1
tes les simplifications, qu’on les appelle ou non
idées
générales, et j’avoue bien volontiers qu’il n’est pas une opinion sur
2
eigné le sport et les anciens. J’admets que ses «
idées
générales » ne vaillent rien2 ; sa morale virile nous est néanmoins p
3
’ingénieuses métaphores quiconque chercherait une
idée
là-dessous, — ne réussit pas toujours chez Breton à masquer la banali
4
se perdra ici dans un ensemble kaléidoscopique d’
idées
et de jugements contradictoires, et de termes dont le sens change ave
5
ui composent l’Almanach Fischer donnent une juste
idée
de ce que fut la littérature d’avant-garde entre 1900 et 1910. Depuis
6
dernier roman sans exposer et discuter toutes les
idées
qu’elles illustrent. Les personnages discutent certes, mais leurs act
7
vaudois la substance originale de la plupart des
idées
dont lui-même s’est fait le moderne champion. Pour ce qui concerne le
8
ue le revers de grandes qualités de réalisation d’
idées
en faits ou en situations dramatiques. Je donnerai tous les essais de
9
plaît à répéter que nous vivons dans le chaos des
idées
et des doctrines, et qu’il n’existe pas d’esprit du siècle, hors un c
10
essionnant de vigueur dialectique et de largeur d’
idées
. Une soirée consacrée à la fédération vint interrompre les discussion
11
econnaissons à la base de cette œuvre inégale des
idées
vieilles comme Rousseau sur les droits de la passion, — et dans sa tr
12
aux calculs les plus rusés. Nous choisissons les
idées
comme on choisit un amour dont on est anxieux de prévoir l’influence,
13
tanée. Et spontanément je suis porté à écrire des
idées
qui m’aideront. Une fois écrites elles prennent un caractère de certi
14
e trouve assez peu humain et comme obsédé par une
idée
de violence tonique certes, mais décidément un peu pauvre pour fonder
15
as à ce qui est triste ou ennuyeux, que ce soit l’
idée
de la mort ou les soucis politiques, sociaux, etc., et il ne met de l
16
ression trop technique ou obscure, une richesse d’
idées
neuves et fortes, mais péniblement comprimées. Ce défaut de forme est
17
à M. Fernandez un certain recul par rapport à ses
idées
, on le sent un peu gauche encore dans les positions conquises. Il n’e
18
e 1926)y L’auteur veut amuser en nous quelques
idées
graves en leur présentant les miroirs de personnages cocasses à souha
19
urope « une barbarie attentivement ordonnée, où l’
idée
de la civilisation et celle de l’ordre sont chaque jour confondues ».
20
vais écrire ce que je trouve en moi (sentiments,
idées
, souvenirs, désirs, élans, hésitations, obscurités, etc.). Supposons
21
en dehors du corps. Et ce ne sont point là jeux d’
idées
et jongleries verbales. Regards au-dessus de l’amour ! Voir l’heure à
22
enseur descendant… Il aurait fallu monter, mais l’
idée
de vous trouver peut-être assise en face de votre bel ami laqué, sour
23
où tout ça semble idiot. Il y a des soirs où une
idée
de la responsabilité s’empare de nous. Et nous calculons qu’il s’agit
24
lieu de ce paludesque et stérile consistoire, une
idée
de génie vint s’asseoir certaine nuit. Elle parla par la bouche de Lu
25
ceux pour qui la peinture consiste à habiller une
idée
. Voyez son portrait de Meili : il ne prend pas le sujet par l’intérie
26
Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les
idées
(mai 1927)al « De quoi s’agit-il ? de détruire ou de rafistoler ?
27
l. « Pierre Drieu la Rochelle : La Suite dans les
idées
(Au Sans Pareil) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genè
28
iverti. J’étais bon, Monsieur, normalement bon. L’
idée
, par exemple, d’étrangler un chat pour le plaisir me répugnait. Je dé
29
de page indique : « La rédaction rappelle que les
idées
émises dans la Revue de Belles-Lettres sont propres à leur auteur et
30
et les curés, c’est qu’il se fait une très haute
idée
de la religion. Ainsi, de la littérature : votre mépris pour ses réal
31
jour te désirer, te haïr… 9. Calembour sur une
idée
juste. (Note de l’éd.) k. « Dés ou la clef des champs », Neuchâtel 1
32
omprendra sans peine la popularité mondiale des «
idées
» d’Henry Ford et des livres qui les répandent. L’on ne pourra qu’y a
33
puisse poser à notre temps. II. M. Ford a ses
idées
, ou la philosophie de ceux qui n’en veulent pas Nous avons dit tou
34
— soit conditionnée jusque dans le détail par une
idée
fixe primitive. Considérons-la sous cet angle. Il y a d’abord la visi
35
ir de son effort. Pour mon compte, je crois que l’
idée
fixe de produire peut très bien envahir un cerveau moderne au point d
36
i à cœur, aujourd’hui, c’est de démontrer que les
idées
mises en pratique chez nous ne concernent pas particulièrement les au
37
e nœud vital du problème moderne. D’ailleurs, les
idées
générales de cette sorte sont rares dans son livre. En général, il se
38
r. Je le veux. Mais si j’insiste un peu sur ses «
idées
», c’est pour souligner ce hiatus étrange : l’homme qu’on pourrait ap
39
nt aller ainsi longtemps encore. On se refuse à l’
idée
d’une catastrophe, pourtant plus que probable, par crainte de se voir
40
issait cette Vienne tout occupée à ressembler à l’
idée
qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée au
41
e nos actes. Donc, n’ayant pas renoncé à certaine
idée
que j’avais d’un romantisme viennois, je fus conduit, par une sorte d
42
s. Livrons-nous plutôt à une petite malice dont l’
idée
me vient à la vue de cette vendeuse de fleurs. C’était la petite boss
43
onde du Pacifique. On retrouvera ici beaucoup des
idées
que la Tentation de l’Occident exprimait sous une forme abstraite et
44
st aussi, mais à coups de faits, une discussion d’
idées
. Il est surtout la description d’une angoisse que le nihilisme de M.
45
e en demeure. Je suis loin de partager toutes les
idées
de M. Benda, sur le plan philosophique en particulier, où je me sens
46
server que la « fin de l’éternel », la chute de l’
idée
dans la matière, est un phénomène exactement aussi vieux que le monde
47
que lui ne s’entend définir et classer choses et
idées
en catégories « rationnelles », c’est-à-dire fausses mais claires, qu
48
dans le monde moderne : individu qui soutient des
idées
qui ne rapportent rien. En effet, je ne représente aucun parti, aucun
49
ur scepticisme quant à la valeur réformatrice des
idées
, m’accuser de faire une critique dangereuse. 3° que néanmoins je croi
50
e fallut un certain temps pour m’habituer à cette
idée
. Je tenais cette clef et n’osais m’en servir craignant peut-être des
51
cerveau. Il joue de quelque instrument. Il a des
idées
modernes sur tous les sujets, espécialement sur la pédagogie. Ce mot
52
res et des idéologies enivrées. D’ailleurs, cette
idée
que j’ai l’honneur de partager avec mes adversaires se trouve corresp
53
qui font confiance à leur sensibilité plus qu’aux
idées
des autres. Or, c’est une révolte de ma sensibilité qui me dresse con
54
cratique, hé ! hé !… et d’ailleurs vous aimez les
idées
généreuses, n’est-ce pas ? J’en étais sûr. Cependant j’ai peur que mo
55
tellectuels sont convertis depuis longtemps à ces
idées
antidémocratiques : il est temps qu’elles débordent ce cercle étroit
56
paroisse, etc. » — Il semble qu’en attaquant ses
idées
et leurs réalisations ont ait porté atteinte à la dignité morale de c
57
dans le monde moderne : individu qui soutient des
idées
qui ne rapportent rien. En effet, je ne représente aucun parti, aucun
58
ur scepticisme quant à la valeur réformatrice des
idées
, m’accuser de faire une critique dangereuse ; 3° que néanmoins je cro
59
e fallut un certain temps pour m’habituer à cette
idée
. Je tenais cette clef et n’osais m’en servir craignant peut-être des
60
res et des idéologies enivrées. D’ailleurs, cette
idée
que j’ai l’honneur de partager avec mes adversaires se trouve corresp
61
qui font confiance à leur sensibilité plus qu’aux
idées
des autres. Or, c’est une révolte de ma sensibilité qui me dresse con
62
ratique, hé ! hé !… et d’ailleurs, vous aimez les
idées
généreuses, n’est-ce pas ? J’en étais sûr. Cependant j’ai peur que mo
63
lectuels se sont convertis depuis longtemps à ces
idées
antidémocratiques : il est temps qu’elles débordent ce cercle étroit
64
a paroisse, et… » — Il semble qu’en attaquant ses
idées
et leurs réalisations on ait porté atteinte à la dignité morale de ce
65
qui ont, sur un tas de sujets pas importants, des
idées
« pertinentes », comme dit M. Charly Clerc ; des révolutionnaires san
66
hes dans une mosquée vide que personne n’a plus l’
idée
de visiter. » Mais comment ne pas voir qu’un lieu qui porte un nom pa
67
uite magique. Or il est délicieux de réaliser une
idée
fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais d
68
ffeurs vautrés, la casquette de travers sur leurs
idées
sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les villes, conduisent dan
69
e individualité morale qui n’est sans doute que l’
idée
la plus forte que M. Malraux se fait de lui-même. Je suis tenté de di
70
Quand nos écrivains, lassés de la circulation des
idées
citadines, éprouveront le besoin de créer véritablement quelques vale
71
it étroit, et qui défend avec violence contre les
idées
subversives de son fils un ordre social dont l’avantage évident est d
72
que je m’intéresse, mais au conflit de certaines
idées
, dont mon âme n’est que le théâtre, et où je fais fonction moins d’ac
73
ée.) Penser n’est pas non plus s’ingénier sur des
idées
et des combinaisons d’idées mais créer de tout son être spirituel des
74
us s’ingénier sur des idées et des combinaisons d’
idées
mais créer de tout son être spirituel des faits nouveaux et vrais, da
75
, mais confiante dans la grâce, cède le champ aux
idées
de Rousseau, optimistes quant à l’homme et pratiquement athées. Voici
76
nsé. N’ont fait que de la classification avec les
idées
des autres, quand ils étaient intelligents ; et autrement, du journal
77
ra de favoriser sa mise en circulation. Jeter une
idée
« nouvelle » dans la circulation — rêve du sociologue — consiste, en
78
l’Histoire. Mais c’est au contraire devenir cette
idée
. Et le théâtre de sa passion. Voilà qui mène plus loin que l’activism
79
petites souffrances de la souffrance, pour qu’une
idée
devienne ce mythe qui vive en nous et dans lequel nous vivions, jusqu
80
ue cela — qu’il faut avaler les idées7, et qu’une
idée
qui ne peut être mastiquée, puis avalée, n’a pas plus de valeur que c
81
façons d’avaler. Il y a même l’oubli. Ainsi de l’
idée
du bonheur : qu’on la détruise, qu’on la mange et qu’on l’oublie. Ain
82
agressif qu’il oppose aux dévots : « S’occuper d’
idées
relatives à l’immortalité, poursuivit Goethe, cela convient aux gens
83
poque romantique (Nietzsche plus chrétien que son
idée
du christianisme). Plus goethéenne aussi. Mais gardons-nous de tirer
84
nnera pas un portrait de Goethe, certes, mais une
idée
de l’importance du phénomène Goethe. Maintenant ajoutons que l’homme
85
rsonnelle, n’est-ce point tout simplement que les
idées
, les théories et les systèmes prônés par lui ne coïncident pas avec l
86
ystèmes prônés par lui ne coïncident pas avec les
idées
, les théories et les systèmes dont nous jugeons urgent d’accentuer ac
87
r vaincu. À force d’avoir ridiculisé et refoulé l’
idée
de violence physique, ils sont empoisonnés jusque dans leurs pensées
88
é réelle, ce besoin de contrôler la naissance des
idées
dangereuses, ce moralisme qui préfère la stérilité au risque. Les pet
89
causes qui engagent bien plus que l’adhésion des
idées
, une de ces causes qui doivent être gagnées. Chose étrange, et que l’
90
fense, c’est l’attaque. Nous avons moins besoin d’
idées
justes que d’idées efficacement justes ; moins besoin de notions « co
91
que. Nous avons moins besoin d’idées justes que d’
idées
efficacement justes ; moins besoin de notions « correctes » que de no
92
es en esprit. ⁂ Notre but n’est pas d’imposer des
idées
, un système nouveau, plus ou moins cohérent. Ce serait alimenter de n
93
ndifférent, en principe, de nous opposer à telles
idées
courantes, ou de confirmer telles autres. Car notre opposition ne pre
94
on ne prendra jamais son point de départ dans ces
idées
mêmes, mais bien dans une réalité qui les domine et qui les juge, en
95
r est sans précédent. Ce n’est plus de conflits d’
idées
qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous, entrés
96
is je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos
idées
, y croyez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre, car
97
erche. Ce qu’il faut pour légitimer un système d’
idées
en elles-mêmes justes et opportunes (comme celles, je le crois, de L’
98
t dans le fond de leur être. Il faut derrière ces
idées
une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terri
99
géographie sentimentale, j’avais un temps conçu l’
idée
d’établir une Carte du Tendre de la nouvelle Europe centrale. Il semb
100
çais qui, le premier, conçut, pour s’en vanter, l’
idée
qu’il était né malin. Paradoxe du sentiment Une rumeur lointain
101
ments. Elle perd son mordant à n’ordonner que des
idées
, trop soumises par leur nature et dépourvues de coquetteries. À force
102
issait cette Vienne tout occupée à ressembler à l’
idée
qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée a
103
t l’inverse. Donc, n’ayant pas renoncé à certaine
idée
que j’avais d’un romantisme viennois, je fus conduit, par une sorte d
104
s. Livrons-nous plutôt à une petite malice dont l’
idée
me vient à la vue de cette vendeuse de fleurs. C’était la petite boss
105
nde : plutôt des règles de jeu, et personne n’a l’
idée
d’y croire. Le pire mensonge est dans la vie réputée pratique, parce
106
ve à grande eau, et me laisser aller un peu à mes
idées
. Le commerce du monde mène plus loin qu’il n’y paraît, mène parfois b
107
hes dans une mosquée vide que personne n’a plus l’
idée
de visiter. » Mais comment ne pas voir qu’un lieu qui porte un nom pa
108
uite magique. Or il est délicieux de réaliser une
idée
fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais d
109
ffeurs vautrés, la casquette de travers sur leurs
idées
sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les villes, conduisent dan
110
du réel. Tel serait le fondement d’une morale des
idées
« par-delà le logique et l’absurde ». Ah bien ! je connais quelques ê
111
bien le monde qu’on nous a fait. Tout encombré d’
idées
sans corps, de corps stupides — de nihilistes et de boxeurs, si vous
112
le cœur et se contente de ralentir doucement les
idées
. C’est un attendrissement plein de force et de dignité. Alors si l’on
113
is seul et tranquille, à manger et à soupeser des
idées
qui venaient se poser devant moi. La servante à l’autre coin de la pi
114
géographie sentimentale, j’avais un temps conçu l’
idée
d’établir une Carte du Tendre de la nouvelle Europe centrale. Il semb
115
çais qui, le premier, conçut, pour s’en vanter, l’
idée
qu’il était né malin. Paradoxe du sentiment Une rumeur lointain
116
ments. Elle perd son mordant à n’ordonner que des
idées
, trop soumises par leur nature et dépourvues de coquetteries. À force
117
nde : plutôt des règles de jeu, et personne n’a l’
idée
d’y croire. Le pire mensonge est dans la vie réputée pratique, parce
118
ve à grande eau, et me laisser aller un peu à mes
idées
. Le commerce du monde mène plus loin qu’il n’y paraît, mène parfois b
119
hes dans une mosquée vide que personne n’a plus l’
idée
de visiter. » Mais comment ne pas voir qu’un lieu qui porte un nom pa
120
uite magique. Or il est délicieux de réaliser une
idée
fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais d
121
ffeurs vautrés, la casquette de travers sur leurs
idées
sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les villes, conduisent dan
122
du réel. Tel serait le fondement d’une morale des
idées
« par-delà le logique et l’absurde ». Ah bien ! je connais quelques ê
123
bien le monde qu’on nous a fait. Tout encombré d’
idées
sans corps, de corps stupides — de nihilistes et de boxeurs, si vous
124
le cœur et se contente de ralentir doucement les
idées
. C’est un attendrissement plein de force et de dignité. Alors si l’on
125
is seul et tranquille, à manger et à soupeser des
idées
qui venaient se poser devant moi. La servante à l’autre coin de la pi
126
pour y descendre et s’y poser. Rien ne donne une
idée
de l’immobilité comme ce vol sans repères en plein ciel, à 150 mètres
127
nt ces rythmes de mots, cette épithète, ce nœud d’
idées
, où je ne reconnais rien de déjà lu ? Et de quel ciel me tombent ces
128
eux, jusque dans ses fonctions ecclésiastiques, l’
idée
du serviteur de la cité, c’est qu’en lui durait toute une race consac
129
mais sa fermeté dans le conseil ; son accueil aux
idées
nouvelles, mais ses convictions militantes ; son libéralisme foncier,
130
provinces ne doit rien aux mystères du sang, une
idée
chimérique ne cessera de me plaire : sur ces lieux où jadis des homme
131
du terme — le roman, le poème, l’essai, le jeu d’
idées
— est restée chez nous pauvre ou nulle. Nous n’avons rien tiré de gra
132
, l’école primaire, dont j’ai parlé ailleurse ; l’
idée
que mon village ne ressemble à aucun autre ; une connaissance intime
133
ieu est-il Français, de F. Sieburg, donneront une
idée
assez juste du genre. Son succès en Allemagne remonte aux premières a
134
de « passer une heure agréablement ». Le goût des
idées
, même et surtout dans des cercles littéraires raffinés, était une sor
135
êa publie presque exclusivement des « écrivains d’
idées
», les Éditions du Cavalier poursuivent une enquête européenne sous c
136
et cette morale est délibérément supprimée toute
idée
de liberté, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énum
137
libérément supprimée toute idée de liberté, toute
idée
de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se poursuit jus
138
e idée de liberté, toute idée de propriété, toute
idée
de patrie… [et l’énumération se poursuit jusqu’à ceci ] : Chose plus
139
usqu’à ceci ] : Chose plus atroce encore, [sic] l’
idée
chrétienne, l’idée religieuse, l’idée même de Dieu est abolie… » Ne p
140
se plus atroce encore, [sic] l’idée chrétienne, l’
idée
religieuse, l’idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’
141
re, [sic] l’idée chrétienne, l’idée religieuse, l’
idée
même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cette « id
142
même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’
idée
que cette « idée » soit abolie, le père de la Brière lance un vibrant
143
abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cette «
idée
» soit abolie, le père de la Brière lance un vibrant appel aux écriva
144
our mission de servir et de faire rayonner. » — L’
idée
de propriété, l’idée chrétienne5, les hautes valeurs, les vérités sai
145
et de faire rayonner. » — L’idée de propriété, l’
idée
chrétienne5, les hautes valeurs, les vérités saintes, — l’Académie d’
146
: celle de voir qualifier de « chrétienne » une «
idée
» qui sert l’injustice établie. Tu ne crois pas à ces paroles et tu f
147
mbre 1932. 4. Figaro , 4 février 1933. 5. Une
idée
fausse, par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un é
148
aille dont naquit bizarrement au xviiie siècle l’
idée
de Progrès. L’extérieur déçoit, l’intérieur égare ; l’objet pur oppri
149
t et le clerc-qui-ne-trahit-pas, dans le ciel des
Idées
, dernier asile pour les démissionnaires d’une Démocratie fatiguée ! Q
150
pirituel », nous n’entendons pas le pouvoir des «
idées
», mais bien celui de la personne, de l’acte qui la pose et qui l’opp
151
plus juste aussi pour Saint-Évremond, expose ses
idées
sur la société. On y verra comment il se peut faire que les tyrannies
152
e gauche qui défendent ce qu’ils croient être des
idées
) ne remplit pas ces deux missions, mais il les trahit, transportant,
153
Parole de Dieu et Parole humaine donneraient une
idée
sinon de la pensée barthienne dans son plein développement, du moins
154
ers temporels. De celui qui transcende toutes nos
idées
de la transcendance. De celui qui vient à nous, mais auquel l’homme n
155
ns pas dit la parole de Dieu, dans laquelle cette
idée
devient une réalité, une vérité. » À la formule philosophique homo fi
156
» et de trivialités qualifiées, et vous aurez une
idée
du comique de Cingria. Un humour romand… Trois auteurs seulement, me
157
ment maladive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’
idée
de sécurité. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelqu
158
besoins, à ses désirs réels, et s’hypnotisa sur l’
idée
du standing de vie, défini par comparaison avec « les autres », déter
159
r sur la France. Il ne s’agit pas de défendre une
idée
ou une cité. Il ne s’agit pas de défense. Mais de choix, d’affirmatio
160
e tous le moins ramuzien : il s’agit cette fois d’
idées
, et même d’idées générales, ce qui est assez paradoxal dans une telle
161
amuzien : il s’agit cette fois d’idées, et même d’
idées
générales, ce qui est assez paradoxal dans une telle œuvre. Le sujet
162
ssent des succès dont rien, ici, ne peut donner l’
idée
; et même les théologiens. Le Römerbrief, de Barth, en est au 20e mil
163
eilles ? » J’ai vu de jeunes sympathisants de nos
idées
déconcertés par cette attaque. C’est à leur intention que je veux pré
164
’œuvre d’Arnaud Dandieu apporte non seulement des
idées
neuves — une nouvelle position des problèmes — mais aussi quelques so
165
ns fort importantes. Indiquons simplement, ici, l’
idée
de ce service industriel, destiné selon les précisions de Dandieu, à
166
« Le malaise révolutionnaire et la confusion des
idées
en sont arrivés à un tel point que les deux mots ont l’air bien souve
167
intitulé Échange et Crédit bouleverse toutes les
idées
traditionnelles sur la question — et en passant, l’un des fondements
168
, le caractère « sacré » que revêt à leurs yeux l’
idée
de patrie préalablement confondue avec celle de l’État, en témoignent
169
isme et matérialisme dialectique. L’influence des
idées
« ordre nouveau » est beaucoup plus considérable qu’on le croirait à
170
on sera peut-être décisive l’année prochaine) ; l’
idée
de la « mission personnaliste de la France », que les centristes et l
171
mystique des masses russe ou allemande ; enfin l’
idée
du service civil de travail, qui pourrait bien devenir le cheval de b
172
ignent, avec l’ensemble vague et contradictoire d’
idées
, de sentiments, d’habitudes pieuses, de doctrines plus ou moins autor
173
é » ; c’est qu’il se faisait du christianisme une
idée
si pure et si absolue qu’il voyait clairement que nul homme ne peut j
174
rop longs. On montrera sans trop de peine que ses
idées
sont faites pour rendre la vie impossible, puisqu’elles impliquent le
175
es que de les dénoncer pour telles en vertu d’une
idée
de l’homme que la raison païenne admet fort bien : nietzschéisme agre
176
s, économiques ou religieuses, par exemple, des «
idées
» qu’ils mettent en action. La littérature nouvelle, couronnant un or
177
tion gratuite, dans un monde personnaliste. Les «
idées
pures » sont des cadavres d’idées ; les idées vivantes sont des actes
178
nnaliste. Les « idées pures » sont des cadavres d’
idées
; les idées vivantes sont des actes. Apprenons à penser en actes, c’e
179
s « idées pures » sont des cadavres d’idées ; les
idées
vivantes sont des actes. Apprenons à penser en actes, c’est-à-dire à
180
ur de thé, le sixième camarade. Voilà qui donne l’
idée
d’un roman d’aventures. Destin allemand est bien, entre autres, un ro
181
r en eux-mêmes l’image tragique de leur patrie, l’
idée
profonde de leur nation, que Pillau définit comme la fidélité, et de
182
naliste au communiste. Je ne partage pas plus les
idées
racistes d’Edschmid que les idées marxistes de Malraux (encore que l’
183
ge pas plus les idées racistes d’Edschmid que les
idées
marxistes de Malraux (encore que l’un et l’autre fassent figure d’hér
184
ement unis par cette communauté d’affections et d’
idées
qui forme ce qu’on appelle l’esprit d’une nation, c’est-à-dire la nat
185
c’est le virus de l’étatisme totalitaire, c’est l’
idée
fort peu française de l’unité à tout prix et dans tous les ordres, au
186
s, l’exposé qu’on va lire n’est pas un résumé des
idées
défendues par les deux groupes cités (et qui sont absolument indépend
187
atale loi justifiée en raison. D’où vient alors l’
idée
de la personne, et ce regret d’une dignité que la raison des peuples
188
doit être certifiée par quelque signe matériel. L’
idée
d’une personne isolée ou n’entretenant avec les autres que des rappor
189
mais il peut être utile, pour fixer davantage les
idées
, de l’opposer ici à la notion de l’individu. L’individu est le terme
190
e « l’impossible, ici, devient événement », que l’
idée
du concret cesse d’être une idée, que la personne existe et que l’act
191
énement », que l’idée du concret cesse d’être une
idée
, que la personne existe et que l’acte transforme. Ce qui témoigne en
192
la psychologie de laboratoire. Il s’agit, dans l’
idée
de l’auteur, de dévaloriser (ou de transcender ? ) « la distinction d
193
« la distinction du subjectif et de l’objectif ».
Idée
platonicienne et surtout romantique, et qui vaut bien qu’on la prenne
194
faits qu’on n’a pas à choisir, penchant vers des
idées
que la logique n’est pas seule à ordonner. Le mieux était de conserve
195
et cette morale est délibérément supprimée toute
idée
de liberté, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énum
196
libérément supprimée toute idée de liberté, toute
idée
de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se poursuit jus
197
e idée de liberté, toute idée de propriété, toute
idée
de patrie… [et l’énumération se poursuit jusqu’à ceci] : Chose plus a
198
jusqu’à ceci] : Chose plus atroce encore, [sic] l’
idée
chrétienne, l’idée religieuse, l’idée même de Dieu est abolie… » Ne p
199
se plus atroce encore, [sic] l’idée chrétienne, l’
idée
religieuse, l’idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’
200
re, [sic] l’idée chrétienne, l’idée religieuse, l’
idée
même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cette « id
201
même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’
idée
que cette « idée » soit abolie, le Père de la Brière lance un vibrant
202
abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cette «
idée
» soit abolie, le Père de la Brière lance un vibrant appel aux écriva
203
our mission de servir et de faire rayonner. » — L’
idée
de propriété, l’idée chrétienne35, les hautes valeurs, les vérités sa
204
et de faire rayonner. » — L’idée de propriété, l’
idée
chrétienne35, les hautes valeurs, les vérités saintes, — l’Académie d
205
: celle de voir qualifier de « chrétienne » une «
idée
» qui sert l’injustice établie. Tu ne crois pas à ces paroles et tu f
206
re 1932. 34. Figaro , 4 février 1933. 35. Une
idée
fausse, par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un é
207
précédent. Ce n’est plus seulement de conflits d’
idées
qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous, entrés
208
is je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos
idées
, y croyez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre, car
209
herche. Ce qu’il faut pour légitimer un système d’
idées
en elles-mêmes justes et opportunes, c’est une violence spirituelle q
210
t dans le fond de leur être. Il faut derrière ces
idées
une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terri
211
ment maladive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’
idée
de sécurité. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelqu
212
besoins, à ses désirs réels, et s’hypnotisa sur l’
idée
du standing de vie, défini par comparaison avec « les autres », déter
213
tisfont aux exigences de la raison, ou à certaine
idée
d’une « dignité » de l’homme, d’autre part elles entravent le cours h
214
sme et matérialisme dialectique.) L’influence des
idées
« ordre nouveau » est beaucoup plus considérable qu’on ne le croirait
215
on sera peut-être décisive l’année prochaine) ; l’
idée
de la « mission personnaliste de la France », qu’à notre suite, beauc
216
mystique des masses russe ou allemande ; enfin l’
idée
du service civil de travail, qui pourrait, qui devrait devenir le che
217
’œuvre d’Arnaud Dandieu apporte non seulement des
idées
neuves — une nouvelle position des problèmes — mais aussi quelques so
218
ns fort importantes. Indiquons simplement, ici, l’
idée
de ce service industriel, destiné selon les prévisions de Dandieu, à
219
« Le malaise révolutionnaire et la confusion des
idées
en sont arrivés à un tel point que les deux mots ont l’air bien souve
220
intitulé Échange et Crédit bouleverse toutes les
idées
traditionnelles sur la question — et en passant, l’un des fondements