’énor
49 1965, Articles divers (1963-1969). La technique, facteur de paix (6 mars 1965)
77 ar des pans de ciel abstrait entre les parois des gratte-ciel , un coin de l’East River canalisée, entre deux ponts, et quelques mou
50 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
78 ence notable ou vraiment caractéristique entre un gratte-ciel de San Francisco, de Düsseldorf, de Tokyo ou de Stockholm, de Buenos
51 1971, Articles divers (1970-1973). Un marchand d’eau sucrée (19 décembre 1971)
79 ile homme ! De la fenêtre du vingtième étage d’un gratte-ciel , il tend son livre à ceux qui tombent du quarantième en leur criant :
52 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « La religion du Progrès »
80 ile homme ! De la fenêtre du vingtième étage d’un gratte-ciel , il tend son livre à ceux qui tombent du quarantième en leur criant :
53 1974, Articles divers (1974-1977). Surréalisme : un jeu qui dure depuis 50 ans (7-8 septembre 1974)
81 rchait tête levée, regardant les nuages entre les gratte-ciel . Il s’arrêta et me dit, après un silence : « Et pourquoi ne ferait-on
54 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
82 s coulées de béton solidifiées, ni même raser les gratte-ciel  — un seul a-t-il jamais été détruit ? — face à l’impasse définitive o
55 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
83 abricants d’autos, constructeurs d’autoroutes, de gratte-ciel , de centrales nucléaires, ne parlent que de la « nécessité croissante
56 1981, Articles divers (1978-1981). La Suisse face au danger de guerre : « Je suis un pessimiste actif » (4 mars 1981)
84 terre. On imaginait des puits gigantesques où les gratte-ciel s’engloutiraient comme des cabines d’ascenseurs. Au début des années
57 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
85 re, jusqu’ici). Non seulement les machines et les gratte-ciel mais les paysages, les autoroutes qui arrosent de plomb, et la destru