1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 rin du myrte civique tressé dans vos couronnes de laurier . Vous n’êtes pas couronnés d’olivier. La main connaît la main dans la
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alexandre, par Klaus Mann (septembre 1932)
2 (septembre 1932)h Ce n’est pas pour l’amour du laurier , mais pour l’amour de son ami Clitus, poète abstrait à la mode de 192
3 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
3 cour sur la droite, derrière des palmiers et des lauriers . Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clô
4 plit l’ombre bleue sous le tilleul immense et les lauriers . Un grand vase jaune brille au bord du bassin. Le reflet de l’eau tre
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
5 la pluie, groupés au maigre abri des buissons de lauriers . Ah ! les beaux « instincts primitifs » ! Le bonheur idyllique de la
5 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
6 te de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé
7 un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier .   10 novembre Ce journal n’aura rien d’intime. J’ai à gagner ma vie,
6 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
8 te de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé
9 un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier . On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des outils et des
7 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
10 , le verrou de la porte du fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et
8 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
11 te de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé
12 un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier . On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des outils et des
13 et toute la chambre est imprégnée d’une odeur de laurier et de fumée. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de glace sur
9 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
14 cour sur la droite, derrière des palmiers et des lauriers . Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clô
15 plit l’ombre bleue sous le tilleul immense et les lauriers . Un grand vase jaune brille au bord du bassin. Le reflet de l’eau tre
16 la pluie, groupés au maigre abri des buissons de lauriers . Ah ! les beaux « instincts primitifs » ! Le bonheur idyllique de la
10 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
17 , le verrou de la porte du fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
18 te de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé
19 un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier . On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des outils et des
20 et toute la chambre est imprégnée d’une odeur de laurier et de fumée. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de glace sur
21 s le verrou de la porte du fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
22 cour sur la droite, derrière des palmiers et des lauriers . Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clô
23 plit l’ombre bleue sous le tilleul immense et les lauriers . Un grand vase jaune brille au bord du bassin. Le reflet de l’eau tre
24 la pluie, groupés au maigre abri des buissons de lauriers . Ah ! les beaux « instincts primitifs » ! Le bonheur idyllique de la
13 1957, Articles divers (1957-1962). La fin justifie les moyens (9 juin 1957)
25 Albin Michel, éd.) qui est aujourd’hui orné de ce laurier . Des prix ? me dit Denis de Rougemont, j’en ai manqué beaucoup avant-