1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 nien, dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de Sohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sor
2 t l’on conçoit que le terme nécessaire de la voie illuminative d’un Sohrawardi, d’un al-Hallaj, ait été le martyre religieux au somm
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
3 nien, dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de Sohrawardi une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sort
4 t l’on conçoit que le terme nécessaire de la voie illuminative d’un Sohrawardi, d’un Hallaj, ait été le martyre religieux au sommet
5 et du xviie siècles : les trois voies purgative, illuminative et unitive sont ici très précisément préfigurées, quoique infléchies
6 rd à l’instinct, mais en vue d’arriver à l’extase illuminative , qui conduit à l’union essentielle (non point épithalamique). 102. E
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
7 nien, dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de Sohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sor
8 t l’on conçoit que le terme nécessaire de la voie illuminative d’un Sohrawardi, d’un Hallaj, ait été le martyre religieux au sommet
9 et du xviie siècle : les trois voies purgative, illuminative et unitive sont ici très précisément préfigurées, quoique infléchies
10 rd à l’instinct, mais en vue d’arriver à l’extase illuminative , qui conduit à l’union essentielle (non point épithalamique). 94. Et
4 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
11 rbin, Sohrawardi d’Alep, fondateur de la doctrine illuminative , Paris, Maisonneuve, 1939, p. 23, 24, 28. 65. En islam iranien, t.