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ar une certaine ambiance chrétienne — précisons :
judéo-chrétienne
. Il sait que Dieu et sa Justice existent, mais il le sait d’une maniè
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(sacrés)… Depuis l’“invention” de la foi au sens
judéo-chrétien
du mot (= pour Dieu tout est possible), l’homme détaché de l’horizon
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gues » qu’annonce l’Apocalypse. Avec cette source
judéo-chrétienne
vient confluer la source grecque : l’homme mesure de toutes choses se
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mais venu la découvrir. L’Europe gréco-romaine et
judéo-chrétienne
a conçu la notion de genre humain, si longtemps étrangère, voire répu
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mais venu la découvrir. L’Europe gréco-romaine et
judéo-chrétienne
a conçu la notion de genre humain, si longtemps étrangère, voire répu
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évotieuse et craintive. D’autre part, la religion
judéo-chrétienne
d’un Dieu incarné, qui appelle l’homme à la liberté dans sa condition
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ous nos peuples, comme la grecque, la romaine, la
judéo-chrétienne
, la celte, la germanique, etc., bien antérieures aux découpages en co
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mais venu la découvrir. L’Europe gréco-romaine et
judéo-chrétienne
a conçu la notion de genre humain, si longtemps étrangère, voire répu
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évotieuse et craintive. D’autre part, la religion
judéo-chrétienne
d’un Dieu incarné, qui appelle l’homme à la liberté dans sa condition
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la pluralité de ses origines — grecque, romaine,
judéo-chrétienne
, germanique, celte, à quoi se sont ajoutées des influences arabes, sl
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moderne (produit des sources grecque, romaine et
judéo-chrétienne
, en l’occurrence) est à la fois trop englué dans la matière (d’où son
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e Dieu et du prochain comme de soi-même (héritage
judéo-chrétien
) ; — la notion de personne humaine, autonome et chargée d’une vocatio
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onyme et nomade, mélange des races, universalisme
judéo-chrétien
— qui détruisent les liens organiques et naturels, donc germaniques,
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ble à celui de la tragédie grecque et de la Bible
judéo-chrétienne
: grands textes éducateurs de la psyché individuelle et collective, d
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l’amour » autrefois enchaîné par « la conception
judéo-chrétienne
de l’amour » et par ses interdits, ou quand on se lamente sur le « dé
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rs religieuses — grecques, mazdéennes, romanes et
judéo-chrétiennes
— de procédures intellectuelles et juridiques, de monuments sacrés et
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rope, la vraie, celle de la culture gréco-latine,
judéo-chrétienne
, et d’abord celtique et germanique, avec des apports arabes et slaves
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nonyme et nomade, mélange de races, universalisme
judéo-chrétien
, qui détruisent les liens organiques et naturels, donc germaniques, m
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romain, philosophie grecque de la cité, Écritures
judéo-chrétiennes
. Mais il faut y ajouter les valeurs germaniques et les valeurs celtiq
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grecques – individu ; Rome – citoyen ; révolution
judéo-chrétienne
– personne. Quelle que soit la valeur historique de ce schéma, il s’i
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esprit européen, en partie. Il y a les traditions
judéo-chrétiennes
naturellement, qui sont communes à tous nos peuples. Donc, à la fois
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aintenant la révolution que l’on pourrait appeler
judéo-chrétienne
, qui crée la notion de « personne », d’homme défini par sa vocation t