1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 e bon sens américain. On en fait quelque chose de jovial et d’alerte, quelque chose de très sympathique et pas dangereux du to
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
2 alité. Le père Renaud est un ancien marin, barbu, jovial , déjà touché par le gâtisme, mais agréablement si je puis dire. Cela
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
3 lité. Le père Renaud est un ancien marin, barbu, jovial , déjà touché par le gâtisme, mais agréablement, si je puis dire. Cela
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
4 alité. Le père Renaud est un ancien marin, barbu, jovial , déjà touché par le gâtisme, mais agréablement, si je puis dire. Cela
5 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
5 le délire nationaliste, déguisé en « patriotisme jovial et solennel ». Voici entre cent pages du même ton, quelques extraits
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
6 d’abord le nationalisme, déguisé en patriotisme «  jovial et solennel » : Nous autres « bons Européens », nous aussi nous avon