1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 és, n’est ni un album de vues pittoresques, ni le journal plus ou moins lyrique auquel nous ont habitués les voyageurs en Orien
2 Grasset, Paris. a. « Le Dépaysement oriental », Journal de Genève, Genève, n° 192, 16 juillet 1926, p. 1.
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
3 xquels il ne tient guère, et l’on comprend que ce journal bientôt les rejoindra dans l’armoire aux souvenirs. Cette façon de ne
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
4 t (février 1927)f « Triste, mais vrai. » (Les journaux .) Mademoiselle, Il faut d’abord que je m’excuse : c’est un peu préte
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
5 la mode et la politique, que j’envoyais à divers journaux . Un jour, parcourant un quotidien de mon pays où je cherchais mon der
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
6 raison à M. Y. Z., qui, dans un petit article du Journal de Genève sur « La maladie du siècle », écrit : « Plante des pommes
7 leur stabilité, et comme M. Albert Muret dont le Journal de Genève parlait naguère, tu mangeras avec appétit une poule au riz
6 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
8 ’un semblable système. » Musset. Une rose et un journal oubliés sur le marbre vulgaire d’une table de café. Je venais de m’as
9 appelle la musique. Je me gardai donc d’ouvrir le journal . Les Petites nouvelles ont un pouvoir tyrannique sur mon esprit. Non
10 re aux joues mates, aux yeux clairs. Il déplia le journal et se mit à lire les pages d’annonces. On m’apporta une liqueur. Et q
11 ouleur pour ma femme… Mais l’homme avait posé son journal . Soudain, portant la main à son gilet, il en retira trois dés qu’il j
12 n Dieu, je vous remercie, Monsieur… Il saisit son journal . Il en parcourait rapidement les pages, la proie d’une agitation visi
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
13 s les rideaux étaient baissés. Déjà on criait les journaux du matin, des triporteurs passèrent à toute vitesse, m’éclaboussant d
8 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
14 bler, aucune voix haute, aucune couleur vive. Les journaux qu’ils lisent annoncent chaque jour quelque catastrophe imminente, un
15 ique un peu folle… b. « Panorama de Budapest », Journal de Genève, Genève, n° 138, 23 mai 1929, p. 1-2.
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
16 satz et du travail bâclé. Elle apprend à lire les journaux , mais en même temps que cette drogue, elle devrait fournir son contre
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
17 réer qui emportera toutes ces statistiques et ces journaux , il en restera toujours assez pour allumer des feux de joie, etc. Bon
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
18 éveloppé jusqu’au ridicule par la démocratie. Les journaux , les cercles, les coulisses de parlements et autres potinières ne viv
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
19 eurs sortent de l’Institut Rousseau. 2. Guguss, journal comique d’une grande vulgarité qui jouait alors le rôle de nos bandes
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
20 travail bâclé. Elle apprend à lire pour lire les journaux , mais en même temps que cette drogue, elle devrait fournir son contre
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
21 réer qui emportera toutes ces statistiques et ces journaux , il en restera toujours assez pour allumer des feux de joie, etc. Bon
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
22 éveloppé jusqu’au ridicule par la démocratie. Les journaux , les cercles, les coulisses de parlements et autres potinières ne viv
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
23 du comte Keyserling (avril 1931)f L’auteur du Journal de voyage d’un philosophe, d’Analyse spectrale de l’Europe, de Psycha
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
24 ment le moins caractéristique de Kierkegaard : Le Journal du séducteur (Stock éd.). Kierkegaard lui-même avait exprimé le souha
25 an la série de traductions de ses livres. Mais ce Journal , s’il est l’œuvre la moins forte du Danois, n’en est pas moins, dans
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
26 llement et de l’adaptation d’un livre unique, son journal intime — que Loti est un journal intime, comme Gide — que le journal
27 ivre unique, son journal intime — que Loti est un journal intime, comme Gide — que le journal intime, la littérature intime son
28 e Loti est un journal intime, comme Gide — que le journal intime, la littérature intime sont un produit autochtone de la terre
19 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
29 c’est leur vision tragique du péché. Le Lépreux, journal apocryphe de l’empereur Alexandre Ier de Russie, n’est qu’une suite d
30 lisme qui envahit la critique sous l’influence du journal . 2. Ici encore, on ne peut opposer ce concept d’ironie qu’à celui qu
20 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
31 nde d’aujourd’hui. Aujourd’hui, c’est le titre du journal grâce auquel chaque semaine ou presque, il reprend le dialogue avec s
21 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
32 ». Objurgation que l’on croirait tirée de quelque journal intime du Goethe des années ascétiques, à Weimar avant l’Italie. Et l
22 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
33 ouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi », Le Journal des poètes, Bruxelles, n° 19, 16 avril 1932, p. 2.
23 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
34 tent nulle allusion à la position politique de ce journal . Le titre : La Crise est dans l’homme 38, s’oppose d’emblée aux thèse
24 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
35 age ; New English Weekly), en Belgique (plusieurs journaux ), en Suisse (Éveil, Présence), en Espagne, en Hollande, en Irlande et
25 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
36 bules énervés de fumée et qui se cachent dans les journaux du soir, soit lentement doublé par le rapide de Bretagne. Ce long pas
26 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
37 es rideaux étaient baissés. Déjà on criait les journaux du matin, des triporteurs passèrent à toute vitesse, m’éclaboussant d
27 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
38 Petit journal de Souabe À la tombée d’une nuit froide, en avril, le voyageur desc
39 des écritures — qui se réduisent d’ailleurs à ce journal  — pour avoir la paix dans ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à
40 ude. Un bel assortiment de monstres ! (J’ai lu le journal après dîner.) Et tous les accessoires de leurs démences, depuis les p
41 saucisses croquantes et de la moutarde douce. Le journal local m’avait apporté cette ration de bouleversements, locaux aussi à
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
42 bules énervés de fumée et qui se cachent dans les journaux du soir, soit lentement doublé par le rapide de Bretagne. Ce long pas
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
43 t disparue de la version publiée en 1968 dans le Journal d’une époque , base de cette édition numérique. Elle a été manifestem
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
44 on le Gotha. a. La version parue en 1968 dans le Journal d’une époque, sur laquelle se fonde pour l’essentiel cette publicatio
45 te édition. b. La version parue en 1968 dans le Journal d’une époque indique : « Le mouvement national-socialiste les flatte 
46 nte édition. c. La version parue en 1968 dans le Journal d’une époque indique « 1926 ». Nous signalons l’écart, probablement u
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
47 Petit journal de Souabe À la tombée d’une nuit froide, en avril, le voyageur desc
48 des écritures — qui se réduisent d’ailleurs à ce journal  — pour avoir la paix dans ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à
49 ude. Un bel assortiment de monstres ! (J’ai lu le journal après dîner.) Et tous les accessoires de leurs démences, depuis les p
50 saucisses croquantes et de la moutarde douce. Le journal local m’avait apporté cette ration de bouleversements, locaux aussi à
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
51 es phrases sur le banc. Je viens de reprendre son Journal , pour vérifier s’il y parlait de Neuchâtel. Et je tombe sur ce court
33 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
52 utre chose que ce que peut lui offrir le conte du journal , c’est-à-dire s’il demande une nourriture rapidement assimilable, mai
53 les actualités. » Phrase mille fois entendue. Les journaux se couvrent de photos. La couverture photographique triomphe chez tou
34 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
54 , mais pense à cette vie terrestre. Kierkegaard ( Journal ). La volonté de rupture est l’origine même du christianisme ; c’est
55 t. Mais n’allons pas chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du Père de la Brière4 voudrait nous
35 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
56 ar certains philosophes français. (Cf. G. Marcel, Journal métaphysique). Le toi est mon objet, il n’est pas autonome. 7. Ainsi
36 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
57 nnées, dans toutes les conférences, dans tous les journaux d’opinion, dans tous les manifestes de partis ou de ligues, une expre
58 tion s’étale, flétrie avec grandiloquence par des journaux qui vivent de fonds secrets. C’est à tout cela que l’on pense lorsqu’
59 e la presse. On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies. Sans eux, la préparation des esprits qui prélu
60 pour les vrais problèmes de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent dispose des journaux. Et voilà le der
61 rnaux disposent de nos vies, l’argent dispose des journaux . Et voilà le dernier anneau de la chaîne de notre destin. Abrégeons,
37 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
62 rotagoniste du drame.) Des fragments émouvants du journal de Sara commentent et rythment le déroulement de cette légende de la
63 Éditions « Je sers », Paris. c. « Sara Alelia », Journal de Genève, Genève, n° 140, 25 mai 1934, p. 1-2.
38 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
64 u’une simplification de sa pensée, par rapport au Journal métaphysique. M. Marcel est un de ceux dont nous devons attendre qu’i
39 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
65 protestantes en ont parlé. C’est tout. Nos grands journaux ignorent quelques-uns des événements décisifs de l’histoire contempor
66 itution, les cabarets, les magasins de tabac, les journaux , ne sont-ils pas autant de symptômes d’aliénation mentale ? La sociét
40 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
67 est l’homme dépourvu de sérieux », lit-on dans un journal du temps. On se moquera de son aspect physique et de ses pantalons tr
68 fictif, de cet homme affolé par la lecture de son journal , — mais qui porte l’enfer dans son âme ! — Kierkegaard a montré « le
69 réellement à l’opinion publique. Nous lisons les journaux , voilà notre réalité. Le dimanche, nous allons quelquefois à l’église
70 lu Hegel, bien sûr, mais Hegel est dans tous nos journaux , Hegel domine le marxisme et les fascismes, et la théologie des socio
71 ésespoir témoigne seul de la consolation. 52. Journal , tome X. 53. « Là encore, le clerc moderne est protestant », ajoute
72 s sur le chemin de la vie. 56. L’instant. 57. Journal . 58. Traité du désespoir, p. 156. 59. Je ne reviendrai pas, ici, s
73 de la Revue philosophique (nov.-déc. 1931). 60. Journal . 61. Le chemin du paradis, p. 269. C’est moi qui souligne. 62. Pou
41 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
74 s les épreuves qu’il traverse. Ce ne sont pas les journaux qui nous apprendront tout cela. Il faut lire Destin allemand, comme o
42 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
75 s articles que nous avons publiés jusque dans des journaux italiens pour combattre les erreurs du corporatisme fasciste. 14. Cf
43 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
76 ie comme protagoniste du drame.) Des fragments du journal de Sara commentent et rythment le déroulement de cette légende de la
77 lus courte du même roman a également paru dans le Journal de Genève du 25 mai 1934.
44 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
78 nnées, dans toutes les conférences, dans tous les journaux d’opinion, dans tous les manifestes de partis ou de ligues, une expre
79 tion s’étale, flétrie avec grandiloquence par des journaux qui vivent de fonds secrets. C’est à tout cela que l’on pense lorsqu’
80 e la presse. On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies. Sans eux, la préparation des esprits qui prélu
81 pour les vrais problèmes de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent dispose des journaux. Et voilà le der
82 rnaux disposent de nos vies, l’argent dispose des journaux . Et voilà le dernier anneau de la chaîne de notre destin. Abrégeons,
45 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
83 on, mais pense à cette vie terrestre Kierkegaard ( Journal ). La volonté de rupture est l’origine même du christianisme ; c’est
84 t. Mais n’allons pas chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du père de la Brière34 voudrait nous
46 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
85 lui du psychologue lyrique et retors à la fois du Journal du Séducteur. Mais Kierkegaard est surtout un chrétien, et c’est ce q
86 notes consignées par l’interne de service dans le journal de l’hôpital Frédérik où Kierkegaard passa ses derniers jours : « Il
47 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
87 nnées, dans toutes les conférences, dans tous les journaux d’opinion, dans tous les manifestes de partis ou de ligues, une expre
88 tion s’étale, flétrie avec grandiloquence par des journaux qui vivent de fonds secrets. C’est à tout cela que l’on pense lorsqu’
89 e la presse. On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies. Sans eux, la préparation des esprits qui prélu
90 our les vrais problèmes de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent dispose des journaux. Et voilà le der
91 rnaux disposent de nos vies, l’argent dispose des journaux . Et voilà le dernier anneau de la chaîne de notre destin. Abrégeons,
48 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
92 , mais pense à cette vie terrestre. Kierkegaard ( Journal ). La volonté de rupture est l’origine même du christianisme ; c’est
93 t. Mais n’allons pas chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du Père de la Brière27 voudrait nous
49 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
94 ela n’allait pas de soi ! (Exemple : les Pages de journal d’André Gide.) Cette fausse honte ou cette mauvaise conscience, cette
95 la suppression des libertés de la presse. (Si les journaux des pays fascistes ou communiste se livrent parfois, eux aussi, à des
50 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
96 . 66. Onze volumes des œuvres complètes ! 67. Journal d’un homme de 40 ans (Grasset). v. « Notes en marge de Nietzsche »,
51 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
97 on pour les Conversations avec Eckermann, pour le Journal de Byron, etc. 34. Je n’arrive pas à prendre au sérieux en soi la re
52 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
98 1935)p Par une belle matinée de mars 1935, le journal Le Journal répandait brusquement dans Paris ce cri d’alarme stupéfian
99 Par une belle matinée de mars 1935, le journal Le Journal répandait brusquement dans Paris ce cri d’alarme stupéfiant. Soucieux
100 u cartésianisme vulgaire qui traîne dans tous les journaux , il y a toute la distance d’une erreur à un préjugé. Mais enfin pour
101 u’un député ou un ministre, un directeur de grand journal à la solde des maîtres de forges, ou un chef de service aux finances
102 en sorte : en se vendant, soit à l’État, soit aux journaux , soit au public, soit au fascisme ou à l’antifascisme. À quoi s’ajout
103 200 fr. la colonne. Et si vous descendez jusqu’au journal d’information, les prix seront encore supérieurs, pour un « papier »
53 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
104 outes faites prises à droite et à gauche dans des journaux dont l’éloge n’est plus à faire. Mais nous sommes en train d’assister
105 ique, et même à un degré que le simple lecteur de journaux d’opinion, peu initié aux parlottes parisiennes, aux complots de salo
54 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
106 qu’on lit partout, ici, dans tous les articles de journaux , dans tous les discours politiques, à tout propos. J’admire votre « Œ
55 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
107 marque de tout ce qui est véritablement chrétien ( Journal ). Vends ton bien et le donne aux pauvres, par exemple, ou si tu ne po
108 et à la syntaxe particulière de son message. 8. Journal . « L’imitation suivra », en allemand, « Die Nachfolge wird nachfolgen
109 ichtet selbst. 18. Ibid. 19. Toutefois dans le Journal des années 1846 à 1848, on trouve de nombreuses notations de ce genre
56 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
110 ralement très coûteuses (échos, placards dans les journaux , affiches, complaisances diverses que l’on n’accorde qu’à une maison
111 rrent dans leurs caves des stocks de livres ou de journaux qui, bien que n’ayant jamais paru à l’étalage, sont retournés comme «
112 au pas » les éditeurs, libraires, ou débitants de journaux qui feraient mine de résister. Tout cela est bien connu des éditeurs
57 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
113  : ils ne disaient presque rien. On se passait un journal , une lorgnette. On se demandait l’heure. Des fifres jouaient, accompa
114 entendait encore une rumeur d’océan au-dehors. Le journal de ce matin écrit : « Lorsque le Führer s’écria : Je ne puis vivre qu
58 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
115 e choses, c’est une tromperie. C’est pourquoi nos journaux contiennent tant de mensonges, surtout lorsqu’ils essaient de dire la
116 un art sans pitié. ⁂ Ramuz en veut à l’école, aux journaux , au langage noble, aux objets de vitrine, à la poésie poétique, à nos
59 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
117 es, ou les plus lucratifs ; s’il est vrai que les journaux du Comité des forges font profession de défendre le « spirituel » ; s
60 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
118 e malentendus. 1. Parce qu’on a publié d’abord le Journal du séducteur, fragment d’un gros ouvrage intitulé De deux choses l’un
61 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
119 ela n’allait pas de soi ! (Exemple : les Pages de journal d’André Gide.) Cette fausse honte ou cette mauvaise conscience, cette
120 la suppression des libertés de la presse. (Si les journaux des pays fascistes ou communiste se livrent parfois, eux aussi, à des
62 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
121 ’aborder très librement : « essai de théodicée et journal d’un pasteur ». Nous n’avons pas affaire ici à une construction doctr
122 loin. Les Soliloques dans la nuit, fragments d’un journal de jeunesse qui remplissent 200 pages du premier tome, témoignent d’u
123 , une étrange et vivante compilation de notes, de journaux , de lettres, de fragments de sermons, de boutades, d’analyses philoso
124 onod, Le Problème du Bien : essai de théodicée et journal d’un pasteur, 3 volumes, chez Alcan. l. « Le Problème du bien », Les
63 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
125 diant l’inventaire de Petit, comme nous lisons le Journal d’un bourgeois de Paris pour essayer de « voir » le xve siècle. Il v
126 titue sa seule raison d’être. Tout le débat de ce journal revient à cette scandaleuse opposition, créée par notre société, entr
64 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
127 nos voisins : elle ne suppose que la lecture des journaux . (Bien sûr que sous cette forme, elle est inoffensive, tant qu’elle r
65 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
128 e des lecteurs ordinaires, disons des lecteurs de journaux , mais encore il s’est divisé en une foule de dialectes ésotériques. N
129 it confondu, dans les discours et les articles de journaux , avec état, nation, mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre na
130 tes n’en convainquit de son vivant. Cependant les journaux du soir à cinq-cent-mille exemplaires et la radio atteignent des mill
131 dement à démonétiser les mots. Le vocabulaire des journaux est vague, impropre, sans saveur et sans pouvoir d’évocation active d
66 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
132 ini de nous instruire et de nous étonner ». 63. Journal de voyage en Italie, 29 septembre 1786. 64. Pends-toi, brave Kérilli
67 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
133 t il observe les signaux. Les autres (voyez leurs journaux ) se sont jetés dans un énorme embouteillage, il n’y a plus qu’à se la
68 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
134 ut dire ? J’entends : quand tout le monde lit les journaux et prend au sérieux ce qu’ils impriment, sans remarquer que leur lang
69 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
135 e des lecteurs ordinaires, disons des lecteurs de journaux , mais encore il s’est divisé en une foule de dialectes ésotériques. N
136 it confondu, dans les discours et les articles de journaux , avec état, nation, mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre na
137 tes n’en convainquit de son vivant. Cependant les journaux du soir tirent à 500 000 exemplaires et la radio atteint des millions
138 dement à démonétiser les mots. Le vocabulaire des journaux est vague, impropre, sans saveur et sans pouvoir d’évocation active d
70 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
139 e. Leurs termes sont empruntés au vocabulaire des journaux , qui dérive de celui du parlement ou des affaires. Le vocabulaire des
140 r dans les lycées. Leurs élèves écriront dans les journaux . Le peuple enfin ne se nourrit plus que de ces journaux. C’est-à-dire
141 ux. Le peuple enfin ne se nourrit plus que de ces journaux . C’est-à-dire qu’il se voit formé par une doctrine qui prétend ne rie
71 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
142 la mesure où croît la quantité des discours, des journaux . Ce serait donc le premier office d’une pensée modestement technique,
143 c’est cette littérature — celle du film, celle du journal , celle du roman — qui est l’opium des peuples incroyants. La mauvaise
144 peuple populaire ; Péguy l’a dit : il lit trop de journaux . (Les données concrètes de la révolution nécessaire ne sont d’ailleur
72 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
145 ut dire ? J’entends : quand tout le monde lit les journaux et prend au sérieux ce qu’ils impriment, sans remarquer que leur lang
73 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
146 e des lecteurs ordinaires, disons des lecteurs de journaux , mais encore il s’est divisé en une foule de dialectes ésotériques. N
147 it confondu, dans les discours et les articles de journaux , avec État, nation, mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre na
148 tes n’en convainquit de son vivant. Cependant les journaux du soir tirent à 500 000 exemplaires et la radio atteint des millions
149 dement à démonétiser les mots. Le vocabulaire des journaux est vague, impropre, sans saveur et sans pouvoir d’évocation active d
74 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
150 e. Leurs termes sont empruntés au vocabulaire des journaux , qui dérive de celui du parlement ou des affaires. Le vocabulaire des
151 r dans les lycées. Leurs élèves écriront dans les journaux . Le peuple enfin ne se nourrit plus que de ces journaux. C’est-à-dire
152 ux. Le peuple enfin ne se nourrit plus que de ces journaux . C’est-à-dire qu’il se voit formé par une doctrine qui prétend ne rie
75 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
153 la mesure où croît la quantité des discours, des journaux . Ce serait donc le premier office d’une pensée modestement technique,
154 c’est cette littérature — celle du film, celle du journal , celle du roman — qui est l’opium des peuples incroyants. La mauvaise
155 peuple populaire ; Péguy l’a dit : il lit trop de journaux . (Les données concrètes de la révolution nécessaire ne sont d’ailleur
76 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
156 t l’ensemble des trusts qu’on atteindra celui des journaux . Le but L’objet des « Clubs de presse », en même temps que de p
157 être une sorte d’école permanente des lecteurs de journaux  ; 3° une partie documentaire sur la presse. Tout en cherchant à reméd
158 a commandite, la direction, la tendance, etc. des journaux existants ; soit par des études plus générales sur les problèmes fina
77 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
159 reportages, l’autre est enchaîné au bureau de son journal où il écrit au moins deux articles par jour, un troisième « fait les
160 ans, en est encore à placer de la copie dans les journaux de province pour pouvoir payer son loyer ! Et ainsi de suite. Voilà l
161 quoi payer un petit loyer, les cigarettes et les journaux , sauf cas d’ascétisme farouche, — ou de surproduction maladive. Prati
162 se sache ! d. « Condition de l’écrivain (I) », Journal de Genève, Genève, n° 45, 15 février 1937, p. 1.
78 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
163 ’écrivain (II) : La grande misère de l’édition », Journal de Genève, Genève, n° 52, 22 février 1937, p. 1.
79 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
164 i bien, si j’écris ceci à l’intention d’un de nos journaux , ce n’est pas pour prêcher les écrivains qui le lisent, mais dans l’e
165 écrivain (III) : Mission civique de la culture », Journal de Genève, Genève, n° 59, 1er mars 1937, p. 1.
80 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
166 , Marseille. g. « L’Âme romantique et le rêve », Journal de Genève, Genève, n° 81, 23 mars 1937, p. 1.
81 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
167 : quelque chose que nous autres appelons, dans ce journal , une révolution. Quand les clercs en sont arrivés — et l’élite — à su
82 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
168 Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)k J’étais
169 . Enfin ceux qui sont occupés par l’imprimerie du journal local, par les garages ou à la Mairie, sont communistes et mènent les
170 alle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture. Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est assis sur d
171 est-à-dire d’un peu tout : de l’enseignement, des journaux , des traditions et anecdotes locales. Discussion n’est d’ailleurs pas
172 é à R. de mon projet de publier sous le titre de Journal d’un intellectuel en chômage , ces pages que je suis en train de rédi
173 on trouvera sans doute, indiscret, de ma part, ce journal . Un tel jugement ne serait pas très franc, d’ailleurs. L’indiscrétion
174 m’en prenne. Tout ce que je compte dire dans mon journal , c’est qu’on peut être très content d’un sort matériel très médiocre.
175 31 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un journal socialiste du Midi, sous la rubrique « La vie régionale », qui chaque
176 en est fournie par ces phrases cueillies dans un journal révolutionnaire : ‟L’organisation lutte afin de faire accorder une re
177 eillesse. Notre opinion publique, à en croire les journaux , est actuellement dominée par le souci des élections académiques et d
178 e, je parcours, comme chaque jour, la plupart des journaux parisiens et méridionaux. Un vieux bonhomme au nez violacé traîne ses
179 uelle trahison des « petits » représente alors ce journal  ! Leur seule force contre les capitalistes et surtout contre leurs su
180 t si possible, plus médiocre que celle des grands journaux d’information. On leur impose une mystique confectionnée à l’usage de
181 Il comprend sa situation, et ne voit pas que son journal est sans rapport réel avec cette situation. Mais les intellectuels, d
182 mot de tout cela, on s’en tiendra aux clichés du journal . On n’aura pas le temps ni le courage, ni même l’idée de pousser plus
183 toutes les classes, d’exprimer ce que taisent les journaux , les orateurs et les affiches — et qui est la volonté réelle des trav
184 ns 66 ans aujourd’hui, où l’article paraît. k. «  Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) », Mesures, Châtenay-Malabry
83 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
185 o, parce qu’il est soutenu par le communisme. Les journaux de gauche n’annoncent que des victoires gouvernementales ; seuls les
186 se rapprochent toujours plus de Madrid. Quant aux journaux de droite, voici ce qu’en disait récemment une vieille dame : « Ce qu
187 ue j’aime dans le Jour, c’est qu’au moins avec ce journal , les nôtres gagnent toujours. » Deuxième figure. — L’ironie du mette
84 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
188 Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)ag À A… (Gard)
189 des idées non point à l’aide des opinions de son journal , mais à l’aide de sa vie concrète. Celui-là seul peut faire sentir à
190 er littéraire ou politique « en tournée ». ag. «  Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) », Esprit, Paris, n° 57, jui
85 1937, Esprit, articles (1932–1962). Marius Richard, Le Procès (juin 1937)
191 ait, chaque soir et chaque matin, écrire dans les journaux qui s’impriment quelques heures plus tard, exactement ce que l’on pen
192 le-ci pouvait être modifiée. » Nulle fiction ; un journal de méditations dans la vie, de rêves dans l’affreuse vie, où l’on con
86 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
193 12 décembre 1933 Tout à l’heure, en déchirant le journal de l’île pour allumer le feu, j’ai vu l’annonce d’une conférence cont
194 village ne sont pas même tous capables de lire le journal , et j’ai remarqué qu’ils achètent absolument au hasard ceux qu’ils tr
195 re les opinions, pourtant bien tranchées, que ces journaux leur servent. Je crois qu’ils n’y pensent même pas. Peut-être que la
196 tions du second Faust, mais aussi de ces pages du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à madame de Stein co
197 t un certain nombre de phrases qu’on lit dans les journaux et qu’on entend dans les assemblées, et grâce auxquelles on reconnaît
198 té ni les conversations populaires. C’est que les journaux socialistes et communistes sont rédigés par des bourgeois, ou par des
199 u là, c’est que le peuple, en France, lit trop de journaux , ne lit que cela, et finit par se croire « le Peuple », tel que l’ima
200 que j’ai pu constater cette contagion ! Les deux journaux locaux gardent un ton à la fois naïf et grandiloquent, avec des malad
201 ste ou communiste de Paris, et l’un de ces petits journaux de campagne. 15 février 1934 Les gens. — Si j’avais une âme de phila
202 pour se soutenir. Quelquefois on nous envoie des journaux ou des revues à l’essai, mais c’est toujours de la politique. Quand j
203 ait d’intéressant à lire ? — Ne lisez-vous pas de journaux politiques ? — Ce n’est pas ce qu’on cherche. Il faudrait en lire deu
204 laquelle ils n’entendent goutte. 1. Deux petits journaux paraissent dans l’île. L’un est aux mains de M. T…, député de droite,
205 ctuelle, Penser avec les mains , a noté, dans un journal intime tenu au cours d’un long séjour dans l’île de Ré et en Vendée,
206 preuves frappantes. Ces pages sont extraites du Journal d’un intellectuel en chômage , qui doit paraître prochainement. »
87 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
207 N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal ) (juillet 1937)ae Je revois, je revis si bien la traversée, cette
208 une pénétrante odeur de laurier.   10 novembre Ce journal n’aura rien d’intime. J’ai à gagner ma vie, non pas à la regarder. To
209 nvoyé six articles à des revues, hebdomadaires et journaux . Grande facilité de travail dans le silence à peu près absolu. Mais a
210  », qu’est-ce que cela signifie ? Écrire pour les journaux , sans doute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce pays. Je l’a
211 saie d’amener l’entretien sur leurs lectures, les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils suivent, ils se
212 e l’argent.   20 juin Les gens. Je feuillette ce journal  : voici des semaines qu’il n’y est à peu près plus question des « gen
213 t. ae. « N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal ) », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 286, juillet 1937, p. 63-8
88 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
214 qu’une légende doit être crue, comme on croit les journaux , par exemple, et s’en indigne, et refuse de marcher !) Le vrai « mira
89 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
215 Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)o Début de novembre
216  », qu’est-ce que cela signifie ? Écrire pour les journaux , sans doute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce pays… Je l’a
217 voir le va-et-vient d’un lieu public, de lire les journaux de Paris et de fumer des cigarettes américaines au goût de miel, intr
218 t des hebdomadaires, je vais renouer le fil de ce journal . Tout d’abord, j’ai à constater l’échec de notre première tentative d
219 r ma tentative, dans un mois. o. « [Extrait du] Journal d’un intellectuel en chômage », La Revue du dimanche, supplément hebd
220 llent écrivain neuchâtelois Denis de Rougement : Journal d’un intellectuel en chômage . Grâce à la complaisance du directeur d
90 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
221 Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)p Il faut parler des « 
222 rains, d’envier ma condition… p. « Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage », Le Journal, n° 16371, 15 août 1937, p
223 ts de… Journal d’un intellectuel en chômage », Le Journal , n° 16371, 15 août 1937, p. 2. Précédé de la notice suivante : « Bril
224 a « doctrine », en nous donnant, sous le titre de Journal d’un intellectuel en chômage, un recueil de réflexions, d’observation
91 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
225 Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)a Tolstoï disait, vers la
226 urtant ce n’était pas du tout ce qu’on nomme un «  journal intime ». Je n’y parlais pas de mes sentiments, mais de mon entourage
227 ient en somme peu connues : ni les romans, ni les journaux , ni les théories politiques ne m’en avaient donné la moindre idée exa
228 illes. ⁂ Là où l’on a coutume de placer dans un «  journal  » des effusions lyriques, des analyses du moi, j’ai cru qu’il serait
229 cette pour vivre de peu ». a. « Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage », Bulletin de la Guilde du livre, Lausa
92 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
230 Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)b Note pour une préfac
231 mme descend sans se retourner ; l’homme déplie un journal que je n’aime pas, qu’il a peut-être acheté tout par hasard, comme il
232 scriptum. — En même temps que les épreuves de mon journal , je reçois une note à l’encre rouge, signée du correcteur de l’imprim
233 on de la Guilde du Livre. b. « Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage », Bulletin de la Guilde du livre, Lausa
93 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
234 la leçon à toute l’Europe dans les leaders de nos journaux . Et cela ne contribue guère à nous donner un sens actif de nos chance
235 . — L’opinion suisse, telle que la traduisent nos journaux — et spécialement dans les cantons romands — est en contradiction con
236 n bien définie et de portée européenne. Quand nos journaux font la leçon à Léon Blum, ce n’est pas — comme ce pourrait l’être —
237 tre ligne fédérale. Quand nous verrons nos grands journaux se préoccuper de juger ce qui se passe chez nos voisins non plus au n
238 tat personnaliste. 79. La place occupée dans nos journaux par les moindres manœuvres de régiment ou de brigade stupéfie le lect
94 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
239 de commune mesure entre son langage et celui des journaux et des politiciens, ou des intellectuels. De tout près, cela peut don
240 ) ou bien des phrases toutes faites empruntées au journal , à la campagne électorale. C’est que l’homme-moyen n’a pas coutume de
241 ormé de phrases dans sa tête sur ce sujet dont le journal ne parle jamais. Ou bien, sur tel autre sujet, il vous rend ce que d’
242 rficiellement, qu’ils ne pensent qu’à l’instar du journal . Il faut essayer de se maintenir à mi-distance entre les bizarreries
243 3, 1er novembre 1937, p. 18-19. c. Il s’agit du Journal d’un intellectuel en chômage , publié par Denis de Rougemont en 1937.
95 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
244 s avant un rendez-vous. 10 novembre 1933 Ce journal n’aura rien d’intime. J’ai à gagner ma vie, non pas à la regarder. To
245 nvoyé six articles à des revues, hebdomadaires et journaux . Grande facilité de travail dans ce silence à peu près absolu. Mais a
246 appelle un Français aplati, un parfait lecteur de journaux , un minimum de Français, et non pas du tout une moyenne. Que ne réser
247  », qu’est-ce que cela signifie ? Écrire pour les journaux , sans doute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce pays… Je l’a
248 saie d’amener l’entretien sur leurs lectures, les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils suivent, ils se
249 décembre 1933 Tout à l’heure, en déchirant le journal de l’île pour allumer le feu, j’ai vu l’annonce d’une conférence cont
250 village ne sont pas même tous capables de lire le journal , et j’ai remarqué qu’ils achètent absolument au hasard ceux qu’ils tr
251 re les opinions, pourtant bien tranchées, que ces journaux leur servent. Je crois qu’ils n’y pensent même pas. Peut-être que la
252 tions du second Faust, mais aussi de ces pages du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à Mme de Stein comme
253 t un certain nombre de phrases qu’on lit dans les journaux et qu’on entend dans les assemblées, et grâce auxquelles on reconnaît
254 voir le va-et-vient d’un lieu public, de lire des journaux de Paris et de fumer des cigarettes américaines au goût de miel, intr
255 t des hebdomadaires, je vais renouer le fil de ce journal . Tout d’abord, j’ai à constater l’échec de notre première tentative d
256 in provisoirement écarté, je serais tombé dans le journal intime, la culture des impressions ou le pittoresque. Ce séjour, par
257 ce précise et utile relativement au dessein de ce journal  : celle du loisir. Je m’aperçois que je ne savais plus, ou ne pouvais
258 oi-même. Fin de janvier 1934 Je lis dans le Journal de Kierkegaard : « La lande doit favoriser le développement de pensée
259 édition allemande où je poursuis la lecture de ce journal  : Einsamkeit (solitude), et Gottgemeinsamkeit (communion avec Dieu).
260 té ni les conversations populaires. C’est que les journaux socialistes et communistes sont rédigés par des bourgeois, ou par des
261 ou là, c’est que le peuple de France lit trop de journaux , ne lit que cela, et finit par se croire « le Peuple » tel que l’imag
262 que j’ai pu constater cette contagion ! Les deux journaux locaux gardent un ton à la fois naïf et grandiloquent, avec des malad
263 ste ou communiste de Paris, et l’un de ces petits journaux de campagne. 15 février 1934 Les gens. — Si j’avais une âme de
264 pour se soutenir. Quelquefois on nous envoie des journaux ou des revues à l’essai, mais c’est toujours de la politique. Quand j
265 ait d’intéressant à lire ? — Vous ne lisez pas de journaux politiques ? — Ce n’est pas ce qu’on cherche. Il faudrait en lire deu
266 ai 1631). Ce n’est pas Descartes qui eût écrit ce Journal  ! Mais nous, nous chercherons le salut de la pensée ailleurs que dans
267 ur d’aujourd’hui, c’est que le peuple qui lit les journaux a l’esprit plus « artializé » encore que les écrivains. Et quand ceux
268 n choisies, de rencontres, une sorte de perpétuel journal de nos relations avec le monde, empruntant toutes les formes qu’on vo
269 à me faire à ce certain ton que les revues ou les journaux exigent, et qu’il faut vivre assez longtemps loin de Paris, comme nou
270 s les imprimés qui m’arrivent au courrier, ou les journaux . C’est lassant, le manque d’argent, à la longue. Et l’on voit trop de
271 20 juin 1934 Les gens. — Je feuillette ce journal  : voici des semaines qu’il n’y est à peu près plus question des « gen
272 lement le grain de la terre —, j’ai repensé à mon journal . Je voudrais n’y avoir parlé que de ces moments élémentaires, de ces
273 un instant que c’est possible… 1. Deux petits journaux paraissent dans l’île. L’un est aux mains de M. T…, député de droite,
96 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
274 ne pensée isolée, d’un monologue intellectuel, du journal intime par exemple. Aucun écrivain ne se donne plus de chances de men
275 plus de chances de mentir que celui qui écrit un journal intime, une prétendue « relation » de ses pensées et sentiments. C’es
276 rd que cet auteur, s’il a l’intention d’écrire un journal , pense et sent en vue du journal, donc autrement qu’il ne ferait sans
277 tion d’écrire un journal, pense et sent en vue du journal , donc autrement qu’il ne ferait sans ce projet. C’est surtout qu’en s
278 serait l’affirmer devant autrui. Le monologue du journal intime est un artifice qui veut se faire prendre pour la sincérité, a
279 me fait réagir.) Me suis-je assez méfié du genre journal intime ? Depuis six semaines que nous sommes à A…, me suis-je assez i
280 . Enfin ceux qui sont occupés par l’imprimerie du journal local, par les garages ou à la mairie, sont communistes et mènent les
281 alle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture. Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est assis sur d
282 est-à-dire d’un peu tout : de l’enseignement, des journaux , de traditions et anecdotes locales. Discussion n’est d’ailleurs pas
283 quand j’écoute ce qui se dit chez la marchande de journaux , quand je m’informe des raisons de tel parti, de l’idéal de tel indiv
284 méchant : que ce pays est à l’image des quelques journaux qu’on y lit. Une autre impression que j’ai eue cet après-midi sur la
285 lui glisse un de ces jours que j’écris « pour les journaux  ». 3 février 1935 Déclassé. — L’intellectuel l’est toujours. C
286  problème des gens ». — Kangourou de Lawrence, ce journal à peine romancé d’un intellectuel livré à des proximités inévitables,
287 les rues, les gens, les PTT, les magasins et les journaux , nous irrite ou excite notre ironie. Si l’on nous écoutait, il faudra
288 é à R… de mon projet de publier sous le titre de Journal d’un intellectuel en chômage les pages que je suis en train de rédig
289 ’on trouvera sans doute indiscret, de ma part, ce journal . Un tel jugement ne serait pas très franc, d’ailleurs. L’indiscrétion
290 m’en prenne. Tout ce que je compte dire dans mon journal , c’est qu’on peut être très content d’un sort matériel très médiocre.
291 des idées non point à l’aide des opinions de son journal , mais à l’aide de sa vie concrète. Celui-là seul peut faire sentir à
292 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un journal socialiste du Midi sous la rubrique « La vie régionale » qui chaque j
293 en est fournie par ces phrases cueillies dans un journal révolutionnaire : « L’organisation lutte afin de faire accorder une r
294 eillesse. Notre opinion publique, à en croire les journaux , est actuellement dominée par le souci des élections académiques et d
295 onvocations » communiquées le 30 mars 1935 par un journal de la région : — les « ayants-droit » à la carte d’ancien combattant 
296 le, je parcours comme chaque jour, la plupart des journaux parisiens et méridionaux. Un vieux bonhomme au nez violacé traîne ses
297 uelle trahison des « petits » représente alors ce journal  ! Leur seule force contre les capitalistes, et surtout contre leurs s
298 t si possible, plus médiocre que celle des grands journaux d’information. On leur impose une mystique confectionnée à l’usage de
299 comprend sa situation, et ne voit pas que « son » journal est sans rapport réel avec cette situation. Mais les intellectuels, d
300 stime nécessaires : il vous débite des clichés de journal , ou se contente de hocher la tête et de menacer le capitalisme ou les
301 mot de tout cela, on s’en tiendra aux clichés du journal . On n’aura pas le temps ni le courage, ni même l’idée de pousser plus
302 toutes les classes, d’exprimer ce que taisent les journaux , les orateurs et les affiches. Et c’est la volonté réelle des travail
97 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
303 sse de la Porte d’Italie, au milieu de ce que les journaux appellent le « peuple en liesse ». Eh bien, quel manque de fantaisie
304 oisin intolérable. — En face de moi, derrière mon journal , il y a un être d’une espèce inquiétante. C’est son contact qui m’en
305 ues qui s’est assise à côté de moi. J’abaisse mon journal  : je vois un homme plutôt petit, à la tête pointue. Des yeux en lames
98 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
306 imprévu, du patriotisme de l’arrière. Et voici le journal de cet intellectuel jeté dans un cul de bassefosse par le jeu de l’ét
99 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
307 a mort !83 On trouve le second document dans le journal de l’hôpital où vint mourir Kierkegaard (c’est un interne qui transcr
100 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
308 r des efforts. Programme de M. Daladier (selon le Journal du 10 avril) : exclusion des communistes ; non-intervention en Espagn