1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 a brume est venue comme une envie de sommeil. Une lampe dans la maison blanche nous a révélé proche la nuit. Nous nous sommes
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
2 ait le cœur. L’aube parut. On éteignit toutes les lampes , et les couples charlestonnaient plus furieusement dans l’ombre livid
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 aux que ceux qu’il peint ou modèle, le soir, à la lampe , en compagnie de sa femme (elle peint aussi, d’un œil regardant le su
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
4 et les évocations, sous les bouteilles, — et les lampes meurent en jetant une longue flamme. À Venise, sous le brouillard qui
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
5 it-ce un être ? 17. Insomnie J’éteignais la lampe et la veilleuse me rendait compagnon d’une momie bleuâtre, mais peut-
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
6 tout à fait dans le genre d’Osaka, écrits sur des lampes carrées. Entre les stations, des étendues de toits de tuiles, avec de
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 -ce un être ? xvii Insomnie J’éteignais la lampe et la veilleuse me rendait compagnon d’une momie bleuâtre, mais peut-
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
8 nces et d’absences — la chambre principale où une lampe arrose la pesante nappe aux dessins brodés, des verres, des coudes et
9 ce et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lis
9 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
10 et les évocations, sous les bouteilles, — et les lampes meurent en jetant une longue flamme. À Venise, sous le brouillard qui
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 était-ce un être ? Insomnie J’éteignais la lampe et la veilleuse me rendait compagnon d’une momie bleuâtre, mais peut-
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 ces et d’absences, — la chambre principale où une lampe arrose la pesante nappe aux dessins brodés, des verres, des coudes et
13 ce et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lis
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
14 ples et des solitaires éteindre et rallumer leurs lampes . Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de l
15 . Il n’y a plus, tout près sur nos têtes, que les lampes en veilleuses, et le ronron des moteurs. Une petite secousse, une lon
13 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
16 primauté d’une personne. 5. « Ta Parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier » 6. Die Chimäre, trad. fr
14 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
17 debout, le bras levé. À huit heures sonnant, les lampes à arc s’éteignirent. Des flèches lumineuses gigantesques s’allumèrent
15 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
18 prises déjà, s’étant couché fort tard, il a vu ma lampe allumée. Si cela continue, il me prendra pour un sorcier. Qui sait, c
19 électrique a plus de « valeur culturelle » que la lampe à pétrole ; et l’eau courante que la pompe ; — et Babbitt que D. H. L
20 eureux qu’un bourgeois, avec ma pompe à eau et ma lampe à pétrole. 21 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un jou
16 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
21 ne rumeur de marée, des trompettes au-dehors. Les lampes à arc s’éteignent dans la salle, tandis que des flèches lumineuses s’
17 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
22 n labyrinthe. Je suivais les tapis rouges, et les lampes rouges, comme lorsqu’on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge o
18 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
23 n labyrinthe. Je suivais les tapis rouges, et les lampes rouges, comme lorsqu’on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge o
19 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
24 en fureur parce que je lui demande d’éteindre une lampe qui me faisait mal aux yeux. Il la lance à terre et me fait une de ce
25 ux, sans même que vous le sachiez, sauf quand une lampe s’éteint ? 34. Le démon de la popularité De toutes les créatur
20 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
26 n labyrinthe. Je suivais les tapis rouges, et les lampes rouges, comme lorsqu’on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge o
21 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
27 en fureur parce que je lui demande d’éteindre une lampe qui me faisait mal aux yeux. Il la lance à terre et me fait une de ce
28 ux, sans même que vous le sachiez, sauf quand une lampe s’éteint ? » 34. Le démon de la popularité De toutes les créatu
22 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
29 n labyrinthe. Je suivais les tapis rouges, et les lampes rouges, comme lorsqu’on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge o
23 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
30 primauté d’une Personne. 29. « Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier », dit le psalmiste. 30. D
24 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
31 retrouvons indiqué dans le chapeau, le verre, la lampe . Nous retrouvons le petit café vaudois autour duquel tourne la vie du
32 ed saisi dans le mouvement du croquis. Et dans la lampe , il y a la mystique de l’objet utile : l’ustensile, si caractéristiqu
25 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
33 . Il n’y a plus que, tout près sur nos têtes, les lampes en veilleuse, et le ronron assourdi des moteurs. Une petite secousse,
26 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
34 printemps, ou chaque soir la nuit. (Une première lampe s’est allumée. Quelqu’un dit : « Elle est là ».) Premier jugement,
27 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
35 ples et des solitaires éteindre et rallumer leurs lampes . Une blonde platinée, en peignoir rose, ouvre son frigidaire, sort de
28 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
36 nt. Au fond d’une pièce vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle
29 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
37 ples et des solitaires éteindre et rallumer leurs lampes . Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de l
38 t. Au fond d’une pièce vaste et noire, une petite lampe fait une flaque rose. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle
30 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
39 vant ce papier blanc, où j’écris à la lueur d’une lampe à pétrole. Pourquoi sommes-nous là, quelque part, loin de tout ce qu
31 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
40 maison, près de la fenêtre, un petit arbre où des lampes électriques multicolores remplacent les bougies ; dans chaque rue, de
32 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
41 ux télétypes, visières vertes aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniques locales entre des group
33 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
42 ples et des solitaires éteindre et rallumer leurs lampes . Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de l
34 1946, Journal des deux mondes. Virginie
43 nt. Au fond d’une pièce vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle
35 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
44 . Il n’y a plus que, tout près sur nos têtes, les lampes en veilleuses, et le ronron assourdi des moteurs. Une petite secousse
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
45 était-ce un être ? Insomnie J’éteignais la lampe et la veilleuse me rendait compagnon d’une momie bleuâtre, mais peut-
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
46 ces et d’absences, — la chambre principale où une lampe arrose la pesante nappe aux dessins brodés, des verres, des coudes et
47 ce et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lis
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
48 prises déjà, s’étant couché fort tard, il a vu ma lampe allumée. Si cela continue, il me prendra pour un sorcier. Qui sait, c
49 électrique a plus de « valeur culturelle » que la lampe à pétrole ; et l’eau courante que la pompe ; — et Babbitt que D. H. L
50 eureux qu’un bourgeois, avec ma pompe à eau et ma lampe à pétrole. 21 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un jou
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
51 ne rumeur de marée, des trompettes au-dehors. Les lampes à arc s’éteignent dans la salle tandis que des flèches lumineuses s’a
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
52 vant ce papier blanc, où j’écris à la lueur d’une lampe à pétrole. Pourquoi sommes-nous là, quelque part, loin de tout ce qui
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
53 maison, près de la fenêtre, un petit arbre où des lampes électriques multicolores remplacent les bougies ; dans chaque rue, de
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
54 ux télétypes. Visières vertes aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniques locales entre des group
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
55 ples et des solitaires éteindre et rallumer leurs lampes . Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de l
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
56 nt. Au fond d’une pièce vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
57 . Il n’y a plus, tout près sur nos têtes, que les lampes en veilleuses, et le ronron assourdi des moteurs. Une petite secousse
46 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
58 ux télétypes, visières vertes aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniques locales entre des group
47 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
59 printemps, ou chaque soir la nuit. (Une première lampe s’est allumée. Quelqu’un dit : « Elle est là. ») Premier jugement,
48 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
60 noire, hérissées de demi-soucoupes : ce sont des lampes , et tout s’allume les soirs de fête. Nous entrons dans une rue sinueu
49 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
61 urope — elle peut veiller avec sagesse près de sa lampe ou, demoiselle fort irréfléchie, s’endormir à côté de la lampe éteint
62 oiselle fort irréfléchie, s’endormir à côté de la lampe éteinte — nul jour de joie ne l’attend.196 Dans le poème intitulé G
50 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
63 ux télétypes. Visières vertes aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniques locales entre des group
51 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
64 ends le verset du psalmiste : « Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier »… Je résume mon diagnostic,
52 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
65 rte que je ne « vis le jour » qu’à la lueur d’une lampe à pétrole hâtivement allumée et que tenait mon père. Soixante-sept an
53 1975, Articles divers (1974-1977). Au-delà de la société industrielle (1975)
66 echnologique, pour revenir à un stade primitif de lampes à huile ou de coutume des cavernes. On ne veut pas dire non plus, je
54 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
67 ence et entendent nous ramener au Moyen Âge, à la lampe à huile, voire à l’âge des cavernes ». Personne n’a jamais pu montrer
55 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
68 ne rumeur de marée, des trompettes au-dehors. Les lampes à arc s’éteignent dans la salle tandis que des flèches lumineuses s’a
56 1977, Articles divers (1974-1977). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous ! (1977)
69 qu’il invente en y marchant. « Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier », dit le psalmiste. La lamp
70 e lumière sur mon sentier », dit le psalmiste. La lampe n’éclaire que le terrain où je m’avance, ce chemin qui commence à mes
57 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
71 ’est la définition de la foi. « Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier. » (Ps. CXIX, 105). Trois
58 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
72 qu’il invente en y marchant. « Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier », dit le psalmiste. La lamp
73 e lumière sur mon sentier », dit le psalmiste. La lampe n’éclaire que le terrain où je m’avance, ce chemin qui commence à mes
59 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
74 doit inventer en y marchant. « Ma parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier », dit le psaume. Comme si l
75 ère sur mon sentier », dit le psaume. Comme si la lampe m’éclairait seulement quand j’ai le courage d’avancer dans la nuit, d
60 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
76 . Un verset d’un psaume dit : « Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier. » Cette vocation doit se ma
61 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
77 ase qui m’a toujours frappé : « Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier », qui exprime d’une manière