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et se renouvelle à chaque génération : antiquité
gréco-romaine
et christianisme, Église et État, catholicisme et protestantisme, att
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t le suivre, lorsqu’il tire de l’exemple du monde
gréco-romain
, des raisons de réfuter la croyance que « nous aurions fait dans le m
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citer se référaient tous au seul destin du monde
gréco-romain
, le mieux connu. Il se trouve que l’exemple est mauvais. Bien d’autre
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oses ou sur l’homme lui-même. Dès notre Antiquité
gréco-romaine
, « cultiver » la terre ou l’esprit signifie : en tirer davantage que
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t le suivre, lorsqu’il tire de l’exemple du monde
gréco-romain
des raisons de réfuter la croyance que « nous aurions fait dans le mo
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avoir entraîné la disparition de la civilisation
gréco-romaine
dans la partie occidentale de l’Empire au moins. Cet exemple est-il v
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e et profane. À cause de ses origines multiples —
gréco-romaine
, indo-chrétienne, germanique et celtique, arabe et slave —, à cause d
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, rassemblant les traditions sociales de l’empire
gréco-romain
, et animant l’ensemble de ce grand corps d’une vie nouvelle. C’est l’
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iècle, les Romains établirent, au profit du monde
gréco-romain
, une tête de pont sur l’océan Atlantique, à l’emplacement de ce qui e
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époque, la Grande-Bretagne était annexée au monde
gréco-romain
par les armées romaines, tandis que l’art grec, au service d’une reli
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un point de vue purement kilométrique, la culture
gréco-romaine
se répandit, en son temps, sur le monde antique aussi largement que d
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pe en observant ce qui est arrivé dans l’histoire
gréco-romaine
, au-delà du point où s’arrête notre propre expérience, et en transpos
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ence, et en transposant littéralement les données
gréco-romaines
en des équivalences occidentales modernes. L’histoire ne se répète pa
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ment et tout ce que peut faire pour nous l’oracle
gréco-romain
c’est de nous révéler, parmi beaucoup d’autres, un des dénouements po
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cun rapport avec ce qui a eu lieu dans l’histoire
gréco-romaine
. En scrutant l’avenir, nous tâtonnons dans l’obscurité et devons nous
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projetée sur notre avenir par le miroir du passé
gréco-romain
est en tout cas de celles qui peuvent le mieux éclairer ce qui pour n
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us sur le précédent de la chute de Rome, du monde
gréco-romain
. Cet exemple est-il valable pour nous ? La civilisation européenne es
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— genus humanum — sont des créations de l’Europe
gréco-romaine
, puis de l’Europe chrétienne, puis de l’Europe technicienne. Dans ce
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e, sans nul doute. Car le même complexe culturel,
gréco-romain
, judaïque et « barbare » au sein duquel le christianisme a pris ses f
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d’autre n’est jamais venu la découvrir. L’Europe
gréco-romaine
et judéo-chrétienne a conçu la notion de genre humain, si longtemps é
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d’autre n’est jamais venu la découvrir. L’Europe
gréco-romaine
et judéo-chrétienne a conçu la notion de genre humain, si longtemps é
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ois. La culture occidentale repose sur l’héritage
gréco-romain
et la théologie chrétienne, transmise par des moines au Moyen Âge. On
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avoir entraîné la disparition de la civilisation
gréco-romaine
dans la partie occidentale de l’Empire. L’exemple est-il valable pour
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oses ou sur l’homme lui-même. Dès notre Antiquité
gréco-romaine
, « cultiver » la terre ou l’esprit signifie : en tirer davantage que
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R. — La culture occidentale repose sur l’héritage
gréco-romain
et la théologie chrétienne, transmise par des moines au Moyen Âge. On
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personne n’est jamais venu la découvrir. L’Europe
gréco-romaine
et judéo-chrétienne a conçu la notion de genre humain, si longtemps é
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avoir entraîné la disparition de la civilisation
gréco-romaine
dans la partie occidentale de l’Empire. L’exemple est-il valable pour
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oses ou sur l’homme lui-même. Dès notre Antiquité
gréco-romaine
, « cultiver » la terre ou l’esprit signifie : en tirer davantage que