1 e, le christianisme débarrassé de son déguisement gréco-latin retournera vers ses sources pour s’y retremper. Les appels de l’Orien

2 rras et autres « héritiers de la grande tradition gréco-latine  » pour assigner à Minerve le bassin de la Méditerranée comme promenoi

3 èle de l’homme. Peut-être a-t-il existé un modèle gréco-latin , un canon de l’âme aussi bien que du corps. Il est possible que ce my

4 souvent encore, en France, à désigner la culture gréco-latine . Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la question des human

5 souvent encore, en France, à désigner la culture gréco-latine . Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la question des human

6 souvent encore, en France, à désigner la culture gréco-latine . Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la question des human

7 rope a derrière elle et porte en elle l’Antiquité gréco-latine , le Moyen Âge, la Renaissance et les Lumières, le romantisme, le nati

8 e, ajoute Siegfried, ce n’est pas de la tradition gréco-latine que les révolutions d’aujourd’hui portent la marque : La passion mar

9 e à partir des mêmes influences indo-européennes, gréco-latines , celtes et germaniques qui nous ont tous affectés, à doses variables,

10 st formée à partir d’influences indo-européennes, gréco-latines , celtes et germaniques, arabes et slaves, souvent incompatibles entre

11 st formée à partir d’influences indo-européennes, gréco-latines , celtes et germaniques, arabes et slaves, souvent incompatibles entre

12 e à partir des mêmes influences indo-européennes, gréco-latines , chrétiennes et par là juives22, celtes et germaniques — et plus tard

13 cours », ambition bien typique de la civilisation gréco-latine , c’est-à-dire de ce Sud européen qui, aujourd’hui, entre en conflit o

14 défendre l’Europe, la vraie, celle de la culture gréco-latine , judéo-chrétienne, et d’abord celtique et germanique, avec des apport