1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 , j’écoute le vent ; je pense au monde. Chant des horizons , images qui s’éclairent… Je vais écrire autre chose que moi, je vais
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
2 vagues se perdent dans une poussière violacée à l’ horizon — chez les Tchèques déjà… Nous allons aux bains, car c’est dans la pi
3 ive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ horizon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poè
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
4 de violet sombre, et par la seule ligne dure de l’ horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
5 e règle de savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes fraîches de m
6 où. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’ horizon . Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions pré
4 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 vagues se perdent dans une poussière violacée à l’ horizon — chez les Tchèques déjà. Nous allons aux bains, car c’est dans la pi
8 ive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ horizon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poè
9 de violet sombre, et par la seule ligne dure de l’ horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
10 e règle de savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes fraîches de m
11 où. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’ horizon . Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions pré
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 ommeiller une lisière d’où l’on voit de lointains horizons , puis de nouveau m’enfonçant au hasard dans la forêt. Vers le soir, j
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
13 nfinis sur les vastes ondulations des terres. À l’ horizon , des ailes de moulin tournent, ou scintille une mer dorée. Tout impos
14 ent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses. À l’ horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.   Dans la bi
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
15 vagues se perdent dans une poussière violacée à l’ horizon — chez les Tchèques déjà. Nous allons aux bains, car c’est dans la pi
16 ive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ horizon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poè
17 de violet sombre, et par la seule ligne dure de l’ horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
18 e règle de savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes fraîches de m
19 où. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’ horizon . Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions pré
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
20 nfinis sur les vastes ondulations des terres. À l’ horizon , des ailes de moulin tournent, ou scintille une mer dorée. Tout impos
21 ent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses. À l’ horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer. Dans la bibl
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
22 ommeiller une lisière d’où l’on voie de lointains horizons , puis de nouveau m’enfonçant au hasard dans la forêt. Vers le soir, j
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
23 ns, quand tout espoir humain semblait perdu, tout horizon bouché, Athanase prononça ces mots : nubicula est, transibit, c’est u
24 ent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’ horizon follement lointain, tandis que nous survolons des profondeurs multipl
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
25 es lointains de lumière. La pente derrière moi, l’ horizon des collines, sont le cadre qui donne au tableau sa signification pri
26 où le crépuscule enfin se meurt dans l’aube, à l’ horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce lac sombre au fond de la vallée
27 nt, guirlande morte, un peu de temps diaphane à l’ horizon . Paysage emphatique et sombre, tout cerné de prodiges sévères, et l’œ
12 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
28 s d’espace au-dessus des pluies qui se tirent à l’ horizon dans un paysage agité de la grande puissance diluvienne où maintenant
13 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
29 en avant en approfondissant et en élargissant son horizon de pensée. Peut-on dire que notre civilisation soit chrétienne ? Peu
30 approfondissement » ou « élargissement » de notre horizon de pensée, nous demandons passionnément et lourdement ce que cela peu
14 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
31 le pense, qui, laissant errer ses regards sur un horizon sans bornes, ou se promenant sur les rives de la mer que viennent bat
15 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
32 gie, redécouvrit pour les générations futures « l’ horizon primordial de la médecine », comme l’écrit le Dr Allendy dans l’Essai
16 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
33 laire, académique, parlementaire, encombre tout l’ horizon populaire26. Le succès d’une caricature tient à ce qu’elle est une si
17 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
34 nnée tandis que se découvraient de tous côtés les horizons d’une nouvelle encyclopédie, notre enjeu révolutionnaire. aa. « Cha
18 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
35 avec ses restanques touffues d’oliviers, ferme l’ horizon immédiat. Au sud-est, nous avons une échappée sur la fin de la vallée
36 nos pieds, des Cévennes grises au nord jusqu’à l’ horizon des collines vers Uzès, où quelques ruines de castels et quelques che
19 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
37 desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’ horizon . Et sur le petit toit au-dessous de moi, tout près, soudain je vois u
20 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
38 et de petites dunes broussailleuses qui ferment l’ horizon bas. Peu de terre et beaucoup de ciel, et partout cette humide lumièr
21 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
39 de toutes ses grandeurs. Aux xviie et xviiie , l’ horizon se resserre un peu, on ne voit guère que Berne et le « grand Haller »
40 duire à l’esprit de clocher, à une limitation des horizons , bien plutôt qu’il ne favorise de fécondes oppositions. Notre neutral
22 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
41 nent les enfants, joli rectangle clair posé sur l’ horizon , un peu au-delà des limites européennes, dans une espèce de terrain v
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
42 t des petites dunes broussailleuses qui ferment l’ horizon bas. Peu de terre et beaucoup de ciel, et partout cette humide lumièr
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
43 avec ses restanques touffues d’oliviers, ferme l’ horizon immédiat. Au sud-est, nous avons une échappée sur la fin de la vallée
44 nos pieds, des Cévennes grises au nord jusqu’à l’ horizon des collines vers Uzès, où quelques ruines de castels et quelques che
45 bon de toucher le grain rugueux de cette vie sans horizon , sans dimensions, qui est la vie du très grand nombre. Il faut partir
46 desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’ horizon . Et sur le petit toit au-dessous de moi, tout près, soudain je vois u
25 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
47 vagues se perdent dans une poussière violacée à l’ horizon — chez les Tchèques déjà. Nous allons aux bains, car c’est dans la pi
48 ive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ horizon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poè
26 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
49 lle et lui. Pitoyables victimes d’un mythe dont l’ horizon mystique s’est refermé depuis longtemps. Pour Tristan, Iseut n’était
27 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
50 ans fin ni cesse, malheureux puis heureux. Mais l’ horizon n’est plus le même. Une fidélité gardée au nom de ce qui ne change pa
28 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
51 ait-on. ⁂ Et voici sous la pluie et la brume, à l’ horizon des marécages, une confusion de silhouettes griffues : moulins, cloch
29 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
52 la Nuit. Mais il n’est point d’aube mystique à l’ horizon spirituel, ni de véritable joie d’amour au sommet de ces élancements.
30 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
53 lle et lui. Pitoyables victimes d’un mythe dont l’ horizon mystique s’est refermé depuis longtemps. Pour Tristan, Iseut n’était
31 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
54 ans fin ni cesse, malheureux puis heureux. Mais l’ horizon n’est plus le même. Une fidélité gardée au Nom de ce qui ne change pa
32 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
55 in que là-haut tu veilles ? (Voix d’hommes.) À l’ horizon paraissent des présages. Nous, d’ici, voyons une aurore éclatante de
33 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
56 la Nuit. Mais il n’est point d’aube mystique à l’ horizon spirituel, ni de véritable joie d’amour au sommet de ces élancements.
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
57 lle et lui. Pitoyables victimes d’un mythe dont l’ horizon mystique s’est refermé depuis longtemps. Pour Tristan, Iseut n’était
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
58 ans fin ni cesse, malheureux puis heureux. Mais l’ horizon n’est plus le même. Une fidélité gardée au Nom de ce qui ne change pa
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
59 la Nuit. Mais il n’est point d’aube mystique à l’ horizon spirituel, ni de véritable joie d’amour au sommet de ces élancements.
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
60 lle et lui. Pitoyables victimes d’un mythe dont l’ horizon mystique s’est refermé depuis longtemps. Pour Tristan, Iseut figurait
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
61 ans fin ni cesse, malheureux puis heureux. Mais l’ horizon n’est plus le même. Une fidélité gardée au Nom de ce qui ne change pa
39 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
62 tiens, quand tout espoir humain était perdu, tout horizon bouché, Athanase prononça ces mots : nubicula est, transibit, c’est u
40 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
63 de toutes ses grandeurs. Aux xviie et xviiie , l’ horizon se resserre un peu, et pourtant voici Berne et le « grand Haller », a
64 duire à l’esprit de clocher, à une limitation des horizons , bien plutôt qu’il ne favorise de fécondes oppositions. Notre neutral
41 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
65 e suffit plus. La vue doit s’élargir ; et le seul horizon qu’il nous soit permis d’embrasser, c’est celui de l’Europe entière,
66 e. Mais il a pour inconvénient de restreindre les horizons , et de créer une certaine médiocrité d’esprit, rançon de la grandeur
42 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
67 vient pénible, et plus l’abîme vous tente, mais l’ horizon s’étend. Si tout d’un coup votre fatigue ou quelque vertige l’emporte
68 rrière-plan lointain, l’autre, voilée, attend à l’ horizon de tout amour digne du nom de passion. C’est pourquoi la passion peut
43 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
69 vient pénible, et plus l’abîme vous tente, mais l’ horizon s’étend. Si tout d’un coup votre fatigue ou quelque vertige l’emporte
70 rrière-plan lointain, l’autre, voilée, attend à l’ horizon de tout amour digne du nom de passion. C’est pourquoi la passion peut
44 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
71 vient pénible, et plus l’abîme vous tente, mais l’ horizon s’étend. Si tout d’un coup votre fatigue ou quelque vertige l’emporte
72 rrière-plan lointain, l’autre, voilée, attend à l’ horizon de tout amour digne du nom de passion. C’est pourquoi la passion peut
45 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
73 ent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’ horizon follement lointain, tandis que nous survolons des profondeurs multipl
46 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
74 lateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’à l’ horizon bleu des Appalaches. Pendant que nous roulons sur une route de campag
47 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
75 nent et dont le pont de l’autostrade au long de l’ horizon porte la gloire. Manhattan — Suite Le bel hiver. — J’ai retrou
76 lateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’à l’ horizon bleu des Appalaches. Pendant que nous roulons sur une route de campag
48 1946, Journal des deux mondes. Avertissement
77 ctif ou l’habitant sédentaire du pays. La ligne d’ horizon dépend à chaque instant de l’endroit où nous nous tenons, elle se dép
49 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
78 ait-on. ⁂ Et voici sous la pluie et la brume, à l’ horizon des marécages, une confusion de silhouettes griffues : moulins, cloch
50 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
79 ns, quand tout espoir humain semblait perdu, tout horizon bouché, Athanase prononça ces mots : nubicula est, transibit, c’est u
80 e verdâtre du Palais fédéral sur une falaise. À l’ horizon , la barrière sombre du Jura, et au-delà se passe la guerre. Derrière
51 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
81 ent, et dont le pont de l’autostrade au fond de l’ horizon porte la’ gloire. Princeton, fin d’octobre 1940 À une heure de
52 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
82 s reposent leur masse. Leur dos est droit comme l’ horizon de la pampa, de la naissance des cornes à celle de la queue. L’origin
83 eu. (Quand on est rapporté à l’Éternel.) ⁂ Sur un horizon d’incendie, ce cheval au galop monté par un gaucho tout noir, c’est l
53 1946, Journal des deux mondes. Virginie
84 gne de cyprès au haut d’une côte, quand j’ai vu l’ horizon bleuir dans l’arc immatériel des Appalaches, et le ciel s’alléger sur
85 lateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’à l’ horizon bleu des Appalaches. Pendant que nous roulons sur une route de campag
54 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
86 ent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’ horizon follement lointain, tandis que nous survolons des profondeurs multipl
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
87 nfinis sur les vastes ondulations des terres. À l’ horizon , des ailes de moulin tournent, ou scintille une mer dorée. Tout impos
88 ent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses. À l’ horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.   Dans la bi
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
89 vagues se perdent dans une poussière violacée à l’ horizon — chez les Tchèques déjà. Nous allons aux bains, car c’est dans la p
90 ive par les vignes, ah ! qu’il fait beau temps, l’ horizon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poè
91 de violet sombre, et par la seule ligne dure de l’ horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
92 e règle de savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes fraîches de m
93 où. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’ horizon . Où vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions pré
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
94 ommeiller une lisière d’où l’on voit de lointains horizons , puis de nouveau m’enfonçant au hasard dans la forêt. Vers le soir, j
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
95 e limité), tout en moi s’est tourné vers d’autres horizons que ceux d’un romantisme influencé par l’occultisme et le surréalisme
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
96 nent les enfants, joli rectangle clair posé sur l’ horizon , un peu au-delà des limites européennes, dans une espèce de terrain v
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
97 t des petites dunes broussailleuses qui ferment l’ horizon bas. Peu de terre et beaucoup de ciel, et partout cette humide lumièr
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
98 avec ses restanques touffues d’oliviers, ferme l’ horizon immédiat. Au sud-est, nous avons une échappée sur la fin de la vallée
99 nos pieds, des Cévennes grises au nord jusqu’à l’ horizon des collines vers Uzès, où quelques ruines de castels et quelques che
100 bon de toucher le grain rugueux de cette vie sans horizon , sans dimensions, qui est la vie du très grand nombre. Il faut partir
101 desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’ horizon . Et sur le petit toit au-dessous de moi, tout près, soudain je vois u
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Avertissement
102 ue pour donner une clef de correction. La ligne d’ horizon dépend à chaque instant de l’endroit où nous nous tenons, elle se dép
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
103 ait-on. ⁂ Et voici sous la pluie et la brume, à l’ horizon des marécages, une confusion de silhouettes griffues : moulins, cloch
104 ns, quand tout espoir humain semblait perdu, tout horizon bouché, Athanase prononça ces mots : nubicula est, transibit, c’est u
105 e verdâtre du Palais fédéral sur une falaise. À l’ horizon , la barrière sombre du Jura, et au-delà se passe la guerre. Derrière
106 visions partisanes. Venus de tous les points de l’ horizon politique, décidés à faire converger nos efforts, nous fondons la Lig
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
107 ent, et dont le pont de l’autostrade au fond de l’ horizon porte la gloire. Princeton, fin d’octobre 1940 À une heure de N
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
108 eau et boulingrins. Le ciel est sombre et bas à l’ horizon des perspectives tapissées de hauts mimosas. C’est l’hiver et les maî
109 s reposent leur masse. Leur dos est droit comme l’ horizon de la pampa, de la naissance des cornes à celle de la queue. L’origin
110 eu. (Quand on est rapporté à l’Éternel.) ⁂ Sur un horizon d’incendie, ce cheval au galop monté par un gaucho tout noir, c’est l
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
111 gne de cyprès au haut d’une côte, quand j’ai vu l’ horizon bleuir dans l’arc immatériel des Appalaches et le ciel s’alléger sur
112 lateaux onduleux et livrés aux chevaux, jusqu’à l’ horizon bleu des Appalaches. Pendant que nous roulons sur une route de campag
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
113 ent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’ horizon follement lointain, tandis que nous survolons des profondeurs multipl
68 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
114 ont tes soucis ? » Et puis, après ce petit tour d’ horizon , on s’arrête et l’on demande d’un autre ton : « Et maintenant, quels
69 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
115 es lointains de lumière. La pente derrière moi, l’ horizon des collines, sont le cadre qui donne au tableau sa signification pri
116 où le crépuscule enfin se meurt dans l’aube, à l’ horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce lac sombre au fond de la vallée
117 nt, guirlande morte, un peu de temps diaphane à l’ horizon . Paysage emphatique et sombre, tout cerné de prodiges sévères, et l’œ
70 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
118 ont tes soucis ? » Et puis, après ce petit tour d’ horizon , on s’arrête et l’on demande d’un autre ton : « Et maintenant, quels
71 1948, Suite neuchâteloise. VII
119 es lointains de lumière. La pente derrière moi, l’ horizon des collines, sont le cadre qui donne au tableau sa signification pri
120 où le crépuscule enfin se meurt dans l’aube, à l’ horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce lac sombre au fond de la vallée
121 nt, guirlande morte, un peu de temps diaphane à l’ horizon . Paysage emphatique et sombre, tout cerné de prodiges sévères, et l’œ
72 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
122 venait, pour beaucoup, le symbole de l’espoir à l’ horizon de la Libération11. C’est pourquoi, dès l’année 1945, on vit surgir d
73 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
123 e partie vrai. Mais il n’est pas moins vrai que l’ horizon d’un progrès possible reste vital pour l’homme européen ; et que nos
74 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
124 se dans la nature, repu leurs yeux de merveilleux horizons , purs, libres et tangibles, dès qu’on dépasse les 2000 mètres ; et di
125 s blancs qu’il ne cesse de voir se profiler à son horizon  : « Non, vous ne m’aurez pas ; je suis l’esprit » — Du romantisme ? J
126 oupé de la mer par les grandes dunes et n’ayant d’ horizon qu’en profondeur, ou si l’on veut qu’en hauteur — dans le ciel ? Le c
75 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
127 uissante, qui permet à l’individu de dépasser son horizon restreint, de s’affranchir de ses soucis privés (en temps de guerre)
76 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
128 présente, leurs données natives ou sociales. Et l’ horizon lointain de la recherche humaine, dans tous les ordres — de la mystiq
129 que en passant par les arts et les sciences — cet horizon dernier reste le même, quel que soit le nom qu’on lui donne ou qu’on
77 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
130 t qu’un dernier défi au Soleil disparu derrière l’ horizon jaune de la mer d’Occident. C’est le cri de l’âme « exilée », qui ne
131 lisme essentiel, la passion ne peut rêver d’autre horizon d’espoir que celui de la métempsycose. « Notre engagement n’était pas
132 uissante, qui permet à l’individu de dépasser son horizon restreint, de s’affranchir de ses soucis privés (en temps de guerre),
78 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
133 ernière fois, sous un ciel pâle, perdus parmi des horizons sans bornes, les cinq ordres de Vitruve, les colonnes et les portique
134 enthousiasmes, de cet élargissement général de l’ horizon … Le temps était venu où Dostoïevski et Tolstoï, Tourguéniev et Tché
79 1955, Articles divers (1951-1956). Une présence (1955)
135 é un point de ralliement pour des esprits venus d’ horizons différents, et visant des buts très divers. Quoi de commun, pourrait-
80 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
136 un sens, un prolongement possible au-delà de son horizon . Découvrant où il peut agir, il agira et entraînera les autres ; il d
137 enir une patrie réelle, un vrai milieu humain aux horizons plus vastes, un grand espoir ! Elle n’est plus un slogan politique et
81 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Ce n’est pas au pied du mur… (juin-juillet 1956)
138 t près de deux-cents personnes venues de tous les horizons européens. À quoi s’ajoutent cinq commissions convoquées par le Centr
82 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
139 t qu’un dernier défi au Soleil disparu derrière l’ horizon jaune de la mer d’Occident. C’est le cri de l’âme « exilée », qui ne
140 lisme essentiel, la passion ne peut rêver d’autre horizon d’espoir que celui de la métempsycose. « Notre engagement n’était pas
141 uissante, qui permet à l’individu de dépasser son horizon restreint, de s’affranchir de ses soucis privés (en temps de guerre),
83 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
142 e de résumé et de conclusion de ce chapitre : L’ horizon des archétypes et de la répétition ne peut être dépassé impunément qu
143 our Dieu tout est possible), l’homme détaché de l’ horizon des archétypes et de la répétition ne peut plus désormais se défendre
84 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
144 ificatifs. À mesure qu’on approche d’un sommet, l’ horizon s’amplifie mais le vertige devient aussi plus fascinant, et la joie s
85 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
145 d de l’esprit et des formes, des souvenirs et des horizons , du désir et de ses chemins. Survolant en quelques minutes tant de de
86 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
146 espèce d’impureté sentimentale mais aussi de tout horizon spirituel réduit le roman aux dimensions d’un tableau de mœurs à la H
147 vre, en partie posthume, ne cessera de monter à l’ horizon mondial de la littérature européenne. Le comique dévastant, la lucidi
87 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
148 e mer sans limites ; l’océan s’y déploie vers des horizons sans fin. Nul n’a jamais pénétré dans ces eaux inconnues. Nul n’a dir
88 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
149 ncendier le monde, mais briller de sa place sur l’ horizon des peuples pour les devancer et les guider à la fois… La raison, ray
89 1961, Arts, articles (1952-1965). L’Amour en cause (1er février 1961)
150 ec l’instinct ou avec « l’éternelle luxure » sans horizon que la pensée des spirituels se trouve aux prises et peut entrer en p
90 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
151 sa force naturelle, saine et créatrice ; seul un horizon constellé de mythes parachève l’unité d’une époque de culture. Le seu
91 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
152 r des hommes et de leur peine quotidienne, mais l’ horizon du nouveau Jour qui révélera le sens caché de nos « apparences actuel
153 « apparences actuelles », le jour de l’Ange. Cet horizon de la mort est l’ultime sens du mythe. Mais il faut croire aux anges
92 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
154 ère-plan mystique, presque bouddhiste, et par cet horizon de délivrance que dénude la chute assourdie de la strophe. Le monde h
93 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
155 ec l’instinct ou avec « l’éternelle luxure » sans horizon , que la pensée des spirituels se trouve aux prises et peut entrer en
94 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
156 spèce d’impureté sentimentale, mais aussi de tout horizon spirituel, réduit le roman aux dimensions d’un tableau de mœurs à la
157 vre, en partie posthume, ne cessera de monter à l’ horizon de la littérature européenne. Le comique dévastant, la lucidité calme
95 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
158 sa force naturelle, saine et créatrice ; seul un horizon constellé de mythes parachève l’unité d’une époque de culture. Le seu
96 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Post-scriptum
159 de technique érotique, tandis que je montrais son horizon mystique ; et certes l’un n’exclut pas l’autre, le suppose même, enco
97 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
160 e mer sans limites ; l’océan s’y déploie vers des horizons sans fin. Nul n’a jamais pénétré dans ces eaux inconnues. Nul n’y a d
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
161 voir envie de prendre la poste, sans entrevoir un horizon plein de douces promesses : les Délices. Les Délices de l’Italie ; Le
99 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
162 ards et le commencement de la sécurité. Un nouvel horizon , de nouveaux travaux allaient se dérouler, tous pleins du bien-être e
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
163 cendier le monde, c’est briller de sa place sur l’ horizon des peuples pour les devancer et les guider à la fois. Dans le même