Rougemont,

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1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
1 ule, de la Germanie et de l’Espagne, l’Italie s’y joignant plus tard. L’Angleterre et la Scandinavie, notons-le, s’en voyaient d
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
2 lle, de la Germanie et de l’Espagne, l’Italie s’y joignant plus tard. (L’Angleterre et la Scandinavie, notons-le, s’en voyaient
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
3 territoires : rivières à rendre navigables, canal joignant « les deux mers », labourage et « trafic » accrus, terres en friches
4 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
4 pper un plan de grands travaux européens : canaux joignant « les deux mers », aménagement des territoires en friche, uniformisat
5 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
5 e de la Suisse, à l’intersection des deux droites joignant les points extrêmes de la Suisse actuelle : Genève et Saint-Gall, Por
6 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
6 tion des seigneurs locaux la route la plus courte joignant les deux moitiés du Saint-Empire. Voilà pourquoi Henri, fils et vicai