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n’a plus de choix qu’entre la balkanisation et l’
helvétisation
. Je suppose que Jaspers entendait par balkanisation la désintégration
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ation de l’Europe en nationalismes rivaux, et par
helvétisation
au contraire, l’intégration fédérale des nations, renonçant au dogme
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’a plus le choix « qu’entre la balkanisation et l’
helvétisation
». La balkanisation signifierait pratiquement la désintégration du co
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tégration du continent en nationalismes rivaux. L’
helvétisation
signifierait l’intégration fédérale des nations, renonçant à leur sou
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n’a plus de choix qu’entre la balkanisation et l’
helvétisation
. Je suppose que Jaspers entendait par balkanisation la désintégration
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ation de l’Europe en nationalismes rivaux, et par
helvétisation
, au contraire, l’intégration fédérale des nations, renonçant au dogme
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nisation de la Suisse, mais bien au contraire une
helvétisation
de l’Europe, c’est-à-dire d’une Europe qui s’inspirerait de l’expérie
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est devenue, depuis 1848, l’agent principal de l’
helvétisation
du pays. Au cours des manœuvres annuelles et des longues périodes de
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ninsule répandus dans tous les cantons suisses. L’
helvétisation
du Tessin a progressé très rapidement depuis 1848, et c’est du Tessin
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e, est devenue depuis 1848 l’agent principal de l’
helvétisation
du pays. Au cours des manœuvres annuelles et des longues périodes de
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ont la complexité de l’Europe. On parle souvent d’
helvétisation
de l’Europe : pensez-vous que le modèle suisse soit le meilleur et qu
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. Je pense au contraire que cela signifierait une
helvétisation
de l’Europe. L’Europe fédérale serait une sorte de Suisse grande éche
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x qu’entre deux solutions : la balkanisation et l’
helvétisation
. Ce diagnostic est, si possible, encore plus vrai aujourd’hui et il n
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rope des régions fédérées, vous voulez donc une «
helvétisation
» de l’Europe. En Suisse, tout n’est pas toujours comme dans le meill