1
l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime, la «
joy
d’amor », le délire qui prévaut : … en fait, ce fou désir M’occira,
2
laj, ait été le martyre religieux au sommet de la
joy
d’amor : Al-Hallaj se rendait au supplice en riant. Je lui dis : Maî
3
. De là vient que la passion « enthousiaste », la
joy
d’amor des troubadours, devait fatalement aboutir à la passion humain
4
ubadours, l’endiosada des mystiques espagnols, la
joy
d’amor dans son délire dionysiaque. Il en jaillit perpétuellement, au
5
l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime, la «
joy
d’amor », le délire qui prévaut : … en fait, ce fou désir M’
6
laj, ait été le martyre religieux au sommet de la
joy
d’amour : Al-Hallaj se rendait au supplice en riant. Je lui dis : Ma
7
mme idéalisée, avec sa « piété » particulière, la
joy
d’amors, ses « rites » précis, la rhétorique des troubadours, sa mora
8
. De là vient que la passion « enthousiaste », la
joy
d’amor des troubadours, devait fatalement aboutir à la passion humain
9
ubadours, l’endiosada des mystiques espagnols, la
joy
d’amor dans son délire dionysiaque. Il en jaillit perpétuellement, au
10
l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime, la «
joy
d’amor », le délire qui prévaut : … en fait, ce fou désir M’occira,
11
laj, ait été le martyre religieux au sommet de la
joy
d’amour : Al-Hallaj se rendait au supplice en riant. Je lui dis : Ma
12
mme idéalisée, avec sa « piété » particulière, la
joy
d’amors, ses « rites » précis, la rhétorique des troubadours, sa mora
13
. De là vient que la passion « enthousiaste », la
joy
d’amor des troubadours, devait fatalement aboutir à la passion humain
14
ubadours, l’endiosada des mystiques espagnols, la
joy
d’amor dans son délire dionysiaque. Il en jaillit perpétuellement, au
15
mme idéalisée, avec sa « pitié » particulière, la
joy
d’amors, ses « rites » précis, la rhétorique des troubadours, sa mora
16
adours ont exercé un impact profond en rendant la
joy
d’amor à la mode. Les films et la littérature bon marché nous affecte
17
a satisfaction amoureuse, et c’est le principe du
joy
d’amors ou joc, du minnespil des Allemands — ce ludus amoris qui est
18
t ou « petting ». Mais déjà chez Guillaume IX, le
joy
est donné par l’Amour « à celui qui observe ses lois » ; et cette joi
19
oir (encore) obtenu : joie de désirer. Le sens de
joy
oscille donc entre plaisir d’être amoureux et vœu d’éterniser le dési
20
sir, comme chez les Arabes. Chez Guillaume IX, le
joy
devient aussi un influx mystérieux qui émane de la présence et des ye
21
ag apparaît alors comme une sorte de technique du
joy
, ou encore : le joy devient le jeu érotique par excellence, qui suppo
22
mme une sorte de technique du joy, ou encore : le
joy
devient le jeu érotique par excellence, qui suppose l’amor imperfectu
23
ster sur l’asag et sa liaison essentielle avec le
joy
courtois. 1° C’est dans et par l’asag que la rencontre de la cortezia