1
e cherche une tradition, plutôt que des modèles d’
importation
récente. Il ne faut pas oublier que la France est le pays qui a vu le
2
e cherche une tradition, plutôt que des modèles d’
importation
récente. Il ne faut pas oublier que la France est le pays qui a vu le
3
mait ici même une critique qui « contingentât » l’
importation
des mystiques étrangères. Oui, mais on ne se défend qu’en attaquant.
4
« ordre » en porte-à-faux, obligea[n]t donc à des
importations
considérables. Cependant Rome ne pouvait supporter d’être longtemps à
5
Il se dit naïvement que toute exportation devient
importation
chez le voisin. Une conférence d’économistes européens, convoquée pou
6
été au début qu’un amas hétéroclite d’articles d’
importation
, mais la nouvelle élite se les assimila si rapidement que, dès la fin
7
era 37 % de plus. Pour combler cet écart, par des
importations
de charbon ou de pétrole, l’Europe devrait alors dépenser, aux prix a
8
ésentaient 38 % de son commerce. Aujourd’hui, les
importations
des États-Unis ne correspondent qu’à 4 % de leur revenu national. L’E
9
ils n’y sont pas vitalement contraints. Part des
importations
dans le revenu national : 4 %, ne l’oublions pas. L’Europe seule péri
10
ge en faveur de la fin poursuivie. Tous les ans l’
importation
étrangère doit diminuer. D’une année à l’autre le public a moins beso
11
révoir : le pays récalcitrant serait cerné, toute
importation
prohibée, et la faim réussirait plus facilement que les armes. « Le t
12
érant le revenu des terres, les exportations, les
importations
, les rôles des contributions, et étant donné le contrôle qui existe d
13
après un laps de temps déterminé… Tous les ans l’
importation
étrangère doit diminuer. D’une année à l’autre le public a moins beso
14
à une explosion émiettant l’empire et surtout à l’
importation
de l’absurdité parlementaire, avec l’obligation pour chacun de lire l
15
ésentent à peu près 40 % de notre commerce et nos
importations
atteignent le même taux, cependant que les États-Unis ne dépendent du
16
ésentent à peu près 40 % de notre commerce et nos
importations
atteignent le même taux, cependant que les États-Unis ne dépendent du
17
siècle — elle n’en est pas moins elle aussi une “
importation
”, non une fatalité. D’où vient-elle ? Qui l’a introduite en France ?
18
lobaux sont connus. En mai 1963, par exemple, nos
importations
proviennent pour 65,3 % des Six, pour 13,4 % des Sept, pour 21,3 % du
19
lobaux sont connus. En mai 1963, par exemple, nos
importations
proviennent pour 65,3 % des Six, pour 13,4 % des Sept, pour 21,3 % du
20
0 par habitant) Composition des exportations et
importations
: Importations Exportations Matières premières 34 % 4 % Produi
21
Composition des exportations et importations :
Importations
Exportations Matières premières 34 % 4 % Produits fabriqués 43 %
22
23 % 5 % Balance commerciale : Dépenses pour
importations
13 milliards Recettes d’exportations 9,6 milliards Déficit 3,4 mi
23
lobaux sont connus. En mai 1963, par exemple, nos
importations
provenaient pour 65,3 % des Six, pour 13,4 % des Sept, pour 21,3 % du
24
ion, son métabolisme. Les échanges se composent d’
importations
et d’exportations, entre lesquels on cherche à établir une certaine b
25
tenir aux exemples suisses, qu’y a-t-il eu comme
importation
et exportation des cerveaux en Suisse ? Comment notre culture s’est-e
26
Il se dit naïvement que toute exportation devient
importation
chez le voisin. Une conférence d’économistes européens, convoquée pou
27
s qui interviennent fréquemment dans les quotas d’
importation
et les taux de change, créent un état de crise et d’incertitude perma
28
n d’édition ; subsides, permis d’exportation ou d’
importation
accordés ou non. On invoque en général les circonstances économiques,
29
à augmenter leurs exportations et diminuer leurs
importations
, les choses finiront mal. Un enfant le comprendrait ! Il est impossib
30
augmenter leurs exportations aux dépens de leurs
importations
! Qui fera les différences ? Or, le plus aberrant est que les gens ne
31
que la somme des exportations excède la somme des
importations
. Quand l’un ou l’autre de nos États-nations, au nom de la sacro-saint
32
-elle à ceux-ci une préférence généralisée pour l’
importation
de leurs produits sur le marché communautaire, ainsi que des aides fi
33
à la fois au chômage et à l’accroissement de nos
importations
. D’où l’on tire deux conséquences immédiates : 1° Pas d’économie euro
34
Production (y compris le nucléaire) 370 640
Importations
635 1160 Consommation 1005 1800 La consommation globale d’énergie
35
re lorsque ses exportations l’emporteront sur ses
importations
. Or, à l’échelle du monde, il est clair que c’est impossible ! Votre