1
sont pas dites en vain. Stades que parcourent de
jeunes
et purs courages, donnez-moi votre silence jusqu’à l’heure. Que je ta
2
riorité au machinisme, et la déplorent. Plusieurs
jeunes
songent que dans une Europe vieillie, les parfums puissants de l’Asie
3
frappant dans les générations nouvelles. Toute la
jeune
littérature décrit un type d’homme profondément antisocial, glorifie
4
r, l’un des derniers venus, Marcel Arland, — plus
jeune
, il n’a pas fait la guerre — c’est le même désenchantement précoce, s
5
squisser. Mais on trouve tout dans les livres des
jeunes
, dites-vous, le pire et le meilleur, toutes les vieilleries morales e
6
une folie de s’emballer. La plupart des romans de
jeunes
qui se situent entre Gide et Aragon nous montrent le même personnage
7
ite. Tel est l’état d’esprit de la plupart de nos
jeunes
moralistes. Le mot de paradoxe serait bien pauvre pour expliquer ce b
8
iques. Mais que nos moralistes — presque tous les
jeunes
écrivains — se souviennent de penser en fonction du temps présent, so
9
ulait…) o. « Adieu, beau désordre… (Notes sur la
jeune
littérature et la morale) », Bibliothèque universelle et Revue de Gen
10
travaux. Avec la conférence de M. Jean Cadier, un
jeune
pasteur français, on descendit — ou l’on monta suivant M. A. Léo — du
11
du printemps —, l’heure est venue de la violence.
Jeunes
tempêtes, lavez, bousculez ! La parole est aux instincts combatifs et
12
eux. Ce récit des premiers combats de taureaux du
jeune
Montherlant est en réalité un nouveau tome de ses mémoires lyriques.
13
est « par la divination de cet amour qu’Alban (le
jeune
héros du récit) sent ce que sent la bête en même temps qu’elle. Et pa
14
nstruction et de synthèse qui se dessine chez les
jeunes
écrivains d’aujourd’hui. La « critique philosophique » qu’il voudrait
15
le rêve d’un idéal de fortune, idole naïve de ma
jeune
angoisse… Je t’ai mieux aimée ; d’autres soirs, alors qu’une symphoni
16
’autres, avant tant d’autres. « Amis, ce sont les
jeunes
qui passent… » Pas question de les saluer ni d’emboîter le pas, mais
17
mpérament le plus hardi et le plus original de la
jeune
littérature française. Il le proclame « J’appartiens à la grande race
18
r ne ressent plus, il suffit de quelques mois aux
jeunes
époux de la Maladère pour se déprendre de leurs rêves. Un malentendu
19
n’y avait que des dames. Personne ne parlait. La
jeune
femme qui s’était penchée vous ressemblait tant. Mais je n’osais pres
20
t final de « Cinématoma ou les épanchements de la
jeune
Synovie », parade « née du mariage de nos veilles et de nos rêves »,
21
tion naturelle a rapproché, dans sa maturité, des
jeunes
générations, en sorte que l’espèce de romantisme à la Nerval auquel i
22
lui-même s’est plu à relever les indices chez ses
jeunes
contemporains, et qu’il vient appuyer de son autorité de critique et
23
d se promène sur le même monde où se plaisent nos
jeunes
poètes cosmopolites, mais il garde une certaine discrétion, cet air d
24
vois un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus
jeune
, lequel envoie l’un de ses personnages pour remercier ; (pouvait-il m
25
ure. « Il s’y retrouve. » Il pense que c’est bien
jeune
. Et : encore un qui rue dans les brancards, c’est très bellettrien. U
27
nécessaires à ce regroupement existe : il y a de
jeunes
peintres neuchâtelois. Quant à savoir s’il est possible déjà de disce
28
de combat nécessaire au développement de certains
jeunes
tempéraments leur fait défaut dans la même mesure. Ainsi risquent de
29
ales, et qui forme ailleurs le premier public des
jeunes
artistes, n’existant pas ici, le peintre se trouve placé d’emblée en
30
Un jour en effet l’on apprend que tel tableau de
jeune
est « coté » chez un gros marchand. Aussitôt, les feuilles locales re
31
s dont nous allons parler méritent d’être appelés
jeunes
, c’est par leurs œuvres avant tout. D’autre part je préfère la légend
32
e l’histoire : au seuil d’un article consacré aux
jeunes
artistes neuchâtelois, je vous présente Conrad Meili, un Zurichois qu
33
omper plus. ⁂ À vrai dire j’en vois peu parmi les
jeunes
qui vouent tout leur amour à la peinture pure. Je crois même que, Pau
34
on mari). Et puis voici François Barraud, le plus
jeune
des frères. Il vient apporter des dessins qui ressemblent beaucoup au
35
nnées d’avance sur ses contemporains. Un jour les
jeunes
le rattrapent. Salutations, présentations : « André Evard. — Les jeun
36
Salutations, présentations : « André Evard. — Les
jeunes
peintres. — Vous suivez la même route que nous ? À la bonne heure ! »
37
elons le souvenir de Charles Harder, qui est mort
jeune
, sans avoir pu donner toute sa mesure. Il a laissé surtout des dessin
38
fait qu’affirmer l’existence et la vitalité d’une
jeune
peinture originale dans un pays qu’on s’est trop souvent plu à dire s
39
u dans le numéro de février de cette revue. j. «
Jeunes
artistes neuchâtelois », Das Werk, Zurich, vol. 14, avril 1927, p. 12
40
même, on est bien heureux de rencontrer chez les
jeunes
écrivains français un homme qui ait à ce point le sens de l’époque, u
41
vous ce que mes principes peuvent avoir de « bien
jeune
», de banal presque, et, pis, d’agréablement paradoxal. Seulement, po
42
paraissent entraîner assez naturellement chez des
jeunes
« et qui pensent » ce goût de l’évasion caractéristique de tous les «
43
ienne. Entre hier et demain : Une femme « encore
jeune
» se souvient d’un danseur de ses 20 ans, d’une aventure qui aurait p
44
vocation toute nervalienne en sa nostalgie, de la
jeune
étrangère dont on rêve à 15 ans ; et voici ce je ne sais quoi, ce dél
45
Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)ap Un
jeune
auteur raconte dans une lettre à une amie comment il a écrit, sur com
46
s cours de l’Europe centrale, qu’elle subit comme
jeune
épouse d’un comte polonais, grand seigneur médiatisé, vaguement préte
47
ieux qui les revêtiraient. Vint à pas pressés une
jeune
femme, chapeau rouge et manteau de fourrure brune, inévitablement. Et
48
ui se passa fut, hélas, non moins inévitable : la
jeune
femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder a
49
tes athlétiques et la silhouette échassière de la
jeune
duchesse de Clam-Clamannsfeld dont le manteau de velours rose laissai
50
(belles). Il est même un des très rares parmi les
jeunes
qui ait vraiment donné quelque chose. C’est pourquoi j’ai lu ce livre
51
évadé, on le traque à Paris même… Il subjugue le
jeune
Français par ces évocations et l’espèce de fièvre qu’il y apporte. Ma
52
Il ajoute : « j’ai eu la chance de discerner très
jeune
, avec une clairvoyance singulière, mes propres limites, et j’ai eu la
53
yent lentement dans la musique. Je n’aime pas les
jeunes
Doktors à lunettes, en costume de bain, qui pagayent vigoureusement,
54
a surtout de la nervosité, de petites douleurs de
jeunes
bourgeois. Essayer de venir me dire ça chez moi, n’est-ce pas, mes ag
55
a surtout de la nervosité, de petites douleurs de
jeune
bourgeois. Essayez de venir me dire ça chez moi, n’est-ce pas, mes ag
56
a main rapide et minutieuse, décrire la vallée du
jeune
Rhin ou les pentes de Chésières en les parant d’une grâce malicieuse
57
oit la famille indignée, une mère qui souffre, un
jeune
frère qui rêve. Le livre se résout dans une amertume vague. Ceux qui
58
nes pour demain, présentations de mes Espoirs aux
jeunes
Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à
59
qu’on n’a coutume d’en attendre aujourd’hui d’un
jeune
écrivain. Son premier roman, Les Conquérants, décrivait la révolution
60
la valeur qu’il prend dans l’esprit des héros. Un
jeune
Français a décidé d’aller fouiller les temples en ruines de la Voie r
61
anifeste et commente. Son sujet : le voyage d’un
jeune
normalien marxiste. Citons quelques phrases qui donneront le ton et l
62
t une attitude de plus en plus fréquente chez les
jeunes
intellectuels : orgueil de la Vie, haine de cette vie-ci, mépris de l
63
udiants protestants, et que la Nouvelle Revue des
jeunes
publie dans son numéro du 15 février15. M. Marcel analyse trois attit
64
mariage avec le prince Roccapalumba, puis avec un
jeune
lord ; toute l’existence d’une femme qui ne cesse, jusqu’à sa dernièr
65
e petite paroisse presbytérienne était le chef du
Jeune
Japon, l’initiateur de réformes de grande envergure, commencées dans
66
ser qu’il écrivit en préface au livre récent d’un
jeune
aviateur, Antoine de Saint-Exupéry. (Mais par quoi tiendra-t-il à les
67
les biographes. On a souvent rappelé l’amitié du
jeune
bourgeois de Francfort et de la sage et très fervente Mlle de Kletten
68
r de purement « étrange » ont à peine enfiévré le
jeune
Goethe, que déjà la faiblesse du corps le ramène à l’aspect concret d
69
z la dialectique faustienne dans la vie d’un être
jeune
et libre encore de toute contrainte sociale, culturelle, voire physio
70
mais quel écho n’eût-il pas éveillé dans l’âme du
jeune
ministre de 32 ans, adonné vers ce temps au plus dur effort d’organis
71
e qui fit quelque bruit37 les débuts piétistes du
jeune
Goethe et la part active qu’il prit aux réunions de « belles âmes » s
72
groupe de Réaction (Thierry Maulnier) ; chez les
jeunes
protestants, le groupe barthien de Hic et Nunc ; chez les poètes phil
73
épondre. Il est curieux de tout ce que font « les
jeunes
». Il a été jeune, lui aussi. Du moins il l’affirme. — Pourquoi je ne
74
ieux de tout ce que font « les jeunes ». Il a été
jeune
, lui aussi. Du moins il l’affirme. — Pourquoi je ne suis pas révoluti
75
purs » (15 juin 1932)c Adressons-nous ici aux
jeunes
bourgeois dégoûtés et vivants, à tous ceux que la Révolution trouble
76
couverts par la rumeur de la place. Dans toute la
jeune
génération littéraire et philosophique, c’est en vain que l’on cherch
77
s traits ne me paraissaient communs à beaucoup de
jeunes
intellectuels marxistes, en France particulièrement. Les philosophes
78
par la voix de leur président, et la mimique d’un
jeune
aviateur, dont la mâchoire furieuse remâche une incompréhensible colè
79
public égaré par les mœurs éditoriales attend des
jeunes
auteurs qu’ils se présentent avec l’assurance et l’optimisme pressant
80
un humour inénarrable et dans les pleurs… J’étais
jeune
. Le titanisme et la métamorphose « Métamorphose » et « paradoxe
81
ieux qui les revêtiraient. Vint à pas pressés une
jeune
femme, chapeau rouge et manteau de fourrure brune, inévitablement. Et
82
ui se passa fut, hélas, non moins inévitable : la
jeune
femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder a
83
tes athlétiques et la silhouette échassière de la
jeune
duchesse de Clam-Clammansfeld en manteau de velours rose, dont la têt
84
nes pour demain, présentations de mes Espoirs aux
jeunes
Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à
85
ient lentement dans la musique. Je n’aime pas les
jeunes
Doktors à lunettes, en costume de bain, qui pagayent vigoureusement,
86
ouchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la
jeune
femme. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt contre mes l
87
issance militaire aux parents, que l’on exige des
jeunes
Prussiens, ferait hurler nos pédagogues. Mais elle s’unit à un régime
88
es élans dorment agenouillés, aussi hauts que les
jeunes
arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagé
89
un humour inénarrable et dans les pleurs… J’étais
jeune
. Le titanisme et la métamorphose « Métamorphose » et « paradoxe
90
nes pour demain, présentations de mes Espoirs aux
jeunes
Promesses nationales (on n’a pas compris les noms, on échange, à la d
91
issance militaire aux parents, que l’on exige des
jeunes
Prussiens, ferait hurler nos pédagogues. Mais elle s’unit à un régime
92
es élans dorment agenouillés, aussi hauts que les
jeunes
arbres de la lande. Et la mer respire fort contre les grèves, soulagé
93
ient lentement dans la musique. Je n’aime pas les
jeunes
Doktors à lunettes, en costume de bain, qui pagayent vigoureusement,
94
ouchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la
jeune
femme. Elle comprit que j’allais parler et mit un doigt contre mes lè
95
tout près, ces jardins suspendus où circulent de
jeunes
femmes en maillot de bain. L’une se penche sur ses géraniums, l’autre
96
quelques chambres pour le reste de la nuit ? Deux
jeunes
Américains du convoi m’interrogent. Cet hôtel ne leur plaît qu’à moi
97
ourgeoise d’E. Berl, manifestes de groupements de
jeunes
tels que Esprit, Plans, l’Ordre nouveau, et tout récemment le « Cahie
98
documentaire », mauvais roman… Autre signe : les
jeunes
maisons, fondées depuis deux ans, se spécialisent de plus en plus dan
99
ent le nom de Toyohiko Kagawa, le grand leader du
jeune
Japon. Cet homme extraordinaire que l’on a surnommé le forki japonais
100
une profonde influence personnelle sur plusieurs
jeunes
écrivains révolutionnaires. M. Denis de Rougemont est protestant, et
101
ne plus dangereuse réalité. Ceci peut rappeler le
jeune
Hegel, mais s’oppose nettement au Hegel des hégéliens. Hegel supprima
102
idt (octobre 1933)m Il est plaisant de voir un
jeune
auteur obtenir de nos jours un effet de surprise par l’emploi d’un st
104
exandre Marc viennent de publier sous le titre de
Jeune
Europe 6 apporte une réponse d’autant plus intéressante qu’elle est t
105
ieurs livres fameux proclamant la « mission de la
jeune
génération », la France jusqu’ici s’était bornée à les traduire et à
106
onformistes. Leur conformisme n’est pas celui des
jeunes
bourgeois, qui s’accommode fort bien d’une « rouspétance », devenue t
107
rement humaine. Où est le remède ? Les auteurs de
Jeune
Europe n’hésitent pas à le voir dans l’esprit libertaire et « personn
108
re et « personnaliste » de la France, tel que les
jeunes
groupes que nous avons nommés essaient, par ailleurs, de le réveiller
109
lucides. 6. Un volume chez Plon, éditeur. g. «
Jeune
Europe », Le Moment, Genève, n° 61, 4 décembre 1933, p. 5.
110
resbytère d’un village de la Suisse allemande, un
jeune
pasteur, Karl Barth. Autour de lui, c’était l’écho des bombardements,
111
, — non pas l’intrigue ! tout cela est propre. Le
jeune
Kolka, prolétaire de bonne souche, part pour la Construction où il ne
112
t dans cette région de la Sibérie. Entre eux, une
jeune
et touchante Irina, qui choisira bien entendu Kolka dès qu’elle aura
113
xemples irréfutables, que la classe joue chez les
jeunes
russes exactement le même rôle que la race chez les hitlériens. Il n’
114
beurre-frais. Ils ne tardent pas à rencontrer une
jeune
femme qui leur fait perdre toute mesure. Le monde est plein de malins
115
sont animés par une foi constructive que bien des
jeunes
bourgeois railleurs devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la
116
outir le communisme. On raille le caporalisme des
jeunes
miliciens en chemise brune. On nous dit que la vie, en Amérique, est
117
n nous parle tant depuis quelques années dans les
jeunes
groupes révolutionnaires de France et de Belgique, dans la revue Espr
118
Le Semeur , Hic et Nunc . Si, par ailleurs, ces
jeunes
théologiens et essayistes reprennent le vocabulaire et certains tours
119
ontemplation de sa vie. Dans cette difficulté, le
jeune
théologien interroge Calvin. Que trouve-t-il ? Des arguments, une sol
120
ratrice. N’est-ce pas d’ailleurs l’éthique que la
jeune
France se voit à peu près seule à défendre dans l’Europe d’aujourd’hu
121
nt vous nous rebattez les oreilles ? » J’ai vu de
jeunes
sympathisants de nos idées déconcertés par cette attaque. C’est à leu
122
sion qui crée, c’est la personne. Ici le rôle des
jeunes
intellectuels apparaît dans toute sa grandeur. C’est à eux qu’il appa
123
n abuse singulièrement du mot « esprit » dans les
jeunes
groupes et les revues non conformistes. (Les journalistes bien-pensan
125
s politiques (juillet-août 1934)l Y a-t-il des
jeunes
protestants ? Cette enquête le démontrera sans doute. Il faut avouer
126
roites. Preuve qu’il y a dans ces deux groupes de
jeunes
quelque chose de vraiment nouveau, quelque chose d’irréductible aux v
127
firmations définissent l’attitude spirituelle des
jeunes
groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de leur point de départ. Al
128
pas moins le lieu de rencontre d’une centaine de
jeunes
écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme dis
129
ici, la logique des faits me paraît simple : les
jeunes
protestants n’ont pas à fonder un parti. Leur foi n’est pas de celles
130
sses et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc :
Jeune
Europe (Plon). Sur les problèmes généraux du temps considérés dans la
131
irait pas sur ce point. C’est le seul d’entre les
jeunes
protestants qui « milite » publiquement et en tant que chrétien, dans
132
on pas nos principes de départ. l. « Où sont les
jeunes
protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politi
133
guerre, de l’activité purement individuelle d’un
jeune
pasteur américain, Frank Buchman. On a écrit de lui : « Ce qui frappe
134
e l’histoire contemporaine. Kagawa est le chef du
Jeune
Japon, l’écrivain le plus fécond et le plus populaire de son pays, un
135
Sans les valeurs anarchiques qu’ils défendent, le
jeune
bourgeois émancipé ne pourrait pas « vivre sa vie ». Il se sentirait
136
e même. Ils influencent au hasard, entraînent les
jeunes
à hue et à dia, lancent des modes, les renient, se persuadent de l’im
137
e, et non les gens âgés qui possédaient tout. Ces
jeunes
Allemands qui doivent supporter, de nos jours, toutes les misères du
138
un « ordre nouveau », cela paraissait un peu bien
jeune
à ces Messieurs. L’incident du 6 février les a fait réfléchir, semble
139
u’on lit, sous la plume de Jules Romains, que les
jeunes
auteurs de ce plan ont eu pour « méthode » de « foncer sur les problè
140
’ailleurs non moins respectueux ? « Deux ou trois
jeunes
députés ont participé aux séances (de préparation du plan) ; l’un d’e
141
m On s’étonne de la facilité avec laquelle les
jeunes
bourgeois de ce temps se déclarent révolutionnaires. On les accuse d’
142
qu’une sécurité sociale et financière assure aux
jeunes
bourgeois un lieu héréditaire, un patrimoine de souvenirs, tout ce qu
143
est bien équivoque. Répandez dans la campagne ces
jeunes
citadins jacobinisés malgré eux, vous n’en ferez pas des paysans. L’e
144
sont animés par une foi constructive que bien des
jeunes
bourgeois railleurs devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la
145
outir le communisme. On raille le caporalisme des
jeunes
miliciens en chemise brune. On nous dit que la vie, en Amérique, est
146
n nous parle tant depuis quelques années dans les
jeunes
groupes révolutionnaires de France et de Belgique, dans la revue Esp
147
s communistes. On s’est mis à citer les textes du
jeune
Marx21. On s’est fondé sur eux pour affirmer que la primauté du matér
148
iste vis-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les
jeunes
philosophes marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt
149
Revue du christianisme social, sur l’attitude des
jeunes
protestants devant les problèmes sociaux et culturels du temps. 24.
150
scisme : l’URSS et les USA sont aussi des États «
jeunes
». 49. La confiscation par l’État fasciste de l’idéal culturel d’une
151
ubliait un ensemble de témoignages rédigés par de
jeunes
écrivains membres de groupes révolutionnaires personnalistes et marxi
152
électoral. « Vous critiquez, c’est bien facile et
jeune
. Qu’avez-vous à mettre à la place ? — Ceci, et cela, pour telles rais
153
roites. Preuve qu’il y a dans ces deux groupes de
jeunes
quelque chose de vraiment nouveau, quelque chose d’irréductible aux v
154
firmations définissent l’attitude spirituelle des
jeunes
groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de leur point de départ. Al
155
pas moins le lieu de rencontre d’une centaine de
jeunes
écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme dis
156
sses et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc :
Jeune
Europe (Plon). Sur les problèmes généraux du temps considérés dans la
157
n abuse singulièrement du mot « esprit » dans les
jeunes
groupes et les revues non conformistes. (Les journalistes bien-pensan
158
Le fougueux Victor Erémita symbolise la morale du
jeune
fou de l’Ecclésiaste : in vino veritas ! L’assesseur Wilhem, c’est la
159
sagesse bourgeoise appuyée sur la religion. Et le
Jeune
Homme perdu d’inquiétude, qui ne découvre sa joie que dans le risque
160
sont animés par une foi constructive que bien des
jeunes
bourgeois railleurs devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la
161
outir le communisme. On raille le caporalisme des
jeunes
miliciens en chemise brune. On nous dit que la vie, en Amérique, est
162
s communistes. On s’est mis à citer les textes du
jeune
Marx16. On s’est fondé sur eux pour affirmer que la primauté du matér
163
iste vis-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les
jeunes
philosophes marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt
164
Revue du christianisme social, sur l’attitude des
jeunes
protestants devant les problèmes sociaux et culturels du temps. 19.
165
scisme : l’URSS et les USA sont aussi des États «
jeunes
». 43. La confiscation par l’État fasciste de l’idéal culturel d’une
166
ubliait un ensemble de témoignages rédigés par de
jeunes
écrivains membres de groupes révolutionnaires personnalistes et marxi
167
du mouvement personnaliste naissant, celles de la
jeune
droite, et celles du communisme. Je l’introduisais en ces termes :
168
électoral. « Vous critiquez, c’est bien facile et
jeune
. Qu’avez-vous à mettre à la place ? — Ceci, et cela, pour telles rais
169
roites. Preuve qu’il y a dans ces deux groupes de
jeunes
quelque chose de vraiment nouveau, quelque chose d’irréductible aux v
170
firmations définissent l’attitude spirituelle des
jeunes
groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de leur point de départ. Al
171
Elle n’en reste pas moins le lieu de rencontre de
jeunes
écrivains « de toutes croyances et de toutes incroyances », comme dis
172
s études patientes d’un groupe d’ingénieurs et de
jeunes
industriels. Il a donné lieu à plusieurs expériences concluantes. Des
173
j L’amour d’un homme de cinquante ans et d’une
jeune
femme forme l’unique sujet de cette méditation. Deux êtres très diver
174
coup de griffes sur Gide et Balthazar Gracian. La
jeune
femme qu’il aime et qu’il entreprend de conduire à la maîtrise de soi
175
éditeur qui publia ce résumé de la vie nulle d’un
jeune
bourgeois ? k. « Maurice Meunier, Idoles, Gallimard », Esprit, Pari
176
travail. Les craintes éveillées chez beaucoup de
jeunes
personnalistes quant à l’avenir du mouvement par la séparation des de
177
métier, ou certains accidents heureux, entre des
jeunes
bourgeois, des jeunes paysans et ouvriers plus ou moins « déclassés »
178
ccidents heureux, entre des jeunes bourgeois, des
jeunes
paysans et ouvriers plus ou moins « déclassés » comme le sont aujourd
179
corps tout frémissants de nostalgies naïves et de
jeunes
ruses. On sent que Breuil est mêlé de très près à l’existence de ses
180
e, et non les gens âgés qui possédaient tout. Ces
jeunes
Allemands qui doivent supporter de nos jours toutes les misères du mo
181
i préoccupent le plus, et à très juste titre, nos
jeunes
barthiens, kierkegaardiens et « réacteurs » de diverses nuances. Je m
182
n ce que M. Monod voulait dire : il pense que les
jeunes
« réacteurs » se placent plus volontiers sur le « terrain abstrait de
183
ombien édifiante ! (Se tournant vers un groupe de
jeunes
barthiens très excités qui échangent dans un coin des coups de coude
184
hement). — C’est exactement ce que je pense. Un
jeune
barthien (agressif). — Ôtez la soi-disant expérience chrétienne : eh
185
saient plus mordantes et plus sèches, du côté des
jeunes
barthiens. Nicodème, au contraire, devenait de plus en plus sentiment
186
uée sans doute à la confession paternelle. Un des
jeunes
étudiants avait repris en main le « monument » du professeur Monod, e
187
ne s’y prêtait guère, me semblait-il : entre ces
jeunes
barthiens d’une part, si convaincus et si merveilleusement inconscien
188
rêtai soudain, plutôt confus de ma véhémence. Les
jeunes
barthiens se consultaient du regard. Était-ce de ma part une palinodi
189
théocratique à laquelle je vois succomber tant de
jeunes
chrétiens trop bien intentionnés, il faut avouer que la question rest
190
probablement la biographie de Kagawa, le chef du
jeune
Japon chrétien. Fils d’un conseiller de l’empereur et d’une geisha, K
191
’Ordre nouveau , et ceux de la revue Esprit . Le
jeune
mouvement personnaliste ne se donne pas pour un mouvement chrétien ;
192
te. Certes, le mouvement personnaliste est encore
jeune
, et n’a pas remué les masses jusqu’ici. Mais je ferai deux remarques
193
qu’ils saisissent cette chance ; c’est encore une
jeune
espérance, mais c’est déjà une exigence directe, une possibilité magn