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t le hérisson qui se déroulait et courait dans la
haie
voisine. Si par hasard la boule et le maillet restaient en place, c’é
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t le hérisson qui se déroulait et courait dans la
haie
voisine. Si par hasard la boule et le maillet restaient en place, c’é
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t le hérisson qui se déroulait et courait dans la
haie
voisine. Si par hasard la boule et le maillet restaient en place, c’é
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es d’un pays d’énormes plaines, sans barrières ni
haies
, sans chemins creux et sans secrets, où les hommes vivent sans calcul
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ide, portant la route, un mur qui fait digue, une
haie
de tamaris. À gauche, l’océan invisible derrière le mur ; à droite, d
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es d’un pays d’énormes plaines, sans barrières ni
haies
, sans chemins creux et sans secrets, où les hommes vivent sans calcul
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de campagne, en terre noire. Parfois on voit une
haie
fleurie, un buisson qui surplombe une palissade mal jointe. Quelques
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railles naturelles, Alpes, fleuves, Jura ; larges
haies
barbelées, ceinture fortifiée, pièces chargées et, derrière tout cela
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railles naturelles, Alpes, fleuves, Jura ; larges
haies
barbelées, ceinture fortifiée, pièces chargées, et derrière tout cela
10
s roulons sur une route de campagne, au creux des
haies
, le ciel se couvre. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteau
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s roulons sur une route de campagne, au creux des
haies
, le ciel se couvre. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteau
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s roulons sur une route de campagne, au creux des
haies
, le ciel se couvre. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteau
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ide, portant la route, un mur qui fait digue, une
haie
de tamaris. À gauche, l’océan invisible derrière le mur ; à droite, d
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es d’un pays d’énormes plaines, sans barrières ni
haies
, sans chemins creux et sans secrets, où les hommes vivent sans calcul
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de campagne, en terre noire. Parfois on voit une
haie
fleurie, un buisson qui surplombe une palissade mal jointe. Quelques
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s roulons sur une route de campagne, au creux des
haies
, le ciel se couvre. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteau
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solitude ! … Tout près de là, un bosquet fermé de
haies
, porte le nom d’« Enclos fatal »… L’animation des huit chemins n’est
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son dos, ils passèrent tranquillement entre deux
haies
d’agents de la Gestapo, entourés de l’admiration générale des Polonai
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solitude ! … Tout près de là, un bosquet fermé de
haies
, porte le nom d’« Enclos fatal »… L’animation des huit chemins n’est
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lle Desmoulins écrivait : Nous avons arraché les
haies
de division qui séparaient les Français entre eux, et déjà il n’y a p
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es sur des marches de pierre, un jardin planté de
haies
, nous parlons du retour en force des légendes bretonnes qui ont inspi