1
Puis s’étendent les quartiers de résidence ; les
jardins
suspendus à tous les étages soulignent de verdure l’horizontale des t
2
. C’est le film du type « Jeux de soleil dans les
jardins
, complets variés, ça fait toujours plaisir de voir des gens bien habi
3
omba parmi les statues, dans l’amitié pensive des
jardins
. Une fenêtre s’était ouverte et des accords échappés tombaient, les a
4
ostalgie de Bouvier l’entraîne à mille lieues des
jardins
de sourires qui s’épanouissent sur les toiles de Meuron. Il semble to
5
s et le prétexte d’un apéro, on entre ici dans le
jardin
des songeries les plus étranges qu’appelle la musique. Je me gardai d
6
Mais l’enfance est ailleurs. Je revois ce fond de
jardin
où l’on trouve des cloportes dans la toile mouillée d’une tente d’Ind
7
dans des absurdités. On a créé par exemple des «
jardins
d’enfants » où l’on apprend à des élèves âgés de 3 à 4 ans à lacer le
8
tits d’hommes comme des plantes de serre dans ces
jardins
d’enfants. On y parle de « l’enfant » comme on parle d’un produit chi
9
Mais l’enfance est ailleurs. Je revois ce fond de
jardin
où l’on trouve des cloportes dans la toile mouillée d’une tente d’Ind
10
dans des absurdités. On a créé par exemple des «
jardins
d’enfants » où l’on apprend à des élèves âgés de 3 à 4 ans à lacer le
11
tits d’hommes comme des plantes de serre dans ces
jardins
d’enfants. On y parle de « l’enfant » comme on parle d’un produit chi
12
e ces effets faciles qu’on aime à ménager dans un
jardin
à la française. Mais vous ne tarderez pas à remarquer que tout, ici,
13
rend le sentier qui monte en zigzag à travers des
jardins
dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa baroque as
14
tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un
jardin
public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
15
son quartier universitaire tout rajeuni dans des
jardins
luisants ne m’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
16
x élégances bourgeoises et militaires, idylles de
jardins
publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
17
s lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des
jardins
! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
18
à fait. Il faut l’accepter. Songez à l’agonie du
Jardin
des Oliviers. Blanche se souvint que Lady Mount-Stratton lui avait di
19
utaient de branche en branche sur le camphrier du
jardin
, joyeux et insouciants. Eiichi se demanda s’il y avait des procureurs
20
n balcon, entre deux hautes colonnes, je vois des
jardins
florentins doucement lumineux, une vasque et des buis éclairés par de
21
une vasque et des buis éclairés par dedans. Côté
jardin
, côté « cour »… Mais de quoi s’agit-il dans cette intrigue monotone
22
de philosophe, on m’entraîne par le bras vers les
jardins
. Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasque, dans un théât
23
Des rires en cape de velours s’enfuient vers les
jardins
.) Qu’il y ait eu ce regard, et que personne ne l’ait vu ! Ils ne save
24
silence nouveau, nous entendons nos pas jusqu’aux
jardins
tendus en tapisserie entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
25
oici que cèdent les amarres des pelouses, tout le
jardin
monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bor
26
rend le sentier qui monte en zigzag à travers des
jardins
dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa ou palais
27
tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un
jardin
public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
28
son quartier universitaire tout rajeuni dans des
jardins
luisants ne m’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
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x élégances bourgeoises et militaires, idylles de
jardins
publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
30
s lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des
jardins
! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
31
es marches enfouies sous les branches folles : le
jardin
est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brû
32
de penser au fil du désordre lent de la vie d’un
jardin
, dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses.
33
e passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
jardin
éveille en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes b
34
Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du
jardin
, du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nou
35
lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un
jardin
aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai
36
. (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.)
Jardin
anglais. Soudain, des pelouses filent à gauche et à droite entre des
37
n balcon, entre deux hautes colonnes, je vois des
jardins
florentins doucement lumineux, une vasque et des buis éclairés par de
38
une vasque et des buis éclairés par dedans. Côté
jardin
, côté « cour »… Mais de quoi s’agit-il dans cette intrigue monotone e
39
du philosophe, on m’entraîne par le bras vers les
jardins
. Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasque, dans un théât
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Des rires en cape de velours s’enfuient vers les
jardins
.) Qu’il y ait eu ce regard, et que personne ne l’ait vu ! Ils ne save
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silence nouveau, nous entendons nos pas jusqu’aux
jardins
tendus en tapisserie entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
42
oici que cèdent les amarres des pelouses, tout le
jardin
monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bor
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rend le sentier qui monte en zigzag à travers des
jardins
dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa ou palais
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tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un
jardin
public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
45
son quartier universitaire tout rajeuni dans des
jardins
luisants ne n’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
46
x élégances bourgeoises et militaires, idylles de
jardins
publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
47
s lieux faciles. Ô tristesse des crémeries et des
jardins
! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
48
. (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.)
Jardin
anglais. Soudain, des pelouses filent à gauche et à droite entre des
49
es marches enfouies sous les branches folles : le
jardin
est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brû
50
de penser au fil du désordre lent de la vie d’un
jardin
, dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses.
51
e passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
jardin
éveille en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes b
52
Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du
jardin
, du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nou
53
lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un
jardin
aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai
54
s milliardaires et des acteurs. Et tout près, ces
jardins
suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. L’une se
55
e au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de
jardins
en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du vil
56
, environné de collines pointues et de valses aux
jardins
publics — là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel, qu
57
richesses du sous-sol ; par une charité dernière,
jardin
public. Mais cette forme grossière de la mutilation cosmique n’est pa
58
s naissent, tableaux, poèmes, symphonies, danses,
jardins
, temples, statues, — visages ! Dans l’enfance de la lumière. L’ima
59
le mettre sur la face d’une maison, aux plis d’un
jardin
… Et encore : Je sentais que ce maître de ses moyens, ce possesseur
60
oment cette ville, ses maisons de campagne et ses
jardins
d’agrément et le large cercle de ses collines et de ses pentes habité
61
rincesse peignant à l’aquarelle, baisers dans les
jardins
pendant le bal, — on s’en veut d’aller jusqu’au bout, mais on y va ir
62
é, énigmatique par endroits. On croit assister du
jardin
à quelque scène intime, entrevue dans une chambre, à travers un ridea
63
’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du
jardin
, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hau
64
lles des environs qui n’ont pas la ressource d’un
jardin
, ou qui ne « savent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité soci
65
. Vers la gare, il y a bien un parc municipal, le
jardin
d’un couvent désaffecté, mais je n’y vois jamais que des vieillards e
66
rancs de légumes. Or la vente des produits de son
jardin
est son seul moyen de gagner). Carré sur son tabouret de cuisine, le
67
intifs et obstinés. Après le déjeuner, flânant au
jardin
, je me penche par hasard au bord de la terrasse, et voilà que je déco
68
ant une cour à deux étages. On devine un reste de
jardin
, avec quelques cyprès, une pierre tombale, et la margelle d’un puits.
69
maison de maître, sur le flanc de la montagne, un
jardin
en terrasses, enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée
70
pour recouvrir les routes et les allées de leurs
jardins
. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essaierai cela. La To
71
là du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce
jardin
et cette île, seront miens selon la puissance avec laquelle j’en saur
72
enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du
jardin
. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
73
. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce
jardin
de curé, qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le
74
es gens. — Le village se termine au bout de notre
jardin
. Passée la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourn
75
j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du
jardin
. C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
76
et digne poule noire qui habite seule au bout du
jardin
. Elle y est pourtant depuis notre arrivée, héritée du propriétaire. N
77
a un grand bonheur dans la lumière qui baigne le
jardin
fleuri, éclate sur la façade de la maison, plus claire que le ciel vi
78
le monde »… Nous mangeons les premiers légumes du
jardin
: salades et radis. Pour les carottes, il faut encore attendre, et le
79
t et reprenant courage. Soudain une femme sort du
jardin
juste en face de lui ; une jeune Dalécarlienne, dans son costume de m
80
enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du
jardin
. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
81
. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce
jardin
de curé qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le c
82
es gens. — Le village se termine au bout de notre
jardin
. Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne
83
j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du
jardin
. C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
84
étoiles sont très grosses et molles au-dessus du
jardin
. Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le
85
là du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce
jardin
et cette île, seront miens selon la puissance avec laquelle j’en saur
86
enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du
jardin
. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
87
. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce
jardin
de curé qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le c
88
es gens. — Le village se termine au bout de notre
jardin
. Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne
89
j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du
jardin
. C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
90
pour recouvrir les routes et les allées de leurs
jardins
. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essaierai cela. La To
91
lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au
jardin
, tous ces jours. Labouré et dessiné des planches, arraché de vieilles
92
et digne poule noire qui habite seule au bout du
jardin
. Elle y est pourtant depuis notre arrivée, héritée du propriétaire. N
93
tout à l’heure pour me donner un coup de main au
jardin
(Je rapprends avec plaisir les petits trucs de plantage que je savais
94
a un grand bonheur dans la lumière qui baigne le
jardin
fleuri, éclate sur la façade de la maison plus claire que le ciel vid
95
le monde »… Nous mangeons les premiers légumes du
jardin
: salades et radis. Pour les carottes, il faut encore attendre, et le
96
elle ne changera guère… Mais il y a le travail au
jardin
: enfin, une chose qui rassure du seul fait qu’elle donne des résulta
97
est fixe, à grande vitesse ! 5 juin 1934 Le
jardin
à 7 heures du matin. Chaque jour, nous le découvrons ! Touffu, feuill
98
sein, vient parfois s’installer sur une chaise du
jardin
, et parle un peu de l’au-delà, et d’un sermon du curé, mais cela s’ég
99
d’interrompre cette page pour faire mes adieux au
jardin
. Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont monté, le ca
100
’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du
jardin
, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hau
101
lles des environs qui n’ont pas la ressource d’un
jardin
, ou qui ne « savent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité soci
102
. Vers la gare, il y a bien un parc municipal, le
jardin
d’un couvent désaffecté, mais je n’y vois jamais que des vieillards e
103
ancs de légumes. Or, la vente des produits de son
jardin
est son seul moyen de gagner.) Carré sur son tabouret de cuisine, le
104
ntifs, et obstinés. Après le déjeuner, flânant au
jardin
, je me penche par hasard au bord de la terrasse, et voilà que je déco
105
ant une cour à deux étages. On devine un reste de
jardin
, avec quelques cyprès, une pierre tombale, et la margelle d’un puits.
106
maison de maître, sur le flanc de la montagne, un
jardin
en terrasses, enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée
107
e fermette 3 pièces meublées — 2 grandes cours et
jardin
— un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route
108
es cours et jardin — un bras de rivière au bas du
jardin
— la maison donne sur la route en face de très grands prés, on peut p
109
étoiles sont très grosses et molles au-dessus du
jardin
. Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le
110
mme une maison prêtée ; avec la maison, il y a un
jardin
; au fond du jardin, cette poule. Elle n’a pas fait parler d’elle dep
111
e ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond du
jardin
, cette poule. Elle n’a pas fait parler d’elle depuis le mois de novem
112
he de la ville. Grandes villas et palais dans des
jardins
, larges avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vend
113
cet été inclément, nous pouvons profiter du petit
jardin
de la NRF. C’est un lieu ordonné et aménagé avec goût comme tout ce q
114
ait « penser avec ses mains ». ⁂ Mais revenons au
jardin
de la NRF, où je suis venue lui parler de l’amour, ou plutôt de L’Amo
115
vraie femme déjà mais femme inaccessible dans son
jardin
givré d’allégories. Danger, Male-Bouche et Honte défendent Bel Accuei
116
z-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon
jardin
pour que ses parfums se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « V
117
r qui réveille les amours, — Aspire à travers mon
jardin
— Et que s’en répandent les odeurs. » (Cantico, XXVI.) 154. José Ort
118
lden à l’accusé. Il dit avoir donné pour gage son
jardin
. Maintenant le plaignant veut acquitter sa dette, mais l’accusé, que
119
te, mais l’accusé, que voilà, refuse de rendre le
jardin
, disant qu’il s’agissait non pas d’un prêt mais d’un achat. Le pla
120
d’un achat. Le plaignant. — Il m’a volé ! Mon
jardin
vaut au moins 300 gulden. Voilà pourquoi il veut le garder ! L’acc
121
vraie femme déjà mais femme inaccessible dans son
jardin
givré d’allégories. Danger, Male-Bouche et Honte défendent Bel Accuei
122
z-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon
jardin
pour que ses parfums se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « V
123
r qui réveille les amours, — Aspire à travers mon
jardin
— Et que s’en répandent les odeurs. » (Cantico, XXVI.) 172. José Ort
124
vraie femme déjà mais femme inaccessible dans son
jardin
givré d’allégories. Danger, Male-Bouche et Honte défendent Bel Accuei
125
z-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon
jardin
pour que ses parfums se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « V
126
r qui réveille les amours, — Aspire à travers mon
jardin
— Et que s’en répandent les odeurs. » (Cantico, XXVI.) 161. José Ort
127
s douanier. Il cultive aujourd’hui un merveilleux
jardin
, dans un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins. Pendant
128
sur le même ton du grand panda, le nouvel hôte du
Jardin
des Plantes, et du dernier livre de Huizinga, qui nous parvint hier d
129
C’était l’été, nous traversions des vergers, des
jardins
et des fermes, dans la grande liberté militaire, pénétrant dans l’int
130
raboles (1er octobre 1941)b I. À la porte du
jardin
Il y a mille chambres au Palais, mille lits pour y rêver, mille po
131
e jour naît dans la pluie. Le Palais disparu, les
jardins
dévastés, il est vêtu des voiles, elle tremble nue. — Où se cacher en
132
s tirer ! b. « Trois paraboles : À la porte du
jardin
, Le marché de l’aube, Le coup de pistolet », Lettres françaises, Buen
133
dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du
jardin
? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
134
au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
jardin
. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a d
135
is quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du
jardin
, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, d
136
. On sort, la dame la première ; et sitôt dans le
jardin
, conclut Jung, eh bien… les oiseaux l’attaquaient ! 1. Genèse 3, 1
137
rent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le
jardin
vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de
138
a face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du
jardin
. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répond
139
s-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le
jardin
, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éte
140
dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du
jardin
? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
141
au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
jardin
. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a d
142
is quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du
jardin
, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, d
143
trevenir au plan d’ensemble et aux ordonnances du
Jardin
; en d’autres termes, c’était tricher avec les lois de la Création, o
144
vers la divinité, Adam et Ève débouchent hors du
Jardin
, dans le désert au sol maudit. Pour avoir voulu dépasser l’état d’ima
145
. On sort, la dame la première ; et sitôt dans le
jardin
, conclut Jung, « eh bien… les oiseaux l’attaquaient ! » 1. Dans so
146
oire du Grand Vizir qui rencontre la Mort dans un
jardin
de Téhéran. Elle lui fait un petit signe énigmatique. Épouvanté, le V
147
rent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le
jardin
vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de
148
a face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du
jardin
. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répond
149
s-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le
jardin
, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éte
150
dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du
jardin
? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
151
au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
jardin
. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a d
152
is quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du
jardin
, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, d
153
trevenir au plan d’ensemble et aux ordonnances du
Jardin
; en d’autres termes, c’était tricher avec les lois de la Création, o
154
vers la divinité, Adam et Ève débouchent hors du
Jardin
, dans le désert au sol maudit. Pour avoir voulu dépasser l’état d’ima
155
. On sort, la dame la première ; et sitôt dans le
jardin
, conclut Jung, « eh bien… les oiseaux l’attaquaient ! » 2. Dans so
156
oire du Grand Vizir qui rencontre la Mort dans un
jardin
de Téhéran. Elle lui fait un petit signe énigmatique. Épouvanté, le V
157
rent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le
jardin
vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de
158
a face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du
jardin
. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répond
159
s-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le
jardin
, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éte
160
e Vienne, élégantes passions égarées, musique aux
jardins
jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandr
161
dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du
jardin
? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
162
au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du
jardin
. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a d
163
is quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du
jardin
, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, d
164
rent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le
jardin
vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de
165
a face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du
jardin
. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répond
166
s-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le
jardin
, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éte
167
ew York, et voici les balcons, les terrasses, les
jardins
suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu, qu
168
des comédies, des drames, des ameublements ou des
jardins
comme nous pouvons en voir sans l’aide d’une caméra, et sur les rythm
169
ligion, finance, livres, théâtre, correspondance,
jardin
, etc. Mais le fait est qu’une dépêche de Paris, par un correspondant
170
baroque, en marbre blanc ; et vis-à-vis, dans un
jardin
, une église anglo-catholique, toute encombrée de poutres et d’images
171
s milliardaires et les acteurs. Et tout près, ces
jardins
suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. Elles se
172
s milliardaires et les acteurs. Et tout près, ces
jardins
suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. Elles se
173
s douanier. Il cultive aujourd’hui un merveilleux
jardin
, dans un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins. Pendant
174
sur le même ton du grand panda, le nouvel hôte du
Jardin
des Plantes, et du dernier livre de Huizinga, qui nous parvint hier d
175
e Vienne, élégantes passions égarées, musique aux
jardins
jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandr
176
s six pièces et cuisine d’un cottage entouré d’un
jardin
, à Forest Hills (Long Island). La vie américaine commence à m’amuser.
177
ew York, et voici les balcons, les terrasses, les
jardins
suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu, qu
178
s milliardaires et les acteurs. Et tout près, ces
jardins
suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. Elles se
179
. (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.)
Jardin
anglais. Soudain, des pelouses filent à gauche et à droite entre des
180
n balcon, entre deux hautes colonnes, je vois des
jardins
florentins doucement lumineux, une vasque et des buis éclairés par-de
181
une vasque et des buis éclairés par-dedans. Côté
jardin
, côté « cour »… Mais de quoi s’agit-il dans cette intrigue monotone e
182
du philosophe, on m’entraîne par le bras vers les
jardins
. Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasque, dans un théât
183
Des rires en cape de velours s’enfuient vers les
jardins
.) Qu’il y ait eu ce regard, et que personne ne l’ait vu ! Ils ne save
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silence nouveau, nous entendons nos pas jusqu’aux
jardins
tendus en tapisserie entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
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oici que cèdent les amarres des pelouses, tout le
jardin
monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bor
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rend le sentier qui monte en zigzag à travers des
jardins
dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa baroque as
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tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un
jardin
public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
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son quartier universitaire tout rajeuni dans des
jardins
luisants ne m’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
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x élégances bourgeoises et militaires, idylles de
jardins
publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
190
s lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des
jardins
! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
191
es marches enfouies sous les branches folles : le
jardin
est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brû
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de penser au fil du désordre lent de la vie d’un
jardin
, dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses.
193
e passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
jardin
éveille en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes b
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Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du
jardin
, du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nou
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lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un
jardin
aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai
196
t d’éclats du couchant sur une fenêtre, jusqu’aux
jardins
abandonnés d’un palais fou au bord du lac de Garde ; puis plus tard,
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là du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce
jardin
et cette île, seront miens selon la puissance avec laquelle j’en saur
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enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du
jardin
. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
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. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce
jardin
de curé qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le c
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es gens. — Le village se termine au bout de notre
jardin
. Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne
201
j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du
jardin
. C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
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pour recouvrir les routes et les allées de leurs
jardins
. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essaierai cela. La To
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lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au
jardin
, tous ces jours. Labouré et dessiné des planches, arraché de vieilles
204
et digne poule noire qui habite seule au bout du
jardin
. Elle y est pourtant depuis notre arrivée, héritée du propriétaire. N
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tout à l’heure pour me donner un coup de main au
jardin
(je rapprends avec plaisir les petits trucs de plantage que je savais
206
a un grand bonheur dans la lumière qui baigne le
jardin
fleuri, éclate sur la façade de la maison plus claire que le ciel vid
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étoiles sont très grosses et molles au-dessus du
jardin
. Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le
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mai 1934 Nous mangeons les premiers légumes du
jardin
: salades et radis. Pour les carottes, il faut encore attendre, et le
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elle ne changera guère… Mais il y a le travail au
jardin
: enfin, une chose qui rassure du seul fait qu’elle donne des résulta
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est fixe, à toute vitesse ! 5 juin 1934 Le
jardin
à sept heures du matin. Chaque jour, nous le découvrons ! Touffu, feu
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sein, vient parfois s’installer sur une chaise du
jardin
, et parle un peu de l’au-delà, et d’un sermon du curé, mais cela s’ég
212
d’interrompre cette page pour faire mes adieux au
jardin
. Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont monté, le ca
213
’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du
jardin
, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hau
214
lles des environs qui n’ont pas la ressource d’un
jardin
, ou qui ne « savent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité soci
215
. Vers la gare, il y a bien un parc municipal, le
jardin
d’un couvent désaffecté, mais je n’y vois jamais que vieillards en pa
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ancs de légumes. Or, la vente des produits de son
jardin
est son seul moyen de gagner.) Carré sur son tabouret de cuisine, le
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tifs, et obstinés. Après le déjeuner, flânant au
jardin
, je me penche par hasard au bord de la terrasse, et voilà que je déco
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ant une cour à deux étages. On devine un reste de
jardin
, avec quelques cyprès, une pierre tombale, et la margelle d’un puits.
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maison de maître, sur le flanc de la montagne, un
jardin
en terrasses, enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée
220
e fermette 3 pièces meublées — 2 grandes cours et
jardin
— un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route
221
es cours et jardin — un bras de rivière au bas du
jardin
— la maison donne sur la route en face de très grands prés, on peut p
222
he de la ville. Grandes villas et palais dans des
jardins
, larges avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vend
223
s douanier. Il cultive aujourd’hui un merveilleux
jardin
, dans un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins. Pendant
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sur le même ton du grand panda, le nouvel hôte du
Jardin
des Plantes, et du dernier livre de Huizinga, qui nous parvint hier d
225
e Vienne, élégantes passions égarées, musique aux
jardins
jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandr
226
s six pièces et cuisine d’un cottage entouré d’un
jardin
, à Forest Hills (Long Island). La vie américaine commence à m’amuser.
227
ui, un château anglais entouré de terrasses et de
jardins
à la française, statues, pièces d’eau et boulingrins. Le ciel est som
228
ew York, et voici les balcons, les terrasses, les
jardins
suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu, qu
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s milliardaires et des acteurs. Et tout près, ces
jardins
suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. L’une se
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bituel des étudiants. Il m’apporte un fauteuil de
jardin
près du sien. Et nous parlons de l’Amérique, dont Einstein est devenu
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is-à-vis de la communauté. Car dans ce cas, notre
jardin
nous suffirait. Mais nous n’en parlerions pas non plus si nous pensio
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igion, finance, livres, théâtre, correspondances,
jardins
, etc. Ce qui pose chaque jour aux rédacteurs d’un journal américain,
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des comédies, des drames, des ameublements ou des
jardins
comme nous pouvons en voir sans l’aide d’une caméra, et sur les rythm
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baroque, en marbre blanc ; et vis-à-vis, dans un
jardin
, une église anglo-catholique, tout encombrée de poutres et d’images :
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minée de briques, ses volets bleus ou rouges, son
jardin
sans rocaille ni clôtures. Et je parle des maisons d’ouvriers, de pet
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Il me fit asseoir près de lui dans un fauteuil de
jardin
, et nous nous mîmes à parler de l’Amérique, de la Russie et de la bom
237
e au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de
jardins
en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du vil
238
, environné de collines pointues et de valses aux
jardins
publics — là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel, qu
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e au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de
jardins
en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du vil
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, environné de collines pointues et de valses aux
jardins
publics — là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel, qu
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la campagne anglaise… J’y pensais hier, dans mon
jardin
, tout en cherchant des œufs de Pâques avec mes enfants, et je me disa
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e neige sous le soleil d’avril. Imaginez ce grand
jardin
de l’Europe où vous pourriez circuler librement, sans passeports ni v
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de brume. Aux bords de ce ruisseau qui longe mon
jardin
, qui l’inonde aux crues de printemps, Chateaubriand passa des heures
244
Jura, entre le xviiie et notre siècle, entre ces
jardins
de Candide et cette Bourse des valeurs de toute l’Europe (et déjà de
245
nier mètre carré de terrain disponible, pelouses,
jardins
et même jardins publics. Au bout de cinq ans, le plan Wahlen, s’il n’
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de terrain disponible, pelouses, jardins et même
jardins
publics. Au bout de cinq ans, le plan Wahlen, s’il n’avait pas rendu
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de brume. Aux bords de ce ruisseau qui longe mon
jardin
, qui l’inonde aux crues de printemps, Chateaubriand passa des heures
248
jura, entre le xviiie et notre siècle, entre ces
jardins
de Candide et cette Bourse des valeurs de toute l’Europe qui fait sa
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entre le frère et la sœur qui s’aiment, dans leur
jardin
où choit sans fin du haut des arbres sur le vert assombri des pelouse
250
on certains, le couronnement de l’œuvre. Ainsi le
Jardin
clos de la présence mystique eût pris la place de l’Île de la passion
251
r s’évanouir ensuite comme des îles dépassées, ce
Jardin
clos serait l’Ithaque d’une moderne odyssée spirituelle. Mais cette p
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entre le frère et la sœur qui s’aiment, dans leur
jardin
où choit sans fin du haut des arbres sur le vert assombri des pelouse
253
on certains, le couronnement de l’œuvre. Ainsi le
Jardin
clos de la présence mystique eût pris la place de l’Ile de la passion
254
r s’évanouir ensuite comme des îles dépassées, ce
Jardin
clos serait l’Ithaque d’une moderne Odyssée spirituelle. Mais cette p
255
n’y aura plus de déserts ; toute la terre sera un
jardin
. L’Orient et l’Occident s’embrasseront au champ de la Fédération. E