1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
1 Puis s’étendent les quartiers de résidence ; les jardins suspendus à tous les étages soulignent de verdure l’horizontale des t
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
2 . C’est le film du type « Jeux de soleil dans les jardins , complets variés, ça fait toujours plaisir de voir des gens bien habi
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
3 omba parmi les statues, dans l’amitié pensive des jardins . Une fenêtre s’était ouverte et des accords échappés tombaient, les a
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 ostalgie de Bouvier l’entraîne à mille lieues des jardins de sourires qui s’épanouissent sur les toiles de Meuron. Il semble to
5 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
5 s et le prétexte d’un apéro, on entre ici dans le jardin des songeries les plus étranges qu’appelle la musique. Je me gardai d
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
6 Mais l’enfance est ailleurs. Je revois ce fond de jardin où l’on trouve des cloportes dans la toile mouillée d’une tente d’Ind
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
7 dans des absurdités. On a créé par exemple des «  jardins d’enfants » où l’on apprend à des élèves âgés de 3 à 4 ans à lacer le
8 tits d’hommes comme des plantes de serre dans ces jardins d’enfants. On y parle de « l’enfant » comme on parle d’un produit chi
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
9 Mais l’enfance est ailleurs. Je revois ce fond de jardin où l’on trouve des cloportes dans la toile mouillée d’une tente d’Ind
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
10 dans des absurdités. On a créé par exemple des «  jardins d’enfants » où l’on apprend à des élèves âgés de 3 à 4 ans à lacer le
11 tits d’hommes comme des plantes de serre dans ces jardins d’enfants. On y parle de « l’enfant » comme on parle d’un produit chi
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
12 e ces effets faciles qu’on aime à ménager dans un jardin à la française. Mais vous ne tarderez pas à remarquer que tout, ici,
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 rend le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa baroque as
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
14 tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un jardin public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
15 son quartier universitaire tout rajeuni dans des jardins luisants ne m’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
16 x élégances bourgeoises et militaires, idylles de jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
17 s lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des jardins  ! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
18 à fait. Il faut l’accepter. Songez à l’agonie du Jardin des Oliviers. Blanche se souvint que Lady Mount-Stratton lui avait di
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
19 utaient de branche en branche sur le camphrier du jardin , joyeux et insouciants. Eiichi se demanda s’il y avait des procureurs
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
20 n balcon, entre deux hautes colonnes, je vois des jardins florentins doucement lumineux, une vasque et des buis éclairés par de
21 une vasque et des buis éclairés par dedans. Côté jardin , côté « cour »… Mais de quoi s’agit-il dans cette intrigue monotone
22 de philosophe, on m’entraîne par le bras vers les jardins . Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasque, dans un théât
23  Des rires en cape de velours s’enfuient vers les jardins .) Qu’il y ait eu ce regard, et que personne ne l’ait vu ! Ils ne save
24 silence nouveau, nous entendons nos pas jusqu’aux jardins tendus en tapisserie entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
25 oici que cèdent les amarres des pelouses, tout le jardin monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bor
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
26 rend le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa ou palais
27 tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un jardin public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
28 son quartier universitaire tout rajeuni dans des jardins luisants ne m’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
29 x élégances bourgeoises et militaires, idylles de jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
30 s lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des jardins  ! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
31 es marches enfouies sous les branches folles : le jardin est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brû
32 de penser au fil du désordre lent de la vie d’un jardin , dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses.
33 e passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes b
34 Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin , du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nou
35 lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
36 . (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.) Jardin anglais. Soudain, des pelouses filent à gauche et à droite entre des
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
37 n balcon, entre deux hautes colonnes, je vois des jardins florentins doucement lumineux, une vasque et des buis éclairés par de
38 une vasque et des buis éclairés par dedans. Côté jardin , côté « cour »… Mais de quoi s’agit-il dans cette intrigue monotone e
39 du philosophe, on m’entraîne par le bras vers les jardins . Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasque, dans un théât
40  Des rires en cape de velours s’enfuient vers les jardins .) Qu’il y ait eu ce regard, et que personne ne l’ait vu ! Ils ne save
41 silence nouveau, nous entendons nos pas jusqu’aux jardins tendus en tapisserie entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
42 oici que cèdent les amarres des pelouses, tout le jardin monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bor
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
43 rend le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa ou palais
44 tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un jardin public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
45 son quartier universitaire tout rajeuni dans des jardins luisants ne n’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
46 x élégances bourgeoises et militaires, idylles de jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
47 s lieux faciles. Ô tristesse des crémeries et des jardins  ! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
48 . (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.) Jardin anglais. Soudain, des pelouses filent à gauche et à droite entre des
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
49 es marches enfouies sous les branches folles : le jardin est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brû
50 de penser au fil du désordre lent de la vie d’un jardin , dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses.
51 e passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes b
52 Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin , du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nou
53 lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
54 s milliardaires et des acteurs. Et tout près, ces jardins suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. L’une se
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
55 e au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du vil
56 , environné de collines pointues et de valses aux jardins publics — là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel, qu
25 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
57 richesses du sous-sol ; par une charité dernière, jardin public. Mais cette forme grossière de la mutilation cosmique n’est pa
26 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
58 s naissent, tableaux, poèmes, symphonies, danses, jardins , temples, statues, — visages ! Dans l’enfance de la lumière. L’ima
59 le mettre sur la face d’une maison, aux plis d’un jardin … Et encore : Je sentais que ce maître de ses moyens, ce possesseur
60 oment cette ville, ses maisons de campagne et ses jardins d’agrément et le large cercle de ses collines et de ses pentes habité
27 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
61 rincesse peignant à l’aquarelle, baisers dans les jardins pendant le bal, — on s’en veut d’aller jusqu’au bout, mais on y va ir
28 1937, Esprit, articles (1932–1962). Vassily Photiadès, Marylène ou à qui le dire ? (février 1937)
62 é, énigmatique par endroits. On croit assister du jardin à quelque scène intime, entrevue dans une chambre, à travers un ridea
29 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
63 ’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin , étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hau
64 lles des environs qui n’ont pas la ressource d’un jardin , ou qui ne « savent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité soci
65 . Vers la gare, il y a bien un parc municipal, le jardin d’un couvent désaffecté, mais je n’y vois jamais que des vieillards e
66 rancs de légumes. Or la vente des produits de son jardin est son seul moyen de gagner). Carré sur son tabouret de cuisine, le
30 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
67 intifs et obstinés. Après le déjeuner, flânant au jardin , je me penche par hasard au bord de la terrasse, et voilà que je déco
68 ant une cour à deux étages. On devine un reste de jardin , avec quelques cyprès, une pierre tombale, et la margelle d’un puits.
69 maison de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée
31 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
70 pour recouvrir les routes et les allées de leurs jardins . Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essaierai cela. La To
32 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
71 là du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce jardin et cette île, seront miens selon la puissance avec laquelle j’en saur
72 enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin . Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
73 . De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé, qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le
74 es gens. — Le village se termine au bout de notre jardin . Passée la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourn
75 j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du jardin . C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
76 et digne poule noire qui habite seule au bout du jardin . Elle y est pourtant depuis notre arrivée, héritée du propriétaire. N
77 a un grand bonheur dans la lumière qui baigne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison, plus claire que le ciel vi
78 le monde »… Nous mangeons les premiers légumes du jardin  : salades et radis. Pour les carottes, il faut encore attendre, et le
33 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
79 t et reprenant courage. Soudain une femme sort du jardin juste en face de lui ; une jeune Dalécarlienne, dans son costume de m
34 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
80 enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin . Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
81 . De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le c
82 es gens. — Le village se termine au bout de notre jardin . Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne
83 j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du jardin . C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
35 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
84 étoiles sont très grosses et molles au-dessus du jardin . Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
85 là du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce jardin et cette île, seront miens selon la puissance avec laquelle j’en saur
86 enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin . Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
87 . De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le c
88 es gens. — Le village se termine au bout de notre jardin . Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne
89 j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du jardin . C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
90 pour recouvrir les routes et les allées de leurs jardins . Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essaierai cela. La To
91 lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au jardin , tous ces jours. Labouré et dessiné des planches, arraché de vieilles
92 et digne poule noire qui habite seule au bout du jardin . Elle y est pourtant depuis notre arrivée, héritée du propriétaire. N
93 tout à l’heure pour me donner un coup de main au jardin (Je rapprends avec plaisir les petits trucs de plantage que je savais
94 a un grand bonheur dans la lumière qui baigne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison plus claire que le ciel vid
95 le monde »… Nous mangeons les premiers légumes du jardin  : salades et radis. Pour les carottes, il faut encore attendre, et le
96 elle ne changera guère… Mais il y a le travail au jardin  : enfin, une chose qui rassure du seul fait qu’elle donne des résulta
97 est fixe, à grande vitesse ! 5 juin 1934 Le jardin à 7 heures du matin. Chaque jour, nous le découvrons ! Touffu, feuill
98 sein, vient parfois s’installer sur une chaise du jardin , et parle un peu de l’au-delà, et d’un sermon du curé, mais cela s’ég
99 d’interrompre cette page pour faire mes adieux au jardin . Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont monté, le ca
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
100 ’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin , étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hau
101 lles des environs qui n’ont pas la ressource d’un jardin , ou qui ne « savent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité soci
102 . Vers la gare, il y a bien un parc municipal, le jardin d’un couvent désaffecté, mais je n’y vois jamais que des vieillards e
103 ancs de légumes. Or, la vente des produits de son jardin est son seul moyen de gagner.) Carré sur son tabouret de cuisine, le
104 ntifs, et obstinés. Après le déjeuner, flânant au jardin , je me penche par hasard au bord de la terrasse, et voilà que je déco
105 ant une cour à deux étages. On devine un reste de jardin , avec quelques cyprès, une pierre tombale, et la margelle d’un puits.
106 maison de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée
38 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
107 e fermette 3 pièces meublées — 2 grandes cours et jardin  — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route
108 es cours et jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route en face de très grands prés, on peut p
39 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
109 étoiles sont très grosses et molles au-dessus du jardin . Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le
40 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
110 mme une maison prêtée ; avec la maison, il y a un jardin  ; au fond du jardin, cette poule. Elle n’a pas fait parler d’elle dep
111 e ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond du jardin , cette poule. Elle n’a pas fait parler d’elle depuis le mois de novem
41 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
112 he de la ville. Grandes villas et palais dans des jardins , larges avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vend
42 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
113 cet été inclément, nous pouvons profiter du petit jardin de la NRF. C’est un lieu ordonné et aménagé avec goût comme tout ce q
114 ait « penser avec ses mains ». ⁂ Mais revenons au jardin de la NRF, où je suis venue lui parler de l’amour, ou plutôt de L’Amo
43 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
115 vraie femme déjà mais femme inaccessible dans son jardin givré d’allégories. Danger, Male-Bouche et Honte défendent Bel Accuei
116 z-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses parfums se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « V
117 r qui réveille les amours, — Aspire à travers mon jardin  — Et que s’en répandent les odeurs. » (Cantico, XXVI.) 154. José Ort
44 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
118 lden à l’accusé. Il dit avoir donné pour gage son jardin . Maintenant le plaignant veut acquitter sa dette, mais l’accusé, que
119 te, mais l’accusé, que voilà, refuse de rendre le jardin , disant qu’il s’agissait non pas d’un prêt mais d’un achat. Le pla
120 d’un achat. Le plaignant. —  Il m’a volé ! Mon jardin vaut au moins 300 gulden. Voilà pourquoi il veut le garder ! L’acc
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
121 vraie femme déjà mais femme inaccessible dans son jardin givré d’allégories. Danger, Male-Bouche et Honte défendent Bel Accuei
122 z-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses parfums se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « V
123 r qui réveille les amours, — Aspire à travers mon jardin  — Et que s’en répandent les odeurs. » (Cantico, XXVI.) 172. José Ort
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
124 vraie femme déjà mais femme inaccessible dans son jardin givré d’allégories. Danger, Male-Bouche et Honte défendent Bel Accuei
125 z-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses parfums se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « V
126 r qui réveille les amours, — Aspire à travers mon jardin  — Et que s’en répandent les odeurs. » (Cantico, XXVI.) 161. José Ort
47 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
127 s douanier. Il cultive aujourd’hui un merveilleux jardin , dans un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins. Pendant
128 sur le même ton du grand panda, le nouvel hôte du Jardin des Plantes, et du dernier livre de Huizinga, qui nous parvint hier d
48 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
129 C’était l’été, nous traversions des vergers, des jardins et des fermes, dans la grande liberté militaire, pénétrant dans l’int
49 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
130 raboles (1er octobre 1941)b I. À la porte du jardin Il y a mille chambres au Palais, mille lits pour y rêver, mille po
131 e jour naît dans la pluie. Le Palais disparu, les jardins dévastés, il est vêtu des voiles, elle tremble nue. — Où se cacher en
132 s tirer ! b. « Trois paraboles : À la porte du jardin , Le marché de l’aube, Le coup de pistolet », Lettres françaises, Buen
50 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
133 dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin  ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
134 au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin . Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a d
135 is quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin , Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, d
136 . On sort, la dame la première ; et sitôt dans le jardin , conclut Jung, eh bien… les oiseaux l’attaquaient ! 1. Genèse 3, 1
51 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
137 rent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de
138 a face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin . Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répond
139 s-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin , et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éte
52 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
140 dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin  ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
141 au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin . Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a d
142 is quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin , Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, d
143 trevenir au plan d’ensemble et aux ordonnances du Jardin  ; en d’autres termes, c’était tricher avec les lois de la Création, o
144 vers la divinité, Adam et Ève débouchent hors du Jardin , dans le désert au sol maudit. Pour avoir voulu dépasser l’état d’ima
145 . On sort, la dame la première ; et sitôt dans le jardin , conclut Jung, « eh bien… les oiseaux l’attaquaient ! » 1. Dans so
53 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
146 oire du Grand Vizir qui rencontre la Mort dans un jardin de Téhéran. Elle lui fait un petit signe énigmatique. Épouvanté, le V
54 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
147 rent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de
148 a face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin . Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répond
149 s-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin , et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éte
55 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
150 dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin  ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
151 au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin . Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a d
152 is quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin , Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, d
153 trevenir au plan d’ensemble et aux ordonnances du Jardin  ; en d’autres termes, c’était tricher avec les lois de la Création, o
154 vers la divinité, Adam et Ève débouchent hors du Jardin , dans le désert au sol maudit. Pour avoir voulu dépasser l’état d’ima
155 . On sort, la dame la première ; et sitôt dans le jardin , conclut Jung, « eh bien… les oiseaux l’attaquaient ! » 2. Dans so
56 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
156 oire du Grand Vizir qui rencontre la Mort dans un jardin de Téhéran. Elle lui fait un petit signe énigmatique. Épouvanté, le V
57 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
157 rent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de
158 a face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin . Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répond
159 s-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin , et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éte
58 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
160 e Vienne, élégantes passions égarées, musique aux jardins jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandr
59 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
161 dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin  ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
162 au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin . Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a d
163 is quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin , Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, d
60 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
164 rent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de
165 a face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin . Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répond
166 s-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin , et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éte
61 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
167 ew York, et voici les balcons, les terrasses, les jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu, qu
62 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
168 des comédies, des drames, des ameublements ou des jardins comme nous pouvons en voir sans l’aide d’une caméra, et sur les rythm
63 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
169 ligion, finance, livres, théâtre, correspondance, jardin , etc. Mais le fait est qu’une dépêche de Paris, par un correspondant
64 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
170 baroque, en marbre blanc ; et vis-à-vis, dans un jardin , une église anglo-catholique, toute encombrée de poutres et d’images 
65 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
171 s milliardaires et les acteurs. Et tout près, ces jardins suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. Elles se
66 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
172 s milliardaires et les acteurs. Et tout près, ces jardins suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. Elles se
67 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
173 s douanier. Il cultive aujourd’hui un merveilleux jardin , dans un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins. Pendant
174 sur le même ton du grand panda, le nouvel hôte du Jardin des Plantes, et du dernier livre de Huizinga, qui nous parvint hier d
68 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
175 e Vienne, élégantes passions égarées, musique aux jardins jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandr
69 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
176 s six pièces et cuisine d’un cottage entouré d’un jardin , à Forest Hills (Long Island). La vie américaine commence à m’amuser.
70 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
177 ew York, et voici les balcons, les terrasses, les jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu, qu
71 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
178 s milliardaires et les acteurs. Et tout près, ces jardins suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. Elles se
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
179 . (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.) Jardin anglais. Soudain, des pelouses filent à gauche et à droite entre des
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
180 n balcon, entre deux hautes colonnes, je vois des jardins florentins doucement lumineux, une vasque et des buis éclairés par-de
181 une vasque et des buis éclairés par-dedans. Côté jardin , côté « cour »… Mais de quoi s’agit-il dans cette intrigue monotone e
182 du philosophe, on m’entraîne par le bras vers les jardins . Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasque, dans un théât
183  Des rires en cape de velours s’enfuient vers les jardins .) Qu’il y ait eu ce regard, et que personne ne l’ait vu ! Ils ne save
184 silence nouveau, nous entendons nos pas jusqu’aux jardins tendus en tapisserie entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
185 oici que cèdent les amarres des pelouses, tout le jardin monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bor
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
186 rend le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa baroque as
187 tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un jardin public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
188 son quartier universitaire tout rajeuni dans des jardins luisants ne m’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
189 x élégances bourgeoises et militaires, idylles de jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
190 s lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des jardins  ! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
191 es marches enfouies sous les branches folles : le jardin est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brû
192 de penser au fil du désordre lent de la vie d’un jardin , dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses.
193 e passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes b
194 Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin , du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nou
195 lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
196 t d’éclats du couchant sur une fenêtre, jusqu’aux jardins abandonnés d’un palais fou au bord du lac de Garde ; puis plus tard,
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
197 là du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce jardin et cette île, seront miens selon la puissance avec laquelle j’en saur
198 enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin . Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
199 . De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le c
200 es gens. — Le village se termine au bout de notre jardin . Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne
201 j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du jardin . C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
202 pour recouvrir les routes et les allées de leurs jardins . Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essaierai cela. La To
203 lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au jardin , tous ces jours. Labouré et dessiné des planches, arraché de vieilles
204 et digne poule noire qui habite seule au bout du jardin . Elle y est pourtant depuis notre arrivée, héritée du propriétaire. N
205 tout à l’heure pour me donner un coup de main au jardin (je rapprends avec plaisir les petits trucs de plantage que je savais
206 a un grand bonheur dans la lumière qui baigne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison plus claire que le ciel vid
207 étoiles sont très grosses et molles au-dessus du jardin . Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le
208 mai 1934 Nous mangeons les premiers légumes du jardin  : salades et radis. Pour les carottes, il faut encore attendre, et le
209 elle ne changera guère… Mais il y a le travail au jardin  : enfin, une chose qui rassure du seul fait qu’elle donne des résulta
210 est fixe, à toute vitesse ! 5 juin 1934 Le jardin à sept heures du matin. Chaque jour, nous le découvrons ! Touffu, feu
211 sein, vient parfois s’installer sur une chaise du jardin , et parle un peu de l’au-delà, et d’un sermon du curé, mais cela s’ég
212 d’interrompre cette page pour faire mes adieux au jardin . Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont monté, le ca
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
213 ’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin , étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hau
214 lles des environs qui n’ont pas la ressource d’un jardin , ou qui ne « savent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité soci
215 . Vers la gare, il y a bien un parc municipal, le jardin d’un couvent désaffecté, mais je n’y vois jamais que vieillards en pa
216 ancs de légumes. Or, la vente des produits de son jardin est son seul moyen de gagner.) Carré sur son tabouret de cuisine, le
217 tifs, et obstinés. Après le déjeuner, flânant au jardin , je me penche par hasard au bord de la terrasse, et voilà que je déco
218 ant une cour à deux étages. On devine un reste de jardin , avec quelques cyprès, une pierre tombale, et la margelle d’un puits.
219 maison de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
220 e fermette 3 pièces meublées — 2 grandes cours et jardin  — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route
221 es cours et jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route en face de très grands prés, on peut p
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
222 he de la ville. Grandes villas et palais dans des jardins , larges avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vend
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
223 s douanier. Il cultive aujourd’hui un merveilleux jardin , dans un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins. Pendant
224 sur le même ton du grand panda, le nouvel hôte du Jardin des Plantes, et du dernier livre de Huizinga, qui nous parvint hier d
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
225 e Vienne, élégantes passions égarées, musique aux jardins jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandr
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
226 s six pièces et cuisine d’un cottage entouré d’un jardin , à Forest Hills (Long Island). La vie américaine commence à m’amuser.
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
227 ui, un château anglais entouré de terrasses et de jardins à la française, statues, pièces d’eau et boulingrins. Le ciel est som
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
228 ew York, et voici les balcons, les terrasses, les jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu, qu
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
229 s milliardaires et des acteurs. Et tout près, ces jardins suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. L’une se
87 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
230 bituel des étudiants. Il m’apporte un fauteuil de jardin près du sien. Et nous parlons de l’Amérique, dont Einstein est devenu
88 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
231 is-à-vis de la communauté. Car dans ce cas, notre jardin nous suffirait. Mais nous n’en parlerions pas non plus si nous pensio
89 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
232 igion, finance, livres, théâtre, correspondances, jardins , etc. Ce qui pose chaque jour aux rédacteurs d’un journal américain,
233 des comédies, des drames, des ameublements ou des jardins comme nous pouvons en voir sans l’aide d’une caméra, et sur les rythm
234 baroque, en marbre blanc ; et vis-à-vis, dans un jardin , une église anglo-catholique, tout encombrée de poutres et d’images :
90 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
235 minée de briques, ses volets bleus ou rouges, son jardin sans rocaille ni clôtures. Et je parle des maisons d’ouvriers, de pet
91 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
236 Il me fit asseoir près de lui dans un fauteuil de jardin , et nous nous mîmes à parler de l’Amérique, de la Russie et de la bom
92 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
237 e au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du vil
238 , environné de collines pointues et de valses aux jardins publics — là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel, qu
93 1948, Suite neuchâteloise. VII
239 e au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du vil
240 , environné de collines pointues et de valses aux jardins publics — là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel, qu
94 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
241 la campagne anglaise… J’y pensais hier, dans mon jardin , tout en cherchant des œufs de Pâques avec mes enfants, et je me disa
242 e neige sous le soleil d’avril. Imaginez ce grand jardin de l’Europe où vous pourriez circuler librement, sans passeports ni v
95 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
243 de brume. Aux bords de ce ruisseau qui longe mon jardin , qui l’inonde aux crues de printemps, Chateaubriand passa des heures
244 Jura, entre le xviiie et notre siècle, entre ces jardins de Candide et cette Bourse des valeurs de toute l’Europe (et déjà de
96 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
245 nier mètre carré de terrain disponible, pelouses, jardins et même jardins publics. Au bout de cinq ans, le plan Wahlen, s’il n’
246 de terrain disponible, pelouses, jardins et même jardins publics. Au bout de cinq ans, le plan Wahlen, s’il n’avait pas rendu
97 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
247 de brume. Aux bords de ce ruisseau qui longe mon jardin , qui l’inonde aux crues de printemps, Chateaubriand passa des heures
248 jura, entre le xviiie et notre siècle, entre ces jardins de Candide et cette Bourse des valeurs de toute l’Europe qui fait sa
98 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
249 entre le frère et la sœur qui s’aiment, dans leur jardin où choit sans fin du haut des arbres sur le vert assombri des pelouse
250 on certains, le couronnement de l’œuvre. Ainsi le Jardin clos de la présence mystique eût pris la place de l’Île de la passion
251 r s’évanouir ensuite comme des îles dépassées, ce Jardin clos serait l’Ithaque d’une moderne odyssée spirituelle. Mais cette p
99 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
252 entre le frère et la sœur qui s’aiment, dans leur jardin où choit sans fin du haut des arbres sur le vert assombri des pelouse
253 on certains, le couronnement de l’œuvre. Ainsi le Jardin clos de la présence mystique eût pris la place de l’Ile de la passion
254 r s’évanouir ensuite comme des îles dépassées, ce Jardin clos serait l’Ithaque d’une moderne Odyssée spirituelle. Mais cette p
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
255 n’y aura plus de déserts ; toute la terre sera un jardin . L’Orient et l’Occident s’embrasseront au champ de la Fédération. E