1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
1 bons points. Or les bons points vont aux parfaits imitateurs . Oyez-moi tous ces petits phonographes…ographes…graphes…graphes… Enfo
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
2 bons points. Or les bons points vont aux parfaits imitateurs . Oyez-moi tous ces petits phonographes… ographes… graphes… graphes… E
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
3 u impressionner par le fanatisme des disciples et imitateurs du « comte ». D’autres que lui s’y sont trompés. M. Gide déclarait na
4 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
4 hamisso, Andersen, Hofmannsthal, et bien d’autres imitateurs , dont le moindre n’est pas Hoffmann… ⁂ L’énigme commença de m’inquiét
5 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
5 rieures de Gottfried de Strasbourg et de tous les imitateurs allemands, italiens, danois, russes, tchèques, etc., se rapportent à
6 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
6 da Todi, « jongleur de Dieu », les laudes de ses imitateurs , les lettres de sainte Catherine de Sienne, le Livre de la bienheureu
7 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
7 ui revit en lui, c’est l’état d’âme créé chez les imitateurs des troubadours par une doctrine qu’ils « sécularisaient », n’en conn
8 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
8 rieures de Gottfried de Strasbourg et de tous les imitateurs allemands, italiens, danois, russes, tchèques, etc., se rapportent à
9 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
9 da Todi, « jongleur de Dieu », les laudes de ses imitateurs , les lettres de sainte Catherine de Sienne, le Livre de la bienheureu
10 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
10 ui revit en lui, c’est l’état d’âme créé chez les imitateurs des troubadours par une doctrine qu’ils « sécularisaient », n’en conn
11 -deux-guerres, un Lawrence, un Caldwell, et leurs imitateurs . Voici ce que nous disaient ces hommes : « Nous en avons assez de sou
11 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
12 rieures de Gottfried de Strasbourg et de tous les imitateurs allemands, italiens, danois, russes, tchèques, etc., se rapportent à
12 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
13 da Todi, « jongleur de Dieu », les laudes de ses imitateurs , les lettres de sainte Catherine de Sienne, le Livre de la bienheureu
13 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
14 ui revit en lui, c’est l’état d’âme créé chez les imitateurs des troubadours par une doctrine qu’ils « sécularisaient », n’en conn
15 res, un Lawrence, un Caldwell, un Miller et leurs imitateurs . Voici ce que nous disaient ces hommes : « Nous en avons assez de sou
14 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
16 hamisso, Andersen, Hofmannsthal, et bien d’autres imitateurs , dont le moindre n’est pas Hoffmann… L’énigme commença de m’inquiéter
15 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
17 s tout cela, nos successeurs ? Je ne vois que des imitateurs un peu en retard qui, bien souvent, caricaturent nos pires défauts. N
16 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
18 s tout cela, nos successeurs ? Je ne vois que des imitateurs , un peu en retard, qui bien souvent caricaturent nos pires défauts. N
17 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
19 es successeurs de l’Occident ? Je ne vois que des imitateurs . Le but des Soviétiques, à les en croire, est de rattraper l’Amérique
18 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
20 ssi une recette de succès : déjà B.-H. Lévy a ses imitateurs . Je n’en donnerai qu’un seul exemple, faute de place. Car c’est seule