1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 nt même cette union mystique en la plaçant sous l’ invocation de la Vierge Marie. »30 (De tels excès ne devaient pas se multiplier,
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
2 asme errant, fils de la pâle Nuit. Et la célèbre invocation  : « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
3 iers : Par elle seule je serai sauvé ! Ou cette invocation d’Uc de Saint-Circ à une Dame sans merci : Je ne désire pas que Dieu
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
4 iasme errant, fils de la pâle Nuit. Et la célèbre invocation  : « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
5 iers : Par elle seule je serai sauvé ! Ou cette invocation d’Uc de Saint-Circ à une Dame sans merci : Je ne désire pas que Dieu
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
6 sme errant, fils de la belle Nuit. Et la célèbre invocation  : « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les
7 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
7 is vous la décrire dans ses principaux traits. I. Invocation (l’assemblée debout). Psaume. II. La Loi ou son sommaire (l’assemblée
8 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
8  » Il proclame un nouveau mythe. Il est comme une invocation à un dieu nouveau, une sorte de « Gott mit uns ! » aussitôt exaucé, p
9 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
9  ! Il proclame un nouveau mythe. Il est comme une invocation à un dieu nouveau, une sorte de Gott mit uns aussitôt exaucé, puisque
10 1956, Articles divers (1951-1956). « Je vivais en ce temps-là… » (janvier 1956)
10 a, et ne se plaçait à vrai dire que sous la seule invocation « du grand saint San Sérémoni » célébré par Valery Larbaud. Je nous v
11 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
11  ! Il proclame un nouveau mythe. Il est comme une invocation à un dieu nouveau, une sorte de Gott mit uns aussitôt exaucé, puisque
12 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
12 n peut voir en lui le plus proche équivalent de l’ invocation au sacré, dans notre civilisation profane. Or, ce même mot de liberté
13 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
13 n peut voir en lui le plus proche équivalent de l’ invocation au sacré, dans notre civilisation profane. Je pense donc que le dynam
14 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
14 n peut voir en lui le plus proche équivalent de l’ invocation au sacré, dans notre civilisation profane. Or, ce même mot de liberté
15 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
15 e Nietzsche les motifs tristaniens du Désir, de l’ Invocation à la Nuit, de la Délivrance du Temps et de l’Extase. Subitement, ce q
16 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
16 e Nietzsche les motifs tristaniens du Désir, de l’ Invocation à la Nuit, de la Délivrance du Temps et de l’Extase. Subitement, ce q
17 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
17 nous-mêmes en lui. L’art apparaît alors comme une invocation (le plus souvent inconsciente) à l’harmonie perdue, comme une prière
18 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
18 ott21 Reif sind, in Feuer getaucht, gekochet22 Invocation du rythme, pouvoirs du signe23, tirets qui jalonnent un silence, et c
19  ? L’émotion rénovée par ces fragments — départs, invocations , noms sacrés de l’Ionie — était-elle plus pure et plus vraie, plus ef
20 l’Un et du Divers. Poésie, c’est absence, appel, invocation . Tout bonheur est passé, tout présent est exil, et toute joie véritab
19 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
21 équivalent, dans notre civilisation profane, de l’ invocation au sacré. Contre-épreuve : ce même mot de liberté n’éveille aucune pa
20 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
22 e le substitut laïque de l’argument d’autorité, l’ invocation du « sérieux scientifique », remplaçant celle du dogme et de la tradi
21 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
23 refus. Sans se laisser intimider par la rituelle invocation des « impératifs » techniques, économiques, militaires, ou de « l’ind
22 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
24 d paraphrasant le Cantique des cantiques dans son invocation célèbre : Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René da
23 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
25 nt la volonté de puissance, qu’ils assimilent à l’ invocation des faux dieux. Pour les évangiles, la puissance est la plus grande d
24 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
26 Elle fournit aux gouvernements l’arme absolue : l’ invocation à « l’indépendance nationale en péril » — dans le domaine, au moins,
25 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
27 es sociales autant que religieuses. Et la célèbre invocation du préambule de la Déclaration d’indépendance, posant le droit fondam
26 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
28 nt la volonté de puissance, qu’ils assimilent à l’ invocation des faux dieux. Pour les évangiles, la puissance est la plus grande d
27 1980, Articles divers (1978-1981). L’avis de Denis de Rougemont [sur Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale] (1980)
29 L’avis de Denis de Rougemont [sur Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale] (1980)aq Le Conseil d’Éta
30 s-commission chargée d’examiner le préambule et l’ invocation qui le précède. Lors de notre première réunion, le président a fait u
31 connaître les positions des 12 membres quant à l’ invocation « Au nom de Dieu Tout-Puissant ». Il a commencé par notre collègue co
32 e, en lui disant à peu près : « Monsieur X, cette invocation doit probablement vous déplaire ou en tout cas ne vous fait guère pla
33 te, riche en précisions. Il aboutit à approuver l’ invocation et le préambule que pour ma part je désapprouve, mais ses arguments r
34 it clairement ! ⁂ Tout cela donc est placé sous l’ invocation de Dieu en tant que « Tout-Puissant ». On a dit, et c’est l’un des pr
35 ’est l’un des principaux arguments en faveur de l’ invocation , qu’elle poserait une limite au pouvoir de l’État. Je suis on ne peut
36 u même coup que l’État n’est pas tout-puissant. L’ invocation aurait donc pour effet de relativiser le pouvoir étatique. J’ai les d
37 recoupement indique et confirme à mes yeux que l’ invocation au « Dieu tout-puissant » n’est qu’une manière de garantir, voire d’a
38 , ni surtout pourquoi, je pourrais accepter cette invocation . Sauf si l’on changeait l’adjectif qui suit le nom de Dieu, et s’il é
39 je laisse la porte légèrement entr’ouverte à une invocation au divin, je pose en même temps un problème qui me paraît à peu près
40 paraît à peu près insoluble. On a dit enfin, de l’ invocation « à Dieu tout-puissant », qu’elle s’inscrivait dans la continuité des
41 es Septante — Pantokrator ? Comment veut-on que l’ invocation proposée ne propage cette erreur et ne la confirme définitivement dan
42 ssant », c’est le « Gott mit uns ». Maintenir son invocation en tête de la constitution projetée, ce serait propager et implanter
43 urs frontières communes. Pourrait-on améliorer l’ invocation en remplaçant l’épithète Tout-puissant par une définition évangélique
44 majorité. aq. « L’avis de Denis de Rougemont », Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale, Genève, Labor et Fides, 1980
28 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
45 jusqu’à ce que naisse au sein de l’être dénudé l’ invocation , l’élan, le soulèvement vers le loisir profond des Bienheureux, vers
29 1988, Inédits (extraits de cours). Communautés, communes
46 qui représentaient le destin implacable. Ainsi, l’ invocation à Zeus devient une sorte d’appel au transcendant, c’est-à-dire à tout
30 1988, Inédits (extraits de cours). Europe
47 nité veut dire force et qu’elle veut dire paix. L’ invocation traditionnelle, « restez unis, vivez dans l’union », veut dire en mêm