1
André Breton, Manifeste du surréalisme (
juin
1925)b Sous une « vague de rêves », la logique, dernier agent de l
5
lotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (
juin
1928)ar Livre passionnant pour tous ceux que Jules Verne passionne
7
Jules Supervielle, Saisir (
juin
1929)ay Ce petit livre de poèmes est comme une initiation au silen
9
is le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut.
Juin
1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle (dans
10
si longtemps qu’elles ont fui. Avril et mai et
juin
sont lointains, Je ne suis plus rien, je n’aime plus vivre. Il y a
15
is le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut.
Juin
1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle (dans
16
s, si longtemps qu’elles ont fui. Avril et mai et
juin
sont lointains, Je ne suis plus rien, je n’aime plus vivre. Il y ava
17
t ensuite : Heil’ge Nacht, oh giesse du ! » 10
juin
1929 Tennis avec la jolie fille au collier de perles bleues. Après
18
es Franzosen. On ne me permet pas d’entrer. 11
juin
1929 Au rebours des classiques français, livrés à l’Enseignement,
19
t un peu sourire, et qui est si réconfortante.
juin
1929 Paracelse et Swedenborg : Goethe m’y ramène, dont je lis qu’i
20
t lente, et qui jouit parfois de son objet… 13
juin
1929 Werther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les pages, à
21
rs aux yeux secs, voilà ce que nous sommes. 14
juin
1929 Je suis assis en face du magazine que lit le père Reinecke. S
22
ourg L’esplanade du Brühl, un soir de fête, en
juin
. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gam
23
nd peut-être, derrière ses volets mal clos… 20
juin
1929 Hier, au moment de me quitter après une promenade en forêt, e
24
’ailleurs qu’il n’y a pas lieu de résister. 22
juin
1929 Rencontre avec la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme
25
is le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut.
Juin
1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle (dans
26
ensuite : « Heil’ge Nacht, oh giesse du ! » 10
juin
1929 Tennis avec la jolie fille au collier de perles bleues. Après
27
es Franzosen. On ne me permet pas d’entrer. 11
juin
1929 Au rebours des classiques français, livrés à l’Enseignement,
28
n peu sourire, et qui est si réconfortante. 12
juin
1929 Paracelse et Swedenborg : Goethe m’y ramène, dont je lis qu’i
29
t lente, et qui jouit parfois de son objet… 13
juin
1929 Werther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les pages, à
30
rs aux yeux secs, voilà ce que nous sommes. 14
juin
1929 Je suis assis en face du magazine que lit le père Reinecke. S
31
ourg L’esplanade du Brühl, un soir de fête, en
juin
. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gam
32
nd peut-être, derrière ses volets mal clos… 20
juin
1929 Hier, au moment de me quitter après une promenade en forêt, e
33
’ailleurs qu’il n’y a pas lieu de résister. 22
juin
1929 Rencontre avec la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme
34
, avec les pas de la servante au corridor.) 30
juin
1929 Hier soir sur la route des collines, pendant une promenade d’
35
e dernière. À cette heure où Paris… Berne, 15
juin
1940 « À cette heure où Paris exsangue voile sa face d’un nuage et
36
cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15
juin
j’entrerai dans Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris
37
ille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de
juin
pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur Germain-
38
ne savent ce qu’ils font.” » Ce texte parut le 17
juin
dans la Gazette de Lausanne , entre l’arrivée au pouvoir de Pétain d
39
l’arrivée au pouvoir de Pétain dans la nuit du 16
juin
, et l’appel de Londres lancé par de Gaulle le 18 juin. L’article me v
40
, et l’appel de Londres lancé par de Gaulle le 18
juin
. L’article me valut une condamnation à quinze jours de forteresse, au
41
is bien souvent désespéré, après cet au revoir en
juin
1940, qui sonnait malgré moi comme un adieu… Le jour point derrière l
42
Une main, par C. F. Ramuz (
juin
1933)l Qu’on ait pris Ramuz pour un « régionaliste », c’est une de
44
La Légion étrangère soviétique (
juin
1933)b Elle est formée d’intellectuels français. On serait tenté d
46
ngère soviétique », L’Ordre nouveau, Paris, n° 2,
juin
1933, p. 19-23. h. « Destin du siècle ou destin de l’homme ? », L’Or
47
. En page II du n° 12 de L’Ordre nouveau , du 15
juin
1934, Rougemont apporte la précision suivante : « On a pu croire, à l
48
on nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (
juin
1934)j Au cours d’une conversation, cet été, Nicolas Berdiaev fais
49
n (Grasset) », Cahiers du Sud, Marseille, n° 162,
juin
1934, p. 386-391. k. Rougemont en fera la recension dans la NRF de m
50
vrais engagements. (paru dans L’Ordre nouveau ,
juin
1938.) 81. En 1938, déjà… 82. Baudelaire voulait que la critique d
51
Tristan Tzara, Grains et Issues (
juin
1935)o Ce livre comporte une partie poétique précieuse et somnifèr
55
Qu’est-ce que la politique ? (
juin
1936)u 1. La politique est en principe ce qui intéresse la cité. A
57
s ? », écrit le communiste Victor Serge. (Esprit,
juin
1936.) v. « Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme »,
58
x au « congrès pour la défense de la culture » de
juin
1935. 58. Tels qu’en assurent aux plus adroits le mouvement stakhano
59
x au « Congrès pour la défense de la culture » de
juin
1935. 44. Tels qu’en assure aux plus actifs le mouvement stakhanovis
60
x au « Congrès pour la défense de la culture » de
juin
1935. 45. Tels qu’en assure aux plus actifs le mouvement stakhanovis
61
Violence et brutalité (1er
juin
1937)a À plusieurs reprises, les collaborateurs de ces Cahiers ont
64
e », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 766, 19
juin
1937, p. 5. Il s’agit d’une recension de Traité du aerf arbitre de Ma
65
Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (
juin
1937)ag À A… (Gard), 15 janvier Matinées d’hiver au midi Et voici
66
l en chômage (fragments) », Esprit, Paris, n° 57,
juin
1937, p. 368-387. Une note précise : « Extraits d’un ouvrage à paraît
67
Marius Richard, Le Procès (
juin
1937)ah Un petit livre qui sait s’arrêter dès qu’il nous a fait vo
68
chard, Le Procès, Corréa », Esprit, Paris, n° 57,
juin
1937, p. 479-480. Une note précise : « Des fragments de ce livre ont
69
Paul Éluard, L’Évidence poétique (
juin
1937)ai Les surréalistes ont un sens typographique étonnant : pas
72
de l’Ouest », La Revue de Paris, Paris, n° 12, 15
juin
1937, p. 826-851. Introduit par la note suivante : « M. Denis de Roug
73
rer avant longtemps en fait de « rentrées ». 14
juin
Hier soir, j’avais fait une dernière revue de nos possibilités de sub
74
iter la vie, de la médecine des homéopathes. 16
juin
La banque d’A. n’est ouverte qu’un jour par semaine. Ce n’est qu’aujo
75
ticulière s’attache au commerce de l’argent. 20
juin
Les gens. Je feuillette ce journal : voici des semaines qu’il n’y es
76
bouge et ce qui est fixe, à grande vitesse ! 5
juin
1934 Le jardin à 7 heures du matin. Chaque jour, nous le découvron
77
ent, une hirondelle, les bruits des champs. 10
juin
1934 Depuis que nous parcourons cette pointe de l’île à bicyclette
78
and nous passons : — Alors, on se promène ? 14
juin
1934 Il vient de m’arriver quelque chose qui prouve certainement q
79
u encore, de le passer ailleurs sans ennui. 15
juin
1934 Bon vent du destin souffle encore : au courrier de midi, l’of
80
ter la vie, de la médecine des homéopathes. 16
juin
1934 La banque d’A. n’est ouverte qu’un jour par semaine. Ce n’est
81
iculière s’attache au commerce de l’argent. 20
juin
1934 Les gens. — Je feuillette ce journal : voici des semaines qu
82
s au vert, urbaniser tout le reste du pays… 5
juin
1935 …Et un beau jour, plus moyen d’échapper à cette humiliante év
83
Vues sur le national-socialisme (1er
juin
1938)f Les notes qui suivent sont extraites d’un « journal » tenu
85
libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10
juin
1938)c Nous sommes en train de passer du règne de la finance total
86
M. Denis de Rougemont », Combat, Paris, n° 26, 10
juin
1938, n. p. Précédé de la note suivante : « L’auteur de Penser avec
91
s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (
juin
1938)ad Chose étrange, le 6 février 1934 est une date de l’histoir
93
Blum », elle a consisté à empêcher la révolution.
Juin
1936 était un espoir que les accords Matignon trompèrent. C’est tout
94
Revue des revues (septembre 1938)ao Combat (
juin
). — Un souffle révolutionnaire, ce serait trop dire, mais un bon cour
95
rape-nigaud. Réponse : matérialisme dialectique. (
Juin
). — La Duchesse de Friedland, nouvelle de Drieu la Rochelle. « Qui n’
96
J’espérais terminer mon livre aux alentours du 21
juin
, date du solstice d’été, triomphe solaire sur les ténèbres, à cette h
97
? Retrouverons-nous une liberté nouvelle ? 11
juin
1936 L’Église confessionnelle (Bekenntniskirche) groupe autour d’u
98
t déclaré, Dieu n’ait retrouvé des humains. 21
juin
1936, nuit Fête du solstice d’été. — Dans la nuit noire, sur une
99
ons lorsque nous lui trouvions des charmes… 30
juin
1936. Départ Nous quittons l’Allemagne ce soir. Hier, nous chantio
100
« Le matin vient, et la nuit aussi » (7
juin
1939)e Le désarroi de l’époque — nous lisons cela partout, depuis
101
et la nuit aussi” », Le Figaro, Paris, n° 158, 7
juin
1939, p. 1 et 3. f. « Kaur » dans la version originale imprimée, man
102
oujours des directeurs de conscience en Occident (
juin
1939)m I. La première partie de votre questionnaire comporte
104
che du temps perdu, de Proust. 9. Discours du 18
juin
1939, à Dantzig. b. « L’Âme romantique et le rêve », La Revue de Par
105
tait-il hérétique ? (« Rev. d’hist. des relig. »,
juin
1938) qui m’apporte de décisives confirmations. L’auteur va jusqu’à p
106
’étude de E. Dermenghem, Mortelle poésie (Hermès,
juin
1936), où l’on trouvera la traduction de très belles légendes musulma
107
la Légende de « Tannhäuser » (Mercure de France,
juin
1938). Le Tannhäuser du xvie siècle est une tardive adaptation allem
108
’est lui qui transforme le monde. 21 février — 21
juin
1938. 196. Je m’en tiens au cas-limite de Tristan. Il y a des cas
109
it-il hérétique ? Revue d’Histoire des Religions,
juin
1938) va jusqu’à proposer que l’on prenne certains poèmes des troubad
110
la Légende de « Tannhäuser » (Mercure de France,
juin
1938). Le Tannhäuser du xvie siècle est une tardive adaptation allem
111
c’est lui qui transforme le monde. 21 février-21
juin
1938 (Révision : 1954.) 214. Je m’en tiens au cas-limite de Tris
113
il hérétique ? », Revue d’Histoire des Religions,
juin
1938) va jusqu’à proposer que l’on prenne certains poèmes des troubad
114
la Légende de « Tannhäuser » (Mercure de France,
juin
1938). Le Tannhäuser du xvie siècle est une tardive adaptation allem
115
c’est lui qui transforme le monde. 21 février-21
juin
1938. (Révision : 1954.) 200. Je m’en tiens au cas-limite de Tri
116
otre souvenir, le dernier printemps de la paix… 5
juin
1939 L’origine de toutes nos haines, l’origine de toute amertume, c’e
117
croyait-on — d’affronter les armées régulières. 7
juin
1939 Ce restaurant où j’achève de déjeuner — rive droite — est le typ
118
rant les voiles, du salut qui nous est promis ! 9
juin
1939 « Notre Führer fait une politique d’artiste ! », a proclamé M. G
119
mais adopté par ses victimes, les philistins. 10
juin
1939 À Saint-Germain-des-Prés, le printemps parisien, ce soir, tourne
120
« À cette heure où Paris… » (17
juin
1940)b À cette heure où Paris exsangue voile sa face d’un nuage, e
121
cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15
juin
, j’entrerai dans Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Pari
122
ille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de
juin
pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur Saint-Ge
123
ées. « …car ils ne savent ce qu’ils font. » Le 15
juin
1940. b. « À cette heure où Paris… », Gazette de Lausanne, Lausanne
126
évère », Les Cahiers protestants, Lausanne, n° 4,
juin
1940, p. 193-202. Une note précise : « Nous remercions ici la Neue Sc
127
à reproduire cet article paru dans son numéro de
juin
1940. L’auteur — qui est un de nos collaborateurs — se voit contraint
130
I. Naissance de la Ligue Au mois de
juin
1940, une douzaine d’hommes se réunirent pour tenter de mettre en com
131
propres troupes de choc, après l’épuration du 30
juin
1934, leur laissant seulement un poignard décoratif. La possession pa
132
cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15
juin
, j’entrerai dans Paris. Il y entre en effet, mais ce n’est plus Paris
133
ille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de
juin
pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur Saint-Ge
134
cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15
juin
, j’entrerai dans Paris. Il y entre en effet, mais ce n’est plus Paris
135
ille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de
juin
pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur St-Germa
136
cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15
juin
, j’entrerai dans Paris. Il y entre en effet, mais ce n’est plus Paris
137
le lépreuse. « N’importe quel badaud d’un soir de
juin
pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur Saint-Ge
138
versements qu’ils vivaient. Aux mois de mai et de
juin
1940, on entendait répéter constamment : « Je viens d’écouter la radi
139
araître ». Dans l’intervalle entre l’armistice de
juin
1940 et la suppression de toute expression libre par Vichy, la revue
141
is bien souvent désespéré, après cet au revoir en
juin
40, qui sonnait malgré moi comme un adieu… Le jour point derrière les
144
Deux lettres sur le gouvernement mondial (4
juin
1946)x I. Problème curieux que pose le gouvernement mondial V
146
Deux lettres sur la fin du monde (29
juin
1946)b I — Dies iræ Princeton, 24 décembre 1945. La fin du
148
bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30
juin
1946)o Il est des lieux où souffle l’esprit de destruction. Herman
151
e souvenir, le dernier printemps de la paix… 5
juin
1939 Le désarroi de l’époque — nous lisons cela partout depuis vin
152
nce, le « malgré tout » dont nous vivrons ! 10
juin
1939 L’origine de toutes nos haines, l’origine de toute amertume,
153
ait-on — d’affronter les armées régulières. 19
juin
1939 « Notre Führer fait une politique d’artiste ! », a proclamé M
154
is adopté par ses victimes, les philistins. 21
juin
1939 À Saint-Germain-des-Prés, le printemps parisien, ce soir, tou
155
a reconnaissance de l’unique nécessaire ? 6
juin
1940 Hier soir, à Lausanne, avec Theo Spoerri, pour l’émission nat
156
cautions, avant d’avoir calculé la dépense… 12
juin
1940 Débâcle française sur la Seine. Notre projet me travaille. Sp
157
i s’incarne, qui « prend corps ». Dimanche, 16
juin
1940 À 11 heures, hier matin, mon ordonnance fait irruption dans m
158
cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15
juin
j’entrerai dans Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris
159
ille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de
juin
pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur Saint-Ge
160
…car ils ne savent ce qu’ils font. » Lundi 17
juin
1940, soir Faisons le point, bon exercice pour rester maître de so
161
es tapantes au bureau, surtout. Notre projet du 6
juin
se précise. Ph. est en train de convoquer pour le 22 juin les dix per
162
précise. Ph. est en train de convoquer pour le 22
juin
les dix personnes que nous avons « contactées » ces jours derniers. S
163
tant dans ces moments où tout peut arriver. 18
juin
1940 À sept heures précises au bureau. Sur ma table une note me pr
164
es de Guderian descendent vers la Faucille. 19
juin
1940 Atmosphère d’imminence, je ne puis la caractériser mieux. Tou
165
pation des petites choses précises à faire. 20
juin
1940 Tourné le bouton de ma radio qui se trouvait arrêtée sur Lond
166
tte fois-ci j’ai pleuré. Quelle délivrance. 21
juin
1940 La justice militaire ne veut pas de mon cas. On m’a donc déce
167
lles sont les petites surprises de l’exil. Fin
juin
1942 Une journée à l’OWI. — André Breton, superbement courtois, p
168
et l’écouter parler des malheurs de sa France…
Juin
1942 La guerre va mal, il faut le dire, et persuader l’Europe qu’e
169
du général de Gaulle à la radio de Londres, le 18
juin
1940. Mais de Gaulle était justement le contraire d’un officiel à cet
170
que si elle cesse de lutter. Lake George, fin
juin
1945 Le dernier des Mohicans. — Le clapotis doux d’une pagaie tra
171
is bien souvent désespéré, après cet au-revoir en
juin
1940, qui sonnait malgré moi comme un adieu… Le jour point derrière l
172
is le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut.
Juin
1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle (dans
173
ensuite : Heil’ge Nacht, oh giesse du ! 10
juin
1929 Tennis avec la jolie fille au collier de perles bleues. Après
174
es Franzosen. On ne me permet pas d’entrer. 11
juin
1929 Au rebours des classiques français, livrés à l’Enseignement,
175
n peu sourire, et qui est si réconfortante. 12
juin
1929 Paracelse et Swedenborg : Goethe m’y ramène, dont je lis qu’i
176
t lente, et qui jouit parfois de son objet… 13
juin
1929 Werther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les pages, à
177
rs aux yeux secs, voilà ce que nous sommes. 14
juin
1929 Je suis assis en face du magazine que lit le père Reinecke. S
178
ourg L’esplanade du Brühl, un soir de fête, en
juin
. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gam
179
nd peut-être, derrière ses volets mal clos… 20
juin
1929 Hier, au moment de me quitter après une promenade en forêt, e
180
’ailleurs qu’il n’y a pas lieu de résister. 22
juin
1929 Rencontre avec la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme
181
, avec les pas de la servante au corridor.) 30
juin
1929 Hier soir sur la route des collines, pendant une promenade d’
182
tableau de bord d’une génération qui démarre. En
juin
1932, je publie dans la revue Présence que Gilbert Trolliet dirige
183
bouge et ce qui est fixe, à toute vitesse ! 5
juin
1934 Le jardin à sept heures du matin. Chaque jour, nous le découv
184
ent, une hirondelle, les bruits des champs. 10
juin
1934 Depuis que nous parcourons cette pointe de l’île à bicyclette
185
and nous passons : — Alors, on se promène ? 14
juin
1934 Il vient de m’arriver quelque chose qui prouve certainement q
186
u encore, de le passer ailleurs sans ennui. 15
juin
1934 Bon vent du destin souffle encore : au courrier de midi, l’of
187
ter la vie, de la médecine des homéopathes. 16
juin
1934 La banque d’A… n’est ouverte qu’un jour par semaine. Ce n’est
188
iculière s’attache au commerce de l’argent. 20
juin
1934 Les gens. — Je feuillette ce journal : voici des semaines qu
189
s au vert, urbaniser tout le reste du pays… 5
juin
1935 …Et un beau jour, plus moyen d’échapper à cette humiliante év
190
? Retrouverons-nous une liberté nouvelle ? 1er
juin
1936 Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens (ext
191
être à la mort », ajoute mon correspondant. 11
juin
1936 L’Église confessionnelle (Bekenntniskirche) groupe autour d’u
192
t déclaré, Dieu n’ait retrouvé des humains. 21
juin
1936, nuit Fête du solstice d’été. — Dans la nuit noire, sur une
193
ons lorsque nous lui trouvions des charmes… 30
juin
1936. Départ Nous quittons l’Allemagne ce soir. Hier, nous chantio
194
al de mon Journal d’Allemagne . De fin mai au 20
juin
, dans un petit château près de Brunoy, les livres VI et VII, la préfa
195
e révision du texte dactylographié. Au soir du 21
juin
, solstice d’été, dernier triomphe du Jour sur une Nuit dont le règne
196
vant la solitude, avant la nuit de l’esprit. 5
juin
1939 Le désarroi de l’époque — nous lisons cela partout depuis vi
197
nce, le « malgré tout » dont nous vivrons ! 10
juin
1939 L’origine de toutes nos haines, l’origine de toute amertume,
198
intention d’en abuser 72. 1bis, rue Vaneau, 16
juin
1939 Hier soir, nous trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe d
199
souvenir, le dernier printemps de la paix… 19
juin
1939 « Notre Führer fait une politique d’artiste ! », a proclamé l
200
is adopté par ses victimes, les philistins. 21
juin
1939 À Saint-Germain-des-Prés, le printemps parisien, ce soir, tou
201
u la reconnaissance de l’unique nécessaire ? 6
juin
1940 Hier soir, à Lausanne, avec Theo Spoerri, pour l’émission nat
202
cautions, avant d’avoir calculé la dépense. 12
juin
1940 Débâcle française sur la Seine. Notre projet me travaille. Sp
203
i s’incarne, qui « prend corps ». Dimanche, 16
juin
1940 À onze heures, hier matin mon ordonnance fait irruption dans
204
cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15
juin
j’entrerai dans Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris
205
ille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de
juin
pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur Saint-Ge
206
car ils ne savent ce qu’ils font. » Lundi 17
juin
1940, soir Faisons le point, bon exercice pour rester maître de so
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es tapantes au bureau, surtout. Notre projet du 6
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se précise. Ph. M. est en train de convoquer pour le 22 juin les dix
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cise. Ph. M. est en train de convoquer pour le 22
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les dix personnes que nous avons « contactées » ces jours derniers. S
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tant dans ces moments où tout peut arriver. 18
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1940 À sept heures précises au bureau. Sur ma table, une note me p
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es de Guderian descendent vers la Faucille. 19
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1940 Atmosphère d’imminence, je ne puis la caractériser mieux. Tou
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te fois-ci j’ai pleuré. Quelle délivrance ! 20
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1940 Mon colonel se présente à la porte de notre petite maison du
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tre des dix « conjurés » aura lieu demain. Fin
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1940 Repris mon service à la section « Armée et Foyer ». Pendant m
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rs. C’est tout ce qu’il possède, paraît-il. 26
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1940 Hier, discours de Pilet-Golaz, chef du Département politique
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lles sont les petites surprises de l’exil. Fin
juin
1942 Une journée à l’OWI. — André Breton, superbement courtois, p
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et l’écouter parler des malheurs de sa France…
Juin
1942 La guerre va mal, il faut le dire, et persuader l’Europe qu’e
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Marshall : « Nous débarquerons en France. » 26
juin
1942 Déjeuné chez des amis belges avec Paul Van Zeeland, et parlé
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du général de Gaulle à la radio de Londres, le 18
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1940. Mais de Gaulle était justement le contraire d’un officiel à cet
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que si elle cesse de lutter. Lake George, fin
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1945 Le dernier des Mohicans. — Le clapotis doux d’une pagaie tra
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is bien souvent désespéré, après cet au revoir en
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1940, qui sonnait malgré moi comme un adieu… Le jour point derrière l
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Telles sont les petites surprises de l’exil. Fin
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1942 Une journée à l’OWI.— André Breton, superbement courtois, patie
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cs et l’écouter parler des malheurs de sa France…
Juin
1942 La guerre va mal, il faut le dire, et persuader l’Europe qu’elle
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annoncé leur décision de se retirer des Indes en
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1948 que la Ligue musulmane se déclare prête à la guerre contre le Co
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par les Allemands et qui, paru dans la Gazette en
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1940, lui valut une sanction de la censure. L’écrivain ayant quitté p
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auxquelles aboutira ce congrès de l’Europe. Le 19
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1789, personne ne prévoyait le serment du Jeu de Paume, qui marqua le
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Pour sauver nos diversités (le sens de La Haye) (
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1948)c La crise actuelle nous force à nous interroger sur la valeu
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auxquelles aboutira ce congrès de l’Europe. Le 19
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de 1789, personne ne prévoyait le serment du Jeu de Paume, qui marqua
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Diète est saisie du projet, qu’elle adopte le 27
juin
. Pendant le mois d’août, le peuple vote dans les cantons. Le 12 septe
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Diète est saisie du projet, qu’elle adopte le 27
juin
. Pendant le mois d’août le peuple vote dans les cantons. Le 12 septem
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Diète est saisie du projet, qu’elle adopte le 27
juin
. Pendant le mois d’août, le peuple vote dans les cantons. Le 12 septe
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mpte fait, nous nous connaissions peu, ce jour de
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39 où dans le hall de la rue Sébastien-Bottin, j’étais en train de té
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ntretiens, j’ai pris des notes. C’est celui du 20
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. J’avais eu l’impression ce jour-là que Gide passait la prudence dans
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Après l’Œuvre du xxe siècle (14
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1952)i Il ne saurait être question de tirer de nos débats et de no
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uvre du xxe siècle », Réforme, Paris, n° 378, 14
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1952, p. 7. Ce texte est précédé du chapeau suivant : « Nous avons re