1
e la Révolution et du romantisme, les concepts de
liberté
et de progrès, l’humanitarisme, le bolchévisme. L’autre philosophie e
2
ontraintes imposées dans le but de restreindre la
liberté
et l’initiative individuelles, et la morale des sports anglais, moral
3
ent imprudemment, — on sait ce que c’est que la «
liberté
» d’un esprit pur de tout finalisme ! Surréalisme S.A., entreprise po
4
e glorifient ses tenants, ils y voient la suprême
liberté
. Le désir se précisait en moi de commettre enfin l’acte vraiment indé
5
valable qu’assujettie à son objet, qu’il n’y a de
liberté
que dans la soumission aux lois naturelles ; et leur effort est de re
6
lles » (Marcel Arland). 9. Ce serait au moins la
liberté
! crieront les surréalistes. Voire. On est moins libre à Moscou qu’à
7
e ailleurs qu’en terre romande. C’est l’esprit de
liberté
, tout simplement. Mais précisons : c’est bien plus que la liberté de
8
mplement. Mais précisons : c’est bien plus que la
liberté
de défendre sa petite hérésie personnelle et de s’affirmer aux dépens
9
et de s’affirmer aux dépens d’autrui, — c’est la
liberté
dans la recherche. Chose plus rare qu’on ne pense, à Aubonne on se se
10
lieu travaux et méditations. Dehors, on honore la
liberté
d’un culte moins platonique : n’est-ce pas Léo qui prétendit qu’on ne
11
rare que j’aimais dans ces brutalités, c’était ma
liberté
agissante. J’allais plier des résistances à mon gré, agir sur les cho
12
is je ne m’emprisonnerai pas dans ces limites. Ma
liberté
est de les porter plus loin sans cesse, de battre mes propres records
13
ue réclament les surréalistes. Le contraire de la
liberté
. D’autre part, on veut donner à l’acte gratuit une valeur morale en d
14
rire des sphinx ; hypocrisie, masque ambigu d’une
liberté
plus précieuse que toute certitude… Ô vérité, ma vérité, non pas ce q
15
ut des prétextes, et une passion farouche pour la
liberté
, qui font de cet ombrageux personnage une manière de Rousseau surréal
16
la révocation, la France passa de la plus grande
liberté
à la plus grande tyrannie. En proclamant la liberté religieuse, Henry
17
berté à la plus grande tyrannie. En proclamant la
liberté
religieuse, Henry IV mettait le royaume à la tête de la civilisation
18
ette prétention à la libération par le Rêve. « La
liberté
commence où naît le merveilleux. » Au vrai, et surtout pour un homme
19
– c’est presque un non-sens de chercher l’absolue
liberté
dans le rêve. Le rêve, c’est la tyrannie des souvenirs ; et ce n’est
20
eule chose qui reste à nos yeux sacro-sainte : la
liberté
. Alors n’est-ce pas, merci du conseil, Monsieur Y. Z., de ce conseil
21
mportent. Vous le savez. Alors vous les lâchez en
liberté
, par haine de cette esthétique ou de ce sens social, — et voilà qu’il
22
mémorialiste. Madame Bibesco y montre beaucoup de
liberté
d’esprit, une pénétration de jugement et une ironie assez amère qui é
23
lâche les ouvriers et leur donne une apparence de
liberté
, c’est pour mieux les prendre dans son engrenage. L’emploi de leurs l
24
ricaine. Voici, par exemple, une définition de la
liberté
: La liberté consiste à travailler pendant le temps convenable et à
25
, par exemple, une définition de la liberté : La
liberté
consiste à travailler pendant le temps convenable et à gagner, par ce
26
gler à sa guise le détail de sa vie privée. Cette
liberté
particulière, et cent autres pareilles, composent, au total, la grand
27
autres pareilles, composent, au total, la grande
Liberté
idéale et mettent de l’huile dans les rouages de la vie quotidienne.
28
le dans les rouages de la vie quotidienne. Cette
Liberté
idéale réduite au rôle d’huile dans les rouages, n’est-ce pas charman
29
lui a fait oublier jusqu’à l’existence, et à une
liberté
qu’il s’empresse d’aliéner au profit de plaisirs tarifés, soumis plus
30
iment d’avoir inventé ou compris par soi-même, la
liberté
et une certaine durée normale et capricieuse dans le plaisir, la cons
31
a prétendu maîtriser la matière et parvenir à une
liberté
plus haute. Or, la technique a révélé des exigences telles que l’Espr
32
t lui seul qui nous permettrait de jouir de notre
liberté
. La victoire mécanicienne est une victoire à la Pyrrhus. Elle nous do
33
st une victoire à la Pyrrhus. Elle nous donne une
liberté
dont nous ne sommes plus dignes. Nous perdons, en l’acquérant, par l’
34
éité de ses manifestations. Gérard parle avec une
liberté
magnifique et angoissante. Il mêle tout dans le temps et l’espace. Ce
35
ne, ou bien descendent au fond des mers adorer la
Liberté
et jouer de l’orgue sous les yeux de poulpes géants. Jules Verne a vé
36
rd, je soupçonne que ce bateau n’est autre que La
Liberté
. ar. « M. Allotte De La Fuye : Jules Verne, sa vie, son œuvre (S. K
37
pitudes que cela comporte, Belles-Lettres est une
liberté
. Une rude épreuve : on n’en sort que pour mourir ou pour entrer en re
38
aube et le sourire adorable de savoir la dansante
liberté
d’un désir à sa naissance L’étoile qui l’accueille au sommet ravi d
39
de jeune fille qui rimait sagement des odes à la
liberté
… Et voici dans sa vie cette double venue de l’amour et du chant proph
40
ir dangereux et tendre que prennent les hommes en
liberté
. Mais ils ne sont jamais méchants, et seulement aux dernières pages d
41
terait sa vérité. Ce serait un de ces miracles de
liberté
dont nous avons besoin pour croire que le monde actuel n’est pas un c
42
ale avec la démocratie, de tout ce qui moleste ma
liberté
et sans doute celle de beaucoup d’autres à qui forcément, je ressembl
43
isir, goût au travail, qualité du travail, santé,
liberté
, sens de la justice et autres balivernes, instruction véritable et au
44
u ciel sur notre sol de s’écrier sans hésiter : «
Liberté
, liberté chérie, voilà bien ta patrie. » La préparation civique
45
r notre sol de s’écrier sans hésiter : « Liberté,
liberté
chérie, voilà bien ta patrie. » La préparation civique Tous les
46
e d’une autre nature. Elle prétend donner plus de
liberté
aux enfants en leur rendant le travail amusant, en leur laissant la p
47
e qu’ils doivent apprendre. Mais qu’est-ce qu’une
liberté
méthodiquement organisée ? En réalité, cet amusement a pour seul but
48
on capte scientifiquement les sources mêmes de sa
liberté
. « Instruire en amusant » peut être la formule d’une tromperie subtil
49
néité et l’invention. Elle dénature le sens de la
liberté
. Elle détruit tout ce qui permettrait d’échapper à la mécanique. Bref
50
ordre. Car tout cela nous donnerait des années de
liberté
en même temps qu’un peu de calme. Ces années de liberté nous permettr
51
é en même temps qu’un peu de calme. Ces années de
liberté
nous permettraient de vivre, seule façon de s’instruire inventée à ce
52
ulture de notre force de pensée nous rendrait une
liberté
sans laquelle nos efforts resteront vains pour instaurer cette nouvel
53
’il est sage. Moi je m’en moque. Je n’aime que la
liberté
.
54
ale avec la démocratie, de tout ce qui moleste ma
liberté
et sans doute celle de beaucoup d’autres à qui forcément, je ressembl
55
isir, goût du travail, qualité du travail, santé,
liberté
, sens de la justice et autres balivernes, instruction véritable et au
56
u ciel sur notre sol de s’écrier sans hésiter : «
Liberté
, liberté chérie, voilà bien ta patrie. » 3.f. La préparation civiq
57
r notre sol de s’écrier sans hésiter : « Liberté,
liberté
chérie, voilà bien ta patrie. » 3.f. La préparation civique Tou
58
e d’une autre nature. Elle prétend donner plus de
liberté
aux enfants en leur rendant le travail amusant, en leur laissant la p
59
e qu’ils doivent apprendre. Mais qu’est-ce qu’une
liberté
méthodiquement organisée ? En réalité, cet amusement a pour seul but
60
on capte scientifiquement les sources mêmes de sa
liberté
. « Instruire en amusant » peut être la formule d’une tromperie subtil
61
de. Pour qu’on n’ait pas le temps de découvrir la
Liberté
9, parce que celui qui l’a embrassée une fois, une seule fois, sait b
62
néité et l’invention. Elle dénature le sens de la
liberté
. Elle détruit tout ce qui permettait d’échapper à la mécanique. Bref,
63
ordre. Car tout cela nous donnerait des années de
liberté
, en même temps qu’un peu de calme. Ces années de liberté nous permett
64
, en même temps qu’un peu de calme. Ces années de
liberté
nous permettraient de vivre, seule façon de s’instruire inventée à ce
65
ulture de notre force de pensée nous rendrait une
liberté
sans laquelle nos efforts resteront vains pour instaurer cette nouvel
66
’il est sage. Moi je m’en moque. Je n’aime que la
liberté
.
67
Surhomme, jamais absent d’ici, et je reprends ma
liberté
. Beausire admire Léonard d’avoir « tracé peut-être pour toujours les
68
peut-être pour toujours les limites de l’humaine
liberté
». Simond réclame « un parti pris…, un ordre de valeurs, si arbitrair
69
ier que l’existence du Christ donne à « l’humaine
liberté
» des limites d’une nature que Léonard ne soupçonna même pas ; — que
70
t, comprend enfin qu’il est perdu, il découvre la
liberté
. (Je pense à la boussole autant qu’au sens moral.) Le goût de se perd
71
ier.) Il semble qu’ici M. Pierre-Quint, malgré la
liberté
d’esprit dont il témoigne en maint endroit, se soit laissé quelque pe
72
et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô
liberté
aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font de
73
elles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la
liberté
! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse comme un art. Et qu’on so
74
re un symbole de la servitude et un symbole de la
liberté
. Si la Hongrie tout de même a quelque chose de « moderne », dans un s
75
! Cela tourne tout de suite à la débauche. Notre
liberté
de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos ges
76
mortelles assiègent notre condition humaine : la
liberté
de l’esprit et les lois de la matière. Pris entre une anarchie et une
77
ourquoi tant et toujours plus de mal à prouver la
liberté
humaine ? C’est que l’on s’est trop bien assimilé les tours de la pen
78
ale d’une pensée qui par ailleurs participe de la
liberté
: j’entends la pensée mystique. L’expérience mystique a la même exten
79
emprisonnements au Tonkin. Et non Bouddha13. — La
liberté
est un pouvoir réel et une volonté réelle de vouloir être soi. Ayant
80
ons, — et des hommes qui viendront y trouver leur
liberté
. Mais pourquoi dira-t-on, s’arrêter à ces cris d’une révolte égarée
81
n images d’un Dieu vertueux, ou en remparts de la
liberté
. La montagne n’est ni bienveillante ni maternelle ; elle poursuit une
82
ble : que le bonheur de l’homme n’est pas dans la
liberté
, mais dans l’acceptation d’un devoir. Gide aurait-il pressenti que l
83
pinion put jamais être confondu avec un régime de
liberté
. La liberté d’opposition est tout à fait illusoire, même chez nous (s
84
amais être confondu avec un régime de liberté. La
liberté
d’opposition est tout à fait illusoire, même chez nous (sic). Et ceux
85
sintéressée », et qu’il faut s’affranchir d’une «
liberté
» stérilisante. Ils ne voient pas à quel prix cet affranchissement de
86
nt certaines tirades sur le fameux principe de la
liberté
de conscience. Cela prenait « dans cette enceinte » un petit air anar
87
ité, et qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus grande
liberté
d’action et de révolution est promise à celui que n’empêtre aucun res
88
vers de ses manifestations. Gérard parle avec une
liberté
magnifique et angoissante. Il mêle tout dans le temps et l’espace. Ce
89
et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô
liberté
aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font de
90
elles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la
liberté
! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse comme un art. Et qu’on so
91
re un symbole de la servitude et un symbole de la
liberté
. Si la Hongrie tout de même a quelque chose de « moderne », dans un s
92
! Cela tourne tout de suite à la débauche. Notre
liberté
de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos ges
93
de jeune fille qui rimait sagement des odes à la
liberté
… Et voici dans sa vie cette double venue de l’amour et du chant proph
94
enfance, cette foi anxieuse en je ne sais quelle
liberté
du monde. Un peu plus tard, il y eut un instant merveilleux que je ve
95
blouissante, des troupeaux de chevaux pâturent en
liberté
. Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le soleil et nous entou
96
’est pas commode de se trouver devant une bête en
liberté
qu’on doit saisir d’abord, puis seller et dompter. Ou bien ce sont de
97
ce que ses genoux plient. Dresser des étalons en
liberté
, et les monter à poil. Jouer à football avec les hérissons du parc. C
98
t, comprend enfin qu’il est perdu, il découvre la
liberté
. Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre cond
99
et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô
liberté
aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font de
100
elles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la
liberté
! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse comme un art. Et qu’on so
101
re un symbole de la servitude et un symbole de la
liberté
. Si la Hongrie tout de même a quelque chose de « moderne », dans un s
102
! Cela tourne tout de suite à la débauche. Notre
liberté
de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos ges
103
blouissante, des troupeaux de chevaux pâturent en
liberté
. Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le soleil et nous entou
104
’est pas commode de se trouver devant une bête en
liberté
qu’on doit saisir d’abord, puis seller et dompter. Ou bien ce sont de
105
ce que ses genoux plient. Dresser des étalons en
liberté
, et les monter à poil. Jouer à football avec les hérissons du parc. C
106
de jeune fille qui rimait sagement des odes à la
liberté
… Et voici dans sa vie cette double venue de l’amour et du chant proph
107
enfance, cette foi anxieuse en je ne sais quelle
liberté
du monde. Un peu plus tard, il y eut un instant merveilleux que je ve
108
u bon vieux temps européen. Jours de sursis d’une
liberté
dont nous avions à peine conscience, parce qu’elle était notre manièr
109
t le crime des dictatures : elles ne tuent pas la
liberté
dans les pays seulement où elles sévissent, mais aussi bien chez les
110
voisins qu’elles secouent d’un défi grossier. La
liberté
ne peut survivre à de tels chocs. Car elle est vraiment comme un rêve
111
cette raison même, l’origine très précise de nos
libertés
suisses et de notre union fédérale. Quand je n’en saurais rien, j’ai
112
ait pour vous, mais près de lui vous éprouvez une
liberté
. Et cette constatation, bien entendu, ne signifie rien sur sa valeur
113
rs de leur affaire ? 19. La première charte des
libertés
civiques a été obtenue par les bourgeois de Neuchâtel et signée par l
114
par le petit Sénat, et du Banneret ou Gardien des
libertés
du Peuple… [Ce dernier] est élu par l’assemblée générale des Citoyens
115
rmes qui l’honorent le plus, je vous dirai que la
liberté
des individus est protégée par les lois de ce pays avec autant de sol
116
humbles tâches, en Dieu plus grandes, et vers la
liberté
de l’esprit. Sa première allégeance était l’Église, et par là même l’
117
e d’abord, dans la force et la grâce du terme, la
liberté
de l’expression. e. Voir Les Méfaits de l’instruction publique .
118
saisit-elle, d’une manière imprévisible. La seule
liberté
qui lui soit accordée vis-à-vis de la foi, c’est de la refuser. Comme
119
e morale est délibérément supprimée toute idée de
liberté
, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se
120
Liberté
ou chômage ? (mai 1933)a Nous entendions l’autre jour, en buvant u
121
vant un café sur le zinc : « Le travail, c’est la
liberté
, — pour celui qui ne travaille pas. » Qu’il exprime la religion du tr
122
effort pratique aboutit : au lieu de créer de la
liberté
, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même
123
elopperait son pouvoir réel de « libération ». La
liberté
fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la con
124
urgeois ou « quinquennal ». Il n’y aura jamais de
liberté
possible, efficace, pratique, que dans un monde où le spirituel détie
125
. Du travailleur on a fait un salarié, — et de sa
liberté
on a fait le chômage. Mais la misère présente est un appel à l’homme.
126
s. — « Nous ferons mieux que l’Amérique ! » a. «
Liberté
ou chômage ? », L’Ordre nouveau, Paris, n° 1, mai 1933, p. 10-15.
127
e moderne s’est enfermée ne comporte plus d’autre
liberté
, pour l’esprit de ses inventeurs, que celle du renoncement et du suic
128
a communisante. Quand l’esprit ne croit plus à sa
liberté
créatrice, il n’en a plus (Berdiaev). Et dès lors, toute activité spi
129
e l’a frustré : l’esprit de création, l’esprit de
liberté
. Et vous venez lui dire que ça n’existe pas. À vous voir, on le croir
130
sité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la
liberté
du risque, — perdre sa vie. Cette opposition est tellement radicale,
131
onc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la
liberté
, au loisir plein. Si la liberté n’est pas à l’origine d’un système, e
132
eront jamais à la liberté, au loisir plein. Si la
liberté
n’est pas à l’origine d’un système, elle ne s’introduira jamais dans
133
néglige la création, un travail sans loisir, sans
liberté
, laisse s’étendre l’empire de la nécessité. On aura beau l’intensifie
134
ommet de ses hiérarchies, le fondement réel de sa
liberté
. On nous a reproché de ne pas définir la personne qui est à l’origine
135
ous sommes convaincus que si le principe de toute
liberté
humaine ne se trouve pas à l’origine d’un système, il ne se trouvera
136
te de l’État. Le fondement de notre action est la
liberté
, le risque. L’autorité vient de la personne, non de ce qui lui est le
137
onstructif, dans le deuxième il doit défendre des
libertés
. Or non seulement le Parlement actuel (depuis que les grands bourgeoi
138
où le Parlement devrait protéger et défendre les
libertés
locales, corporatives, familiales, individuelles, que voyons-nous au
139
minimum de vie matérielle » destiné à assurer la
liberté
de l’homme. Marxistes et capitalistes prétendent, chacun à leur maniè
140
, par ailleurs, on le prive du ressort même de sa
liberté
(par l’effet d’une doctrine matérialiste) ou du champ de cette libert
141
d’une doctrine matérialiste) ou du champ de cette
liberté
(par l’effet d’une doctrine étatiste) ? En présence de ces faits, nou
142
sonne qui est, nous allons le voir, le plan de la
liberté
créatrice ; que ce problème ne peut être défini correctement qu’à par
143
que, choix, acte, tels sont les éléments de toute
liberté
réelle et créatrice, partant, de toute dignité humaine. ⁂ Pour faire
144
aux traditionnelles farces de père de famille en
liberté
dont il assaisonnait ses Voyages en zigzag pour amuser son pensionnat
145
ous enseignent que la loi seule nous conduit à la
liberté
. Adhérez au déterminisme de l’histoire, abandonnez votre cher petit m
146
tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer la
liberté
et les idéaux supérieurs dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j
147
, organisez le monde par la contrainte ou dans la
liberté
, vous ne ferez pas une société si vous n’avez pas, avant tout, retrou
148
s : l’Égalité parut glorieusement encadrée par la
Liberté
et la Fraternité. En fait, l’égalisation était une atteinte à la libe
149
é. En fait, l’égalisation était une atteinte à la
liberté
, et la rendait humainement impossible au moment même où elle l’imposa
150
On n’a pas établi l’Égalité. Mais on a limité les
libertés
, et détruit la fraternité. Capital, police, lutte de classes, guerre.
151
laine ou prisonnier des assurances. Pour nous, la
liberté
ne consistera jamais dans la suppression des obligations, mais dans l
152
dre dans l’Europe d’aujourd’hui ? Dictature de la
liberté
f, proclamera la suite de La Révolution nécessaire. Dandieu voyait da
153
la phénoménologie a ouvert la voie à une nouvelle
liberté
de la pensée ; mais, jusqu’ici, peu l’ont suivie, en France. Sachons
154
e entièrement légitime qu’elle puisse faire de sa
liberté
consiste précisément à reconnaître qu’elle ne s’appartient pas ; c’es
155
pas qualité pour le savoir. Puis, on le rend à la
liberté
. Toute l’histoire sera celle, non pas du procès, qui n’a jamais lieu,
156
ui sont de mèche avec la justice, ces prévenus en
liberté
, cette complicité générale, tout cela, ce n’est pas la « misère de l’
157
ciste, aux fatalités de l’État. Nous croyons à la
liberté
de la Personne. Je connais bien la réaction qui accueille d’ordinaire
158
e capital, suite qui s’intitulera Dictature de la
liberté
, et que Robert Aron va mener à son termek. Telle qu’il nous l’a laiss
159
aine d’enfants au bord de la mer pour célébrer la
liberté
. Sa ligne de bataille s’étend. Il crée l’Union des paysans. Il évangé
160
us répète : « La subjectivité est la vérité. » La
liberté
, la dignité de l’homme, c’est qu’il soit seul le sujet de sa vie. Mai
161
— je dis : de l’homme rendu à la conscience de sa
liberté
. Toute création suppose une liberté, ou plus exactement, créer, c’est
162
science de sa liberté. Toute création suppose une
liberté
, ou plus exactement, créer, c’est être libre. Un art nouveau, c’est u
163
réer, c’est être libre. Un art nouveau, c’est une
liberté
nouvelle. Mais c’est aussi une obéissance nouvelle. Je ne conçois de
164
t aussi une obéissance nouvelle. Je ne conçois de
liberté
concrète que dans l’exercice fidèle de ma vocation personnelle. Liber
165
ans l’exercice fidèle de ma vocation personnelle.
Liberté
devient synonyme d’obéissance inconditionnée à mon unique raison d’êt
166
s sommes ici très loin de la notion bourgeoise de
liberté
, qui est absence d’obligations, de repères, de coordonnées. Très loin
167
ès loin aussi de l’anarchie. Car l’exercice de la
liberté
personnelle entraîne des engagements humains ; rapidement il se concr
168
Bonnafous, qui écrit dans ses commentaires : « La
liberté
ne se conçoit qu’en fonction d’un ordre sur lequel elle s’appuie, par
169
ste simplement (sic) à créer les conditions d’une
liberté
réelle, et en attendant d’y parvenir, à ménager les mesures de transi
170
tes de la Réforme comme autant de conquêtes de la
liberté
de conscience en général, plutôt que de la foi. Ceci dit, l’on ne sau
171
eur : il a compris le fait — sinon l’acte — de la
liberté
. Il a su reconnaître que l’homme est un sujet (au sens initiateur, et
172
heur du spiritualisme fut de se replier sur cette
liberté
pour la chérir dans sa précieuse intégrité. Orgueilleux de sa force,
173
esprit » demeuré incapable de témoigner de notre
liberté
. Dans le plan d’ombre et d’abstractions, parfois violentes, où se pou
174
dans l’échelle de nos valeurs, notre capacité de
liberté
à l’exercice concret de cette liberté. C’est une usurpation de l’éter
175
capacité de liberté à l’exercice concret de cette
liberté
. C’est une usurpation de l’éternel par la conscience contingente, par
176
comme l’entendaient les libéraux — mais c’est la
liberté
du rêveur impuissant, la même, exactement, qu’on laisse aux prisonnie
177
l’avons vu en maint autre pays, qu’une espèce de
liberté
sous conditions. Le clerc bourgeois, chez nous, se croit encore tranq
178
ous enseignent que la loi seule nous conduit à la
liberté
. Adhérez au déterminisme de l’histoire, abandonnez votre cher petit m
179
tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer la
liberté
et les idéaux supérieurs dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j
180
, organisez le monde par la contrainte ou dans la
liberté
, vous ne ferez pas une société si vous n’avez pas, avant tout, retrou
181
tienne universitaire. 13. Voir à l’appendice : «
Liberté
ou chômage ? » et « Loisir ou temps vide » ? 14. On sait que M. Jea
182
on. L’exercice de sa vocation figure désormais sa
liberté
concrète et c’est cela qu’il doit défendre contre l’empiètement des l
183
Fonder les lois sur la personne, c’est assurer la
liberté
d’action des hommes les plus humains, les plus capables par là même d
184
ue du prolétaire, que leur libéralisme c’était la
liberté
économique du plus fort, que leur philanthropie, leur humanitarisme,
185
a préfiguration de ces fins. On ne fait pas de la
liberté
avec de la nécessité, on ne crée pas des personnes par le moyen des d
186
livrée à la nécessité. L’esprit est d’abord jeu,
liberté
, création imprévue. Mais cette évasion hors du déterminisme, la diale
187
saut du royaume de la nécessité dans celui de la
liberté
». Ce saut, c’est la vraie révolution, nous dit-on. Or cette révoluti
188
opération de rétablissement du spirituel et de la
liberté
, dans un monde où seules sont admises les valeurs matérielles et quan
189
ns d’imaginer possible le saut dans l’ordre de la
liberté
. En effet, les nouvelles valeurs instituées pendant la période de tra
190
mme tous les moralismes) que l’« esprit » et la «
liberté
» sont au terme de l’effort humain. Or, je crois, au contraire, que s
191
l’homme est un ensemble de déterminismes, aucune
liberté
ne sortira jamais de son effort, ni aucun esprit. À moins qu’un Dieu
192
mais qui n’ont pas de vérité27. ⁂ La plus grande
liberté
d’action et de révolution est promise à celui que n’empêtre aucun res
193
ompli : le péché, et le salut en Christ. Voilà sa
liberté
: sa mort est derrière lui. Le problème a été résolu, c’est pourquoi
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saisit-elle, d’une manière imprévisible. La seule
liberté
qui lui soit accordée vis-à-vis de la foi, c’est de la refuser. Comme
195
e morale est délibérément supprimée toute idée de
liberté
, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se
196
discipline. La discipline exige le sacrifice des
libertés
personnelles au bien collectif. Le bien collectif, c’est l’État. Il s
197
dre rigide et logique, une hiérarchie primant les
libertés
individuelles ; ceux de gauche, parce qu’il concrétise certaines aspi
198
e matériel de l’État, préalablement divinisé, les
libertés
fondamentales de la personne et des églises, ainsi que toute espèce d
199
s : l’Égalité parut glorieusement encadrée par la
Liberté
et la Fraternité. En fait, l’égalisation était une atteinte à la libe
200
é. En fait, l’égalisation était une atteinte à la
liberté
, et la rendait humainement impossible au moment même où elle l’imposa
201
On n’a pas établi l’Égalité. Mais on a limité les
libertés
, et détruit la fraternité. Capital, police, lutte de classes, guerre.
202
laine ou prisonnier des assurances. Pour nous, la
liberté
ne consistera jamais dans la suppression des obligations, mais dans l
203
véritable. La doctrine est seule créatrice d’une
liberté
que l’homme des rues reste incapable de forger avec toute sa brutalit
204
ourgeois, qui se révèle par les témoignages de la
liberté
qu’elle assure. Ordre secret et fraternel au milieu de la foule des v
205
vant un café sur le zinc : « Le travail, c’est la
liberté
, — pour celui qui ne travaille pas ! » Qu’il exprime la religion du t
206
effort pratique aboutit : au lieu de créer de la
liberté
, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même
207
elopperait son pouvoir réel de « libération ». La
liberté
fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la con
208
urgeois ou « quinquennal ». Il n’y aura jamais de
liberté
possible, efficace, pratique, que dans un monde où le spirituel détie
209
. Du travailleur on a fait un salarié, — et de sa
liberté
on a fait le chômage. Mais la misère présente est un appel à l’homme.
210
sité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la
liberté
du risque, — c’est peut-être perdre sa vie. Cette opposition est tell
211
onc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la
liberté
, au loisir plein. Si la liberté n’est pas à l’origine d’un système, e
212
eront jamais à la liberté, au loisir plein. Si la
liberté
n’est pas à l’origine d’un système, elle ne s’introduira jamais dans
213
néglige la création, un travail sans loisir, sans
liberté
, laisse s’étendre l’empire de la nécessité. On aura beau l’intensifie
214
e capital, suite qui s’intitulera Dictature de la
liberté
, et que Robert Aron va mener à son terme. Telle qu’il nous l’a laissé
215
comme l’entendaient les libéraux — mais c’est la
liberté
du rêveur impuissant, la même, exactement, qu’on laisse aux prisonnie
216
l’avons vu en maint autre pays, qu’une espèce de
liberté
sous conditions. Le clerc bourgeois, chez nous, se croit encore tranq
217
ous enseignent que la loi seule nous conduit à la
liberté
. Adhérez au déterminisme de l’histoire, abandonnez votre cher petit m
218
tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer la
liberté
et les idéaux supérieurs dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j
219
, organisez le monde par la contrainte ou dans la
liberté
, vous ne ferez pas une société si vous n’avez pas, avant tout, retrou
220
étienne universitaire. 8. Voir à l’appendice : «
Liberté
ou chômage ? » et « Loisir ou temps vide ? » 9. On sait que M. Jean
221
on. L’exercice de sa vocation figure désormais sa
liberté
concrète et c’est cela qu’il doit défendre contre l’empiètement des l
222
Fonder les lois sur la personne, c’est assurer la
liberté
d’action des hommes les plus humains, les plus capables, par là même,
223
ue du prolétaire, que leur libéralisme c’était la
liberté
économique du plus fort, que leur philanthropie, leur humanitarisme,
224
a préfiguration de ces fins. On ne fait pas de la
liberté
avec de la nécessité, on ne crée pas des personnes par le moyen des d
225
livrée à la nécessité. L’esprit est d’abord jeu,
liberté
, création imprévue. Mais cette évasion hors du déterminisme, la diale
226
saut du royaume de la nécessité dans celui de la
liberté
». Ce saut, c’est la vraie révolution, nous dit-on. Or, cette révolut
227
opération de rétablissement du spirituel et de la
liberté
, dans un monde où seules sont admises les valeurs matérielles et quan
228
ns d’imaginer possible le saut dans l’ordre de la
liberté
. En effet, les nouvelles valeurs instituées pendant la période de tra
229
mme tous les moralismes) que l’« esprit » et la «
liberté
» sont au terme de l’effort humain. Or, je crois, au contraire, que s
230
l’homme est un ensemble de déterminismes, aucune
liberté
ne sortira jamais de son effort, ni aucun esprit. À moins qu’un Dieu
231
é, mais qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus grande
liberté
d’action et de révolution est promise à celui que n’empêtre aucun res
232
ompli : le péché, et le salut en Christ. Voilà sa
liberté
: sa mort est derrière lui. Le problème a été résolu, c’est pourquoi
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saisit-elle, d’une manière imprévisible. La seule
liberté
qui lui soit accordée vis-à-vis de la foi, c’est de la refuser. Comme
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e morale est délibérément supprimée toute idée de
liberté
, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se
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discipline. La discipline exige le sacrifice des
libertés
personnelles au bien collectif. Le bien collectif, c’est l’État. Il s
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dre rigide et logique, une hiérarchie primant les
libertés
individuelles ; ceux de gauche, parce qu’il concrétise certaines aspi
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e matériel de l’État, préalablement divinisé, les
libertés
fondamentales de la personne et des églises, ainsi que toute espèce d