1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 sont pas dites en vain. Stades que parcourent de jeunes et purs courages, donnez-moi votre silence jusqu’à l’heure. Que je ta
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
2 riorité au machinisme, et la déplorent. Plusieurs jeunes songent que dans une Europe vieillie, les parfums puissants de l’Asie
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 frappant dans les générations nouvelles. Toute la jeune littérature décrit un type d’homme profondément antisocial, glorifie
4 r, l’un des derniers venus, Marcel Arland, — plus jeune , il n’a pas fait la guerre — c’est le même désenchantement précoce, s
5 squisser. Mais on trouve tout dans les livres des jeunes , dites-vous, le pire et le meilleur, toutes les vieilleries morales e
6 une folie de s’emballer. La plupart des romans de jeunes qui se situent entre Gide et Aragon nous montrent le même personnage 
7 ite. Tel est l’état d’esprit de la plupart de nos jeunes moralistes. Le mot de paradoxe serait bien pauvre pour expliquer ce b
8 iques. Mais que nos moralistes — presque tous les jeunes écrivains — se souviennent de penser en fonction du temps présent, so
9 ulait…) o. « Adieu, beau désordre… (Notes sur la jeune littérature et la morale) », Bibliothèque universelle et Revue de Gen
4 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
10 travaux. Avec la conférence de M. Jean Cadier, un jeune pasteur français, on descendit — ou l’on monta suivant M. A. Léo — du
5 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
11 du printemps —, l’heure est venue de la violence. Jeunes tempêtes, lavez, bousculez ! La parole est aux instincts combatifs et
6 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
12 eux. Ce récit des premiers combats de taureaux du jeune Montherlant est en réalité un nouveau tome de ses mémoires lyriques.
13 est « par la divination de cet amour qu’Alban (le jeune héros du récit) sent ce que sent la bête en même temps qu’elle. Et pa
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
14 nstruction et de synthèse qui se dessine chez les jeunes écrivains d’aujourd’hui. La « critique philosophique » qu’il voudrait
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
15 le rêve d’un idéal de fortune, idole naïve de ma jeune angoisse… Je t’ai mieux aimée ; d’autres soirs, alors qu’une symphoni
9 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
16 ’autres, avant tant d’autres. « Amis, ce sont les jeunes qui passent… » Pas question de les saluer ni d’emboîter le pas, mais
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
17 mpérament le plus hardi et le plus original de la jeune littérature française. Il le proclame « J’appartiens à la grande race
11 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
18 r ne ressent plus, il suffit de quelques mois aux jeunes époux de la Maladère pour se déprendre de leurs rêves. Un malentendu
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
19 n’y avait que des dames. Personne ne parlait. La jeune femme qui s’était penchée vous ressemblait tant. Mais je n’osais pres
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
20 t final de « Cinématoma ou les épanchements de la jeune Synovie », parade « née du mariage de nos veilles et de nos rêves »,
14 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
21 tion naturelle a rapproché, dans sa maturité, des jeunes générations, en sorte que l’espèce de romantisme à la Nerval auquel i
22 lui-même s’est plu à relever les indices chez ses jeunes contemporains, et qu’il vient appuyer de son autorité de critique et
23 d se promène sur le même monde où se plaisent nos jeunes poètes cosmopolites, mais il garde une certaine discrétion, cet air d
24 vois un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus jeune , lequel envoie l’un de ses personnages pour remercier ; (pouvait-il m
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
25 ure. « Il s’y retrouve. » Il pense que c’est bien jeune . Et : encore un qui rue dans les brancards, c’est très bellettrien. U
16 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
26 Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)j Neuchâtel va-t-elle redevenir
27 nécessaires à ce regroupement existe : il y a de jeunes peintres neuchâtelois. Quant à savoir s’il est possible déjà de disce
28 de combat nécessaire au développement de certains jeunes tempéraments leur fait défaut dans la même mesure. Ainsi risquent de
29 ales, et qui forme ailleurs le premier public des jeunes artistes, n’existant pas ici, le peintre se trouve placé d’emblée en
30 Un jour en effet l’on apprend que tel tableau de jeune est « coté » chez un gros marchand. Aussitôt, les feuilles locales re
31 s dont nous allons parler méritent d’être appelés jeunes , c’est par leurs œuvres avant tout. D’autre part je préfère la légend
32 e l’histoire : au seuil d’un article consacré aux jeunes artistes neuchâtelois, je vous présente Conrad Meili, un Zurichois qu
33 omper plus. ⁂ À vrai dire j’en vois peu parmi les jeunes qui vouent tout leur amour à la peinture pure. Je crois même que, Pau
34 on mari). Et puis voici François Barraud, le plus jeune des frères. Il vient apporter des dessins qui ressemblent beaucoup au
35 nnées d’avance sur ses contemporains. Un jour les jeunes le rattrapent. Salutations, présentations : « André Evard. — Les jeun
36 Salutations, présentations : « André Evard. — Les jeunes peintres. — Vous suivez la même route que nous ? À la bonne heure ! »
37 elons le souvenir de Charles Harder, qui est mort jeune , sans avoir pu donner toute sa mesure. Il a laissé surtout des dessin
38 fait qu’affirmer l’existence et la vitalité d’une jeune peinture originale dans un pays qu’on s’est trop souvent plu à dire s
39 u dans le numéro de février de cette revue. j. «  Jeunes artistes neuchâtelois », Das Werk, Zurich, vol. 14, avril 1927, p. 12
17 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
40 même, on est bien heureux de rencontrer chez les jeunes écrivains français un homme qui ait à ce point le sens de l’époque, u
18 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
41 vous ce que mes principes peuvent avoir de « bien jeune  », de banal presque, et, pis, d’agréablement paradoxal. Seulement, po
19 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
42 paraissent entraîner assez naturellement chez des jeunes « et qui pensent » ce goût de l’évasion caractéristique de tous les «
20 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
43 ienne. Entre hier et demain : Une femme « encore jeune  » se souvient d’un danseur de ses 20 ans, d’une aventure qui aurait p
44 vocation toute nervalienne en sa nostalgie, de la jeune étrangère dont on rêve à 15 ans ; et voici ce je ne sais quoi, ce dél
21 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
45 Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)ap Un jeune auteur raconte dans une lettre à une amie comment il a écrit, sur com
22 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
46 s cours de l’Europe centrale, qu’elle subit comme jeune épouse d’un comte polonais, grand seigneur médiatisé, vaguement préte
23 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
47 ieux qui les revêtiraient. Vint à pas pressés une jeune femme, chapeau rouge et manteau de fourrure brune, inévitablement. Et
48 ui se passa fut, hélas, non moins inévitable : la jeune femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder a
49 tes athlétiques et la silhouette échassière de la jeune duchesse de Clam-Clamannsfeld dont le manteau de velours rose laissai
24 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
50 (belles). Il est même un des très rares parmi les jeunes qui ait vraiment donné quelque chose. C’est pourquoi j’ai lu ce livre
25 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
51 évadé, on le traque à Paris même… Il subjugue le jeune Français par ces évocations et l’espèce de fièvre qu’il y apporte. Ma
26 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
52 Il ajoute : « j’ai eu la chance de discerner très jeune , avec une clairvoyance singulière, mes propres limites, et j’ai eu la
27 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
53 yent lentement dans la musique. Je n’aime pas les jeunes Doktors à lunettes, en costume de bain, qui pagayent vigoureusement,
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
54 a surtout de la nervosité, de petites douleurs de jeunes bourgeois. Essayer de venir me dire ça chez moi, n’est-ce pas, mes ag
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
55 a surtout de la nervosité, de petites douleurs de jeune bourgeois. Essayez de venir me dire ça chez moi, n’est-ce pas, mes ag
30 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
56 a main rapide et minutieuse, décrire la vallée du jeune Rhin ou les pentes de Chésières en les parant d’une grâce malicieuse
31 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
57 oit la famille indignée, une mère qui souffre, un jeune frère qui rêve. Le livre se résout dans une amertume vague. Ceux qui
32 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
58 nes pour demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à
33 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
59 qu’on n’a coutume d’en attendre aujourd’hui d’un jeune écrivain. Son premier roman, Les Conquérants, décrivait la révolution
60 la valeur qu’il prend dans l’esprit des héros. Un jeune Français a décidé d’aller fouiller les temples en ruines de la Voie r
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
61 anifeste et commente. Son sujet : le voyage d’un jeune normalien marxiste. Citons quelques phrases qui donneront le ton et l
62 t une attitude de plus en plus fréquente chez les jeunes intellectuels : orgueil de la Vie, haine de cette vie-ci, mépris de l
63 udiants protestants, et que la Nouvelle Revue des jeunes publie dans son numéro du 15 février15. M. Marcel analyse trois attit
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
64 mariage avec le prince Roccapalumba, puis avec un jeune lord ; toute l’existence d’une femme qui ne cesse, jusqu’à sa dernièr
36 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
65 e petite paroisse presbytérienne était le chef du Jeune Japon, l’initiateur de réformes de grande envergure, commencées dans
37 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
66 ser qu’il écrivit en préface au livre récent d’un jeune aviateur, Antoine de Saint-Exupéry. (Mais par quoi tiendra-t-il à les
38 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
67 les biographes. On a souvent rappelé l’amitié du jeune bourgeois de Francfort et de la sage et très fervente Mlle de Kletten
68 r de purement « étrange » ont à peine enfiévré le jeune Goethe, que déjà la faiblesse du corps le ramène à l’aspect concret d
69 z la dialectique faustienne dans la vie d’un être jeune et libre encore de toute contrainte sociale, culturelle, voire physio
70 mais quel écho n’eût-il pas éveillé dans l’âme du jeune ministre de 32 ans, adonné vers ce temps au plus dur effort d’organis
39 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
71 e qui fit quelque bruit37 les débuts piétistes du jeune Goethe et la part active qu’il prit aux réunions de « belles âmes » s
40 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
72 groupe de Réaction (Thierry Maulnier) ; chez les jeunes protestants, le groupe barthien de Hic et Nunc ; chez les poètes phil
41 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
73 épondre. Il est curieux de tout ce que font « les jeunes  ». Il a été jeune, lui aussi. Du moins il l’affirme. — Pourquoi je ne
74 ieux de tout ce que font « les jeunes ». Il a été jeune , lui aussi. Du moins il l’affirme. — Pourquoi je ne suis pas révoluti
42 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
75 purs » (15 juin 1932)c Adressons-nous ici aux jeunes bourgeois dégoûtés et vivants, à tous ceux que la Révolution trouble
43 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
76 couverts par la rumeur de la place. Dans toute la jeune génération littéraire et philosophique, c’est en vain que l’on cherch
77 s traits ne me paraissaient communs à beaucoup de jeunes intellectuels marxistes, en France particulièrement. Les philosophes
44 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
78 par la voix de leur président, et la mimique d’un jeune aviateur, dont la mâchoire furieuse remâche une incompréhensible colè
45 1932, Le Paysan du Danube. Note
79 public égaré par les mœurs éditoriales attend des jeunes auteurs qu’ils se présentent avec l’assurance et l’optimisme pressant
46 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
80 un humour inénarrable et dans les pleurs… J’étais jeune . Le titanisme et la métamorphose « Métamorphose » et « paradoxe
47 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
81 ieux qui les revêtiraient. Vint à pas pressés une jeune femme, chapeau rouge et manteau de fourrure brune, inévitablement. Et
82 ui se passa fut, hélas, non moins inévitable : la jeune femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder a
83 tes athlétiques et la silhouette échassière de la jeune duchesse de Clam-Clammansfeld en manteau de velours rose, dont la têt
48 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
84 nes pour demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à
49 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
85 ient lentement dans la musique. Je n’aime pas les jeunes Doktors à lunettes, en costume de bain, qui pagayent vigoureusement,
50 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
86 ouchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt contre mes l
51 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
87 issance militaire aux parents, que l’on exige des jeunes Prussiens, ferait hurler nos pédagogues. Mais elle s’unit à un régime
88 es élans dorment agenouillés, aussi hauts que les jeunes arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagé
52 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
89 un humour inénarrable et dans les pleurs… J’étais jeune . Le titanisme et la métamorphose « Métamorphose » et « paradoxe
53 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
90 nes pour demain, présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas compris les noms, on échange, à la d
54 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
91 issance militaire aux parents, que l’on exige des jeunes Prussiens, ferait hurler nos pédagogues. Mais elle s’unit à un régime
92 es élans dorment agenouillés, aussi hauts que les jeunes arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagé
55 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
93 ient lentement dans la musique. Je n’aime pas les jeunes Doktors à lunettes, en costume de bain, qui pagayent vigoureusement,
56 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
94 ouchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler et mit un doigt contre mes lè
57 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
95 tout près, ces jardins suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. L’une se penche sur ses géraniums, l’autre
96 quelques chambres pour le reste de la nuit ? Deux jeunes Américains du convoi m’interrogent. Cet hôtel ne leur plaît qu’à moi
58 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
97 ourgeoise d’E. Berl, manifestes de groupements de jeunes tels que Esprit, Plans, l’Ordre nouveau, et tout récemment le « Cahie
98  documentaire », mauvais roman… Autre signe : les jeunes maisons, fondées depuis deux ans, se spécialisent de plus en plus dan
59 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
99 ent le nom de Toyohiko Kagawa, le grand leader du jeune Japon. Cet homme extraordinaire que l’on a surnommé le forki japonais
60 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
100 une profonde influence personnelle sur plusieurs jeunes écrivains révolutionnaires. M. Denis de Rougemont est protestant, et
61 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
101 ne plus dangereuse réalité. Ceci peut rappeler le jeune Hegel, mais s’oppose nettement au Hegel des hégéliens. Hegel supprima
62 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
102 idt (octobre 1933)m Il est plaisant de voir un jeune auteur obtenir de nos jours un effet de surprise par l’emploi d’un st
63 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
103 Jeune Europe (4 décembre 1933)g Que le visage de l’Europe ait changé, de
104 exandre Marc viennent de publier sous le titre de Jeune Europe 6 apporte une réponse d’autant plus intéressante qu’elle est t
105 ieurs livres fameux proclamant la « mission de la jeune génération », la France jusqu’ici s’était bornée à les traduire et à
106 onformistes. Leur conformisme n’est pas celui des jeunes bourgeois, qui s’accommode fort bien d’une « rouspétance », devenue t
107 rement humaine. Où est le remède ? Les auteurs de Jeune Europe n’hésitent pas à le voir dans l’esprit libertaire et « personn
108 re et « personnaliste » de la France, tel que les jeunes groupes que nous avons nommés essaient, par ailleurs, de le réveiller
109 lucides. 6. Un volume chez Plon, éditeur. g. «  Jeune Europe », Le Moment, Genève, n° 61, 4 décembre 1933, p. 5.
64 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
110 resbytère d’un village de la Suisse allemande, un jeune pasteur, Karl Barth. Autour de lui, c’était l’écho des bombardements,
65 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
111 , — non pas l’intrigue ! tout cela est propre. Le jeune Kolka, prolétaire de bonne souche, part pour la Construction où il ne
112 t dans cette région de la Sibérie. Entre eux, une jeune et touchante Irina, qui choisira bien entendu Kolka dès qu’elle aura
113 xemples irréfutables, que la classe joue chez les jeunes russes exactement le même rôle que la race chez les hitlériens. Il n’
66 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
114 beurre-frais. Ils ne tardent pas à rencontrer une jeune femme qui leur fait perdre toute mesure. Le monde est plein de malins
67 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
115 sont animés par une foi constructive que bien des jeunes bourgeois railleurs devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la
116 outir le communisme. On raille le caporalisme des jeunes miliciens en chemise brune. On nous dit que la vie, en Amérique, est
117 n nous parle tant depuis quelques années dans les jeunes groupes révolutionnaires de France et de Belgique, dans la revue Espr
68 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
118 Le Semeur , Hic et Nunc . Si, par ailleurs, ces jeunes théologiens et essayistes reprennent le vocabulaire et certains tours
119 ontemplation de sa vie. Dans cette difficulté, le jeune théologien interroge Calvin. Que trouve-t-il ? Des arguments, une sol
69 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
120 ratrice. N’est-ce pas d’ailleurs l’éthique que la jeune France se voit à peu près seule à défendre dans l’Europe d’aujourd’hu
70 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
121 nt vous nous rebattez les oreilles ? » J’ai vu de jeunes sympathisants de nos idées déconcertés par cette attaque. C’est à leu
122 sion qui crée, c’est la personne. Ici le rôle des jeunes intellectuels apparaît dans toute sa grandeur. C’est à eux qu’il appa
71 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
123 n abuse singulièrement du mot « esprit » dans les jeunes groupes et les revues non conformistes. (Les journalistes bien-pensan
72 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
124 Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politi
125 s politiques (juillet-août 1934)l Y a-t-il des jeunes protestants ? Cette enquête le démontrera sans doute. Il faut avouer
126 roites. Preuve qu’il y a dans ces deux groupes de jeunes quelque chose de vraiment nouveau, quelque chose d’irréductible aux v
127 firmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de leur point de départ. Al
128 pas moins le lieu de rencontre d’une centaine de jeunes écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme dis
129 ici, la logique des faits me paraît simple : les jeunes protestants n’ont pas à fonder un parti. Leur foi n’est pas de celles
130 sses et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon). Sur les problèmes généraux du temps considérés dans la
131 irait pas sur ce point. C’est le seul d’entre les jeunes protestants qui « milite » publiquement et en tant que chrétien, dans
132 on pas nos principes de départ. l. « Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politi
73 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
133 guerre, de l’activité purement individuelle d’un jeune pasteur américain, Frank Buchman. On a écrit de lui : « Ce qui frappe
134 e l’histoire contemporaine. Kagawa est le chef du Jeune Japon, l’écrivain le plus fécond et le plus populaire de son pays, un
74 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
135 Sans les valeurs anarchiques qu’ils défendent, le jeune bourgeois émancipé ne pourrait pas « vivre sa vie ». Il se sentirait
136 e même. Ils influencent au hasard, entraînent les jeunes à hue et à dia, lancent des modes, les renient, se persuadent de l’im
75 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
137 e, et non les gens âgés qui possédaient tout. Ces jeunes Allemands qui doivent supporter, de nos jours, toutes les misères du
76 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
138 un « ordre nouveau », cela paraissait un peu bien jeune à ces Messieurs. L’incident du 6 février les a fait réfléchir, semble
139 u’on lit, sous la plume de Jules Romains, que les jeunes auteurs de ce plan ont eu pour « méthode » de « foncer sur les problè
140 ’ailleurs non moins respectueux ? « Deux ou trois jeunes députés ont participé aux séances (de préparation du plan) ; l’un d’e
77 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
141 m On s’étonne de la facilité avec laquelle les jeunes bourgeois de ce temps se déclarent révolutionnaires. On les accuse d’
142 qu’une sécurité sociale et financière assure aux jeunes bourgeois un lieu héréditaire, un patrimoine de souvenirs, tout ce qu
143 est bien équivoque. Répandez dans la campagne ces jeunes citadins jacobinisés malgré eux, vous n’en ferez pas des paysans. L’e
78 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
144 sont animés par une foi constructive que bien des jeunes bourgeois railleurs devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la
145 outir le communisme. On raille le caporalisme des jeunes miliciens en chemise brune. On nous dit que la vie, en Amérique, est
146 n nous parle tant depuis quelques années dans les jeunes groupes révolutionnaires de France et de Belgique, dans la revue Esp
79 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
147 s communistes. On s’est mis à citer les textes du jeune Marx21. On s’est fondé sur eux pour affirmer que la primauté du matér
148 iste vis-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes philosophes marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt
80 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
149 Revue du christianisme social, sur l’attitude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du temps. 24.
81 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
150 scisme : l’URSS et les USA sont aussi des États «  jeunes  ». 49. La confiscation par l’État fasciste de l’idéal culturel d’une
82 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
151 ubliait un ensemble de témoignages rédigés par de jeunes écrivains membres de groupes révolutionnaires personnalistes et marxi
83 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
152 électoral. « Vous critiquez, c’est bien facile et jeune . Qu’avez-vous à mettre à la place ? — Ceci, et cela, pour telles rais
84 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
153 roites. Preuve qu’il y a dans ces deux groupes de jeunes quelque chose de vraiment nouveau, quelque chose d’irréductible aux v
154 firmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de leur point de départ. Al
155 pas moins le lieu de rencontre d’une centaine de jeunes écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme dis
156 sses et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon). Sur les problèmes généraux du temps considérés dans la
85 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
157 n abuse singulièrement du mot « esprit » dans les jeunes groupes et les revues non conformistes. (Les journalistes bien-pensan
86 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
158 Le fougueux Victor Erémita symbolise la morale du jeune fou de l’Ecclésiaste : in vino veritas ! L’assesseur Wilhem, c’est la
159 sagesse bourgeoise appuyée sur la religion. Et le Jeune Homme perdu d’inquiétude, qui ne découvre sa joie que dans le risque
87 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
160 sont animés par une foi constructive que bien des jeunes bourgeois railleurs devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la
161 outir le communisme. On raille le caporalisme des jeunes miliciens en chemise brune. On nous dit que la vie, en Amérique, est
88 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
162 s communistes. On s’est mis à citer les textes du jeune Marx16. On s’est fondé sur eux pour affirmer que la primauté du matér
163 iste vis-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes philosophes marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt
89 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
164 Revue du christianisme social, sur l’attitude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du temps. 19.
90 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
165 scisme : l’URSS et les USA sont aussi des États «  jeunes  ». 43. La confiscation par l’État fasciste de l’idéal culturel d’une
91 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
166 ubliait un ensemble de témoignages rédigés par de jeunes écrivains membres de groupes révolutionnaires personnalistes et marxi
167 du mouvement personnaliste naissant, celles de la jeune droite, et celles du communisme. Je l’introduisais en ces termes :  
92 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
168 électoral. « Vous critiquez, c’est bien facile et jeune . Qu’avez-vous à mettre à la place ? — Ceci, et cela, pour telles rais
93 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
169 roites. Preuve qu’il y a dans ces deux groupes de jeunes quelque chose de vraiment nouveau, quelque chose d’irréductible aux v
170 firmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de leur point de départ. Al
171 Elle n’en reste pas moins le lieu de rencontre de jeunes écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme dis
172 s études patientes d’un groupe d’ingénieurs et de jeunes industriels. Il a donné lieu à plusieurs expériences concluantes. Des
94 1935, Esprit, articles (1932–1962). André Rouveyre, Singulier (janvier 1935)
173 j L’amour d’un homme de cinquante ans et d’une jeune femme forme l’unique sujet de cette méditation. Deux êtres très diver
174 coup de griffes sur Gide et Balthazar Gracian. La jeune femme qu’il aime et qu’il entreprend de conduire à la maîtrise de soi
95 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
175 éditeur qui publia ce résumé de la vie nulle d’un jeune bourgeois ? k. « Maurice Meunier, Idoles, Gallimard », Esprit, Pari
96 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
176 travail. Les craintes éveillées chez beaucoup de jeunes personnalistes quant à l’avenir du mouvement par la séparation des de
97 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
177 métier, ou certains accidents heureux, entre des jeunes bourgeois, des jeunes paysans et ouvriers plus ou moins « déclassés »
178 ccidents heureux, entre des jeunes bourgeois, des jeunes paysans et ouvriers plus ou moins « déclassés » comme le sont aujourd
179 corps tout frémissants de nostalgies naïves et de jeunes ruses. On sent que Breuil est mêlé de très près à l’existence de ses
98 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
180 e, et non les gens âgés qui possédaient tout. Ces jeunes Allemands qui doivent supporter de nos jours toutes les misères du mo
99 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
181 i préoccupent le plus, et à très juste titre, nos jeunes barthiens, kierkegaardiens et « réacteurs » de diverses nuances. Je m
182 n ce que M. Monod voulait dire : il pense que les jeunes « réacteurs » se placent plus volontiers sur le « terrain abstrait de
183 ombien édifiante ! (Se tournant vers un groupe de jeunes barthiens très excités qui échangent dans un coin des coups de coude
184 hement). — C’est exactement ce que je pense. Un jeune barthien (agressif). — Ôtez la soi-disant expérience chrétienne : eh
185 saient plus mordantes et plus sèches, du côté des jeunes barthiens. Nicodème, au contraire, devenait de plus en plus sentiment
186 uée sans doute à la confession paternelle. Un des jeunes étudiants avait repris en main le « monument » du professeur Monod, e
187 ne s’y prêtait guère, me semblait-il : entre ces jeunes barthiens d’une part, si convaincus et si merveilleusement inconscien
188 rêtai soudain, plutôt confus de ma véhémence. Les jeunes barthiens se consultaient du regard. Était-ce de ma part une palinodi
100 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
189 théocratique à laquelle je vois succomber tant de jeunes chrétiens trop bien intentionnés, il faut avouer que la question rest
190 probablement la biographie de Kagawa, le chef du jeune Japon chrétien. Fils d’un conseiller de l’empereur et d’une geisha, K
191 ’Ordre nouveau , et ceux de la revue Esprit . Le jeune mouvement personnaliste ne se donne pas pour un mouvement chrétien ;
192 te. Certes, le mouvement personnaliste est encore jeune , et n’a pas remué les masses jusqu’ici. Mais je ferai deux remarques 
193 qu’ils saisissent cette chance ; c’est encore une jeune espérance, mais c’est déjà une exigence directe, une possibilité magn