1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
1 ieux avec orgueil, et finit par succomber à son «  hybris  » : il se jette dans l’Etna pour mieux communier avec la divine Natur
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
2 nt souvent les plus hérétiques, celles aussi où l’ hybris spirituelle se pare le mieux d’humilité dévote. Ceci marqué, qui est
3 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
3 t, dans le pire désespoir, jamais de défi, ni d’«  hybris  ». Pureté du chrétien, non du surhomme. Quant au « sérieux » de Kierk
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
4 loi de la vie, et contraint à la dépasser dans un hybris libérateur, au-delà du seuil mortel de la dualité, de la distinction
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
5 loi de la vie, et contraint à la dépasser dans un hybris libérateur, au-delà du seuil mortel de la dualité, de la distinction
6 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
6 ant, dans le pire désespoir, jamais de défi, ni d’ hybris . Pureté du chrétien, non du surhomme. 2.« La pureté du cœur, c’est
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
7 us tourner vers d’autres buts, sans verser dans l’ hybris ou la démence ? Je souhaite qu’un Oriental, répondant à ce livre, nou