1 nie des voisins, des concierges, la brutalité des gérants , qui fait si bien sentir qu’on n’est plus chez soi nulle part, que l’

2 Nomadisme. Et derrière la concierge, derrière le gérant , on entrevoit l’appareil judiciaire et policier inexorable, inconnais

3 ns pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants ignobles et des concierges, des lieux-sombres-et-populeux où il faut

4 ns pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants ignobles et des concierges, des lieux-sombres-et-populeux où il faut

5 t entre. Un homme penché vers le guichet parle au gérant . Le gérant me fait un signe, et comme je ne comprends pas, il passe s

6 homme penché vers le guichet parle au gérant. Le gérant me fait un signe, et comme je ne comprends pas, il passe sa portette

7 dience privée ? Enfin j’entends qu’on sort, et le gérant vient me chercher. Notre affaire réglée, il croit devoir s’excuser de

8 Autant que j’en puis juger d’après les propos du gérant , ce n’est pas seulement la crainte, après tout légitime, qu’on sache

9 ns pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants ignobles et des concierges, des Lieux-sombres-et-populeux où il faut

10 t entre. Un homme penché vers le guichet parle au gérant . Le gérant me fait un signe, et comme je ne comprends pas, il passe s

11 homme penché vers le guichet parle au gérant. Le gérant me fait un signe, et comme je ne comprends pas, il passe sa portette

12 ience privée ? Enfin, j’entends qu’on sort, et le gérant vient me chercher. Notre affaire réglée, il croit devoir s’excuser de

13 Autant que j’en puis juger d’après les propos du gérant , ce n’est pas seulement la crainte, après tout légitime, qu’on sache

14 ns pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants ignobles et des concierges, des Lieux-sombres-et-populeux où il faut

15 t entre. Un homme penché vers le guichet parle au gérant . Le gérant me fait un signe, et comme je ne comprends pas, il passe s

16 homme penché vers le guichet parle au gérant. Le gérant me fait un signe, et comme je ne comprends pas, il passe sa portette

17 ience privée ? Enfin, j’entends qu’on sort, et le gérant vient me chercher. Notre affaire réglée, il croit devoir s’excuser de

18 Autant que j’en puis juger d’après les propos du gérant , ce n’est pas seulement la crainte, après tout légitime, qu’on sache

19 ême anachronique : celle du propriétaire terrien, gérant d’un État national. Or, nous avons vu que la Suisse n’est pas d’abord

20 tre terre et de ses ressources. Mais qui était le Gérant responsable ? La réponse est dangereusement simple. Les responsables

21 ! Brillante gestion ! Mais au fait : qui était le gérant  ? La réponse est dangereusement simple, elle aussi : les responsables

22 résultats ! Brillante gestion ! Mais qui était le gérant  ? L’État-nation. Ils sont 150 aujourd’hui, qui se partagent toute la

23 , brillante gestion ! Mais, au fait, qui était le gérant  ? La réponse est dangereusement simple. Les responsables sont les 150

24 s lâches : beaux résultats ! Qui était donc le gérant  ? La réponse est dangereusement simple. Les responsables sont les

25 pourrait encore surprendre. Déclaration type d’un gérant contemporain : « Nous voulons faire un grand pays industriel compétit

26 es 175 États-nations qui se partagent la Planète, gérants de la croissance illimitée sans but, du gaspillage des ressources nat