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nt même cette union mystique en la plaçant sous l’
invocation
de la Vierge Marie. »30 (De tels excès ne devaient pas se multiplier,
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asme errant, fils de la pâle Nuit. Et la célèbre
invocation
: « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les
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iers : Par elle seule je serai sauvé ! Ou cette
invocation
d’Uc de Saint-Circ à une Dame sans merci : Je ne désire pas que Dieu
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iasme errant, fils de la pâle Nuit. Et la célèbre
invocation
: « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les
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iers : Par elle seule je serai sauvé ! Ou cette
invocation
d’Uc de Saint-Circ à une Dame sans merci : Je ne désire pas que Dieu
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sme errant, fils de la belle Nuit. Et la célèbre
invocation
: « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les
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is vous la décrire dans ses principaux traits. I.
Invocation
(l’assemblée debout). Psaume. II. La Loi ou son sommaire (l’assemblée
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» Il proclame un nouveau mythe. Il est comme une
invocation
à un dieu nouveau, une sorte de « Gott mit uns ! » aussitôt exaucé, p
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! Il proclame un nouveau mythe. Il est comme une
invocation
à un dieu nouveau, une sorte de Gott mit uns aussitôt exaucé, puisque
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a, et ne se plaçait à vrai dire que sous la seule
invocation
« du grand saint San Sérémoni » célébré par Valery Larbaud. Je nous v
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! Il proclame un nouveau mythe. Il est comme une
invocation
à un dieu nouveau, une sorte de Gott mit uns aussitôt exaucé, puisque
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n peut voir en lui le plus proche équivalent de l’
invocation
au sacré, dans notre civilisation profane. Or, ce même mot de liberté
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n peut voir en lui le plus proche équivalent de l’
invocation
au sacré, dans notre civilisation profane. Je pense donc que le dynam
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n peut voir en lui le plus proche équivalent de l’
invocation
au sacré, dans notre civilisation profane. Or, ce même mot de liberté
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e Nietzsche les motifs tristaniens du Désir, de l’
Invocation
à la Nuit, de la Délivrance du Temps et de l’Extase. Subitement, ce q
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e Nietzsche les motifs tristaniens du Désir, de l’
Invocation
à la Nuit, de la Délivrance du Temps et de l’Extase. Subitement, ce q
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nous-mêmes en lui. L’art apparaît alors comme une
invocation
(le plus souvent inconsciente) à l’harmonie perdue, comme une prière
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ott21 Reif sind, in Feuer getaucht, gekochet22
Invocation
du rythme, pouvoirs du signe23, tirets qui jalonnent un silence, et c
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? L’émotion rénovée par ces fragments — départs,
invocations
, noms sacrés de l’Ionie — était-elle plus pure et plus vraie, plus ef
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l’Un et du Divers. Poésie, c’est absence, appel,
invocation
. Tout bonheur est passé, tout présent est exil, et toute joie véritab
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équivalent, dans notre civilisation profane, de l’
invocation
au sacré. Contre-épreuve : ce même mot de liberté n’éveille aucune pa
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e le substitut laïque de l’argument d’autorité, l’
invocation
du « sérieux scientifique », remplaçant celle du dogme et de la tradi
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refus. Sans se laisser intimider par la rituelle
invocation
des « impératifs » techniques, économiques, militaires, ou de « l’ind
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d paraphrasant le Cantique des cantiques dans son
invocation
célèbre : Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René da
25
nt la volonté de puissance, qu’ils assimilent à l’
invocation
des faux dieux. Pour les évangiles, la puissance est la plus grande d
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Elle fournit aux gouvernements l’arme absolue : l’
invocation
à « l’indépendance nationale en péril » — dans le domaine, au moins,
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es sociales autant que religieuses. Et la célèbre
invocation
du préambule de la Déclaration d’indépendance, posant le droit fondam
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nt la volonté de puissance, qu’ils assimilent à l’
invocation
des faux dieux. Pour les évangiles, la puissance est la plus grande d
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L’avis de Denis de Rougemont [sur
Invocation
du nom de Dieu et Constitution fédérale] (1980)aq Le Conseil d’Éta
30
s-commission chargée d’examiner le préambule et l’
invocation
qui le précède. Lors de notre première réunion, le président a fait u
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connaître les positions des 12 membres quant à l’
invocation
« Au nom de Dieu Tout-Puissant ». Il a commencé par notre collègue co
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e, en lui disant à peu près : « Monsieur X, cette
invocation
doit probablement vous déplaire ou en tout cas ne vous fait guère pla
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te, riche en précisions. Il aboutit à approuver l’
invocation
et le préambule que pour ma part je désapprouve, mais ses arguments r
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it clairement ! ⁂ Tout cela donc est placé sous l’
invocation
de Dieu en tant que « Tout-Puissant ». On a dit, et c’est l’un des pr
35
’est l’un des principaux arguments en faveur de l’
invocation
, qu’elle poserait une limite au pouvoir de l’État. Je suis on ne peut
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u même coup que l’État n’est pas tout-puissant. L’
invocation
aurait donc pour effet de relativiser le pouvoir étatique. J’ai les d
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recoupement indique et confirme à mes yeux que l’
invocation
au « Dieu tout-puissant » n’est qu’une manière de garantir, voire d’a
38
, ni surtout pourquoi, je pourrais accepter cette
invocation
. Sauf si l’on changeait l’adjectif qui suit le nom de Dieu, et s’il é
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je laisse la porte légèrement entr’ouverte à une
invocation
au divin, je pose en même temps un problème qui me paraît à peu près
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paraît à peu près insoluble. On a dit enfin, de l’
invocation
« à Dieu tout-puissant », qu’elle s’inscrivait dans la continuité des
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es Septante — Pantokrator ? Comment veut-on que l’
invocation
proposée ne propage cette erreur et ne la confirme définitivement dan
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ssant », c’est le « Gott mit uns ». Maintenir son
invocation
en tête de la constitution projetée, ce serait propager et implanter
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urs frontières communes. Pourrait-on améliorer l’
invocation
en remplaçant l’épithète Tout-puissant par une définition évangélique
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majorité. aq. « L’avis de Denis de Rougemont »,
Invocation
du nom de Dieu et Constitution fédérale, Genève, Labor et Fides, 1980
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jusqu’à ce que naisse au sein de l’être dénudé l’
invocation
, l’élan, le soulèvement vers le loisir profond des Bienheureux, vers
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qui représentaient le destin implacable. Ainsi, l’
invocation
à Zeus devient une sorte d’appel au transcendant, c’est-à-dire à tout
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nité veut dire force et qu’elle veut dire paix. L’
invocation
traditionnelle, « restez unis, vivez dans l’union », veut dire en mêm