1 uvelles. L’acte et la personne apparaissent ainsi indivisibles . Tel est le fondement de toute dignité humaine. Ceci posé, nous const

2 st plus vicieux pour la raison que ce beau cercle indivisible , irréfutable, du concret. Mais le jugement sceptique que la raison im

3 ant les guerres civiles : c’est que la mesure est indivisible . Dieu est au ciel, sa loi est sur la terre, et les prêtres sont là po

4 réglant la pensée et l’action dès leur naissance, indivisible , au foyer même de leur genèse. Je tenterai d’en donner les éléments d

5 ant les guerres civiles : c’est que la mesure est indivisible . Dieu est au ciel, sa loi est sur la terre, et les prêtres sont là po

6 réglant la pensée et l’action dès leur naissance, indivisible , au foyer même de leur genèse. Je tenterai d’en donner les éléments d

7 France ! Ou plutôt elles se mêlent dans un combat indivisible et nécessaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’hommes frança

8 r pour racheter le mal commis, sont trois moments indivisibles de la « transformation » dont parle Paul. L’un n’est pas concevable,

9 France ! Ou plutôt elles se mêlent dans un combat indivisible et nécessaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’hommes frança

10 ant les guerres civiles : c’est que la mesure est indivisible . Dieu est au ciel, sa loi est sur la terre, et les prêtres sont là po

11 devise du personnalisme véritable, l’affirmation indivisible de l’homme libre mais relié, le paradoxe vivant et vivifiant de l’un

12 ement » dans des domaines différents, une réalité indivisible , plus profonde, antérieure à ses aspects sensoriels ou spirituels. Si

13 ement » dans des domaines différents, une réalité indivisible , plus profonde, antérieure à ses aspects sensoriels ou spirituels. Si

14 ement » dans des domaines différents, une réalité indivisible , plus profonde, antérieure à ses aspects sensoriels ou spirituels. Si

15 Elle doit former un ensemble, un tout cohérent et indivisible . Prenons l’exemple de la liturgie des Églises réformées de France. Je

16 ccessibles, par une affirmation unique de Liberté indivisible , qu’il ne dépend que de nous de saisir à l’instant. Il n’y a pas quat

17 ccessibles, par une affirmation unique de Liberté indivisible , qu’il ne dépend que de nous de saisir à l’instant. Il n’y a pas quat

18 ccessibles, par une affirmation unique de liberté indivisible , qu’il ne dépend que de nous de saisir à l’instant. Il n’y a pas quat

19 traduisent dans l’œuvre unique où ils se rendent indivisibles — et c’est créer — le drame entre le peintre et son modèle, ici l’aut

20 France ! Ou plutôt elles se mêlent dans un combat indivisible et nécessaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’hommes frança

21 ns tous que la paix et la liberté sont en réalité indivisibles , qu’elles sont la condition l’une de l’autre et pratiquement synonyme

22 usieurs années, la « République helvétique une et indivisible  » improvisée par les Français sur le type jacobin, c’est-à-dire centr

23 -là sous le nom de « République helvétique une et indivisible  » échoua rapidement, et Napoléon reconnaissant l’erreur commise, décl

24 -là sous le nom de « République helvétique une et indivisible  » échoua rapidement, et Napoléon reconnaissant l’erreur commise, décl

25 n’est pas un complot contre la République une et indivisible de Saint-Just, c’est-à-dire contre la patrie, l’honneur, la civilisat

26 royance à la vertu suffisante de la nation une et indivisible . Au plan européen, l’intégration signifie le contraire exactement, c’

27 nt il est membre. La nation centraliste, « une et indivisible  », ouvre une vaste carrière aux idéologies. Elle appelle et suscite d

28 Cette expérience jacobine de « République une et indivisible  » échoua contre la résistance presque unanime des peuples et des patr

29 résulte nécessairement la souveraineté solidaire, indivisible du genre humain ; car nous voulons la liberté plénière, intacte, irré

30 èrent ce qui est inséparable, divisèrent l’Église indivisible et s’arrachèrent criminellement à la communauté universelle des chrét

31 mble fait pour l’entretenir dans l’opinion de son indivisible unité. Il s’appelle le Peuple, la Nation ; c’est-à-dire la Multitude,

32 duites dans la constitution des États autrefois «  indivisibles  », certaines conditions de développement étant satisfaites, et sous r

33 elui des dépar­tements dans une République une et indivisible , ce qui amènerait à les redécouper en circonscriptions administrative

34 ant les guerres civiles : c’est que la mesure est indivisible . Dieu est au ciel, sa loi est sur la terre, et les prêtres sont là po

35 r pour racheter le mal commis, sont trois moments indivisibles de la « transformation » dont parle Paul. L’un n’est pas concevable,

36 ). Réponse : Il est clair qu’une Europe « une et indivisible  » serait une catastrophe pour la Suisse. Mais personne ne la préconis

37 ionalistes. — Il est clair qu’une Europe « une et indivisible  » serait une catastrophe pour la Suisse. Mais personne ne la préconis

38 je le cite — « la grande pâte d’une Europe une et indivisible , une Europe jacobine, saint-simonienne, rouleau compresseur écrasant

39 ent qu’une Europe unifiée et uniformisée « une et indivisible  » selon la formule jacobine reprise par les cinq Républiques français

40 rtificielle de la République helvétique, « une et indivisible  », à la française. Faut-il attribuer ce désastre aux régimes patricie

41 nt le coup de force français créant la République indivisible , il existait vraiment une Suisse, une réalité fédérale. Ceux qui ont

42 ir de la conquête française créant une République indivisible qu’elles se virent toutes réduites au rang de cantons, auquel accédai

43 ). Réponse : Il est clair qu’une Europe « une et indivisible  » serait une catastrophe pour la Suisse. Mais personne ne la préconis

44 ionale : j’entends la République française une et indivisible . Une bonne douzaine d’ouvrages ont paru en France depuis le début de

45 ionale : j’entends la République française une et indivisible . La bibliographie des ouvrages consacrés en France aux problèmes de

46 ionale : j’entends la République française une et indivisible . La bibliographie des ouvrages consacrés en France aux problèmes de l

47 tiques de ce genre : — L’État doit être unique et indivisible . — De son siège dans la capitale, il régit souverainement toute l’exi

48 conteste un monde : celui de la République une et indivisible des jacobins, de l’Empire napoléonien qui la continue, et des totalit

49 tiques de ce genre : — L’État doit être unique et indivisible . — De son siège unique, dans la capitale, l’État régit souverainement

50 conteste un monde, celui de la République une et indivisible des jacobins, de l’Empire napoléonien qui la continue, et des totalit

51 iment européen. Il est clair qu’une Europe une et indivisible serait tout simplement une catastrophe pour la Suisse. Mais personne

52 dividu (c’est le même mot, selon l’étymologie : l’ indivisible ), d’où les excès de l’individualisme dans les trop grandes cités hell

53 à base régionale, la République française une et indivisible . La bibliographie des ouvrages consacrés en France aux problèmes de l

54 conteste un monde : celui de la République une et indivisible des jacobins, de l’Empire napoléonien qui la continue et des totalita

55 ux », et il rappelait que si la République une et indivisible s’est opposée au fédéralisme, c’est parce que la guerre révolutionnai

56 ui interdit de mettre en question la forme une et indivisible de l’État français. Je connais un Breton qui a fait un livre sur l’Eu

57 u dogme de la souveraineté totale, universelle et indivisible de l’État-nation de type moderne, dont la croyance aux « cultures nat

58 mpris l’essentiel, qui est l’union complémentaire indivisible de certaines réalités antinomiques — celles-là, justement, qui m’occu

59 mêmes trop crédules, que l’État national, « Un et indivisible  » selon la formule jacobine, centralisé selon la formule napoléonienn

60 t le plus petit. En tant qu’État souverain, un et indivisible , la France est trop grande, et il n’en va pas autrement de la Grande-

61 tué les mythes de l’État régalien et de la nation indivisible , aux réalités concrètes, locales et régionales. Pour reconnaître l’év

62 ées par l’administration de l’État-nation « un et indivisible  ». Tous les anciens motifs d’hostilité, de jalousie, ou de simples bi

63 son indépendance doit rester absolue et son État indivisible , ne font que prolonger le xixe siècle. Mais les ouvrages des seconds

64 formule napoléonienne de l’État-nation souverain, indivisible et centraliste, n’est plus adaptée au monde d’aujourd’hui et le sera

65 fait que l’État-nation se veut souverain unique, indivisible et absolu, dans tous les domaines (sauf le religieux, au xxe siècle)

66 e la culture romande de celle de la France une et indivisible . Second fait : l’entité romande n’a pas existé de tout temps, comme l

67 s indiscutable de la souveraineté absolue, une et indivisible de l’État. Mais l’avantage tactique trop évident acquis à la faveur d

68 de la nécessité de défendre la République une et indivisible doivent se sentir étrangement à côté des réalités humaines contempora

69 ’avoir d’abord, et à cet effet, déclarée « une et indivisible  ». Le terme de « socialisation » ne serait d’ailleurs pas moins impro

70 s bureaux de la capitale. Elle suppose une nation indivisible que l’État seul représente en droit. Dans cette structure centralisée

71 iques de ce genre :: — l’État doit être unique et indivisible  ; — de son siège, qui est la capitale, l’État régit souverainement t

72 t le plus petit. En tant qu’État souverain, un et indivisible , la France est trop grande, et il n’en va pas autrement de la Grande-

73 et de la mission universelle de la nation une et indivisible . Dans sa dernière Lettre mensuelle, il concède que l’avenir du Monde

74 éthée. L’Audacieux Souffrant préfigure l’humanité indivisible de demain — si nous ne mourons pas avec lui dans le Grand Soir où nou

75 fait que l’État-nation se veut souverain unique, indivisible et absolu, dans tous les domaines (sauf le religieux remplacé par l’i

76 celle des États et coiffant leurs « souverainetés indivisibles  » pour que renaisse la possibilité de prise au sérieux de réalités lo

77 ifier de leur « souveraineté nationale absolue et indivisible  », tout en réitérant leur volonté d’« accroître l’union entre les nat

78 assement des souverainetés nationales absolues et indivisibles est la voie même de la fédération, on veut dire de la seule formule d

79 la sacro-sainte souveraineté nationale absolue et indivisible . C’est en son nom que, ces jours-ci, deux grands États n’hésitent pas

80 meurtrier de la souveraineté nationale absolue et indivisible , est le premier devoir de tous les citoyens qui se veulent libres et

81 interdites par les lois de la « République une et indivisible  ». On a beaucoup parlé de culture nationale en France. C’est le seul

82 le roi en 1792, et proclame la République une et indivisible . Puis elle vote à six voix de majorité sur 721 votants (soit 366 pour

83 lle se double, en 1793, d’une souveraineté une et indivisible qui se manifeste cette fois vers l’intérieur : elle consiste dès lors

84 st la Souveraineté nationale, inaliénable, une et indivisible , d’autant plus absolutisée, sacralisée, qu’elle n’a plus d’existence

85 sme, jacobinisme, bonapartisme, république une et indivisible — et j’en passe —, tous ces termes, apparemment divers, ne désignent-