1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 ’avoir pas connu, jusqu’à ce jour au moins, cette inquiétude libératrice que produit la recherche de la vérité. Dès son premier li
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
2 prises, dans cette œuvre d’affirmation, une telle inquiétude , un amer « à quoi bon » percèrent soudain… Mais Montherlant se redres
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
3 trouve dans la manière dont ils tentent de fuir l’ inquiétude où ils baignent. Celui-ci vient à peine de quitter l’air dur des pamp
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 notre temps est en profondeur : c’est une unité d’ inquiétude . Barrès et Gide : ils ont construit des édifices très différents de s
5 u Dieu perdu. Il avoue enfin la cause secrète des inquiétudes modernes : la perte d’une foi. Il a besoin de Dieu, mais il attend en
6 an et Dada, il y a place pour tous les chaînons d’ inquiétude , de malaises, de révoltes plus ou moins complètes au gré des tempéram
7 l’on se contente d’une violence, d’un vice, d’une inquiétude . 8. « Certaines expériences littéraires sont plus dangereuses que de
5 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
8 r des réponses de l’intelligence ou de la foi aux inquiétudes profondes de leurs âmes séparées de Dieu. Montherlant est aux antipod
6 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
9 andis que « l’attrait du christianisme est dans l’ inquiétude qu’il nous inflige ». « Ils mettent leur âme en veilleuse, dit-il des
7 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
10 les plus subtils comme des plus pures et loyales inquiétudes . Sincérité, le mal du siècle. Tout le monde en parle, et chacun s’en
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
11 Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)ag Il faut souhaiter que ce témoignage sur les générat
12 ution universelle, la foi, il résume en lui cette inquiétude qui fait la grandeur et la misère de l’époque — et qu’il avoue préfér
13 rchique : ce sont bien les grands traits de notre inquiétude . (Mais peut-être M. Rops a-t-il trop négligé le rôle extérieur, que j
14 ès avoir défini quelques « positions en face de l’ inquiétude  », M. Rops considère les deux solutions les plus parfaites qui s’offr
15 l’une (celle de Gide) ne fait que différer notre inquiétude , tandis que l’autre « ne ruine notre angoisse qu’en y substituant ce
16 deux solutions peuvent se résumer en deux mots : inquiétude ou foi. Dès lors sont-elles vraiment les deux termes d’un dilemme, l’
17 chemin qui mène à l’autre ? Car la foi naît de l’ inquiétude autant que de la grâce, et régénère sans cesse l’inquiétude autant qu
18 autant que de la grâce, et régénère sans cesse l’ inquiétude autant que la sérénité… Au reste, n’est-elle pas de M. Rops lui-même,
19 rmule admirablement les exigences conjointes de l’ inquiétude et de la foi : « Si tu as trouvé Dieu, il te reste à le chercher enco
20 le chercher encore… » ag. « Daniel-Rops : Notre inquiétude (Perrin, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genèv
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
21 t dire est une des plus tragiques inventions de l’ inquiétude actuelle. Sous couleur de démasquer l’humain, et par l’acharnement an
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
22 raît comme un divertissement perpétuel et dénué d’ inquiétude . Et cela n’est pas sans me charmer, croyez-moi. Car, enfin, si je sui
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
23 xister : qu’elle soit le langage chiffré de notre inquiétude et de nos naissantes certitudes, le seul langage peut-être qui nous p
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
24 e récit d’un été de vacances, quand les premières inquiétudes du désir viennent troubler de ravissantes amours d’adolescents. Et c’
13 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
25 ez moi, et ma femme m’embrasse et me regarde avec inquiétude , parce que je ne suis plus tout à fait le même. Puis elle me laisse,
14 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
26 se laisser troubler. Ils tiennent à leurs petites inquiétudes domestiquées. Ils sont toujours pressés, charmants et aussi peu tragi
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
27 Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans inquiétude . — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faite
16 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
28 1925. C’était, l’on s’en souvient, le temps de l’ inquiétude . Le désordre des choses s’imposait aux esprits, ils s’appliquaient à
29 dans on ne sait quelles brigues innommables. De l’ inquiétude à la Légion d’honneur, la route n’est pas si pénible qu’on peut le cr
17 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
30 ours — et c’est là justement le principe de notre inquiétude . « Nos auditeurs attendent de nous que nous les comprenions mieux qu’
31 rroge virilement. Personne n’est plus loin de « l’ inquiétude  » ou de l’emballement. Barth est l’un des hommes les plus solides de
18 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
32 prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos inquiétudes s’apaiseront. Bien. Mais il faut prendre garde d’abord de confondre
19 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
33 tors et tourmenté, l’ancêtre du gidisme et de l’«  inquiétude  » littéraire. Kierkegaard, avant tout, est un chrétien ; un chrétien
20 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
34 erbiage habituel, dans ces trois manifestations d’ inquiétude . C’est bien pourquoi nous en parlons. 1. Les discours des « Néos »1
21 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
35 prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos inquiétudes s’apaiseront. Bien. Mais il faut prendre garde d’abord de confondre l
22 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
36 ppuyée sur la religion. Et le Jeune Homme perdu d’ inquiétude , qui ne découvre sa joie que dans le risque extrême de la foi, c’est
23 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
37 prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos inquiétudes s’apaiseront. Bien. Mais il faut prendre garde d’abord de confondre l
24 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
38 ation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’ inquiétude , — on pourrait dire, dans une sorte d’humour — dans l’aventure de cel
25 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
39 es sens inquiets, et c’est pourquoi j’espère. ⁂ L’ inquiétude catholique procède de ce doute profond : la Révélation évangélique éc
26 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
40 st l’amitié humaine qui se détruit. ⁂ Telle est l’ inquiétude des masses. Elle n’est pas d’abord matérielle, elle est d’abord cette
41 st pas d’abord matérielle, elle est d’abord cette inquiétude du cœur et de l’esprit qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissa
27 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
42 sur l’existence parmi nous de ce problème, sur l’ inquiétude qu’il trahit, sur la crise de confiance qu’il révèle. Mais en même te
43 s, et non moins fortement, il faut dire que cette inquiétude ne peut être avouée aujourd’hui qu’en vertu d’une vision nouvelle, d’
28 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
44 st l’amitié humaine qui se détruit. ⁂ Telle est l’ inquiétude des masses. Elle n’est pas d’abord matérielle, elle est d’abord cette
45 st pas d’abord matérielle, elle est d’abord cette inquiétude du cœur et de l’esprit qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissa
29 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
46 el de ses déviations, enfin par le sens même de l’ inquiétude métaphysique et de l’angoisse sociale qui nous obsèdent. Individu et
30 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
47 st l’amitié humaine qui se détruit. ⁂ Telle est l’ inquiétude des masses. Elle n’est pas matérielle d’abord, elle est d’abord cette
48 st pas matérielle d’abord, elle est d’abord cette inquiétude du cœur et de l’esprit qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissa
31 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
49 el de ses déviations, enfin par le sens même de l’ inquiétude métaphysique et de l’angoisse sociale qui nous obsèdent. Individu et
32 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
50 elque chose qui s’agite en vous, entre le rire, l’ inquiétude , et le dégoût ? Partagez-vous ma naïveté ? Et M. Fernandez, qu’en pen
33 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
51 morales et matérielles légitiment en effet cette inquiétude …) Le général Faupel fait un rapport des plus pessimistes au Führer su
34 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
52 pressenti quelquefois — assez pour en garder une inquiétude constante — ce qu’il y a d’inhumain dans la plupart de nos habiletés
35 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
53 ent des états d’âme improbables ou excessifs, des inquiétudes dont ils n’ont même pas l’air d’être vraiment inquiets, des indiscrét
36 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
54 que cela nous permettait de passer l’été ici sans inquiétude . Ou encore, de le passer ailleurs, sans ennui. Cela probablement parc
37 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
55 refoulés et d’hésitants fort distingués. Mais ces inquiétudes se limitent au « plan moral », comme nous aimons à dire. Elles sont d
38 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
56 ent des états d’âme improbables ou excessifs, des inquiétudes dont ils n’ont même pas l’air d’être vraiment inquiets, des indiscrét
57 t concret. Je me dis que cette impression-là et l’ inquiétude de tout à l’heure s’excluent en fait. Mais je n’arrive plus du tout à
58 ue cela nous permettait de passer l’été ici, sans inquiétude . Ou encore, de le passer ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon
39 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
59 pressenti quelquefois — assez pour en garder une inquiétude constante — ce qu’il y a d’inhumain dans la plupart de nos habiletés
40 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
60 primitif, c’est pourtant là qu’est le secret de l’ inquiétude qui tourmente aujourd’hui les couples. Rien ne répugne autant à un es
41 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
61 e à créer une œuvre saine et forte. C’est aussi l’ inquiétude d’en connaître les résultats. Qu’ils se rassurent ! Quand on a œuvré
42 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
62 de la fixer dans la volupté, l’amour la remplit d’ inquiétudes , la pousse d’essai en essai, de tentatives en tentatives, agitant dev
63 ce livre qu’il nous laisse ? Le témoignage d’une inquiétude qu’éprouve l’esprit lucide devant le mythe : non qu’il désire vraimen
43 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
64 nge d’intellectualisme angoissé (littérature de l’ inquiétude et de l’anarchie bourgeoise) et de cynisme matérialiste (Neue Sachlic
44 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
65 primitif, c’est pourtant là qu’est le secret de l’ inquiétude qui tourmente aujourd’hui les couples. Rien ne répugne autant à un es
45 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
66 trouver l’apaisement, il sentait croître en lui l’ inquiétude du salut. J’ai été attaché avec zèle aux lois papistes autant que n’
67 il en mesure de deviner la raison spirituelle des inquiétudes que nourrit Nicolas jusqu’à sa cinquantième année ? Toutes proportion
46 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
68 nt que les Suisses écoutent de tous côtés, dans l’ inquiétude .) Choral ii. Sentinelle ! Sentinelle ! Voix du ciel ! Que dis-tu 
47 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
69 de la fixer dans la volupté, l’amour la remplit d’ inquiétudes , la pousse d’essai en essai, de tentatives en tentatives, agitant dev
70 ce livre qu’il nous laisse ? Le témoignage d’une inquiétude qu’éprouve l’esprit lucide devant le mythe : non qu’il désire vraimen
48 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
71 nge d’intellectualisme angoissé (littérature de l’ inquiétude et de l’anarchie bourgeoise) et de cynisme matérialiste (Neue Sachlic
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
72 primitif, c’est pourtant là qu’est le secret de l’ inquiétude qui tourmente aujourd’hui les couples. Rien ne répugne autant à un es
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
73 de la fixer dans la volupté, l’amour la remplit d’ inquiétude , la pousse d’essai en essai, de tentatives en tentatives, agitant dev
74 ce livre qu’il nous laisse ? Le témoignage d’une inquiétude qu’éprouve l’esprit lucide devant le mythe : non qu’il désire vraimen
51 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
75 nge d’intellectualisme angoissé (littérature de l’ inquiétude et de l’anarchie bourgeoise) et de cynisme matérialiste (Neue Sachlic
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
76 primitif, c’est pourtant là qu’est le secret de l’ inquiétude qui tourmente aujourd’hui les couples. Rien ne répugne autant à un es
53 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
77 que leur croyance au Progrès les dispensait de l’ inquiétude d’où naît toujours la lucidité. Et voici un second reproche : ils on
54 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
78 refoulés et d’hésitants fort distingués. Mais ces inquiétudes se limitent au « plan moral », comme nous aimons à dire. Elles sont d
55 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
79 is quelques instants. ⁂ Ce n’est pas sans quelque inquiétude que j’ai senti ce livre se proposer à moi : car de l’auteur ou du suj
56 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
80 le, et la très vieille tentation de compenser nos inquiétudes par l’utopie de l’eritis sicut dii. Or quand nous nous perdons, c’est
81 s mots. » En somme tout allait bien. Mais voici l’ inquiétude toujours concomitante avec la tentation : « Ils dirent encore : Allon
57 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
82 e ressentiment, elles ne surent opposer que leurs inquiétudes de propriétaires fatigués, et cela s’appelait défense de l’ordre. À l
58 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
83 is quelques instants. ⁂ Ce n’est pas sans quelque inquiétude que j’ai senti ce livre se proposer à moi : car de l’auteur ou du suj
59 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
84 catastrophe. La question qui se posait alors à l’ inquiétude de quelques rares observateurs était la suivante : « Comment se peut-
60 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
85 le, et la très vieille tentation de compenser nos inquiétudes par l’utopie de l’eritis sicut dii. Or quand nous nous perdons, c’es
86 s mots ». En somme tout allait bien. Mais voici l’ inquiétude toujours concomitante avec la tentation : « Ils dirent encore : Allon
61 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
87 e ressentiment, elles ne surent opposer que leurs inquiétudes de propriétaires fatigués, et cela s’appelait défense de l’ordre. À l
62 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
88 is quelques instants. ⁂ Ce n’est pas sans quelque inquiétude que j’ai senti ce livre se proposer à moi : car de l’auteur ou du suj
63 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
89 catastrophe. La question qui se posait alors à l’ inquiétude de quelques rares observateurs était la suivante : « Comment se peut-
64 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
90 le, et la très vieille tentation de compenser nos inquiétudes par l’utopie de l’eritis sicut dii. Or quand nous nous perdons, c’es
91 s mots. » En somme tout allait bien. Mais voici l’ inquiétude toujours concomitante avec la tentation : « Ils dirent encore : Allon
65 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
92 e ressentiment, elles ne surent opposer que leurs inquiétudes de propriétaires fatigués, et cela s’appelait défense de l’ordre. À l
66 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
93 ation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’ inquiétude — on pourrait dire dans une sorte d’humour —, dans l’aventure de celu
67 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
94 Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans inquiétude . — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faite
68 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
95 Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans inquiétude . — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faite
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
96 ent des états d’âme improbables ou excessifs, des inquiétudes dont ils n’ont même pas l’air d’être vraiment inquiets, des indiscrét
97 t concret. Je me dis que cette impression-là et l’ inquiétude de tout à l’heure s’excluent en fait. Mais je n’arrive plus du tout à
98 ue cela nous permettait de passer l’été ici, sans inquiétude . Ou encore, de le passer ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
99 pressenti quelquefois — assez pour en garder une inquiétude constante — ce qu’il y a d’inhumain dans la plupart de nos habiletés
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
100 Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans inquiétude . — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faite
72 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
101 e être, étant Américain. Je ne l’observe pas sans inquiétude  ; non plus sans beaucoup d’amitié. 4. « Courtiser » traduirait tro
73 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
102 ne tentation permanente pour notre fatigue, notre inquiétude , nos doutes et nos vertiges de démission spirituelle. L’esprit totali
74 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
103 couverte dans les sciences, et l’insouciance et l’ inquiétude , et l’humour et l’esprit de révolte, et le scepticisme rationnel auta
75 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
104 e être, étant Américain. Je ne l’observe pas sans inquiétude  ; non plus sans beaucoup d’amitié. 3. Courtiser traduirait trop f
76 1948, Réforme, articles (1946–1980). Roger Breuil qui vient de mourir était un grand romancier protestant (13 mars 1948)
105 er Breuil n’a pas cessé de représenter pour moi l’ inquiétude de la vocation, son cheminement imprévisible, son mystère. En termes
106 urdement, mais ne savent pas toujours nommer leur inquiétude . Lui se refuse à la nommer pour eux comme le font trop de romanciers
77 1948, Articles divers (1948-1950). Pour sauver nos diversités (le sens de La Haye) (juin 1948)
107 réside le secret du dynamisme occidental et de l’ inquiétude créatrice qui pousse l’Européen à remettre en question, de siècle en
78 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
108 ialogues, de cette infinie polémique. De là cette inquiétude créatrice qui pousse l’Européen, de siècle en siècle, à remettre en q
79 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
109 couverte dans les sciences, et l’insouciance et l’ inquiétude , et l’humour et l’esprit de révolte, et le scepticisme rationnel auta
80 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
110 ne tentation permanente pour notre fatigue, notre inquiétude , nos doutes et nos vertiges de démission spirituelle. L’esprit totali
81 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
111 réside le secret du dynamisme occidental, et de l’ inquiétude créatrice qui pousse l’Européen à remettre en question, de siècle en
82 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
112 réside le secret du dynamisme occidental et de l’ inquiétude créatrice qui pousse l’Européen à remettre en question, de siècle en
83 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
113 ialogues, de cette infinie polémique. De là cette inquiétude créatrice qui pousse l’Européen, de siècle en siècle, à remettre en q
84 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
114 sagesse, l’ordre statique ou l’immortalité. Cette inquiétude consciente et créatrice, je l’appellerai tout simplement : notre cult
85 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
115 Quelle réponse l’Occident prétend-il apporter à l’ inquiétude du monde moderne ? » Je serais tenté de lui dire : l’esprit critique.
116 ique. Car cet esprit nous renvoie sobrement à nos inquiétudes personnelles, qui ne se satisfont point de réponses collectives. L’Oc
86 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
117 l’attendais, avant le repas, je n’étais pas sans inquiétude . J’arrivais à l’instant de Bombay, où notre Congrès s’était clos sur
118 it ? Ne trouverait-il pas au contraire ce signe d’ inquiétude et de contradiction, cette petite cicatrice secrète qui trahit l’arra
87 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
119 tmosphère de liberté, y souffraient d’une sorte d’ inquiétude perpétuelle. Chez eux, tout est dicté, chaque geste, chaque démarche,
88 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
120 Quelle réponse l’Occident prétend-il apporter à l’ inquiétude du monde moderne ? » Je serais tenté de lui dire : l’esprit critique.
121 ique. Car cet esprit nous renvoie sobrement à nos inquiétudes personnelles, qui ne se satisfont point de réponses collectives. L’Oc
89 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
122 un profond remue-ménage d’idées, de sentiments, d’ inquiétudes de l’esprit, qui est la réalité créatrice de tout le reste. Négliger
90 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
123 conséquences de la recherche scientifique fasse l’ inquiétude et même l’angoisse du monde moderne. À cela s’ajoute le fait que les
91 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
124 eds sur la terre, et très pieux. Mais une secrète inquiétude religieuse ne cesse de le tourmenter. À cinquante ans, des visions ré
92 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
125 se : je veux parler d’une certaine incertitude ou inquiétude , d’un certain désordre permanent. Les Chinois anciens et les Égyptien
126 lus qu’en Amérique, nous souffrons d’une espèce d’ inquiétude générale. Nous ne cessons de parler du « désarroi de l’époque ». Nous
127 s, intellectuelles et pratiques. D’où vient cette inquiétude fondamentale ? D’où, ce désordre permanent que les meilleurs esprits
128 nt depuis des siècles ? Je ne pense pas que cette inquiétude et ce désordre soient accidentels. Je pense même qu’ils remontent aux
129 le christianisme et l’esprit scientifique. Notre inquiétude provient de notre foi, et nos incertitudes sont créées par la nature
130 quiet perpétuel, mais qui sait les raisons de son inquiétude  ; il sait qu’elle est normale, et non désespérée, puisqu’elle est pro
131 large de l’interpréter, la Science avance. Cette inquiétude perpétuelle, dont vous venez de voir qu’elle est déterminée par les d
132 nte de tout, d’une insatisfaction sans fin, d’une inquiétude créatrice de désordres, et de révolutions bien sûr, mais créatrice au
93 1956, Articles divers (1951-1956). « Je vivais en ce temps-là… » (janvier 1956)
133 nnant le ridicule de vouloir vivre ces doctrines. Inquiétude et ferveur étaient les mots de l’époque. Âge d’or de la Littérature,
94 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
134 pourrait exister peut provoquer chez certains une inquiétude salutaire, chez d’autres une confiance en soi renforcée : qu’ils vien
95 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Promesses du Marché commun [Avant-propos] (décembre 1957)
135 nd public européen, subitement confronté avec des inquiétudes et des espoirs d’un genre nouveau. aw. « Avant-propos », Bulletin d
96 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
136 tres civilisations, passées et présentes, par une inquiétude fondamentale et par la création de risques toujours accrus, remettant
97 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
137 la foi, qui est la confiance active, est aussi l’ inquiétude essentielle. Mais que devient l’éthique en tout ceci ? Elle est rempl
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
138 stiniens et Phéniciens — nous aient transmis leur inquiétude vagabonde et quelque chose de cet esprit d’exode dont on ne sait s’il
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
139 ur des causes de faiblesse : je veux parler d’une inquiétude fondamentale et d’un désordre permanent. Les Chinois et les Égyptiens
140 lus qu’en Amérique, nous souffrons d’une espèce d’ inquiétude essentielle. Nous ne cessons de parler du « désarroi de l’époque ». N
141 intellectuelles et pratiques. D’où viennent cette inquiétude fondamentale et ce désordre permanent, que les meilleurs esprits dépl
142 le christianisme et l’esprit scientifique. Notre inquiétude provient de notre foi, et nos incertitudes sont créées par la nature
143 quiet perpétuel, mais qui sait les raisons de son inquiétude  ; il sait qu’elle est normale, et non désespérée, puisqu’elle est pro
144 es. Mais c’est le principe même d’insuffisance, d’ inquiétude et parfois de désordre que suppose la recherche jamais finie, qui a p
100 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
145 nt toute transcendance, il détend le ressort de l’ inquiétude créatrice, et prépare un état statique de la culture et de la société