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et qui voudrait bien pleurer, et qui recommence à
gratter
son ardoise où sèchent des traînées de craie grise, où les chiffres t
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et qui voudrait bien pleurer, et qui recommence à
gratter
son ardoise où sèchent des traînées de craie grise, où les chiffres t
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ont les plus émouvants, entre des collines basses
grattées
par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes
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ont les plus émouvants, entre des collines basses
grattées
par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes
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nourrie par tout ce qui flotte dans l’air, rampe,
gratte
le sol, pique, bruisse exquisement au vent. Ainsi se créent peu à peu
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ont les plus émouvants, entre des collines basses
grattées
par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes
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nourrie par tout ce qui flotte dans l’air, rampe,
gratte
le sol, pique, bruisse exquisement au vent. Ainsi se créent peu à peu
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de sa violence devant la vie. Sobre et prodigue.
Grattez
un peu le conformisme politique, en Allemagne, en Russie, en Italie,
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de sa violence devant la vie. Sobre et prodigue.
Grattez
un peu le conformisme politique, en Allemagne, en Russie, en Italie,
10
même ! Je vous ai couverts de mes signes, cornés,
grattés
, glosés, aimés et truffés d’insolence. Celui qui veut agir doit aimer
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même ! Je vous ai couverts de mes signes, cornés,
grattés
, glosés, aimés et truffés d’insolences. Celui qui veut agir doit aime
12
ruines de castels et quelques cheminées d’usines
grattent
le bas d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N. p
13
aisser le buste au maximum, jambes écartées, pour
gratter
la terre sablonneuse, d’autre part les empêche de labourer cette terr
14
ces femmes accrochés à cette terre pauvre, qu’ils
grattent
lentement pour en tirer tout juste de quoi vivre, j’hésite à reconnaî
15
trement, comment supporter leur petitesse ? Si je
gratte
pendant des heures ce coin réduit de terre caillouteuse, c’est pour u
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che et qui vous saute encore dans la main et vous
gratte
la paume de ses antennes, de ses écailles et de ses pattes. On fourre
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aisser le buste au maximum, jambes écartées, pour
gratter
la terre sablonneuse, d’autre part, les empêche de labourer cette ter
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ces femmes accrochés à cette terre pauvre qu’ils
grattent
lentement pour en tirer tout juste de quoi vivre, j’hésite à reconnaî
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trement, comment supporter leur petitesse ? Si je
gratte
pendant des heures ce coin réduit de terre caillouteuse, c’est pour u
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une mouche et qui vous saute dans la main et vous
gratte
la paume de ses antennes, de ses écailles et de ses pattes. On fourre
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hui je leur abandonne le terrain. Quelle ardeur à
gratter
de leurs pattes, le bec en l’air, sans regarder où ils creusent ! Que
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ruines de castels et quelques cheminées d’usines
grattent
le bas d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N. p
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ont les plus émouvants, entre des collines basses
grattées
par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes
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nourrie par tout ce qui flotte dans l’air, rampe,
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le sol, pique, bruisse exquisement au vent. Ainsi se créent peu à peu
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aisser le buste au maximum, jambes écartées, pour
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la terre sablonneuse, d’autre part, les empêche de labourer cette ter
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ces femmes accrochés à cette terre pauvre qu’ils
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lentement pour en tirer tout juste de quoi vivre, j’hésite à reconnaî
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trement, comment supporter leur petitesse ? Si je
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pendant des heures ce coin réduit de terre caillouteuse, c’est pour u
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une mouche et qui vous saute dans la main et vous
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la paume de ses antennes, de ses écailles et de ses pattes. On fourre
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hui je leur abandonne le terrain. Quelle ardeur à
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de leurs pattes, le bec en l’air, sans regarder où ils creusent ! Que
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ruines de castels et quelques cheminées d’usines
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le bas d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N… p
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tale. Notre critique d’hier, tenez, nul besoin de
gratter
beaucoup pour trouver la carte postale au fond de son esprit. Le mar