1
n titre s’effaçait dans l’ombre. Jouve a rêvé une
histoire
de passion mystique et de crime, intense et tragique comme un couchan
2
ute-Égypte révèlent en de Traz un philosophe de l’
histoire
aux vues larges et pourtant réalistes, aux hypothèses hardies — de la
3
s plus passionnants et des plus controversés de l’
histoire
. L’un de ceux, aussi, où il est le plus difficile de rester impartial
4
XIV commit un des actes les plus vexatoires que l’
histoire
ait enregistrés. Après avoir fait un tableau de la France de l’édit,
5
te du 16 octobre 1685 marque une déviation dans l’
histoire
de la France. Déviation telle, en effet, que nous en sentons les cons
6
le disait si poétiquement le programme. Un peu d’
histoire
(erratum de la chronique de Mossoul). Belles-Lettres joua l’Inspecteu
7
s qui vous échappent, des amours impossibles, des
histoires
dont on ne sait pas la fin ni le sens véritable, mais seulement qu’el
8
us deux, ces bonnes farces, et aussi pourtant des
histoires
de copains qui ont mal tourné, on pensait bien, ah ! cette jeunesse,
9
’est vrai, il allait oublier, il y a encore cette
histoire
, comment dites-vous, surréalisme ? — Baptisé il y a cinq ou six ans e
10
vant tout. D’autre part je préfère la légende à l’
histoire
comme la peinture à la photographie. Une œuvre d’art est un merveille
11
un critique d’art diplômé. Premier péché contre l’
histoire
: au seuil d’un article consacré aux jeunes artistes neuchâtelois, je
12
ue Philippe Soupault, que « ceci, c’est une autre
histoire
, une autre belle histoire, une autre très belle histoire ». (Et vous
13
« ceci, c’est une autre histoire, une autre belle
histoire
, une autre très belle histoire ». (Et vous verriez à quoi cela peut s
14
e, une autre belle histoire, une autre très belle
histoire
». (Et vous verriez à quoi cela peut servir, une citation.) Mais non,
15
qu’une envie me prend de vous conter un peu cette
histoire
. Seulement, allons ailleurs ; il y a trop de monde ici. 14. Paul M
16
athématique au milieu d’une effusion « lyrique »,
histoire
de n’avoir pas l’air dupe. Mais il a des façons parfois bien désoblig
17
est chaotique. Je crois bien, au contraire, que l’
histoire
n’a pas connu de période où les directions d’une civilisation apparai
18
I de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)av L’
histoire
de Louis II exalte et déçoit l’imagination. On comprend que ce doux-a
19
gens ne veulent pas se fatiguer pour rien.) Cette
histoire
idiote, d’ailleurs vraie, se borne à décrire l’aspect psychologique d
20
nait naguère. Jean Cassou vagabonde à travers ses
histoires
comme son Pierangelo dans la vie. Le hasard, complice des poètes, lui
21
s ». Car il y a toujours assez de vérité dans une
histoire
où il y a de la poésie. az. « Jean Cassou : La Clef des songes (Émi
22
te de malentendus heureusement enchaînés. » Cette
histoire
, en effet, lui valut une Muse. u. « L’ordre social. Le Libéralisme
23
iquée. On nous faisait voir tout au long de notre
histoire
le Progrès constant de l’humanité vers les lumières, l’incrédulité et
24
tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’
histoire
enregistre bien une ou deux autres bêtises de cette épaisseur, mais i
25
rai, c’est que le fait, absolument nouveau dans l’
Histoire
, que l’on oblige les enfants à vivre ensemble dès l’âge de 6 ans, fav
26
la même pour tous. Je ne parle pas des manuels d’
histoire
, dont il est aujourd’hui démontré qu’ils donnent une image mensongère
27
t être qu’à l’avantage des gens en place, vieille
histoire
. On m’objectera sans doute quelques « brillantes carrières » fournies
28
uquer légalement les votes. Ensuite, il faut de l’
histoire
, et de l’instruction civique, pour qu’on sache à quoi cela rime. Ensu
29
ez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur de manuels d’
histoire
et de géographie bien connus, pour l’esprit le plus dangereusement pl
30
iquée. On nous faisait voir tout au long de notre
histoire
le Progrès constant de l’humanité vers les lumières, l’incrédulité et
31
tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’
histoire
enregistre bien une ou deux autres bêtises de cette épaisseur, mais i
32
rai, c’est que le fait, absolument nouveau dans l’
Histoire
, que l’on oblige les enfants à vivre ensemble dès l’âge de 5 ans, fav
33
la même pour tous. Je ne parle pas des manuels d’
histoire
, dont il est aujourd’hui démontré qu’ils donnent une image mensongère
34
t être qu’à l’avantage des gens en place, vieille
histoire
. On m’objectera sans doute quelques « brillantes carrières » fournies
35
uquer légalement les votes. Ensuite, il faut de l’
histoire
, et de l’instruction civique, pour qu’on sache à quoi cela rime. Ensu
36
ez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur de manuels d’
histoire
et de géographie bien connus, pour l’esprit le plus dangereusement pl
37
vivre à l’une des époques les plus violentes de l’
histoire
humaine ; ils assistent à des bouleversements sociaux, moraux et surt
38
même… Mais ceci, comme dit Kipling, est une autre
histoire
. 10. Nous voici parvenus au point où cessent d’eux-mêmes nos bavarda
39
ous ne disons presque rien, nous savons les mêmes
histoires
et nous avons durant la journée bouquiné dans les mêmes boîtes sous l
40
lupart des entreprises démesurées qu’enregistre l’
Histoire
, science chargée d’illustrer à ses propres yeux l’Humanité. En passa
41
entieux. Je suis de ceux qui mangent sans faire d’
histoires
. Je remarque simplement qu’on n’est jamais mieux pour parler qu’en fa
42
de cette chronique. Enfin, un Étranger raconte l’
histoire
suivante qui est une des plus belles du monde : Un prince italien
43
nnière, avec des caractères turcs brodés en or. L’
histoire
de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur.
44
au sérieux ce que je vois. Ruse connue : c’est l’
histoire
du mot que vous avez sous la langue ; je vous conseille de n’y plus p
45
officielle de bas-reliefs cambodgiens. Je donne l’
histoire
comme une fable. Il est peut-être curieux de noter que les pires blas
46
mystique sur le ciel vert du plus grand jour de l’
Histoire
. On a beaucoup remarqué la part importante ménagée aux œuvres de déco
47
a qualité d’émotion n’est pas moins pure. C’est l’
histoire
de la vie d’une femme, et de la vie d’une société aujourd’hui presque
48
vous désirez savoir comment cela s’applique à mon
histoire
, dit l’auteur dans sa préface, lisez-la, et si vous la lisez, ne dite
49
d la situation n’est plus tenable à Londres, et l’
histoire
continue, pour notre agrément. Mais surtout, cette vie dénuée d’avent
50
hoisir un sujet inévitablement tragique. Car si l’
histoire
de l’ascension d’un caractère, d’une volonté, d’une âme virile, trouv
51
le plus tonique17, — il en va tout autrement de l’
histoire
d’une vie sentimentale. La durée est l’élément tragique par excellenc
52
les ladies, qui ne jouent pas d’autre rôle dans l’
histoire
, sont ridicules et conventionnelles à souhait (ni plus ni moins que l
53
17. Qu’on lise, par exemple, l’admirable Goethe,
histoire
d’un homme, d’Émile Ludwig (Attinger, éd.), ouvrage sur lequel nous a
54
nt été consacrées, en particulier dans la Revue d’
histoire
et de philosophie religieuses de Strasbourg (Pascal et Kierkegaard),
55
me n’avait signalé cette curieuse lacune de notre
histoire
littéraire : pour nos critiques, les Alpes n’avaient pas d’histoire.
56
e : pour nos critiques, les Alpes n’avaient pas d’
histoire
. Enfin, voici ce livre, point trop volumineux — il trouvera sa place
57
nt une date. Les périodes qui « marquent » dans l’
Histoire
sont celles où la forme d’un mythe affleure, s’incarne et devient vis
58
rper de son être, fût-ce pour l’introduire dans l’
Histoire
. Mais c’est au contraire devenir cette idée. Et le théâtre de sa pass
59
he, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Sorel ! Mais l’
histoire
est faite de telles compensations. 3. Des positions politico-sociale
60
ierkegaard contre la philosophie dialectique de l’
histoire
, d’où Marx, Engels et Feuerbach devaient tirer le matérialisme histor
61
, le rythme se précipitera jusqu’à l’explosion, l’
histoire
se purifiera jusqu’au mythe. La donnée initiale est bien la même : c’
62
peut-être pas d’individu plus significatif dans l’
histoire
de l’Occident moderne, c’est-à-dire dans l’histoire des peuples qui v
63
stoire de l’Occident moderne, c’est-à-dire dans l’
histoire
des peuples qui vivent sous le règne du christianisme. Mais le plus g
64
ne assez bouleversant. Klaus Mann a raconté cette
histoire
avec beaucoup de grâces et des pointes d’ironie anachroniques. Cela f
65
de l’action. La preuve est dans tous les livres d’
histoire
. Les peuples calvinistes ont été les plus « actifs » des temps modern
66
foi optimiste dans le cours « dialectique » de l’
Histoire
, qui caractérisent la position marxiste. Par contre, les bases doctri
67
songes, elles s’appuyaient sur le mouvement de l’
histoire
». Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à
68
Europe Centrale. Ce qu’il a tenté d’étaler dans l’
Histoire
, c’est l’équation d’existence de l’âme allemande. Mais il a voulu que
69
nnière, avec des caractères turcs brodés en or. L’
histoire
de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur.
70
au sérieux ce que je vois. Ruse connue : c’est l’
histoire
du mot que vous avez sous la langue ; je vous conseille de n’y plus p
71
monde en général, de la religion, des mœurs, de l’
histoire
, et de ses voisins en particulier. La « Gnädige » fait avec bonne hum
72
ous ne disons presque rien, nous savons les mêmes
histoires
et nous avons durant la journée bouquiné dans les mêmes boîtes sous l
73
lupart des entreprises démesurées qu’enregistre l’
Histoire
, science chargée d’illustrer à ses propres yeux l’Humanité. En passan
74
entieux. Je suis de ceux qui mangent sans faire d’
histoires
. Je remarque simplement qu’on n’est jamais mieux pour parler qu’en fa
75
prises des fantômes… Enfin, un Étranger raconte l’
histoire
suivante qui est une des plus belles du monde : Un prince italien ay
76
tit la ville de Crotone. Sonnette. — J’aime vos
histoires
, Lord Artur. (Un temps.) — Dites-moi, Lord Artur, si je pleurais, que
77
Europe centrale. Ce qu’il a tenté d’étaler dans l’
Histoire
, c’est l’équation d’existence de l’âme allemande. Mais il a voulu que
78
nnière, avec des caractères turcs brodés en or. L’
histoire
de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur.
79
monde en général, de la religion, des mœurs, de l’
histoire
, et de ses voisins en particulier. La « Gnädige » fait avec bonne hum
80
urg, et le père Reinecke refusait de croire à mes
histoires
. Soudain j’ai dit : « Voilà que ça me prend, tout justement ! Attende
81
t désillusionné du grand Burckhardt considérant l’
histoire
du monde, et le rythme vital d’un Nicolas Manuel : c’est vers quoi je
82
omme un reflet de la communion des saints : notre
histoire
, le passé qui passe en chacun de nous ; qui par nous, maintenant, se
83
qui par nous, maintenant, se passe, lié à toute l’
histoire
des autres hommes ; et sans lequel il n’y aurait jamais de plénitude
84
déjà — écrit M. Arthur Piaget dans sa remarquable
Histoire
de la révolution neuchâteloise — le Procureur général de Rougemont… c
85
étie… « L’ennui que j’aime à trouver au fond de l’
histoire
n’est pas du goût de chacun », notait Chateaubriand dans ses Mémoires
86
tail qu’on connaît une famille, par une famille l’
histoire
d’un pays, et surtout d’un petit pays. Ainsi l’on répète volontiers q
87
ur le fond d’une tradition qui la reliait à notre
histoire
et à l’ancienne communauté, j’ai mieux distingué, par contraste, son
88
à loisir. Au-delà de ses paysages et de sa proche
histoire
, il n’y a que l’imaginaire. Les nations, les plus vastes patries n’on
89
VI Ces retours sur l’
histoire
d’un pays, où je cherchais à mieux situer les miens, m’ont proposé ch
90
, la rhétorique n’est plus enseignée ni connue. L’
histoire
et la théologie fuient le discours, ignorent le style. Entendrons-nou
91
éclatants et parfois scandaleux. Mais la « petite
histoire
» littéraire se borne à mentionner chez nous des rendez-vous de voyag
92
ords, s’il est vrai que d’aucun je n’ai su tant d’
histoires
et qu’il détient certains de mes secrets. Je dénombre mes lacs, et la
93
debout sur un tonneau comme le veut la coutume, l’
histoire
de mes Premières Amours. On m’a conspué. J’ai 16 ans. C’est horrible.
95
profit d’une littérature qui tient à la fois de l’
histoire
, de la politique, de la morale et de la religion. Des livres comme l’
96
ur la vie du monde. Et ce fait est nouveau dans l’
Histoire
. Jamais le document n’a été recherché avec une telle avidité. « Ce qu
97
ent en Allemagne : « Weltgeschichte gefälligst »,
Histoire
du monde, s’il vous plaît ! ⁂ Retour à l’essai rendu nécessaire par l
98
inement sur ce livre brillant et séduisant. p. «
Histoires
du monde, s’il vous plaît ! », Foi et Vie, Paris, n° 45-46, janvier-f
99
t une révolution — et la plus profonde de toute l’
histoire
—, le protestantisme se doit d’être révolutionnaire dans la mesure mê
100
e de notre existence personnelle ou du cours de l’
histoire
terrestre. Voici alors les chrétiens qui viennent nous parler d’une R
101
aire ; il se demande à quoi rime cette horrible «
Histoire
», illustrée par les plus sanglants malentendus, sans cesse renaissan
102
ties humaines les plus élémentaires, — et toute l’
histoire
des martyrs en témoigne. Un chrétien est un être qui joue tout sur la
103
fait, qu’on peut bien dire sans précédent dans l’
histoire
de notre civilisation, et que son apparence irrationnelle devrait con
104
s bouche bée devant la plus inhumaine erreur de l’
Histoire
. Tout a commencé par les philosophes, le jour où, à la personne créat
105
ose de démission. Survenant au moment précis de l’
histoire
où l’esprit doit entrer en force dans un monde abandonné depuis des s
106
une « actualité » de la pensée : ils croient à l’
Histoire
. Ils veulent que l’esprit se perde dans l’époque collectiviste, afin
107
s : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’
histoire
. Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’est plus que souf
108
ure. Les singes gagnent leur vie et ne font pas d’
histoires
. Ils ne font pas tant de publicité et de plans quinquennaux. Leurs mo
109
e. Et d’un seul trait miraculeux… P.-S. — Cette
histoire
de la Chine se suffit. J’aurais pu faire l’économie du reste. Mais no
110
ble à cette occasion. Erreur qui lèse à la fois l’
histoire
littéraire, la dialectique et la poésie. Car : 1° Toute la poésie de
111
i méchamment enterrés par les jésuites dans leurs
Histoires
de la littérature française (pour ne rien dire des lamentables dédain
112
voulut en étaler les éléments dans le temps et l’
Histoire
. Sa dialectique est devenue une espèce de bascule automatique. Le tra
113
ynthèse, l’objectiverait, le ferait tomber dans l’
histoire
. « Ainsi donc, il ne nous reste — émouvant spectacle pour ceux qui n’
114
guère, de ce point de vue, en quelques pages, une
histoire
pertinente de notre parlement. Aux républicains (mais personne n’empl
115
ui peut figurer d’ores et déjà dans les manuels d’
Histoire
contemporaine. Les révolutions russe, italienne et allemande, succéda
116
e lève et tombe avec sa mission ». Il y a plus. L’
histoire
biblique, loin de mettre en scène le développement d’une « tradition
117
spirituelle, figure la négation absolue de toute
histoire
: « Vue d’en haut, c’est une série de libres actions divines : vue d’
118
l’immédiat, l’instant éternel de la foi, et non l’
histoire
de l’homme pieux ; un événement et non une croyance, une rencontre pe
119
rréalistes, empêcheurs de danser en rond. Voici l’
histoire
en bref, — non pas l’intrigue ! tout cela est propre. Le jeune Kolka,
120
l’autre « n’est pas né quand il aurait fallu ». L’
Histoire
a de ces exigences. On conseille à Volodia de se brûler la cervelle.
121
ntes. D’une part, la philosophie se transforma en
histoire
comparée des systèmes ; d’autre part, les « chercheurs » invétérés s’
122
s païenne à la valeur absolue de la logique, de l’
histoire
et des méthodes critiques de M. Goguel ? 3. Si notre civilisation chr
123
e rigidité accrue de la circonférence. Et c’est l’
histoire
de toute association humaine : on s’unit par la force d’un principe t
124
usions et la dégradation du sens de la révolte. L’
histoire
du monde, bien loin d’être l’histoire d’un progrès continu, nous appa
125
révolte. L’histoire du monde, bien loin d’être l’
histoire
d’un progrès continu, nous apparaît plutôt comme une solennelle dégri
126
ndeur. Ce ne furent pas les moins corrompues de l’
histoire
, mais celles où la corruption permanente fut ouvertement reconnue, dé
127
léments sont presque tous de nature collective. L’
histoire
d’un siècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’histoire des
128
ature collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’
histoire
des collectivités, c’est l’histoire des peuples, des nations, des cla
129
ècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’
histoire
des peuples, des nations, des classes, des races, des entreprises pub
130
es ou privées. Ce n’est que très accessoirement l’
histoire
des personnes, de quelques génies, par exemple. Quand nous disons des
131
, et dont les deux disciplines principales sont l’
Histoire
et la Sociologie. Nous trouverons les meilleurs exemples de cette th
132
onduit à la liberté. Adhérez au déterminisme de l’
histoire
, abandonnez votre cher petit moi, fondez votre destin dans celui du p
133
ent qu’ils ont été créés par Dieu. » Cette petite
histoire
ne s’applique pas seulement aux partisans attardés de Darwin, mais au
134
ersonne, au contraire, de l’individu perdu dans l’
Histoire
, vit d’instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un au
135
mmode de vivre en société. On a transporté dans l’
histoire
cet amour qui doit être un acte, une présence et un engagement immédi
136
acte, en chacun de nous, peut être vainqueur de l’
Histoire
. Cet acte, à chaque fois qu’il nous est donné de le faire, rétablit l
137
au monde, avant d’avoir rencontré Dieu. 42. L’
Histoire
au sens hégélien du mot, c’est-à-dire, plus exactement : l’Évolution.
138
avoir lieu ? Deux voies s’offraient : celle de l’
histoire
et celle de l’expérience religieuse. Prendre la voie de l’histoire, c
139
de l’expérience religieuse. Prendre la voie de l’
histoire
, c’était d’abord chercher à s’approcher de l’homme Jésus tel que le d
140
Christ sous prétexte de nous rapprocher de lui, l’
histoire
prêtait une réalité insurmontable aux dix-neuf siècles qui nous sépar
141
ais avant que d’y venir, et suivant l’ordre d’une
Histoire
dont la loi peut paraître souverainement illogique, nous voici contra
142
r, le temps suit son cours, et nous sommes dans l’
histoire
, et l’histoire temporelle est la succession de nos chutes, selon la L
143
t son cours, et nous sommes dans l’histoire, et l’
histoire
temporelle est la succession de nos chutes, selon la Loi, à cause de
144
tification. À ceux qui croient aux fatalités de l’
Histoire
, il faut dire simplement qu’elles sont vraies pour eux-mêmes et pour
145
rétien. Qu’est-ce donc qu’un roman chrétien ? Une
histoire
où tout le monde « se conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Un
146
conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Une
histoire
dont le personnage principal est « la main du Seigneur », ou encore «
147
ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une
histoire
qui finit bien, comme le croyaient les écrivains anglais du xixe — e
148
et de ce grand livre. Je ne vous conterai pas « l’
histoire
». Cette chronique d’une vie de femme n’est pas de celles qui se résu
149
u, pour reprendre la phrase de Shakespeare, à une
histoire
racontée par un idiot » (p. 261). C’est une histoire de ce genre qui
150
toire racontée par un idiot » (p. 261). C’est une
histoire
de ce genre qui caractérise malheureusement l’existence de l’homme mo
151
le savoir. Puis, on le rend à la liberté. Toute l’
histoire
sera celle, non pas du procès, qui n’a jamais lieu, mais des prélimin
152
publique. Le communiste croit aux fatalités de l’
Histoire
. Et tous croient, comme le fasciste, aux fatalités de l’État. Nous cr
153
e et une dupe, car il n’y a pas d’exemple, dans l’
histoire
, que l’État ait pu assurer la vie d’une collectivité dont chaque memb
154
et non pas dans la rue, dans l’opinion, ni dans l’
Histoire
. Le lieu de toute décision qui crée, c’est la personne. Ici le rôle d
155
tes11, l’attitude de ceux qui se réfugient dans l’
Histoire
, qui pensent par périodes de mille ans, qui rêvent, et qui, pour comb
156
estins collectifs et par les prétendues lois de l’
Histoire
, vit d’instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un au
157
unc ; l’ordre imposé par une politique est dans l’
histoire
, dans la durée. Mais il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans
158
il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’
histoire
; et le problème des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine
159
e sa nature véritable. Certes, nous sommes dans l’
histoire
, mais non pas comme la subissant. Nous sommes au monde comme n’étant
160
gnorent quelques-uns des événements décisifs de l’
histoire
contemporaine. Kagawa est le chef du Jeune Japon, l’écrivain le plus
161
tous, et la vertu dans l’opinion publique. Que l’
histoire
évolue selon des lois fatales, et que la volonté de quelques-uns n’y
162
d’abord renoncé à l’autre vie ; que les lois de l’
histoire
ne sont rien si l’acte de l’homme les dément ; que la foi d’un seul e
163
que la charité mystérieuse de l’ironie ; contre l’
histoire
, il pose l’acte de l’homme responsable de son destin. Mais tout cela
164
ou responsable53. De cet homme, justement, que l’
Histoire
fait trembler et qui se réfugie dans les soucis publics comme on va v
165
dieux Nous croyons à la foule, aux races, à l’
histoire
(ou plutôt à l’évolution des sociétés), à la révolution, au capital,
166
ment actuel. Hegel a tout objectivé : l’esprit, l’
histoire
, la dialectique, finalement, l’homme lui-même à ses propres yeux. Il
167
n action, qui l’abandonne aux lois mythiques de l’
histoire
. Kierkegaard au contraire nous répète : « La subjectivité est la véri
168
dre en violences. Il n’y a pas d’exemples, dans l’
histoire
, qu’une littérature sans nécessité intérieure, — c’est-à-dire sans me
169
ient rien, qui ont écrit les pages héroïques de l’
histoire
, et non les gens âgés qui possédaient tout. Ces jeunes Allemands qui
170
effort pour pétrir le destin, et pour orienter l’
histoire
dans un sens plutôt que dans l’autre. Nous ne sentons plus comme cela
171
suédois9. ⁂ Qu’est-ce qu’un roman chrétien ? Une
histoire
où tout le monde « se conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Un
172
conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Une
histoire
dont le personnage principal est « la main du Seigneur », ou encore «
173
ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une
histoire
qui finit bien, comme le croyaient les écrivains anglais du xixe siè
174
ère, ha ! ha ! ha ! Ça me rappelle une bien bonne
histoire
, vous devriez lire ça, Clochemerle que ça s’appelle, je ne sais plus
175
a écrit le bouquin. Ah ça alors ! Tenez, c’est l’
histoire
d’une municipalité qui fait construire un des trucs-là juste en face
176
la foi qu’on avait en la vie céleste de Jésus. L’
Histoire
est-elle cause ou effet de la foi ? M. Goguel incline vers l’effet. S
177
alors, dans une deuxième partie, à défaire cette
histoire
trop bien faite, et à démolir, avec une sorte de minutieuse indiffére
178
lier). Pour M. Maurice Goguel, la foi a déformé l’
Histoire
. Que l’on réforme cette histoire, cela ne saurait être au détriment d
179
foi a déformé l’Histoire. Que l’on réforme cette
histoire
, cela ne saurait être au détriment de la foi. Car l’office de la foi
180
s théologiques. 3. Jésus de Nazareth, mythe ou
histoire
? chez Payot. 4. Chez Payot. b. « Sur la méthode de M. Goguel », Le
182
d’une Église et sa force ne résident pas dans son
histoire
, mais dans sa vérité, c’est-à-dire dans l’objet de sa foi. Mais de ce
183
’éviter ce danger serait sans doute d’envisager l’
histoire
d’une religion dans la perspective de sa théologie ; le rappel consta
184
sente le droit de formuler devant sa monumentale
Histoire
de la Réforme française. Plus encore que le premier tome de cet ouvra
185
ent de côté tout ce que l’abbé Bremond appelait l’
histoire
du sentiment religieux, et il nous sera permis de souhaiter que cette
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pourrait-on dire, qu’on ne voit guère en quoi son
Histoire
se distingue de celle qu’eût pu écrire un savant laïque épris de tolé
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e que révolté. Mais ce n’est pas peu dire. 10.
Histoire
de la Réforme française, tome II : De l’édit de Nantes à sa révocatio
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gue sur la vie et l’œuvre de J. Viénot. h. « Une
histoire
de la Réforme protestante en France [recension de l’Histoire de la Ré
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la Réforme protestante en France [recension de l’
Histoire
de la Réforme française de Camille Jullian] », t. II, Les Nouvelles l
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cte. Dans l’homme entièrement humain, tout serait
histoire
, présence, illustration et non explication, incarnation et non concep
191
s contenus, telles que nous les constatons dans l’
histoire
, font figure de coups de force contre toute raison et causalité clair
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our initier un temps nouveau. De cette rupture, l’
Histoire
peut témoigner, mais après coup, car les effets seuls sont visibles.
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arfaite se réduirait purement et simplement à son
histoire
, à l’énoncé des témoignages visibles qu’elle produit. Dans ce sens, e
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rist est la limite atteinte de la personne dans l’
histoire
, le fait extrême, le concretissimum à partir duquel nous puissions pe
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et il demeure l’initiation fondamentale de toute
histoire
. C’est par le verbe seul, créant de rien, que « l’impossible, ici, de
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ou du tyran vidé d’héroïsme et de rêves. Toute l’
histoire
le démontre avec le conte fameux : l’homme ne peut pas sortir du puit
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usions et la dégradation du sens de la révolte. L’
histoire
du monde, bien loin d’être l’histoire d’un progrès continu, nous appa
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révolte. L’histoire du monde, bien loin d’être l’
histoire
d’un progrès continu, nous apparaît plutôt comme une solennelle dégri
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ndeur. Ce ne furent pas les moins corrompues de l’
histoire
, mais celles où la corruption permanente fut ouvertement reconnue, dé
200
léments sont presque tous de nature collective. L’
histoire
d’un siècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’histoire des
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ature collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’
histoire
des collectivités, c’est l’histoire des peuples, des nations, des cla
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ècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’
histoire
des peuples, des nations, des classes, des races, des entreprises pub
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es ou privées. Ce n’est que très accessoirement l’
histoire
des personnes, de quelques génies, par exemple. Quand nous disons des
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, et dont les deux disciplines principales sont l’
Histoire
et la Sociologie. Nous trouverons les meilleurs exemples de cette thé
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onduit à la liberté. Adhérez au déterminisme de l’
histoire
, abandonnez votre cher petit moi, fondez votre destin dans celui du p
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vent qu’ils ont été créés par Dieu. Cette petite
histoire
ne s’applique pas seulement aux partisans attardés de Darwin, mais au
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personne, au contraire de l’individu perdu dans l’
Histoire
, vit d’instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un au
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mmode de vivre en société. On a transporté dans l’
histoire
cet amour qui doit être un acte, une présence et un engagement immédi
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acte, en chacun de nous, peut être vainqueur de l’
Histoire
. Cet acte, à chaque fois qu’il nous est donné de le faire, rétablit l
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teur ne voulait sans doute lui faire dire. 15. L’
Histoire
au sens hégélien du mot, c’est-à-dire, plus exactement : l’Évolution.
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primat de l’économique intervint à ce moment de l’
histoire
comme un rappel à la réalité de la condition humaine. Elle fut d’abor
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marxiste-hégélienne de la réalité humaine et de l’
histoire
. On peut dire, dans ce sens, que la croyance à la période de transiti
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non pas successive. Nous pourrions dire : dans l’
histoire
, dans ce temps, nous sommes charnels, non seulement d’abord, mais ens
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des exploiteurs. Malheureusement pour M. Nizan, l’
histoire
nous apprend que les hommes vivent des inventions de l’esprit — au se
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il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’
histoire
; et le problème des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine
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e sa nature véritable. Certes, nous sommes dans l’
histoire
, mais non pas comme la subissant. Nous sommes au monde comme n’étant
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de l’action. La preuve est dans tous les livres d’
histoire
. Les peuples calvinistes ont été les plus « actifs » des temps modern
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aire ; il se demande à quoi rime cette horrible «
Histoire
», illustrée par les plus sanglants malentendus, sans cesse renaissan
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ties humaines les plus élémentaires, — et toute l’
histoire
des martyrs en témoigne. Un chrétien est un être qui joue tout sur la
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scuter sa théorie économique ; sa conception de l’
histoire
; sa dialectique ; ses méthodes politiques et sociales. Je puis leur
221
cle raisonnable où, pour la première fois, dans l’
histoire
de l’Europe, la passion unitaire se donna libre cours. L’ancêtre du f
222
ace et Dieu, l’Unité spirituelle et Dieu. Toute l’
histoire
des Prophètes lui apprend que le péché majeur est celui qui consiste
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foi optimiste dans le cours « dialectique » de l’
Histoire
, qui caractérisent la position marxiste. Par contre, les bases doctri
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songes, elles s’appuyaient sur le mouvement de l’
histoire
. » Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à
225
ion de la Statue du dieu au seuil de la nuit sans
histoire
où tous les hommes en rangs serrés sans fin marcheront sans repos, sa
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fomenter contre lui-même les coups de force de l’
histoire
! Folies J’ai parlé plusieurs fois de « folies » politiques. Ne
227
’une image autorisée, me semble-t-il, par toute l’
histoire
des révolutions réussies. Dans le désordre préliminaire à toute révol
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fait, qu’on peut bien dire sans précédent dans l’
histoire
de notre civilisation, et que son apparence irrationnelle devrait con
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s bouche bée devant la plus inhumaine erreur de l’
Histoire
. Tout a commencé par les philosophes, le jour où, à la personne créat
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s : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’
histoire
. Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’est plus que souf
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ure. Les singes gagnent leur vie et ne font pas d’
histoires
. Ils ne font pas tant de publicité et de plans quinquennaux. Leurs mo
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oie. Et d’un seul trait miraculeux… P.-S. — Cette
histoire
de la Chine se suffit. J’aurais pu faire l’économie du reste. Mais no
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egaard critiquait chez Hegel cette mécanique de l’
histoire
qui supprime l’individu, le conflit tragique et la responsabilité spi