1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
1 n titre s’effaçait dans l’ombre. Jouve a rêvé une histoire de passion mystique et de crime, intense et tragique comme un couchan
2 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
2 ute-Égypte révèlent en de Traz un philosophe de l’ histoire aux vues larges et pourtant réalistes, aux hypothèses hardies — de la
3 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
3 s plus passionnants et des plus controversés de l’ histoire . L’un de ceux, aussi, où il est le plus difficile de rester impartial
4 XIV commit un des actes les plus vexatoires que l’ histoire ait enregistrés. Après avoir fait un tableau de la France de l’édit,
5 te du 16 octobre 1685 marque une déviation dans l’ histoire de la France. Déviation telle, en effet, que nous en sentons les cons
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
6 le disait si poétiquement le programme. Un peu d’ histoire (erratum de la chronique de Mossoul). Belles-Lettres joua l’Inspecteu
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
7 s qui vous échappent, des amours impossibles, des histoires dont on ne sait pas la fin ni le sens véritable, mais seulement qu’el
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
8 us deux, ces bonnes farces, et aussi pourtant des histoires de copains qui ont mal tourné, on pensait bien, ah ! cette jeunesse,
9 ’est vrai, il allait oublier, il y a encore cette histoire , comment dites-vous, surréalisme ? — Baptisé il y a cinq ou six ans e
7 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 vant tout. D’autre part je préfère la légende à l’ histoire comme la peinture à la photographie. Une œuvre d’art est un merveille
11 un critique d’art diplômé. Premier péché contre l’ histoire  : au seuil d’un article consacré aux jeunes artistes neuchâtelois, je
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
12 ue Philippe Soupault, que « ceci, c’est une autre histoire , une autre belle histoire, une autre très belle histoire ». (Et vous
13 « ceci, c’est une autre histoire, une autre belle histoire , une autre très belle histoire ». (Et vous verriez à quoi cela peut s
14 e, une autre belle histoire, une autre très belle histoire  ». (Et vous verriez à quoi cela peut servir, une citation.) Mais non,
15 qu’une envie me prend de vous conter un peu cette histoire . Seulement, allons ailleurs ; il y a trop de monde ici. 14. Paul M
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
16 athématique au milieu d’une effusion « lyrique », histoire de n’avoir pas l’air dupe. Mais il a des façons parfois bien désoblig
10 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
17 est chaotique. Je crois bien, au contraire, que l’ histoire n’a pas connu de période où les directions d’une civilisation apparai
11 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
18 I de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)av L’ histoire de Louis II exalte et déçoit l’imagination. On comprend que ce doux-a
12 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
19 gens ne veulent pas se fatiguer pour rien.) Cette histoire idiote, d’ailleurs vraie, se borne à décrire l’aspect psychologique d
13 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
20 nait naguère. Jean Cassou vagabonde à travers ses histoires comme son Pierangelo dans la vie. Le hasard, complice des poètes, lui
21 s ». Car il y a toujours assez de vérité dans une histoire où il y a de la poésie. az. « Jean Cassou : La Clef des songes (Émi
14 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
22 te de malentendus heureusement enchaînés. » Cette histoire , en effet, lui valut une Muse. u. « L’ordre social. Le Libéralisme
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
23 iquée. On nous faisait voir tout au long de notre histoire le Progrès constant de l’humanité vers les lumières, l’incrédulité et
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
24 tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’ histoire enregistre bien une ou deux autres bêtises de cette épaisseur, mais i
25 rai, c’est que le fait, absolument nouveau dans l’ Histoire , que l’on oblige les enfants à vivre ensemble dès l’âge de 6 ans, fav
26 la même pour tous. Je ne parle pas des manuels d’ histoire , dont il est aujourd’hui démontré qu’ils donnent une image mensongère
27 t être qu’à l’avantage des gens en place, vieille histoire . On m’objectera sans doute quelques « brillantes carrières » fournies
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
28 uquer légalement les votes. Ensuite, il faut de l’ histoire , et de l’instruction civique, pour qu’on sache à quoi cela rime. Ensu
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
29 ez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur de manuels d’ histoire et de géographie bien connus, pour l’esprit le plus dangereusement pl
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
30 iquée. On nous faisait voir tout au long de notre histoire le Progrès constant de l’humanité vers les lumières, l’incrédulité et
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
31 tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’ histoire enregistre bien une ou deux autres bêtises de cette épaisseur, mais i
32 rai, c’est que le fait, absolument nouveau dans l’ Histoire , que l’on oblige les enfants à vivre ensemble dès l’âge de 5 ans, fav
33 la même pour tous. Je ne parle pas des manuels d’ histoire , dont il est aujourd’hui démontré qu’ils donnent une image mensongère
34 t être qu’à l’avantage des gens en place, vieille histoire . On m’objectera sans doute quelques « brillantes carrières » fournies
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
35 uquer légalement les votes. Ensuite, il faut de l’ histoire , et de l’instruction civique, pour qu’on sache à quoi cela rime. Ensu
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
36 ez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur de manuels d’ histoire et de géographie bien connus, pour l’esprit le plus dangereusement pl
23 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
37 vivre à l’une des époques les plus violentes de l’ histoire humaine ; ils assistent à des bouleversements sociaux, moraux et surt
38 même… Mais ceci, comme dit Kipling, est une autre histoire . 10. Nous voici parvenus au point où cessent d’eux-mêmes nos bavarda
24 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
39 ous ne disons presque rien, nous savons les mêmes histoires et nous avons durant la journée bouquiné dans les mêmes boîtes sous l
40 lupart des entreprises démesurées qu’enregistre l’ Histoire , science chargée d’illustrer à ses propres yeux l’Humanité. En passa
41 entieux. Je suis de ceux qui mangent sans faire d’ histoires . Je remarque simplement qu’on n’est jamais mieux pour parler qu’en fa
42 de cette chronique. Enfin, un Étranger raconte l’ histoire suivante qui est une des plus belles du monde :   Un prince italien
25 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
43 nnière, avec des caractères turcs brodés en or. L’ histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur.
44 au sérieux ce que je vois. Ruse connue : c’est l’ histoire du mot que vous avez sous la langue ; je vous conseille de n’y plus p
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
45 officielle de bas-reliefs cambodgiens. Je donne l’ histoire comme une fable. Il est peut-être curieux de noter que les pires blas
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
46 mystique sur le ciel vert du plus grand jour de l’ Histoire . On a beaucoup remarqué la part importante ménagée aux œuvres de déco
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
47 a qualité d’émotion n’est pas moins pure. C’est l’ histoire de la vie d’une femme, et de la vie d’une société aujourd’hui presque
48 vous désirez savoir comment cela s’applique à mon histoire , dit l’auteur dans sa préface, lisez-la, et si vous la lisez, ne dite
49 d la situation n’est plus tenable à Londres, et l’ histoire continue, pour notre agrément. Mais surtout, cette vie dénuée d’avent
50 hoisir un sujet inévitablement tragique. Car si l’ histoire de l’ascension d’un caractère, d’une volonté, d’une âme virile, trouv
51 le plus tonique17, — il en va tout autrement de l’ histoire d’une vie sentimentale. La durée est l’élément tragique par excellenc
52 les ladies, qui ne jouent pas d’autre rôle dans l’ histoire , sont ridicules et conventionnelles à souhait (ni plus ni moins que l
53 17. Qu’on lise, par exemple, l’admirable Goethe, histoire d’un homme, d’Émile Ludwig (Attinger, éd.), ouvrage sur lequel nous a
29 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
54 nt été consacrées, en particulier dans la Revue d’ histoire et de philosophie religieuses de Strasbourg (Pascal et Kierkegaard),
30 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
55 me n’avait signalé cette curieuse lacune de notre histoire littéraire : pour nos critiques, les Alpes n’avaient pas d’histoire.
56 e : pour nos critiques, les Alpes n’avaient pas d’ histoire . Enfin, voici ce livre, point trop volumineux — il trouvera sa place
31 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
57 nt une date. Les périodes qui « marquent » dans l’ Histoire sont celles où la forme d’un mythe affleure, s’incarne et devient vis
32 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
58 rper de son être, fût-ce pour l’introduire dans l’ Histoire . Mais c’est au contraire devenir cette idée. Et le théâtre de sa pass
59 he, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Sorel ! Mais l’ histoire est faite de telles compensations. 3. Des positions politico-sociale
60 ierkegaard contre la philosophie dialectique de l’ histoire , d’où Marx, Engels et Feuerbach devaient tirer le matérialisme histor
33 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
61 , le rythme se précipitera jusqu’à l’explosion, l’ histoire se purifiera jusqu’au mythe. La donnée initiale est bien la même : c’
34 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
62 peut-être pas d’individu plus significatif dans l’ histoire de l’Occident moderne, c’est-à-dire dans l’histoire des peuples qui v
63 stoire de l’Occident moderne, c’est-à-dire dans l’ histoire des peuples qui vivent sous le règne du christianisme. Mais le plus g
35 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alexandre, par Klaus Mann (septembre 1932)
64 ne assez bouleversant. Klaus Mann a raconté cette histoire avec beaucoup de grâces et des pointes d’ironie anachroniques. Cela f
36 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
65 de l’action. La preuve est dans tous les livres d’ histoire . Les peuples calvinistes ont été les plus « actifs » des temps modern
37 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
66 foi optimiste dans le cours « dialectique » de l’ Histoire , qui caractérisent la position marxiste. Par contre, les bases doctri
67 songes, elles s’appuyaient sur le mouvement de l’ histoire  ». Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à
38 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
68 Europe Centrale. Ce qu’il a tenté d’étaler dans l’ Histoire , c’est l’équation d’existence de l’âme allemande. Mais il a voulu que
39 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
69 nnière, avec des caractères turcs brodés en or. L’ histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur.
70 au sérieux ce que je vois. Ruse connue : c’est l’ histoire du mot que vous avez sous la langue ; je vous conseille de n’y plus p
40 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
71 monde en général, de la religion, des mœurs, de l’ histoire , et de ses voisins en particulier. La « Gnädige » fait avec bonne hum
41 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
72 ous ne disons presque rien, nous savons les mêmes histoires et nous avons durant la journée bouquiné dans les mêmes boîtes sous l
73 lupart des entreprises démesurées qu’enregistre l’ Histoire , science chargée d’illustrer à ses propres yeux l’Humanité. En passan
74 entieux. Je suis de ceux qui mangent sans faire d’ histoires . Je remarque simplement qu’on n’est jamais mieux pour parler qu’en fa
75 prises des fantômes… Enfin, un Étranger raconte l’ histoire suivante qui est une des plus belles du monde : Un prince italien ay
42 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
76 tit la ville de Crotone. Sonnette. — J’aime vos histoires , Lord Artur. (Un temps.) — Dites-moi, Lord Artur, si je pleurais, que
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
77 Europe centrale. Ce qu’il a tenté d’étaler dans l’ Histoire , c’est l’équation d’existence de l’âme allemande. Mais il a voulu que
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
78 nnière, avec des caractères turcs brodés en or. L’ histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur.
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
79 monde en général, de la religion, des mœurs, de l’ histoire , et de ses voisins en particulier. La « Gnädige » fait avec bonne hum
80 urg, et le père Reinecke refusait de croire à mes histoires . Soudain j’ai dit : « Voilà que ça me prend, tout justement ! Attende
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
81 t désillusionné du grand Burckhardt considérant l’ histoire du monde, et le rythme vital d’un Nicolas Manuel : c’est vers quoi je
47 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
82 omme un reflet de la communion des saints : notre histoire , le passé qui passe en chacun de nous ; qui par nous, maintenant, se
83 qui par nous, maintenant, se passe, lié à toute l’ histoire des autres hommes ; et sans lequel il n’y aurait jamais de plénitude
48 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
84 déjà — écrit M. Arthur Piaget dans sa remarquable Histoire de la révolution neuchâteloise — le Procureur général de Rougemont… c
49 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
85 étie… « L’ennui que j’aime à trouver au fond de l’ histoire n’est pas du goût de chacun », notait Chateaubriand dans ses Mémoires
86 tail qu’on connaît une famille, par une famille l’ histoire d’un pays, et surtout d’un petit pays. Ainsi l’on répète volontiers q
87 ur le fond d’une tradition qui la reliait à notre histoire et à l’ancienne communauté, j’ai mieux distingué, par contraste, son
50 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
88 à loisir. Au-delà de ses paysages et de sa proche histoire , il n’y a que l’imaginaire. Les nations, les plus vastes patries n’on
51 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
89 VI Ces retours sur l’ histoire d’un pays, où je cherchais à mieux situer les miens, m’ont proposé ch
90 , la rhétorique n’est plus enseignée ni connue. L’ histoire et la théologie fuient le discours, ignorent le style. Entendrons-nou
91 éclatants et parfois scandaleux. Mais la « petite histoire  » littéraire se borne à mentionner chez nous des rendez-vous de voyag
52 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
92 ords, s’il est vrai que d’aucun je n’ai su tant d’ histoires et qu’il détient certains de mes secrets. Je dénombre mes lacs, et la
93 debout sur un tonneau comme le veut la coutume, l’ histoire de mes Premières Amours. On m’a conspué. J’ai 16 ans. C’est horrible.
53 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
94 «  Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)p Le lecteur moderne e
95 profit d’une littérature qui tient à la fois de l’ histoire , de la politique, de la morale et de la religion. Des livres comme l’
96 ur la vie du monde. Et ce fait est nouveau dans l’ Histoire . Jamais le document n’a été recherché avec une telle avidité. « Ce qu
97 ent en Allemagne : « Weltgeschichte gefälligst », Histoire du monde, s’il vous plaît ! ⁂ Retour à l’essai rendu nécessaire par l
98 inement sur ce livre brillant et séduisant. p. «  Histoires du monde, s’il vous plaît ! », Foi et Vie, Paris, n° 45-46, janvier-f
54 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
99 t une révolution — et la plus profonde de toute l’ histoire —, le protestantisme se doit d’être révolutionnaire dans la mesure mê
55 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
100 e de notre existence personnelle ou du cours de l’ histoire terrestre. Voici alors les chrétiens qui viennent nous parler d’une R
56 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
101 aire ; il se demande à quoi rime cette horrible «  Histoire  », illustrée par les plus sanglants malentendus, sans cesse renaissan
102 ties humaines les plus élémentaires, — et toute l’ histoire des martyrs en témoigne. Un chrétien est un être qui joue tout sur la
57 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
103 fait, qu’on peut bien dire sans précédent dans l’ histoire de notre civilisation, et que son apparence irrationnelle devrait con
104 s bouche bée devant la plus inhumaine erreur de l’ Histoire . Tout a commencé par les philosophes, le jour où, à la personne créat
58 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
105 ose de démission. Survenant au moment précis de l’ histoire où l’esprit doit entrer en force dans un monde abandonné depuis des s
106 une « actualité » de la pensée : ils croient à l’ Histoire . Ils veulent que l’esprit se perde dans l’époque collectiviste, afin
59 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
107 s : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’ histoire . Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’est plus que souf
108 ure. Les singes gagnent leur vie et ne font pas d’ histoires . Ils ne font pas tant de publicité et de plans quinquennaux. Leurs mo
109 e. Et d’un seul trait miraculeux…   P.-S. — Cette histoire de la Chine se suffit. J’aurais pu faire l’économie du reste. Mais no
60 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
110 ble à cette occasion. Erreur qui lèse à la fois l’ histoire littéraire, la dialectique et la poésie. Car : 1° Toute la poésie de
111 i méchamment enterrés par les jésuites dans leurs Histoires de la littérature française (pour ne rien dire des lamentables dédain
61 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
112 voulut en étaler les éléments dans le temps et l’ Histoire . Sa dialectique est devenue une espèce de bascule automatique. Le tra
113 ynthèse, l’objectiverait, le ferait tomber dans l’ histoire . « Ainsi donc, il ne nous reste — émouvant spectacle pour ceux qui n’
62 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
114 guère, de ce point de vue, en quelques pages, une histoire pertinente de notre parlement. Aux républicains (mais personne n’empl
63 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
115 ui peut figurer d’ores et déjà dans les manuels d’ Histoire contemporaine. Les révolutions russe, italienne et allemande, succéda
64 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
116 e lève et tombe avec sa mission ». Il y a plus. L’ histoire biblique, loin de mettre en scène le développement d’une « tradition 
117 spirituelle, figure la négation absolue de toute histoire  : « Vue d’en haut, c’est une série de libres actions divines : vue d’
118 l’immédiat, l’instant éternel de la foi, et non l’ histoire de l’homme pieux ; un événement et non une croyance, une rencontre pe
65 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
119 rréalistes, empêcheurs de danser en rond. Voici l’ histoire en bref, — non pas l’intrigue ! tout cela est propre. Le jeune Kolka,
120 l’autre « n’est pas né quand il aurait fallu ». L’ Histoire a de ces exigences. On conseille à Volodia de se brûler la cervelle.
66 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
121 ntes. D’une part, la philosophie se transforma en histoire comparée des systèmes ; d’autre part, les « chercheurs » invétérés s’
122 s païenne à la valeur absolue de la logique, de l’ histoire et des méthodes critiques de M. Goguel ? 3. Si notre civilisation chr
67 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
123 e rigidité accrue de la circonférence. Et c’est l’ histoire de toute association humaine : on s’unit par la force d’un principe t
68 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
124 usions et la dégradation du sens de la révolte. L’ histoire du monde, bien loin d’être l’histoire d’un progrès continu, nous appa
125 révolte. L’histoire du monde, bien loin d’être l’ histoire d’un progrès continu, nous apparaît plutôt comme une solennelle dégri
126 ndeur. Ce ne furent pas les moins corrompues de l’ histoire , mais celles où la corruption permanente fut ouvertement reconnue, dé
127 léments sont presque tous de nature collective. L’ histoire d’un siècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’histoire des
128 ature collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’ histoire des collectivités, c’est l’histoire des peuples, des nations, des cla
129 ècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’ histoire des peuples, des nations, des classes, des races, des entreprises pub
130 es ou privées. Ce n’est que très accessoirement l’ histoire des personnes, de quelques génies, par exemple. Quand nous disons des
131 , et dont les deux disciplines principales sont l’ Histoire et la Sociologie. Nous trouverons les meilleurs exemples de cette th
132 onduit à la liberté. Adhérez au déterminisme de l’ histoire , abandonnez votre cher petit moi, fondez votre destin dans celui du p
133 ent qu’ils ont été créés par Dieu. » Cette petite histoire ne s’applique pas seulement aux partisans attardés de Darwin, mais au
134 ersonne, au contraire, de l’individu perdu dans l’ Histoire , vit d’instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un au
135 mmode de vivre en société. On a transporté dans l’ histoire cet amour qui doit être un acte, une présence et un engagement immédi
136 acte, en chacun de nous, peut être vainqueur de l’ Histoire . Cet acte, à chaque fois qu’il nous est donné de le faire, rétablit l
137 au monde, avant d’avoir rencontré Dieu. 42. L’ Histoire au sens hégélien du mot, c’est-à-dire, plus exactement : l’Évolution.
69 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
138 avoir lieu ? Deux voies s’offraient : celle de l’ histoire et celle de l’expérience religieuse. Prendre la voie de l’histoire, c
139 de l’expérience religieuse. Prendre la voie de l’ histoire , c’était d’abord chercher à s’approcher de l’homme Jésus tel que le d
140 Christ sous prétexte de nous rapprocher de lui, l’ histoire prêtait une réalité insurmontable aux dix-neuf siècles qui nous sépar
70 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
141 ais avant que d’y venir, et suivant l’ordre d’une Histoire dont la loi peut paraître souverainement illogique, nous voici contra
142 r, le temps suit son cours, et nous sommes dans l’ histoire , et l’histoire temporelle est la succession de nos chutes, selon la L
143 t son cours, et nous sommes dans l’histoire, et l’ histoire temporelle est la succession de nos chutes, selon la Loi, à cause de
71 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
144 tification. À ceux qui croient aux fatalités de l’ Histoire , il faut dire simplement qu’elles sont vraies pour eux-mêmes et pour
72 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
145 rétien. Qu’est-ce donc qu’un roman chrétien ? Une histoire où tout le monde « se conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Un
146 conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Une histoire dont le personnage principal est « la main du Seigneur », ou encore «
147 ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une histoire qui finit bien, comme le croyaient les écrivains anglais du xixe — e
148 et de ce grand livre. Je ne vous conterai pas « l’ histoire  ». Cette chronique d’une vie de femme n’est pas de celles qui se résu
73 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
149 u, pour reprendre la phrase de Shakespeare, à une histoire racontée par un idiot » (p. 261). C’est une histoire de ce genre qui
150 toire racontée par un idiot » (p. 261). C’est une histoire de ce genre qui caractérise malheureusement l’existence de l’homme mo
74 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
151 le savoir. Puis, on le rend à la liberté. Toute l’ histoire sera celle, non pas du procès, qui n’a jamais lieu, mais des prélimin
75 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
152 publique. Le communiste croit aux fatalités de l’ Histoire . Et tous croient, comme le fasciste, aux fatalités de l’État. Nous cr
153 e et une dupe, car il n’y a pas d’exemple, dans l’ histoire , que l’État ait pu assurer la vie d’une collectivité dont chaque memb
154 et non pas dans la rue, dans l’opinion, ni dans l’ Histoire . Le lieu de toute décision qui crée, c’est la personne. Ici le rôle d
155 tes11, l’attitude de ceux qui se réfugient dans l’ Histoire , qui pensent par périodes de mille ans, qui rêvent, et qui, pour comb
156 estins collectifs et par les prétendues lois de l’ Histoire , vit d’instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un au
76 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
157 unc ; l’ordre imposé par une politique est dans l’ histoire , dans la durée. Mais il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans
158 il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’ histoire  ; et le problème des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine
159 e sa nature véritable. Certes, nous sommes dans l’ histoire , mais non pas comme la subissant. Nous sommes au monde comme n’étant
77 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
160 gnorent quelques-uns des événements décisifs de l’ histoire contemporaine. Kagawa est le chef du Jeune Japon, l’écrivain le plus
78 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
161 tous, et la vertu dans l’opinion publique. Que l’ histoire évolue selon des lois fatales, et que la volonté de quelques-uns n’y
162 d’abord renoncé à l’autre vie ; que les lois de l’ histoire ne sont rien si l’acte de l’homme les dément ; que la foi d’un seul e
163 que la charité mystérieuse de l’ironie ; contre l’ histoire , il pose l’acte de l’homme responsable de son destin. Mais tout cela
164 ou responsable53. De cet homme, justement, que l’ Histoire fait trembler et qui se réfugie dans les soucis publics comme on va v
165 dieux Nous croyons à la foule, aux races, à l’ histoire (ou plutôt à l’évolution des sociétés), à la révolution, au capital,
166 ment actuel. Hegel a tout objectivé : l’esprit, l’ histoire , la dialectique, finalement, l’homme lui-même à ses propres yeux. Il
167 n action, qui l’abandonne aux lois mythiques de l’ histoire . Kierkegaard au contraire nous répète : « La subjectivité est la véri
79 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
168 dre en violences. Il n’y a pas d’exemples, dans l’ histoire , qu’une littérature sans nécessité intérieure, — c’est-à-dire sans me
80 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
169 ient rien, qui ont écrit les pages héroïques de l’ histoire , et non les gens âgés qui possédaient tout. Ces jeunes Allemands qui
81 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
170 effort pour pétrir le destin, et pour orienter l’ histoire dans un sens plutôt que dans l’autre. Nous ne sentons plus comme cela
82 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
171 suédois9. ⁂ Qu’est-ce qu’un roman chrétien ? Une histoire où tout le monde « se conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Un
172 conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Une histoire dont le personnage principal est « la main du Seigneur », ou encore «
173 ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une histoire qui finit bien, comme le croyaient les écrivains anglais du xixe siè
83 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
174 ère, ha ! ha ! ha ! Ça me rappelle une bien bonne histoire , vous devriez lire ça, Clochemerle que ça s’appelle, je ne sais plus
175 a écrit le bouquin. Ah ça alors ! Tenez, c’est l’ histoire d’une municipalité qui fait construire un des trucs-là juste en face
84 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
176 la foi qu’on avait en la vie céleste de Jésus. L’ Histoire est-elle cause ou effet de la foi ? M. Goguel incline vers l’effet. S
177 alors, dans une deuxième partie, à défaire cette histoire trop bien faite, et à démolir, avec une sorte de minutieuse indiffére
178 lier). Pour M. Maurice Goguel, la foi a déformé l’ Histoire . Que l’on réforme cette histoire, cela ne saurait être au détriment d
179 foi a déformé l’Histoire. Que l’on réforme cette histoire , cela ne saurait être au détriment de la foi. Car l’office de la foi
180 s théologiques. 3. Jésus de Nazareth, mythe ou histoire  ? chez Payot. 4. Chez Payot. b. « Sur la méthode de M. Goguel », Le
85 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
181 Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)h Certes, la grandeur d’
182 d’une Église et sa force ne résident pas dans son histoire , mais dans sa vérité, c’est-à-dire dans l’objet de sa foi. Mais de ce
183 ’éviter ce danger serait sans doute d’envisager l’ histoire d’une religion dans la perspective de sa théologie ; le rappel consta
184 sente le droit de formuler devant sa monumentale Histoire de la Réforme française. Plus encore que le premier tome de cet ouvra
185 ent de côté tout ce que l’abbé Bremond appelait l’ histoire du sentiment religieux, et il nous sera permis de souhaiter que cette
186 pourrait-on dire, qu’on ne voit guère en quoi son Histoire se distingue de celle qu’eût pu écrire un savant laïque épris de tolé
187 e que révolté. Mais ce n’est pas peu dire. 10. Histoire de la Réforme française, tome II : De l’édit de Nantes à sa révocatio
188 gue sur la vie et l’œuvre de J. Viénot. h. « Une histoire de la Réforme protestante en France [recension de l’Histoire de la Ré
189 la Réforme protestante en France [recension de l’ Histoire de la Réforme française de Camille Jullian] », t. II, Les Nouvelles l
86 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
190 cte. Dans l’homme entièrement humain, tout serait histoire , présence, illustration et non explication, incarnation et non concep
191 s contenus, telles que nous les constatons dans l’ histoire , font figure de coups de force contre toute raison et causalité clair
192 our initier un temps nouveau. De cette rupture, l’ Histoire peut témoigner, mais après coup, car les effets seuls sont visibles.
193 arfaite se réduirait purement et simplement à son histoire , à l’énoncé des témoignages visibles qu’elle produit. Dans ce sens, e
194 rist est la limite atteinte de la personne dans l’ histoire , le fait extrême, le concretissimum à partir duquel nous puissions pe
195 et il demeure l’initiation fondamentale de toute histoire . C’est par le verbe seul, créant de rien, que « l’impossible, ici, de
87 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
196 ou du tyran vidé d’héroïsme et de rêves. Toute l’ histoire le démontre avec le conte fameux : l’homme ne peut pas sortir du puit
88 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
197 usions et la dégradation du sens de la révolte. L’ histoire du monde, bien loin d’être l’histoire d’un progrès continu, nous appa
198 révolte. L’histoire du monde, bien loin d’être l’ histoire d’un progrès continu, nous apparaît plutôt comme une solennelle dégri
199 ndeur. Ce ne furent pas les moins corrompues de l’ histoire , mais celles où la corruption permanente fut ouvertement reconnue, dé
200 léments sont presque tous de nature collective. L’ histoire d’un siècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’histoire des
201 ature collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’ histoire des collectivités, c’est l’histoire des peuples, des nations, des cla
202 ècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’ histoire des peuples, des nations, des classes, des races, des entreprises pub
203 es ou privées. Ce n’est que très accessoirement l’ histoire des personnes, de quelques génies, par exemple. Quand nous disons des
204 , et dont les deux disciplines principales sont l’ Histoire et la Sociologie. Nous trouverons les meilleurs exemples de cette thé
205 onduit à la liberté. Adhérez au déterminisme de l’ histoire , abandonnez votre cher petit moi, fondez votre destin dans celui du p
206 vent qu’ils ont été créés par Dieu. Cette petite histoire ne s’applique pas seulement aux partisans attardés de Darwin, mais au
207 personne, au contraire de l’individu perdu dans l’ Histoire , vit d’instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un au
208 mmode de vivre en société. On a transporté dans l’ histoire cet amour qui doit être un acte, une présence et un engagement immédi
209 acte, en chacun de nous, peut être vainqueur de l’ Histoire . Cet acte, à chaque fois qu’il nous est donné de le faire, rétablit l
210 teur ne voulait sans doute lui faire dire. 15. L’ Histoire au sens hégélien du mot, c’est-à-dire, plus exactement : l’Évolution.
89 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
211 primat de l’économique intervint à ce moment de l’ histoire comme un rappel à la réalité de la condition humaine. Elle fut d’abor
212 marxiste-hégélienne de la réalité humaine et de l’ histoire . On peut dire, dans ce sens, que la croyance à la période de transiti
213 non pas successive. Nous pourrions dire : dans l’ histoire , dans ce temps, nous sommes charnels, non seulement d’abord, mais ens
214 des exploiteurs. Malheureusement pour M. Nizan, l’ histoire nous apprend que les hommes vivent des inventions de l’esprit — au se
90 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
215 il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’ histoire  ; et le problème des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine
216 e sa nature véritable. Certes, nous sommes dans l’ histoire , mais non pas comme la subissant. Nous sommes au monde comme n’étant
91 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
217 de l’action. La preuve est dans tous les livres d’ histoire . Les peuples calvinistes ont été les plus « actifs » des temps modern
92 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
218 aire ; il se demande à quoi rime cette horrible «  Histoire  », illustrée par les plus sanglants malentendus, sans cesse renaissan
219 ties humaines les plus élémentaires, — et toute l’ histoire des martyrs en témoigne. Un chrétien est un être qui joue tout sur la
93 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
220 scuter sa théorie économique ; sa conception de l’ histoire  ; sa dialectique ; ses méthodes politiques et sociales. Je puis leur
94 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
221 cle raisonnable où, pour la première fois, dans l’ histoire de l’Europe, la passion unitaire se donna libre cours. L’ancêtre du f
222 ace et Dieu, l’Unité spirituelle et Dieu. Toute l’ histoire des Prophètes lui apprend que le péché majeur est celui qui consiste
95 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
223 foi optimiste dans le cours « dialectique » de l’ Histoire , qui caractérisent la position marxiste. Par contre, les bases doctri
224 songes, elles s’appuyaient sur le mouvement de l’ histoire . » Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à
96 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
225 ion de la Statue du dieu au seuil de la nuit sans histoire où tous les hommes en rangs serrés sans fin marcheront sans repos, sa
226 fomenter contre lui-même les coups de force de l’ histoire  ! Folies J’ai parlé plusieurs fois de « folies » politiques. Ne
97 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
227 ’une image autorisée, me semble-t-il, par toute l’ histoire des révolutions réussies. Dans le désordre préliminaire à toute révol
98 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
228 fait, qu’on peut bien dire sans précédent dans l’ histoire de notre civilisation, et que son apparence irrationnelle devrait con
229 s bouche bée devant la plus inhumaine erreur de l’ Histoire . Tout a commencé par les philosophes, le jour où, à la personne créat
99 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
230 s : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’ histoire . Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’est plus que souf
231 ure. Les singes gagnent leur vie et ne font pas d’ histoires . Ils ne font pas tant de publicité et de plans quinquennaux. Leurs mo
232 oie. Et d’un seul trait miraculeux… P.-S. — Cette histoire de la Chine se suffit. J’aurais pu faire l’économie du reste. Mais no
100 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
233 egaard critiquait chez Hegel cette mécanique de l’ histoire qui supprime l’individu, le conflit tragique et la responsabilité spi