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rin du myrte civique tressé dans vos couronnes de
laurier
. Vous n’êtes pas couronnés d’olivier. La main connaît la main dans la
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(septembre 1932)h Ce n’est pas pour l’amour du
laurier
, mais pour l’amour de son ami Clitus, poète abstrait à la mode de 192
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cour sur la droite, derrière des palmiers et des
lauriers
. Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clô
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plit l’ombre bleue sous le tilleul immense et les
lauriers
. Un grand vase jaune brille au bord du bassin. Le reflet de l’eau tre
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la pluie, groupés au maigre abri des buissons de
lauriers
. Ah ! les beaux « instincts primitifs » ! Le bonheur idyllique de la
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te de bois à deux battants, à demi cachée par des
lauriers
épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé
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un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de
laurier
. 10 novembre Ce journal n’aura rien d’intime. J’ai à gagner ma vie,
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te de bois à deux battants, à demi cachée par des
lauriers
épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé
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un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de
laurier
. On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des outils et des
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, le verrou de la porte du fond, dans l’odeur des
lauriers
épais. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et
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te de bois à deux battants, à demi cachée par des
lauriers
épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé
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un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de
laurier
. On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des outils et des
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et toute la chambre est imprégnée d’une odeur de
laurier
et de fumée. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de glace sur
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cour sur la droite, derrière des palmiers et des
lauriers
. Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clô
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plit l’ombre bleue sous le tilleul immense et les
lauriers
. Un grand vase jaune brille au bord du bassin. Le reflet de l’eau tre
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la pluie, groupés au maigre abri des buissons de
lauriers
. Ah ! les beaux « instincts primitifs » ! Le bonheur idyllique de la
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, le verrou de la porte du fond, dans l’odeur des
lauriers
épais. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et
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te de bois à deux battants, à demi cachée par des
lauriers
épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé
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un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de
laurier
. On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des outils et des
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et toute la chambre est imprégnée d’une odeur de
laurier
et de fumée. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de glace sur
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s le verrou de la porte du fond, dans l’odeur des
lauriers
épais. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et
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cour sur la droite, derrière des palmiers et des
lauriers
. Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clô
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plit l’ombre bleue sous le tilleul immense et les
lauriers
. Un grand vase jaune brille au bord du bassin. Le reflet de l’eau tre
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la pluie, groupés au maigre abri des buissons de
lauriers
. Ah ! les beaux « instincts primitifs » ! Le bonheur idyllique de la
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Albin Michel, éd.) qui est aujourd’hui orné de ce
laurier
. Des prix ? me dit Denis de Rougemont, j’en ai manqué beaucoup avant-