1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 quipier Montherlant les contemple, ému de « cette ivresse qui naît de l’ordre », et aussi parfois, de la pensée que « sur ces c
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
2 bouteilles de champagne vides ; car on pardonne l’ ivresse , mais non certaines douleurs. Même, je fus obligé de confier à un ami
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
3 ur, les bellettriens avaient fui. Au détour d’une ivresse , ils rencontrèrent une créature évadée d’anciens rêves qui hantait le
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
4 me merveilleuse nous perdrait corps et âme dans l’ ivresse amoureuse ; nous cherchions cette Révolution de toutes nos forces et
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
5 t des phrases, des cris, des mots. Au défaut de l’ ivresse naissante se glisse un poème où vous aimiez à la folie votre douleur.
6 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
6 coup. L’étranger se mit à discourir. Et dans mon ivresse , ses paroles peignaient des tableaux mouvants où je me voyais figurer
7 ement d’une destinée dans l’autre, de douleurs en ivresses avec la même joie, mon cheval fou, mon beau Désir s’ébroue et part si
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
8 à l’amour et à lui-même conjointement. Plusieurs ivresses l’ont envahi bruyamment, bâillonnent sa raison, l’empêchent de protes
8 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
9 . Mais alors point n’est besoin de formuler cette ivresse  ; autrement que par des cris. 5. Avec toutes les erreurs et turpitude
9 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
10 ouverts de coussins Rothermere et Grande Hongrie… Ivresse dans le malheur, passion et pauvreté, espoirs presque puérils et nost
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
11 es d’une familiarité bourrue mais raffinée, cette ivresse verbale jugulée par une constante mauvaise humeur, tout cela compose
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
12 Pest, au-dessous de nous. 12. Un bal, ou de l’ ivresse considérée comme un des beaux-arts Ils n’ont plus de noms, ils ne
13 rts Ils n’ont plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent visages, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne ta
14 s paysans, beaux hommes aux traits lourds. Dans l’ ivresse , leurs yeux s’agrandissent. Dans la danse, ils incarnent l’allégresse
15 enfin dans une vaste culbute sur les divans où l’ ivresse les lâche, affalés, tandis que les danseuses secouent leurs cheveux e
16 ns la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa q
17 oi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une
18 dans ce qu’il trouve. 15. Toute l’échelle des ivresses  : ivresses de la faim, de l’alcool, de la foule, de la solitude, de l
19 ’il trouve. 15. Toute l’échelle des ivresses : ivresses de la faim, de l’alcool, de la foule, de la solitude, de l’extase. 1
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
20 tes vallées, seul avec la nature dans une sorte d’ ivresse morne, il parvenait à oublier la fuite des heures et de la vie : l’ex
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
21 nstinctive qui ressemble à la chute soudaine de l’ ivresse devant le mortel danger qui se lève à un pas. Tous deux réalisent le
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
22 où tout ce qui vaut qu’on l’aime oscille entre l’ ivresse et la neurasthénie, avec parfois des cris admirables ou des caresses
23 d’or, tu vois bien que tout cède aux regards de l’ ivresse . Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perl
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
24 Pest, au-dessous de nous. xii Un bal, ou de l’ ivresse considérée comme un des beaux-arts Ils n’ont plus de noms, ils ne
25 rts Ils n’ont plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent visages, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne ta
26 s paysans, beaux hommes aux traits lourds. Dans l’ ivresse , leurs yeux s’agrandissent. Dans la danse, ils incarnent l’allégresse
27 enfin dans une vaste culbute sur les divans où l’ ivresse les lâche, affalés, tandis que les danseuses secouent leurs cheveux e
28 ns la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa q
29 oi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une
30 voir d’autres solutions… 10. Toute l’échelle des ivresses  : ivresses de la faim, de l’alcool, de la foule, de la solitude, de l
31 es solutions… 10. Toute l’échelle des ivresses : ivresses de la faim, de l’alcool, de la foule, de la solitude, de l’extase. 1
16 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
32 pâli. Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ ivresse lente et majestueuse, et bientôt je me pris à composer des phrases, t
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
33 ue où tout ce qui vaut qu’on aime oscille entre l’ ivresse et la neurasthénie, avec parfois des cris admirables ou des caresses
34 d’or, tu vois bien que tout cède aux regards de l’ ivresse . Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perl
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
35 s de Pest, au-dessous de nous. Un bal, ou de l’ ivresse considérée comme un des beaux-arts Ils n’ont plus de noms, ils ne
36 rts Ils n’ont plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent visages, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne ta
37 s paysans, beaux hommes aux traits lourds. Dans l’ ivresse , leurs yeux s’agrandissent. Dans la danse, ils incarnent l’allégresse
38 enfin dans une vaste culbute sur les divans où l’ ivresse les lâche, affalés, tandis que les danseuses secouent leurs cheveux e
39 ns la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa q
40 oi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une
41 vue de l’édition de 1982. 7. Toute l’échelle des ivresses  : ivresses de la faim, de l’alcool, de la foule, de la solitude, de l
42 ition de 1982. 7. Toute l’échelle des ivresses : ivresses de la faim, de l’alcool, de la foule, de la solitude, de l’extase. 8
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
43 pâli. Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ ivresse lente et majestueuse, et bientôt je me pris à composer des phrases, t
20 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
44 s leurs rangs, serrant les coudes, entraîné par l’ ivresse de la fraternité indifférente et lâche. Presque tous les hommes ont é
21 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
45 s leurs rangs, serrant les coudes, entraîné par l’ ivresse de la fraternité indifférente et lâche. Presque tous les hommes ont é
22 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
46 eule fin de s’en évader — durant le temps de leur ivresse tout au moins — Kafka nous ramène sans cesse, avec une sorte d’humour
23 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
47 dire, qu’il oublie la douleur et le danger dans l’ ivresse de son « déduit ». Pourtant, le sang de sa blessure le trahit. C’est
24 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
48 ge était interdit, devint le symbole de la divine ivresse d’amour). Mais compte tenu de cette difficulté particulière — qui n’e
25 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
49 que parallèle à celle de Sankara. « Mystique de l’ ivresse sentimentale — écrit Otto — à la faveur de laquelle le Je et le Tu de
50 e à une unité d’être. Eckhart ne connaît ni cette ivresse ni cet amour « pathologique ». L’amour, pour lui, c’est la vertu chré
51 uit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes, ivresses , meurtrissures… « Il m’a bu l’esprit et le cœur » fait dire Ruysbroek
52 enues… 86. Philippe de Félice, Poisons sacrés, ivresses divines, essai sur quelques formes inférieures de la mystique. Paris
26 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
53 une nuit de noces, un secret de doux mystères. L’ ivresse des sens appartient peut-être à l’amour comme le sommeil à la vie. Ce
54 e serait par exemple l’alcoolisme par rapport à l’ ivresse divine que chantaient les mystiques arabes. L’exemple du théâtre d’av
27 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
55 dire, qu’il oublie la douleur et le danger dans l’ ivresse de son « déduit ». Pourtant, le sang de sa blessure le trahit. C’est
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
56 ge était interdit, devint le symbole de la divine ivresse d’amour.) Mais compte tenu de cette difficulté particulière — qui n’e
57 d Thomas faisait du « vin herbé » un symbole de l’ ivresse amoureuse, Gottfried y voit le signe d’un destin, d’une force aveugle
29 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
58 que parallèle à celle de Sankara. « Mystique de l’ ivresse sentimentale — écrit Otto — à la faveur de laquelle le Je et le Tu de
59 e à une unité d’être. Eckhart ne connaît ni cette ivresse ni cet amour « pathologique ». L’amour, pour lui, c’est la vertu chré
60 uit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes, ivresses , meurtrissures… « Il m’a bu l’esprit et le cœur » fait dire Ruysbroek
61 nues… 104. Philippe de Félice, Poisons sacrés, ivresses divines, essai sur quelques formes inférieures de la mystique, Paris,
30 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
62 une nuit de noces, un secret de doux mystères. L’ ivresse des sens appartient peut-être à l’amour comme le sommeil à la vie. Ce
63 e serait par exemple l’alcoolisme par rapport à l’ ivresse divine que chantaient les mystiques arabes. L’exemple du théâtre d’av
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
64 dire, qu’il oublie la douleur et le danger dans l’ ivresse de son « déduit ». Pourtant, le sang de sa blessure le trahit. C’est
32 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
65 ge était interdit, devint le symbole de la divine ivresse d’amour.) Mais compte tenu de cette difficulté particulière — qui n’e
66 d Thomas faisait du « vin herbé » un symbole de l’ ivresse amoureuse, Gottfried y voit le signe d’un destin, d’une force aveugle
33 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
67 que parallèle à celle de Sankara. « Mystique de l’ ivresse sentimentale — écrit Otto — à la faveur de laquelle le Je et le Tu de
68 e à une unité d’être. Eckhart ne connaît ni cette ivresse ni cet amour « pathologique ». L’amour, pour lui, c’est la vertu chré
69 uit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes, ivresses , meurtrissures… « Il m’a bu l’esprit et le cœur », fait dire Ruysbroe
70 enues… 96. Philippe de Félice, Poisons sacrés, ivresses divines, essai sur quelques formes inférieures de la mystique, Paris,
34 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
71 une nuit de noces, un secret de doux mystères. L’ ivresse des sens appartient peut-être à l’amour comme le sommeil à la vie. Ce
72 e serait par exemple l’alcoolisme par rapport à l’ ivresse divine que chantaient les mystiques arabes. L’exemple du théâtre « pa
35 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
73 e voix de femme se détache… Tout d’un coup, cette ivresse ailée, tout d’un coup cette confiance envahissante dans le salut du m
36 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
74 le la vie. Mais c’est de quoi l’on peut faire son ivresse . Je n’aime écrire que des livres dangereux. Cependant, publier pose u
37 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
75 le la vie. Mais c’est de quoi l’on peut faire son ivresse . Je n’aime écrire que des livres dangereux. ⁂ Cependant, publier pose
38 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
76 s de la terre vont s’éveiller dans un lendemain d’ ivresse , une gueule de bois mondiale. — Que se passe-t-il ? J’ai trop bu cett
39 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
77 le la vie. Mais c’est de quoi l’on peut faire son ivresse . Je n’aime écrire que des livres dangereux. ⁂ Cependant, publier pose
40 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
78 s de la terre vont s’éveiller dans un lendemain d’ ivresse , une gueule de bois mondiale. — Que se passe-t-il ? J’ai trop bu cett
41 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
79 ux. (Certaines heures, soirs, aubes, passages.) L’ ivresse naissante des amants, c’est le silence qui s’établit entre eux. L’app
42 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
80 nstinctive qui ressemble à la chute soudaine de l’ ivresse devant le mortel danger qui se lève à un pas. Tous deux réalisent le
43 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
81 le, vous voyez bien… » — il put s’abandonner avec ivresse aux délices d’une diatribe que chacun sait par cœur : « Some of my be
44 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
82 : Droite. Folie, démence, extravagance, égarement ivresse , délire, enthousiasme, aveuglement, ignorance, déraisonnable, simple,
45 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
83 e voix de femme se détache… Tout d’un coup, cette ivresse ailée, tout d’un coup cette confiance envahissante dans le salut du m
46 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
84 rge bande gazonnée et plantée d’arbres, c’est une ivresse que de s’y laisser porter à cent-dix à l’heure en moyenne, dans le dé
47 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
85 otion me fait dormir. Je suis sorti pénétré d’une ivresse dont j’imagine qu’elle est l’état normal des anges, et décidé à récri
48 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
86 le, vous voyez bien… » — il put s’abandonner avec ivresse aux délices d’une diatribe que chacun sait par cœur. « Some of my b
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
87 où tout ce qui vaut qu’on l’aime oscille entre l’ ivresse et la neurasthénie, avec parfois des cris admirables ou des caresses
88 d’or, tu vois bien que tout cède aux regards de l’ ivresse . Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perl
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
89 s de Pest, au-dessous de nous. Un bal, ou de l’ ivresse considérée comme un des beaux-arts Ils n’ont plus de noms, ils ne
90 rts Ils n’ont plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent visages, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne ta
91 s paysans, beaux hommes aux traits lourds. Dans l’ ivresse , leurs yeux s’agrandissent. Dans la danse, ils incarnent l’allégresse
92 enfin dans une vaste culbute sur les divans où l’ ivresse les lâche, affalés, tandis que les danseuses secouent leurs cheveux e
93 ns la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa q
94 oi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une
95 ce qu’il trouve. 1929. 6. Toute l’échelle des ivresses  : ivresses de la faim, de l’alcool, de la foule, de la solitude, de l
96 ouve. 1929. 6. Toute l’échelle des ivresses : ivresses de la faim, de l’alcool, de la foule, de la solitude, de l’extase. 7
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
97 pâli. Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ ivresse lente et majestueuse, et bientôt je me pris à composer des phrases, t
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
98 e voix de femme se détache… Tout d’un coup, cette ivresse ailée, tout d’un coup cette confiance envahissante dans le salut du m
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
99 rge bande gazonnée et plantée d’arbres, c’est une ivresse que de s’y laisser porter à cent-dix à l’heure en moyenne, dans le dé
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
100 otion me fait dormir. Je suis sorti pénétré d’une ivresse dont j’imagine qu’elle est l’état normal des anges, et décidé à récri
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
101 le, vous voyez bien… » — il put s’abandonner avec ivresse aux délices d’une diatribe que chacun sait par cœur. Some of my best
56 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
102 à l’amour et à lui-même conjointement. Plusieurs ivresses l’ont envahi, bâillonnent sa raison et l’empêchent de protester contr
57 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
103 ux. (Certaines heures, soirs, aubes, passages.) L’ ivresse naissante des amants, c’est le silence qui s’établit entre eux. L’app
58 1947, Doctrine fabuleuse. L’eau ou L’esprit de la tempête
104 Mourir de soif dans l’eau de l’amertume, là où l’ ivresse est impossible, et où le sel a sa saveur de mort, c’est la vie même d
59 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
105 de monter. Et qu’arrivés au but, ils ont goûté l’ ivresse des sommets, libéré en eux ces puissances héroïques que l’homme puise
106 on. Mais s’il monte sur la montagne… Alors, cette ivresse des sommets. L’intuition de la grandeur. Et plus d’obstacle devant la
60 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
107 on. Mais s’il monte sur la montagne… Alors, cette ivresse des sommets. L’intuition de la grandeur. Et plus d’obstacles devant l
61 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
108 son. Mais s’il monte sur la montagne… Alors cette ivresse des sommets. L’intuition de la grandeur. Et plus d’obstacle devant la
62 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
109 permise et même indispensable. … Malgré la brève ivresse causée lors de la Renaissance par la découverte des lettres grecques,
63 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
110 pour le punir d’avoir surpris son père en pleine ivresse sans songer comme ses frères à le couvrir d’un manteau ; à Sem, l’Asi
64 1962, Arts, articles (1952-1965). Le monde entier irrite l’Europe et la méprise autant qu’il la jalouse ! (20 juin 1962)
111 ncipation, voire à découvrir pour leur compte les ivresses du nationalisme ; d’autre part, ces mêmes guerres ont fait comprendre
65 1962, Articles divers (1957-1962). Dans vingt ans une Europe neuve (novembre 1962)
112 échir et leurs nouvelles générations, au-delà des ivresses de l’indépendance, découvrent les réalités de l’interdépendance. La c
66 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
113 pour le punir d’avoir surpris son père en pleine ivresse sans songer comme ses frères à le couvrir d’un manteau ; à Sem, l’Asi
67 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
114 ncipation, voire à découvrir pour leur compte les ivresses du nationalisme ; d’autre part, ces mêmes guerres ont fait comprendre
68 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
115 qui dépeignent l’amour comme une extase, comme l’ ivresse suprême — un mensonge grotesque auquel croient, étonnamment, même les
69 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
116 t les sarments dans l’Évangile, des allusions à l’ ivresse dans la Genèse ? L’islam connaît aussi le vin, mais l’interdit, et de
70 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
117 on. Mais s’il monte sur la montagne… Alors, cette ivresse des sommets. L’intuition de la grandeur. Et plus d’obstacle devant la
71 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
118 son. Mais s’il monte sur la montagne… Alors cette ivresse des sommets. L’intuition de la grandeur. Et plus d’obstacles devant l
72 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
119 son. Mais s’il monte sur la montagne… Alors cette ivresse des sommets. L’intuition de la grandeur. Et plus d’obstacles devant l
73 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
120 onal, cette liberté modeste mais bien réelle, aux ivresses de l’indépendance absolue mais illusoire dont se vantaient les États-
74 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
121 onal, cette liberté modeste mais bien réelle, aux ivresses de l’indépendance absolue mais illusoire dont se vantaient les États-
75 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
122 e régional, cette liberté modeste mais réelle aux ivresses de l’indépendance absolue mais illusoire dont se vantaient les États-
76 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
123 l’Exposition universelle de 1867, écrivait dans l’ ivresse d’une superbe innocence : Ces yeux saturés de nuit viennent regarder
77 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
124 lut » dans l’amour de la femme, le printemps et l’ ivresse de vivre le temps neuf, cet épanchement de la grâce en la Nature. Et
78 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
125 doublement dionysiaques. Or, toute recherche de l’ ivresse trahit une anxiété secrète et n’a peut-être d’autre fin que de la fai
79 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
126 otion me fait dormir. Je suis sorti pénétré d’une ivresse dont j’imagine qu’elle est l’état normal des anges, et décidé à tout
80 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
127 son. Mais s’il monte sur la montagne… Alors cette ivresse des sommets. L’intuition de la grandeur. Et plus d’obstacles devant l