1
’avoir pas connu, jusqu’à ce jour au moins, cette
inquiétude
libératrice que produit la recherche de la vérité. Dès son premier li
2
prises, dans cette œuvre d’affirmation, une telle
inquiétude
, un amer « à quoi bon » percèrent soudain… Mais Montherlant se redres
3
trouve dans la manière dont ils tentent de fuir l’
inquiétude
où ils baignent. Celui-ci vient à peine de quitter l’air dur des pamp
4
notre temps est en profondeur : c’est une unité d’
inquiétude
. Barrès et Gide : ils ont construit des édifices très différents de s
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u Dieu perdu. Il avoue enfin la cause secrète des
inquiétudes
modernes : la perte d’une foi. Il a besoin de Dieu, mais il attend en
6
an et Dada, il y a place pour tous les chaînons d’
inquiétude
, de malaises, de révoltes plus ou moins complètes au gré des tempéram
7
l’on se contente d’une violence, d’un vice, d’une
inquiétude
. 8. « Certaines expériences littéraires sont plus dangereuses que de
8
r des réponses de l’intelligence ou de la foi aux
inquiétudes
profondes de leurs âmes séparées de Dieu. Montherlant est aux antipod
9
andis que « l’attrait du christianisme est dans l’
inquiétude
qu’il nous inflige ». « Ils mettent leur âme en veilleuse, dit-il des
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les plus subtils comme des plus pures et loyales
inquiétudes
. Sincérité, le mal du siècle. Tout le monde en parle, et chacun s’en
12
ution universelle, la foi, il résume en lui cette
inquiétude
qui fait la grandeur et la misère de l’époque — et qu’il avoue préfér
13
rchique : ce sont bien les grands traits de notre
inquiétude
. (Mais peut-être M. Rops a-t-il trop négligé le rôle extérieur, que j
14
ès avoir défini quelques « positions en face de l’
inquiétude
», M. Rops considère les deux solutions les plus parfaites qui s’offr
15
l’une (celle de Gide) ne fait que différer notre
inquiétude
, tandis que l’autre « ne ruine notre angoisse qu’en y substituant ce
16
deux solutions peuvent se résumer en deux mots :
inquiétude
ou foi. Dès lors sont-elles vraiment les deux termes d’un dilemme, l’
17
chemin qui mène à l’autre ? Car la foi naît de l’
inquiétude
autant que de la grâce, et régénère sans cesse l’inquiétude autant qu
18
autant que de la grâce, et régénère sans cesse l’
inquiétude
autant que la sérénité… Au reste, n’est-elle pas de M. Rops lui-même,
19
rmule admirablement les exigences conjointes de l’
inquiétude
et de la foi : « Si tu as trouvé Dieu, il te reste à le chercher enco
20
le chercher encore… » ag. « Daniel-Rops : Notre
inquiétude
(Perrin, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genèv
21
t dire est une des plus tragiques inventions de l’
inquiétude
actuelle. Sous couleur de démasquer l’humain, et par l’acharnement an
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raît comme un divertissement perpétuel et dénué d’
inquiétude
. Et cela n’est pas sans me charmer, croyez-moi. Car, enfin, si je sui
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xister : qu’elle soit le langage chiffré de notre
inquiétude
et de nos naissantes certitudes, le seul langage peut-être qui nous p
24
e récit d’un été de vacances, quand les premières
inquiétudes
du désir viennent troubler de ravissantes amours d’adolescents. Et c’
25
ez moi, et ma femme m’embrasse et me regarde avec
inquiétude
, parce que je ne suis plus tout à fait le même. Puis elle me laisse,
26
se laisser troubler. Ils tiennent à leurs petites
inquiétudes
domestiquées. Ils sont toujours pressés, charmants et aussi peu tragi
27
Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans
inquiétude
. — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faite
28
1925. C’était, l’on s’en souvient, le temps de l’
inquiétude
. Le désordre des choses s’imposait aux esprits, ils s’appliquaient à
29
dans on ne sait quelles brigues innommables. De l’
inquiétude
à la Légion d’honneur, la route n’est pas si pénible qu’on peut le cr
30
ours — et c’est là justement le principe de notre
inquiétude
. « Nos auditeurs attendent de nous que nous les comprenions mieux qu’
31
rroge virilement. Personne n’est plus loin de « l’
inquiétude
» ou de l’emballement. Barth est l’un des hommes les plus solides de
32
prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos
inquiétudes
s’apaiseront. Bien. Mais il faut prendre garde d’abord de confondre
33
tors et tourmenté, l’ancêtre du gidisme et de l’«
inquiétude
» littéraire. Kierkegaard, avant tout, est un chrétien ; un chrétien
34
erbiage habituel, dans ces trois manifestations d’
inquiétude
. C’est bien pourquoi nous en parlons. 1. Les discours des « Néos »1
35
prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos
inquiétudes
s’apaiseront. Bien. Mais il faut prendre garde d’abord de confondre l
36
ppuyée sur la religion. Et le Jeune Homme perdu d’
inquiétude
, qui ne découvre sa joie que dans le risque extrême de la foi, c’est
37
prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos
inquiétudes
s’apaiseront. Bien. Mais il faut prendre garde d’abord de confondre l
38
ation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’
inquiétude
, — on pourrait dire, dans une sorte d’humour — dans l’aventure de cel
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es sens inquiets, et c’est pourquoi j’espère. ⁂ L’
inquiétude
catholique procède de ce doute profond : la Révélation évangélique éc
40
st l’amitié humaine qui se détruit. ⁂ Telle est l’
inquiétude
des masses. Elle n’est pas d’abord matérielle, elle est d’abord cette
41
st pas d’abord matérielle, elle est d’abord cette
inquiétude
du cœur et de l’esprit qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissa
42
sur l’existence parmi nous de ce problème, sur l’
inquiétude
qu’il trahit, sur la crise de confiance qu’il révèle. Mais en même te
43
s, et non moins fortement, il faut dire que cette
inquiétude
ne peut être avouée aujourd’hui qu’en vertu d’une vision nouvelle, d’
44
st l’amitié humaine qui se détruit. ⁂ Telle est l’
inquiétude
des masses. Elle n’est pas d’abord matérielle, elle est d’abord cette
45
st pas d’abord matérielle, elle est d’abord cette
inquiétude
du cœur et de l’esprit qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissa
46
el de ses déviations, enfin par le sens même de l’
inquiétude
métaphysique et de l’angoisse sociale qui nous obsèdent. Individu et
47
st l’amitié humaine qui se détruit. ⁂ Telle est l’
inquiétude
des masses. Elle n’est pas matérielle d’abord, elle est d’abord cette
48
st pas matérielle d’abord, elle est d’abord cette
inquiétude
du cœur et de l’esprit qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissa
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el de ses déviations, enfin par le sens même de l’
inquiétude
métaphysique et de l’angoisse sociale qui nous obsèdent. Individu et
50
elque chose qui s’agite en vous, entre le rire, l’
inquiétude
, et le dégoût ? Partagez-vous ma naïveté ? Et M. Fernandez, qu’en pen
51
morales et matérielles légitiment en effet cette
inquiétude
…) Le général Faupel fait un rapport des plus pessimistes au Führer su
52
pressenti quelquefois — assez pour en garder une
inquiétude
constante — ce qu’il y a d’inhumain dans la plupart de nos habiletés
53
ent des états d’âme improbables ou excessifs, des
inquiétudes
dont ils n’ont même pas l’air d’être vraiment inquiets, des indiscrét
54
que cela nous permettait de passer l’été ici sans
inquiétude
. Ou encore, de le passer ailleurs, sans ennui. Cela probablement parc
55
refoulés et d’hésitants fort distingués. Mais ces
inquiétudes
se limitent au « plan moral », comme nous aimons à dire. Elles sont d
56
ent des états d’âme improbables ou excessifs, des
inquiétudes
dont ils n’ont même pas l’air d’être vraiment inquiets, des indiscrét
57
t concret. Je me dis que cette impression-là et l’
inquiétude
de tout à l’heure s’excluent en fait. Mais je n’arrive plus du tout à
58
ue cela nous permettait de passer l’été ici, sans
inquiétude
. Ou encore, de le passer ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon
59
pressenti quelquefois — assez pour en garder une
inquiétude
constante — ce qu’il y a d’inhumain dans la plupart de nos habiletés
60
primitif, c’est pourtant là qu’est le secret de l’
inquiétude
qui tourmente aujourd’hui les couples. Rien ne répugne autant à un es
61
e à créer une œuvre saine et forte. C’est aussi l’
inquiétude
d’en connaître les résultats. Qu’ils se rassurent ! Quand on a œuvré
62
de la fixer dans la volupté, l’amour la remplit d’
inquiétudes
, la pousse d’essai en essai, de tentatives en tentatives, agitant dev
63
ce livre qu’il nous laisse ? Le témoignage d’une
inquiétude
qu’éprouve l’esprit lucide devant le mythe : non qu’il désire vraimen
64
nge d’intellectualisme angoissé (littérature de l’
inquiétude
et de l’anarchie bourgeoise) et de cynisme matérialiste (Neue Sachlic
65
primitif, c’est pourtant là qu’est le secret de l’
inquiétude
qui tourmente aujourd’hui les couples. Rien ne répugne autant à un es
66
trouver l’apaisement, il sentait croître en lui l’
inquiétude
du salut. J’ai été attaché avec zèle aux lois papistes autant que n’
67
il en mesure de deviner la raison spirituelle des
inquiétudes
que nourrit Nicolas jusqu’à sa cinquantième année ? Toutes proportion
68
nt que les Suisses écoutent de tous côtés, dans l’
inquiétude
.) Choral ii. Sentinelle ! Sentinelle ! Voix du ciel ! Que dis-tu
69
de la fixer dans la volupté, l’amour la remplit d’
inquiétudes
, la pousse d’essai en essai, de tentatives en tentatives, agitant dev
70
ce livre qu’il nous laisse ? Le témoignage d’une
inquiétude
qu’éprouve l’esprit lucide devant le mythe : non qu’il désire vraimen
71
nge d’intellectualisme angoissé (littérature de l’
inquiétude
et de l’anarchie bourgeoise) et de cynisme matérialiste (Neue Sachlic
72
primitif, c’est pourtant là qu’est le secret de l’
inquiétude
qui tourmente aujourd’hui les couples. Rien ne répugne autant à un es
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de la fixer dans la volupté, l’amour la remplit d’
inquiétude
, la pousse d’essai en essai, de tentatives en tentatives, agitant dev
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ce livre qu’il nous laisse ? Le témoignage d’une
inquiétude
qu’éprouve l’esprit lucide devant le mythe : non qu’il désire vraimen
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nge d’intellectualisme angoissé (littérature de l’
inquiétude
et de l’anarchie bourgeoise) et de cynisme matérialiste (Neue Sachlic
76
primitif, c’est pourtant là qu’est le secret de l’
inquiétude
qui tourmente aujourd’hui les couples. Rien ne répugne autant à un es
77
que leur croyance au Progrès les dispensait de l’
inquiétude
d’où naît toujours la lucidité. Et voici un second reproche : ils on
78
refoulés et d’hésitants fort distingués. Mais ces
inquiétudes
se limitent au « plan moral », comme nous aimons à dire. Elles sont d
79
is quelques instants. ⁂ Ce n’est pas sans quelque
inquiétude
que j’ai senti ce livre se proposer à moi : car de l’auteur ou du suj
80
le, et la très vieille tentation de compenser nos
inquiétudes
par l’utopie de l’eritis sicut dii. Or quand nous nous perdons, c’est
81
s mots. » En somme tout allait bien. Mais voici l’
inquiétude
toujours concomitante avec la tentation : « Ils dirent encore : Allon
82
e ressentiment, elles ne surent opposer que leurs
inquiétudes
de propriétaires fatigués, et cela s’appelait défense de l’ordre. À l
83
is quelques instants. ⁂ Ce n’est pas sans quelque
inquiétude
que j’ai senti ce livre se proposer à moi : car de l’auteur ou du suj
84
catastrophe. La question qui se posait alors à l’
inquiétude
de quelques rares observateurs était la suivante : « Comment se peut-
85
le, et la très vieille tentation de compenser nos
inquiétudes
par l’utopie de l’eritis sicut dii. Or quand nous nous perdons, c’es
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s mots ». En somme tout allait bien. Mais voici l’
inquiétude
toujours concomitante avec la tentation : « Ils dirent encore : Allon
87
e ressentiment, elles ne surent opposer que leurs
inquiétudes
de propriétaires fatigués, et cela s’appelait défense de l’ordre. À l
88
is quelques instants. ⁂ Ce n’est pas sans quelque
inquiétude
que j’ai senti ce livre se proposer à moi : car de l’auteur ou du suj
89
catastrophe. La question qui se posait alors à l’
inquiétude
de quelques rares observateurs était la suivante : « Comment se peut-
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le, et la très vieille tentation de compenser nos
inquiétudes
par l’utopie de l’eritis sicut dii. Or quand nous nous perdons, c’es
91
s mots. » En somme tout allait bien. Mais voici l’
inquiétude
toujours concomitante avec la tentation : « Ils dirent encore : Allon
92
e ressentiment, elles ne surent opposer que leurs
inquiétudes
de propriétaires fatigués, et cela s’appelait défense de l’ordre. À l
93
ation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’
inquiétude
— on pourrait dire dans une sorte d’humour —, dans l’aventure de celu
94
Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans
inquiétude
. — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faite
95
Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans
inquiétude
. — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faite
96
ent des états d’âme improbables ou excessifs, des
inquiétudes
dont ils n’ont même pas l’air d’être vraiment inquiets, des indiscrét
97
t concret. Je me dis que cette impression-là et l’
inquiétude
de tout à l’heure s’excluent en fait. Mais je n’arrive plus du tout à
98
ue cela nous permettait de passer l’été ici, sans
inquiétude
. Ou encore, de le passer ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon
99
pressenti quelquefois — assez pour en garder une
inquiétude
constante — ce qu’il y a d’inhumain dans la plupart de nos habiletés
100
Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans
inquiétude
. — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faite
101
e être, étant Américain. Je ne l’observe pas sans
inquiétude
; non plus sans beaucoup d’amitié. 4. « Courtiser » traduirait tro
102
ne tentation permanente pour notre fatigue, notre
inquiétude
, nos doutes et nos vertiges de démission spirituelle. L’esprit totali
103
couverte dans les sciences, et l’insouciance et l’
inquiétude
, et l’humour et l’esprit de révolte, et le scepticisme rationnel auta
104
e être, étant Américain. Je ne l’observe pas sans
inquiétude
; non plus sans beaucoup d’amitié. 3. Courtiser traduirait trop f
105
er Breuil n’a pas cessé de représenter pour moi l’
inquiétude
de la vocation, son cheminement imprévisible, son mystère. En termes
106
urdement, mais ne savent pas toujours nommer leur
inquiétude
. Lui se refuse à la nommer pour eux comme le font trop de romanciers
107
réside le secret du dynamisme occidental et de l’
inquiétude
créatrice qui pousse l’Européen à remettre en question, de siècle en
108
ialogues, de cette infinie polémique. De là cette
inquiétude
créatrice qui pousse l’Européen, de siècle en siècle, à remettre en q
109
couverte dans les sciences, et l’insouciance et l’
inquiétude
, et l’humour et l’esprit de révolte, et le scepticisme rationnel auta
110
ne tentation permanente pour notre fatigue, notre
inquiétude
, nos doutes et nos vertiges de démission spirituelle. L’esprit totali
111
réside le secret du dynamisme occidental, et de l’
inquiétude
créatrice qui pousse l’Européen à remettre en question, de siècle en
112
réside le secret du dynamisme occidental et de l’
inquiétude
créatrice qui pousse l’Européen à remettre en question, de siècle en
113
ialogues, de cette infinie polémique. De là cette
inquiétude
créatrice qui pousse l’Européen, de siècle en siècle, à remettre en q
114
sagesse, l’ordre statique ou l’immortalité. Cette
inquiétude
consciente et créatrice, je l’appellerai tout simplement : notre cult
115
Quelle réponse l’Occident prétend-il apporter à l’
inquiétude
du monde moderne ? » Je serais tenté de lui dire : l’esprit critique.
116
ique. Car cet esprit nous renvoie sobrement à nos
inquiétudes
personnelles, qui ne se satisfont point de réponses collectives. L’Oc
117
l’attendais, avant le repas, je n’étais pas sans
inquiétude
. J’arrivais à l’instant de Bombay, où notre Congrès s’était clos sur
118
it ? Ne trouverait-il pas au contraire ce signe d’
inquiétude
et de contradiction, cette petite cicatrice secrète qui trahit l’arra
119
tmosphère de liberté, y souffraient d’une sorte d’
inquiétude
perpétuelle. Chez eux, tout est dicté, chaque geste, chaque démarche,
120
Quelle réponse l’Occident prétend-il apporter à l’
inquiétude
du monde moderne ? » Je serais tenté de lui dire : l’esprit critique.
121
ique. Car cet esprit nous renvoie sobrement à nos
inquiétudes
personnelles, qui ne se satisfont point de réponses collectives. L’Oc
122
un profond remue-ménage d’idées, de sentiments, d’
inquiétudes
de l’esprit, qui est la réalité créatrice de tout le reste. Négliger
123
conséquences de la recherche scientifique fasse l’
inquiétude
et même l’angoisse du monde moderne. À cela s’ajoute le fait que les
124
eds sur la terre, et très pieux. Mais une secrète
inquiétude
religieuse ne cesse de le tourmenter. À cinquante ans, des visions ré
125
se : je veux parler d’une certaine incertitude ou
inquiétude
, d’un certain désordre permanent. Les Chinois anciens et les Égyptien
126
lus qu’en Amérique, nous souffrons d’une espèce d’
inquiétude
générale. Nous ne cessons de parler du « désarroi de l’époque ». Nous
127
s, intellectuelles et pratiques. D’où vient cette
inquiétude
fondamentale ? D’où, ce désordre permanent que les meilleurs esprits
128
nt depuis des siècles ? Je ne pense pas que cette
inquiétude
et ce désordre soient accidentels. Je pense même qu’ils remontent aux
129
le christianisme et l’esprit scientifique. Notre
inquiétude
provient de notre foi, et nos incertitudes sont créées par la nature
130
quiet perpétuel, mais qui sait les raisons de son
inquiétude
; il sait qu’elle est normale, et non désespérée, puisqu’elle est pro
131
large de l’interpréter, la Science avance. Cette
inquiétude
perpétuelle, dont vous venez de voir qu’elle est déterminée par les d
132
nte de tout, d’une insatisfaction sans fin, d’une
inquiétude
créatrice de désordres, et de révolutions bien sûr, mais créatrice au
133
nnant le ridicule de vouloir vivre ces doctrines.
Inquiétude
et ferveur étaient les mots de l’époque. Âge d’or de la Littérature,
134
pourrait exister peut provoquer chez certains une
inquiétude
salutaire, chez d’autres une confiance en soi renforcée : qu’ils vien
135
nd public européen, subitement confronté avec des
inquiétudes
et des espoirs d’un genre nouveau. aw. « Avant-propos », Bulletin d
136
tres civilisations, passées et présentes, par une
inquiétude
fondamentale et par la création de risques toujours accrus, remettant
137
la foi, qui est la confiance active, est aussi l’
inquiétude
essentielle. Mais que devient l’éthique en tout ceci ? Elle est rempl
138
stiniens et Phéniciens — nous aient transmis leur
inquiétude
vagabonde et quelque chose de cet esprit d’exode dont on ne sait s’il
139
ur des causes de faiblesse : je veux parler d’une
inquiétude
fondamentale et d’un désordre permanent. Les Chinois et les Égyptiens
140
lus qu’en Amérique, nous souffrons d’une espèce d’
inquiétude
essentielle. Nous ne cessons de parler du « désarroi de l’époque ». N
141
intellectuelles et pratiques. D’où viennent cette
inquiétude
fondamentale et ce désordre permanent, que les meilleurs esprits dépl
142
le christianisme et l’esprit scientifique. Notre
inquiétude
provient de notre foi, et nos incertitudes sont créées par la nature
143
quiet perpétuel, mais qui sait les raisons de son
inquiétude
; il sait qu’elle est normale, et non désespérée, puisqu’elle est pro
144
es. Mais c’est le principe même d’insuffisance, d’
inquiétude
et parfois de désordre que suppose la recherche jamais finie, qui a p
145
nt toute transcendance, il détend le ressort de l’
inquiétude
créatrice, et prépare un état statique de la culture et de la société