1 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
1 inon par l’attaque ? Sinon par l’affirmation de l’ identité nécessaire de la pensée et de l’action ; sinon par l’effort d’instaur
2 une économie générale de la vie impliquant cette identité et fondant sur elle ses valeurs les plus hautes et les plus quotidien
2 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
3 Ne pourrait-on pas voir une autre preuve de cette identité formelle dans l’observation suivante : au sortir de l’adolescence, l’
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
4 Ne pourrait-on pas voir une autre preuve de cette identité formelle dans l’observation suivante : au sortir de l’adolescence, l’
4 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
5 t romain. Nous voudrions montrer ici d’une part l’ identité de la personne, telle qu’on peut l’opposer à cet individu, et du proc
5 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
6 arl Marx en son temps. J’ai souligné d’ailleurs l’ identité , à vrai dire surprenante, des thèses politiques de Proudhon, et de ce
6 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
7 Karl Marx en son temps. J’ai souligné ailleurs l’ identité , à vrai dire surprenante, des thèses politiques de Proudhon et des th
7 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
8 le concept d’existentiel, Nicodème soutenait leur identité et alla même jusqu’à citer certaines paroles de Kierkegaard à l’appui
8 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
9 me d’un peuple, et l’authentique raison d’être, l’ identité d’une personne en communion, je vois, j’apprends, j’entends la voix d
9 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
10 et-vient du « donné » à l’abstrait. (Conflit de l’ identité et de la réalité, voir Meyerson). Il n’y a de paradoxe épistémologiqu
11 . Entre les deux pôles de la tension, il n’y a ni identité , ni égalité, justement parce que l’un d’entre eux attache l’homme aux
10 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
12 s pères, les hommes leur sexe, les personnes leur identité . Comment imaginer la naissance, d’une grande œuvre romanesque dans un
11 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
13 onscience personnelle et de toute responsabilité, identité , ou vocation distincte. Dans la mesure où cet effort est réel et abou
12 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
14 mmunisme ? Où le prendre ? En quoi peut résider l’ identité d’une doctrine qui prétend justifier théoriquement, à quelques années
15 s eux-mêmes !) Si maintenant j’essaie de saisir l’ identité foncière et la continuité de l’attitude communiste, au travers des co
13 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
16 intérêt privé ». Ce parallélisme, ou plutôt cette identité d’attitude ne concerne pas seulement la politique : dans l’un et l’au
17 efuser de réfléchir sur ces deux textes, sur leur identité vertigineuse, c’est se mettre hors d’état de rien comprendre à ce qu’
14 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
18 r s’il l’admettait, il serait contraint de voir l’ identité des actes qu’il reproche à Hitler, et des actes qu’il loue chez Stali
15 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
19 ue nous décrivions jusqu’ici devient une profonde identité . L’intervention de la catégorie « passivité » nous fait comprendre la
20 rt des romantiques d’être mal assuré de sa propre identité , et d’avoir à la rechercher précisément dans le passé. Moritz décrit
16 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
21 u’on ignore à peu près tout de la vie, voire de l’ identité de Shakespeare, il est vain de se demander s’il connaissait la tradit
17 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
22 dieusement. ⁂ Les Goncourt ont très bien senti l’ identité foncière des phénomènes de la guerre et de l’amour au xviiie . Voici
18 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
23 u’on ignore à peu près tout de la vie, voire de l’ identité de Shakespeare, il est vain de se demander s’il connaissait la tradit
19 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
24 ieusement. » ⁂ Les Goncourt ont très bien senti l’ identité foncière des phénomènes de la guerre et de l’amour au xviiie . Voici
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
25 u’on ignore à peu près tout de la vie, voire de l’ identité de Shakespeare, il est vain de se demander s’il connaissait la tradit
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
26 ieusement. » ⁂ Les Goncourt ont très bien senti l’ identité foncière des phénomènes de la guerre et de l’amour au xviiie . Voici
22 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
27 aient chaque fois un peu plus incertain quant à l’ identité que je venais d’établir. De l’un à l’autre de ces questionnaires, un
23 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
28 aient chaque fois un peu plus incertain quant à l’ identité que je venais d’établir. De l’un à l’autre de ces questionnaires, un
24 1944, Les Personnes du drame. Introduction
29 actes, que si nous étions assurés d’une parfaite identité entre les gestes de l’individu et les appels de sa vocation (encore f
30 ner, ne pouvaient croire et contempler, c’était l’ identité parfaite de Jésus-Christ, en une Personne. À tout jamais, pour l’homm
31 raison, ce trait d’union reste impensable, cette identité scandaleuse. Folie pour les Grecs, dit saint Paul, et scandale pour l
32 vilège particulier, mais ils ont témoigné de leur identité par certains documents précis, dont le charme et l’audace me guident 
33 nt, l’orientation secrète, la cohérence intime, l’ identité dans les contradictions qui trahit l’existence de la personne. ⁂ Il m
25 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
34 ume d’un peuple et l’authentique raison d’être, l’ identité d’une personne. Je vois, j’apprends, j’entends la voix d’un homme. N’
26 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
35 ue nous décrivions jusqu’ici devient une profonde identité . L’intervention de la catégorie « passivité » nous fait comprendre la
36 rt des romantiques d’être mal assuré de sa propre identité , et d’avoir à la rechercher précisément dans le passé. Moritz décrit
27 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
37 ant qu’on lui demande à chaque pas de prouver son identité . Or plus il en proteste et moins il s’en assure. Plus il la chiffre e
28 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
38 ainsi à quelque degré des modifications de notre identité , des aliénations de nous-mêmes. À la limite, ils sont autant d’usurpa
29 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
39 ant qu’on lui demande à chaque pas de prouver son identité . Or plus il en proteste et moins il s’en assure. Plus il la chiffre e
30 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
40 t achever la ressemblance et la pousser jusqu’à l’ identité . 9. Quartier du bas de la ville où habitent beaucoup d’écrivains et
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
41 Ne pourrait-on pas voir une autre preuve de cette identité formelle dans l’observation suivante : au sortir de l’adolescence, l’
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
42 rit en quelque sorte, mais en quête de sa secrète identité , et d’abord de son style de vie ; l’inventant par la quête elle-même…
43 inon par l’attaque ? Sinon par l’affirmation de l’ identité nécessaire de la pensée et de l’action ; sinon par l’effort d’instaur
44 une économie générale de la vie impliquant cette identité et fondant sur elle ses valeurs les plus hautes et les plus quotidien
45 e j’interprète dans le sens d’une spoliation de l’ identité profonde d’un homme, appelant une réponse personnaliste précisément,
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
46 intérêt privé ». Ce parallélisme, ou plutôt cette identité d’attitude ne concerne pas seulement la politique : dans l’un et l’au
47 efuser de réfléchir sur ces deux textes, sur leur identité vertigineuse, c’est se mettre hors d’état de rien comprendre à ce qu’
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
48 ant qu’on lui demande à chaque pas de prouver son identité . Or plus il en proteste et moins il s’en assure. Plus il la chiffre e
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
49 t achever la ressemblance et la pousser jusqu’à l’ identité . 90. Quartier du bas de la ville où habitent beaucoup d’écrivains et
36 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
50 ainsi à quelque degré des modifications de notre identité , des aliénations de nous-mêmes. À la limite, ils sont autant d’usurpa
37 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
51 t élaboré, se développera dans un ensemble où son identité formelle se perdra, certes, mais pour revivre magnifiée aux dimension
38 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
52 rait de le dénaturer, il résiste en collant à son identité , qui est celle d’un ordre et non pas d’un ego, d’un être différent qu
39 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
53 ivité frustrée, et surtout angoisse de perdre son identité . Elle a donc pris les caractères cliniques d’un complexe. D’où la dif
54 e si les nations qui la composent conservent leur identité . M. van Kleffens approuve les remarques du professeur Toynbee sur le
40 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
55 ivité frustrée, et surtout angoisse de perdre son identité . Elle a donc pris les caractères cliniques d’un complexe. D’où la dif
41 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
56 ivité frustrée, et surtout angoisse de perdre son identité . Elle a donc pris les caractères cliniques d’un complexe. D’où la dif
57 sion qui l’angoisse et où il craint de perdre son identité . Le fédéraliste au contraire y voit une possibilité d’enrichissement
42 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
58 — qui est contestée au xxe siècle, mais déjà son identité , le droit de chaque homme à son âme, l’habeas animam comme l’a dit Ig
43 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
59 Ou bien l’on pose, comme les sagesses d’Orient, l’ identité des contraires apparents : tout est dans tout, bien sûr, mais la scie
44 1956, Articles divers (1951-1956). Un exemple pour l’Europe (octobre 1956)
60 ivité frustrée, et surtout angoisse de perdre son identité . Elle a donc pris les caractères cliniques d’un complexe. D’où la dif
45 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
61 ar devait en retrouver des traces en Gaule. Cette identité primitive, peut-être, cette parenté certaine au départ, ne rendent qu
62 ans mesure, sans limites, sans distance, dans une identité inexprimable, au sein de laquelle nos conceptions de liberté, action,
63 ligieuse orientale. Car il est bien certain que l’ identité qu’elle pose évacue l’existence personnelle, et que la négation de la
46 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
64 ar devait en retrouver des traces en Gaule. Cette identité primitive, peut-être, cette parenté certaine au départ, ne rendent qu
65 ans mesure, sans limites, sans distance, dans une identité inexprimable, au sein de laquelle nos conceptions de liberté, d’actio
66 ligieuse orientale. Car il est bien certain que l’ identité qu’elle pose évacue l’existence personnelle, et que la négation de la
47 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
67 Ou bien l’on pose, comme les sagesses d’Orient, l’ identité des contraires apparents : tout est dans tout, bien sûr, mais la scie
48 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
68 le siècle qui vient retire à l’homme son droit d’ identité native, le sujet même de tous nos drames s’évanouira. Nos descendants
49 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
69 ord par une langue ; et que, d’autre part, il y a identité entre langue et culture. Il suffit de répondre, sur ce point, par que
50 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
70 sage de l’âme, ou d’une femme ?) se fond dans une identité lyrique : Au fait, qu’était-elle donc pour lui ? Oh ! à cette questi
71 stence. Dès cet instant, dès cet aveu, dès que l’ identité de Lara et de la Russie est expressément déclarée, tout s’éclaire de
51 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
72 ent qu’il veut aller en France. Interrogé sur son identité , ses qualités, Joseph se contente de montrer du doigt le nom inscrit
52 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
73 sage de l’âme, ou d’une femme ?) se fond dans une identité lyrique : Au fait, qu’était-elle donc pour lui ? Oh ! à cette questi
74 stence. Dès cet instant, dès cet aveu, dès que l’ identité de Lara et de la Russie est expressément déclarée, tout s’éclaire de
53 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
75 on idéal, son rêve le plus délectable, est unité, identité , uniformité, concentration ; il maudit, comme attentatoire à sa Majes
54 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
76 l’ont précédé, l’Europe a réussi à préserver une identité continue et bien distincte, une sorte de personnalité historique. Con
55 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
77 olutionnaire à tous risques, un certain sens de l’ identité dans le changement, voilà peut-être le secret dernier que détient l’E
56 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
78 séparent les deux confessions ; il verra mieux l’ identité réelleat entre les paroles prononcées dans les diverses Églises ; il
79 différence qu’il y a » pour le remplacer par « l’ identité réelle ». au. L’auteur a barré « enfin » (« enfin, il sera mis en me
57 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
80 mmunisme ? Où le prendre ? En quoi peut résider l’ identité d’une doctrine qui prétend justifier théoriquement, à quelques années
81 s eux-mêmes !) Si maintenant j’essaie de saisir l’ identité foncière et la continuité de l’attitude communiste, au travers des co
58 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
82 arent, mais sans confusion et sans nivellement. L’ identité d’un peuple ou d’une communauté ne sera plus définie par des arpenteu
59 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
83 l y a ceux qui ne laissent rien paraître que leur identité native et naturelle. Ce n’est pas se dissimuler, en vérité : simpleme
60 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
84 l y a ceux qui ne laissent rien paraître que leur identité native et naturelle. Ce n’est pas se dissimuler, en vérité : simpleme
61 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
85 arent, mais sans confusion et sans nivellement. L’ identité d’un peuple ou d’une communauté ne sera plus définie par des arpenteu
62 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
86 nter l’autoroute, il me faut présenter ma carte d’ identité au douanier ! L’Europe des politiciens n’est pas encore celle des int
63 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
87 e « la fin de la Confédération », la perte de son identité et de sa vocation, car ces deux choses existent à un autre niveau, du
64 1969, Articles divers (1963-1969). Le personnalisme, la contestation, les hippies et… le fédéralisme (27 septembre 1969)
88 iciper. C’était la réponse à « la spoliation de l’ identité profonde de l’homme ». Il publiera d’ailleurs un ouvrage d’une import
65 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Naissance d’une Fondation
89 — qui est contestée au xxe siècle, mais déjà son identité , le droit de chaque homme à son âme, l’habeas animam, comme l’a dit I
66 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
90 ivité frustrée, et surtout angoisse de perdre son identité . Elle a donc pris les caractères cliniques d’un complexe. D’où la dif
67 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
91 Mais que penser de quelqu’un qui ne conçoit pas l’ identité Maria-Sophia dans la psychologie religieuse219 parce que, dit-elle, l
92 charmants ? » (Vita.) — le doute sur la véritable identité ou essence de la Dame : « Est-elle Dieu ou créature humaine, femme o
68 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
93 nie ou non va dépendre tout le reste et d’abord l’ identité européenne. I. L’Europe divisée Dans le premier terme de notre a
94 Options relatives aux libertés de la personne. L’ identité et l’autonomie de la personne sont en butte à des menaces de tous ord
69 1973, Articles divers (1970-1973). L’Europe, c’est d’abord une culture (juillet-août 1973)
95 es, compagnonnages, sectes et groupuscules dont l’ identité ne coïncide avec aucune frontière et ne s’incline devant aucune major
70 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Après le xiie siècle : vers une littérature distincte du social
96 lque chose qui n’est qu’une illusion d’ipséité, d’ identité . Personne ne répond plus. Comme dans le bouddhisme. Dans leur ensembl
71 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
97 lu mille ans d’efforts en France pour créer notre identité nationale, notre existence nationale ». (C’est dire quelle résistance
72 1974, Articles divers (1974-1977). L’Europe des régions (juin-juillet 1974)
98 la vie où l’homme est une pure et simple carte d’ identité , un producteur-consommateur docile, et qui n’existe pour l’État que s
73 1974, Articles divers (1974-1977). La personne comme fondement des valeurs européennes (19 septembre 1974)
99 nctions ? Les Grecs avaient constitué la notion d’ identité individuelle qu’ils exprimaient par le terme de face, ou de visage, m
100 gnifiait la « mort de l’homme », et donc de toute identité , de toute personne. Or, ce n’est là qu’une métaphore. Ce qui peut pro
74 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
101 nctions ? Les Grecs avaient constitué la notion d’ identité individuelle qu’ils exprimaient par le terme de face, ou de visage, m
102 gnifiait la « mort de l’homme », et donc de toute identité , de toute personne. Or, ce n’est là qu’une métaphore. Ce qui peut pro
75 1974, Articles divers (1974-1977). Un modèle pour l’Europe ? (1974)
103 été le principe de leur union, la formule de leur identité , la condition de leurs libertés. S’unir entre groupes autonomes à seu
76 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
104 — qui est contestée au xxe siècle, mais déjà son identité , le droit de chaque homme à son âme, l’habeas animam, comme l’a dit I
77 1976, Articles divers (1974-1977). Histoire et prospective de l’identité européenne (1976)
105 Histoire et prospective de l’ identité européenne (1976)s Dans le champ des études européennes, quelle es
106 ous la question préalable, et plus sérieuse, de l’ identité de l’Europe et de ce qui motive son étude aujourd’hui. Tout le reste
107 vant sa culture, qui est, à mes yeux, sa profonde identité . Cette culture a produit — comme déchets, selon Spengler — la civilis
108 els européens. s. « Histoire et prospective de l’ identité européenne », Institut universitaire d’études européennes. But – Acti
78 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
109 ncompatible avec leurs différences libérées, leur identité retrouvée. Le seul moyen de les inciter à éviter nos maux, au lieu de
110 chances de paix, d’autonomie, et de survie de son identité , de son génie.   — Comment alors, évaluez-vous les chances de votre p
79 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
111 nir. Elle va constituer en quelques décennies son identité culturelle, spirituelle, et même économique. Certes, les trois réform
80 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
112 me si elles étaient le bord incontestable de leur identité . Or qu’est-ce qu’une frontière ? C’est, généralement, le résultat d’u
113 n n’aime pas Iseut. Il aime l’amour dans lequel l’ identité d’Iseut s’anéantit et disparaît. Tristan pénètre dans cet état passio
81 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
114 le de durer mais aussi de changer sans perdre son identité profonde — tel est l’homme personnel dans sa vitalité. Il trouve sa r
115 ants. Tout son effort vise à supprimer l’homme, l’ identité du sujet homme, la personne, et à faire rentrer « ça » dans la nature
82 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
116 assait l’uniforme aux élèves et voulait obtenir l’ identité des réflexes de tous au même top, en ordonnant dans toute la France l
83 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
117 ueur de la Règle a pour fonction de sauvegarder l’ identité de la vocation personnelle et d’empêcher que la promiscuité lui fasse
118 mais elles répondent moins encore au besoin d’une identité qui s’achève et s’intègre dans l’action. Elles nous laissent béants d
84 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
119 et politiques et tous les autres caractères de l’ identité de ces peuples. Et sans doute aura-t-il raison, à toutes fins politiq
85 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
120 ncompatible avec leurs différences libérées, leur identité retrouvée. Le seul moyen de les inciter à éviter nos maux au lieu de
121 chances de paix, d’autonomie, et de survie de son identité , de son génie.   — Comment alors, évaluez-vous les chances de votre p
86 1978, Articles divers (1978-1981). Dialogue-interview avec Denis de Rougemont (novembre 1978)
122 istique dans le monde soit assurée du droit à son identité , du droit de parler — et donc d’abord du droit d’apprendre sa langue
87 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
123 utes ses nationalités, au mépris déclaré de leurs identités . Les héritiers de cette France jacobine ne conçoivent pas que l’Europ
88 1979, Articles divers (1978-1981). Quand la Perse renverse l’Iran (21 février 1979)
124 en Grèce occupée par les Turcs : mainteneur de l’ identité nationale. Ici, le rôle des Turcs est tenu par les industriels occide
89 1979, Réforme, articles (1946–1980). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (19 mai 1979)
125 n aux solutions écologiques et régionales. D’où l’ identité d’intérêts politiques entre régionalistes et écologistes, mais aussi
90 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
126 urope selon leurs préférences du moment. I. Les identités nationales On lit dans Le Monde du 6 février 1979, signées par le
127 prend que celles-ci soient moins attachées à leur identité que nous ne le sommes. Un sondage publié par la CEE de Bruxelles fin
128 les deux étant îles de surcroît), de « perdre son identité dans une union européenne ». L’argument ne vaut strictement rien, ne
129 s égard pour leurs intérêts propres ni pour leurs identités culturelles, coutumières et linguistiques. En France, le général de G
91 1979, Cadmos, articles (1978–1986). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (printemps 1979)
130 n aux solutions écologiques et régionales, d’où l’ identité d’intérêts politiques entre régionalistes et écologistes, mais aussi
92 1979, Articles divers (1978-1981). Formule d’une Europe parallèle ou rêverie d’un fédéraliste libertaire (1979)
131 ces régions prennent conscience à la fois de leur identité particulière, et de leur problématique commune. Elles demandent à s’a
93 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
132 tat national plus vaste qui tend à supprimer leur identité et à éliminer par tous les moyens leurs caractéristiques culturelles,
133 eau européen, le respect des indépendances et des identités —  celles-là mêmes qu’ils ont vilipendées chez eux au niveau national
94 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Annexes
134 11 % ; — sans réponse, on passe de 23 à 19 %. Identité  :rester soi-même Dans la CEE, votre pays risque-t-il de perdre sa
135 s égard pour leurs intérêts propres ni pour leurs identités culturelles, coutumières et linguistiques. En France, le général de G
95 1980, Articles divers (1978-1981). Lew Kowarski et la responsabilité sociale du scientifique (1980)
136 ; le mouvement général vers la reconnaissance des identités régionales, ethniques, minoritaires de tous ordres et vers une nouvel
96 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
137 int de départ de cette longue interrogation sur l’ identité européenne que j’ai menée dans beaucoup d’ouvrages, et qui m’a condui
97 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
138 nt a toujours milité pour que l’Europe trouve son identité à travers les petites communautés et les régions. Depuis 1947 il habi
98 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
139 endrai, de pays dont la culture se confond avec l’ identité nationale. Et plus tard, il faut sauter jusqu’au xiiie siècle pour v
140 et Molnar, il y a là un cas unique où culture et identité nationales ne font qu’un. Cela peut tenir aux origines asiatiques du
99 1983, Articles divers (1982-1985). La Suisse et quelle Europe ? (1983)
141 nion autre que fédérative est incompatible avec l’ identité suisse. La question concrète est donc celle de savoir — à quel type
142 indre ? — et cela non seulement sans y perdre son identité , mais au contraire, en y trouvant la garantie renouvelée que cette id
143 e, en y trouvant la garantie renouvelée que cette identité , de la même façon que nos vingt-trois cantons trouvent dans l’article
144 ers types par rapport à leur compatibilité avec l’ identité suisse. 3. Europe de Bruxelles, de Strasbourg ou super-État europé
145 us avons à déterminer les conditions posées par l’ identité suisse à toute participation active à une Europe unie. Ou encore : au
146 condition qu’elle reste suisse, qu’elle garde son identité de fédération fondée sur l’autonomie des communautés de base, commune
100 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Chronique européenne : La préparation des élections européennes (printemps 1984)
147 ats, la solidarité, l’affirmation d’une volonté d’ identité  » (Le Monde, 17 mai). Mais pour peu que Lionel Jospin ironise sur la
148 a communauté de leurs vues sur l’Europe et même l’ identité de leurs propositions ; c’est leur opposition, déclarée dans les même
149 l’environnement communautaire ; — la défense des identités et des patrimoines culturels ; — la possibilité pour chacun de « vivr