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désistement de l’esprit. Défaitisme, essentielle
inactualité
de la pensée, telles sont en définitive les caractéristiques de l’int
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lasse établie réside toujours dans ses loisirs. L’
inactualité
de la culture, qui était pour Marx une vérité de fait — fait qu’il av
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és économiques. Bref, tout concourt à justifier l’
inactualité
de l’esprit : et ce dogme est le seul lieu commun sur lequel s’accord
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mmun suppose la suppression de tous les autres. L’
inactualité
de l’esprit suppose la suppression de tous les liens qui unissent nat
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e doctrine générale, d’une éthique populaire de l’
inactualité
. Pourtant, elle n’est guère qu’un des signes — certaine tolérance en
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este77. Par quel détour une éthique fondée sur l’
inactualité
des décrets de l’esprit — premier paradoxe — a-t-elle pu s’imposer à
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ollectivismes. Le premier, c’est le postulat de l’
inactualité
de la pensée. Le second, c’est la volonté d’assurer l’homme contre le
8
t de la démission permanente de la pensée, de son
inactualité
, de sa séparation, de sa servitude inhumaine, de sa bassesse distingu
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qu’elle favorise en nous : ce mot serait celui d’
inactualité
, entendu, non pas au sens temporel, mais au sens de rupture entre la
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⁂ Que la pensée moderne repose sur un postulat d’
inactualité
, il suffit, pour s’en convaincre, de se demander un instant ce qui ar
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mprendra peut-être mieux maintenant le reproche d’
inactualité
essentielle que nous adressions dès le début à certains systèmes par
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lasse établie réside toujours dans ses loisirs. L’
inactualité
de la culture, qui était pour Marx une vérité de fait — fait qu’il av
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és économiques. Bref, tout concourt à justifier l’
inactualité
de l’esprit : et ce dogme est le seul lieu commun sur lequel s’accord
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mmun suppose la suppression de tous les autres. L’
inactualité
de l’esprit suppose la suppression de tous les liens qui unissent nat
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e doctrine générale, d’une éthique populaire de l’
inactualité
. Pourtant, elle n’est guère qu’un des signes — certaine tolérance en
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reste79. Par quel détour une éthique fondée sur l’
inactualité
des décrets de l’esprit — premier paradoxe — a-t-elle pu s’imposer à
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ollectivismes. Le premier, c’est le postulat de l’
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de la pensée. Le second, c’est la volonté d’assurer l’homme contre le
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t de la démission permanente de la pensée, de son
inactualité
, de sa séparation, de sa servitude inhumaine, de sa bassesse distingu