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éveloppement actuel du machinisme. C’est dans cet
humus
de doctrines périmées que plongent « les racines du malheur », c’est
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s unes ne laissent qu’à peine leur poids minime d’
humus
, les autres donnent un nouvel arbre. Notre État fédéral mourra, certe
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is aussi parce qu’on sait que pour reconstituer l’
humus
détruit en quelques heures par les traxs ou recouvert par la marée mo
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gnes (18 % de la Hollande déjà) et c’est autant d’
humus
perdu en quelques semaines pour des centaines de milliers d’années. E
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a pollution de l’air, des eaux, des plantes, de l’
humus
et des océans, par les effets combinés d’une industrie brutale, promé
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iques : bois par tôle ou ciment, coton par nylon,
humus
par béton, organes par artefacts, tissus par plastique, etc. — dans l
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a pollution de l’air, des eaux, des plantes, de l’
humus
et des mers, par les effets combinés de l’industrie, de la population
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des autoroutes multipliées, lesquelles tueront l’
humus
, et la paix des campagnes, etc. ? Comment prévoir les deux guerres mo
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s autoroutes, le bétonnage universel détruisant l’
humus
pour des siècles ; la production de plastique indestructible et de pl
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rémédiable — l’homme ne pourra jamais récupérer l’
humus
perdu, ni faire refluer la marée des écrasantes coulées de béton soli
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travaux potentiellement destructeurs de forêts, d’
humus
et de paysages ; implantation d’usines ; monocultures. Le traitement
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is aussi parce qu’on sait que pour reconstituer l’
humus
détruit en quelques heures par les travaux ou recouvert par la marée
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écologie, étude de l’atmosphère, des forêts, de l’
humus
. 13. Agriculture, agro-industries. 14. Urbanisme, architecture, jardi
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ène, entre transports routiers et protection de l’
humus
, entre respect de la Vie et dogme du Profit, entre banalité vendable
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uves), des forêts (détruites à 40 %) et des sols (
humus
). Tout cela, par l’exploitation anarchique, « sauvage » d’innovations
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ologique ; — quant à la protection des sols, de l’
humus
, des forêts, des eaux et de l’air ; — quant aux transports publics ;
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ces par la technique qui fait que nous oublions l’
humus
, qui est la base de tout, comme vient de nous le rappeler M. Birre. À
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vant, des cellules, de ce qui part d’en bas, de l’
humus
. J’ai toujours insisté sur cette puissance de la germination, qui peu
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ols ; et puis ce qui vient d’en bas, du sol, de l’
humus
, et qui monte vers les communes, les communautés, les régions et l’Eu
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ont détruit souvent leur relief, et toujours leur
humus
. Elles sont donc dans l’utopie. Il faut fonder des régions sur la réa
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serait plutôt l’écorégion définie par un certain
humus
ou une certaine variété d’humus qui vont ensemble. C’est peut-être un
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ie par un certain humus ou une certaine variété d’
humus
qui vont ensemble. C’est peut-être une troisième direction dans laque
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et au Canada. Le problème de la destruction de l’
humus
: régional d’abord, mais bientôt mondial. Le problème des mers, des o
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être ruiné : l’économie. Il faut la fonder sur l’
humus
, l’humus de l’histoire, au sens symboliquement élargi du terme. On m
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né : l’économie. Il faut la fonder sur l’humus, l’
humus
de l’histoire, au sens symboliquement élargi du terme. On m’a demand
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André Birre, avec ce qu’ils nous ont appris sur l’
humus
, qui donne vraiment et symboliquement une base à tout cela. « Partir
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conférence mondiale dont les thèmes seraient : l’
humus
, la protection des océans, le plancton, les forêts, l’air, la couche